Payzac (Dordogne)
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Payzac | |
Pays | France |
---|---|
Région | Aquitaine |
Département | Dordogne |
Arrondissement | Nontron |
Canton | Lanouaille |
Code INSEE | 24320 |
Code postal | 24270 |
Maire Mandat en cours |
François le Clere 2001-2008 |
Intercommunalité | Communauté de communes du Pays de Lanouaille |
Latitude | 45° 24' 06" Nord |
Longitude | 01° 13' 07" Est |
Altitude | 236 m (mini) – 374 m (maxi) |
Superficie | 47,72 km2 |
Population sans doubles comptes |
1 041 hab. (1999) |
Densité | 21 hab./km2 |
Payzac est une commune française, située dans le département de la Dordogne et la région Aquitaine.
Sommaire |
[modifier] Géographie
[modifier] Histoire
Le nom s'est écrit Peisac, Peyzac, Paysac et, depuis la fin du XIXe siècle, Payzac. Le nom officiel de Payzac a remplacé celui de Payzac-de-Lanouaille en 1961.
Ses seigneurs furent d'abord les vicomtes de Ségur et Limoges, dont le dernier fut Henri de Bourbon, roi de Navarre, puis roi de France.
En 1446, à peine plus de 100 feux (foyers) sont recensés dans la seigneurie de Payzac qui rapporte 60 sols pour la greffe er le papier, 20 sols pour le sceau des actes, 20 livres pour la justice. Cependant la seigneurie de Payzac ne couvrait pas toute la paroisse. On y rencontrait aussi :
- la seigneurie de la Borie dont dépendait une métairie au labourage de 3 paires de bœufs en 1500
- le fief de la Tour du Chavan
- le fief de la Juvénie
- le fief de la Morelie.
En 1608, Rigaud (ou Rigal) du Mas (les du Mas sont issus d'Adhémar Prévot, milites castri, cité en 1191 en tant que prévôt d'Adhémar V, vicomte de Ségur; cette famille rend hommage pour l'hôtel du Mas et l'hôtel de Prévôt à Jean d'Albret, vicomte de vicomte de Limoges, le 29 mai 1464) racheta aux Bourbons les droits de seigneurie de Paysac. Lui et son épouse en rendirent hommage au roi de Navarre (Henri, futur Henri IV, au titre de sa vicomté de Ségur-Limoges) le 13 mars 1583. Rigaud du Mas fut maintenu dans sa noblesse lors de la recherche de 1598-99 sur preuves de 1474. Il testa en faveur de Peyrot du Mas, son neveu, qui repris le nom de Paysac (les du Mas de Paysac actuels sont issus d'Hélie du Mas, frère d'Antoine, ancètre à la 4e génération de Rigaud).
Peyrot du Mas de Paysac, neveu du précédent, seigneur de Paysac, du Mas, de la Borie, de la Serre et de la Tournarie, est décédé en 1647.
De son mariage le 27 février 1609 avec Gabrielle de Hauteclaire est issu :
- Messire Gabriel du Mas de Paysac, ecuyer, chevalier, seigneur de Paysac, du Mas, de la Borie, de la Serre, d'Estivaux et de la Tournerie. Désigné dans l'armée sous le nom de capitaine de la Borye, il servit d'abord en Picardie, fut capitaine d'une compagnie de 100 hommes d'armes dans le régiment de Pompadour-Infanterie en 1627, puis enseigne en 1639 (dans le même régiment ?). Le 18 février 1653, il apporta à la cour la nouvelle de la victoire remportée contre les insurgés du Limousin par le seigneur de Pompadour (Jean III). Il fut maintenu dans sa noblesse par d'Aguesseau, intendant du Limousin le 1er décembre 1666 (Bibl. Arsenal, man. 5029, VII). De Jeanne de Meilhars il eut :
- Philippe du Mas de Paysac seigneur de Paysac, marquis de Paysac mort avant 1713.
De son mariage avec Suzanne de Pommiers est issu :
- François du Mas de Paysac, marquis de Paysac, chevalier de Saint-Louis (1715). Né avant 1684. Décédé le 1er septembre 1741. Mousquetaire en 1700, Il se trouva au combat de Nimègue en 1701, à celui de Keren en 1703, à la bataille de Ramillies en 1706, obtint une compagnie dans Royal Roussillon, cavalier le 15 nov. de la même année, il la commanda à l'armée du Rhin en 1707, à la bataille d'Oudenarde en 1708. Colonel d'un régiment de son nom le 2 avril 1709, il le commanda à l'armée du Dauphiné jusqu'à la paix. Ce régiment ayant été réformé le 14 janvier 1714, il fut retenu Colonel réformé à la suite du régiment Dauphiné le 5 juillet suivant. On lui donna le 1er janvier 1734 le commandement d'un régiment de milice de la généralité de limoges. Il est nommé brigadier le 1er août et par ordre du 25 on joignit au bataillon qu'il commandait le bataillon de La Morellière pour en former un régiment qui porta son nom et qu'il commanda jusqu'en novembre 1736 quand on licencia les milices (Histoire de la noblesse militaire, par Waroquier des Combes, Paris' 1784). Son frère Jean, comte de Paysac et baron d'Auriac, fut colonel du 9e Dragons
De son mariage avec Marie-Paule de Boisse, le 6 juillet 1722 est issu :
- Joseph François du Mas de Paysac, chevalier , marquis de Paysac, seigneur de Paysac, de la Borie, de la Serre et de Cousage-lès-Alassac, co-seigneur d'Alassac, seigneur de la Vigne-Rouge, des dîmes de Rouffiac, vidame de Limoges, chevalier du Saint-Sépulchre (18 juillet 1780), maître de forge à Paysac. Il rendit hommage au roi pour ses terres de Paysac et de La Borie le 18 juillet 1780. (E2899, Paysac, Fonds complémentaires, Archives départementales des Yvelines.)
De son mariage le 26 juillet 1746, en la chapelle du château de Laxion, avec Gabrielle de Chapt de Rastignac, est issu :
- Charles Odet du Mas de Paysac, comte puis marquis de Paysac, chevalier, seigneur de Paysac, de la Serre et de Cousage, co-seigneur d'Allassac et de la Salle, vidame de Limoges (1789), baron de l'Empire (5 août 1812), chevalier du Saint-Sépulchre (1818). Né le 28 avril 1749 - château de Paysac. Décédé le 11 mai 1821 - Paris. Sous-lieutenant en second au régiment d'infanterie du roi (à 16 ans) le 12 août 1765
Lieutenant en second dans le même régiment le 13 juillet 1766, Capitaine en second au régiment de La Marche-Prince Cavalerie le 25 avril 1772, Chef d'escadron au régiment de Conty Dragons en 1788. Sorti de France le 9 janvier 1792. Campagne de 1792 dans la compagnie de Royal Picardie Cavalerie, défendu Maastricht sous les ordres du Prince de Hesse en 1793. Enseigne au service du roi de Grande-Bretagne dans le corps du comte Williamson le 20 avil 1795. A continué de servir activement dans l'ouest de la France jusqu'en 1800. Gouverneur par charge de la Province du Condomois. Admis aux honneurs de la cour en 1790.
Sans postérité masculine, ses filles Mesdames de Vins et de Stassart, vendirent la terre et le château de Paysac à Monsieur Dumas de Lavareille, ancêtre de la famille Le Clere, qui a fournit quatre générations de maires de Payzac, dont François, maire de Payzac en 2005.
Depuis la création des communes Payzac a été coupée en deux de part et d'autre de l'ancienne route de Lanouaille à Pompadour. Le nord forme la commune de Payzac. Le sud a été rattaché à la commune de Savignac-Lédrier. C'est pourquoi les plaques de rue ne sont pas de la même couleur de part et d'autre de cette ancienne route à Chaux, rue du Stade, rue de la Garanne, et au milieu de la descente sur la Croix-Merle.
En 2006, le conseiller général du canton est Jean-Michel Lamassiaude, ancien maire de Payzac. Le maire est François le Clere.
La commune est connue pour son équipe de Rugby, l'Union sportive Payzac-Savignac (USPS), champion de France 4e série en 2000, en honneur régional du Périgord-Agenais en 2006/2007.
[modifier] Administration
Liste des maires successifs | |||
Période | Identité | Parti | Qualité |
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mars 2001 | François le Clere | UMP | maire |
1998 - 2001 | Jean-Michel Lamassiaude | PS | maire et conseiller général |
1982 - 1998 | Jean le Clere | ||
1945 - 1982 | ? | ||
1919 - 1945 | Charles le Clere | ||
1908- | Dr Dupinet | - | |
juillet 1899 - 1911 | Gustave le Clere | ||
février 1875- | Pierre Joussein | ||
1871 - janvier 1875 | Paul Dumas de Lavareille | ||
15 mai 1852 | Pierre Joussein | ||
9 août 1832 | Pierre Coustillas | ||
avril 1817 | Leonard Rupin | ||
30 septembre 1815 | Lajugie-Larnaudie | ||
6 juin 1811 | Jean-Baptiste Eyssartier | ||
février 1800 | Degrassat | ? | maire |
22 prairial an II | Coustillas | ? | maire |
17NN - 1789 | Charles-Odet du Mas de Paysac | seigneur marquis | |
1741 - 17NN | Joseph-François du Mas de Paysac | seigneur marquis | |
1713 - 1741 | François du Mas de Paysac | seigneur marquis | |
Les données intermédiaires ne sont pas encore connues. |
[modifier] Démographie
Évolution démographique
1962 | 1968 | 1975 | 1982 | 1990 | 1999 | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
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1 308 | 1 407 | 1 308 | 1 205 | 1 106 | 1 041 | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
Nombre retenu à partir de 1962 : Population sans doubles comptes |
[modifier] Lieux et monuments
- Église paroissiale, à transept et chœur roman. Chaire baroque. Pietà polychrome du XVe siècle.
Elle s'est appelée : église de la Transfiguration, église Saint-Sauveur , église de la Trinité.
Elle possède un clocher tors probablement construit au XVIe siècle, en même temps que le bahut défensif
Elle a connu plusieurs restaurations importantes, en 1844 (charpente du clôcher), 1878 (nouvelle nef), 1934, puis de 1994 à 2000(intérieur).
- Musée de l'ancienne papeterie de Vaux.
Au bord du ruisseau des Belles Dames, la papeterie a remplacé au XIXe siècle une ancienne forge. Après la fermeture de l'usine produisant la pâte à papier importée par la fabrique, elle a été aménagée en musée-atelier. Célèbre pour son papier alimentaire de forme ronde produit à partir de paille de seigle, l'usine propose aux visiteurs un parcours historique dans la vie du papier autour d'œuvres d'art et d'animations. Autour du site, un chemin d'initiation papetière invite à la découverte des plantes utilisées dans ce secteur.
Sur le site de la Banque numérique du savoir d'Aquitaine, le résumé d'un ouvrage sur les papeteries : BARDOU Pierre, Moulins de Vaux et Malherbaux : situation sur la vallée de l'Auvezère au XIXe siècle', Centre régional de documentation pédagogique d'Aquitaine, 1981
Sujet : économie, histoire, architecture ; carte couverture : Nontronnais ; Payzac ; XIXe siècle
Couverture spatiale : Aquitaine Dordogne Payzac
Type : image, format : négatif couleur 24x36, langue : fre, identifiant : D4375
Description :
Située sur la commune de Payzac (Dordogne), la papeterie est composée de deux moulins.
Le moulin de Malherbaux, sur l'Auvezère, où était préparée la pâte à papier à partir de paille ;
et le moulin de Vaux, sur le ruisseau "des Belles Dames", affluent de l'Auvezère,
où était installée la machine à papier continu.
La pâte était transportée d'un moulin à l'autre sur un chariot tiré par deux bœufs.
Comme la plupart des moulins de l'Auvezère, aux confins du Limousin,
Vaux et Malherbaux étaient d'anciennes forges. Elles appartenaient aux Combescot, maîtres de forges,
propriétaires depuis 1819 de la forge et du château de Savignac-Lédrier à quelques kilomètres en aval.
En 1860, l'ouverture du marché français aux fontes et fers britanniques fut fatale à cette industrie rurale régionale.
Si Savignac-Lédrier résiste et se modernise, les deux moulins de Vaux et Malherbaux sont vendus à un papetier limousin.
Cette papeterie fonctionne jusqu'en 1968 : elle constitue un exemple d'adaptation,
de modernisation et d'ouverture de l'industrie rurale au milieu du XIX° siècle,
complémentaire de celui de la forge de Savignac-Lédrier, voisine.
Comme les industries rurales plus anciennes, cette industrie papetière est liée au monde rural environnant
par la fourniture des matières premières (paille, chaux), de l'énergie (eau, bois)
et de force de travail (ouvriers, paysans).
Le déclin de la sidérurgie périgourdine amène ici son remplacement par une tradition manufacturière voisine mieux partagée : la papeterie limousine.
Vers 1830-1850, aux États-Unis, la machine à papier continue et la fabrication industrielle de papier de paille sont mises au point, notamment pour répondre aux besoins croissants de la presse. Le modèle de machine choisi, fabriqué en 1860 à Limoges (Nexon) rompt avec l'ancien procédé du papier "à la forme" fabriqué feuille par feuille. La production quotidienne de 1 à 2 tonnes de papier suppose son écoulement sur un marché extra-régional. A noter aussi qu'à la différence de la sidérurgie de Savignac-Lédrier, on ne retrouve plus la complémentarité saisonnière des activités industrielles et agricoles : le stockage de la paille et le type de machine permettent la fabrication de papier toute l'année, 24 heures sur 24.
L'usine emploie jusqu'à 30 ouvriers : une vingtaine d'hommes travaillent à la préparation de la pâte, à son transport, à la fabrication du papier, et une dizaine de femmes au tri et à l'expédition. Deux équipes assurent chacune 12 heures de travail, de midi à minuit et de minuit à midi. Les ouvriers habitent les environs et complètent un salaire peu élevé par quelques ressources agricoles. Le recrutement se fait par recommandation. Le conducteur de machine joue un rôle prépondérant, de lui dépendent la qualité finale du papier et le volume de la production. Le maître-papetier habite une demeure bourgeoise dominant le moulin de Vaux : présent, il commande la fabrication et gère la commercialisation du papier. Il possède une quinzaine d'hectares de terres et de bois.
Le prolongement de cette activité papetière jusqu'en 1968 a permis la sauvegarde des bâtiments et des machines, il nous interroge sur la fossilisation, puis la disparition de cette petite industrie rurale. A l'amont, des difficultés d'approvisionnement en paille : vers la fin du XIX° siècle, l'agriculture céréalière locale se transforme en économie herbagère. La paille est achetée plus loin, en Inde notamment ; les coûts de transport augmentent, limités par l'installation du chemin de fer en 1890. A la production, un goulot d'étranglement : la non-modernisation de la préparation de la pâte et du transport bloque la productivité de la fabrication du papier. A l'aval, la réduction du marché : lourd à transporter, dévalorisé par le papier de pâte de bois, le papier de paille est vendu comme papier d'emballage, de boucherie surtout, jusque vers 1950 - 1960 ; il est employé aussi comme base de carton ondulé.
Les autres formes d'emballage préconditionnées, plastiques… lui seront fatales. Fondée sur des critères économiques des années 1860, la papeterie traverse la fin du XIX° siècle et la première moitié du XX° siècle. Le volume de l'embauche de personnels mal rémunérés suit celui de la demande. Des faibles coûts de production (énergie hydraulique, bas salaires, amortissement de la machine…), des investissements limités (remplacement de la chaudière, doublement de la capacité de macération de la paille, achat d'un moteur diésel d'appoint…) permettent une adaptation a minima sans mutations techniques.
Ces conditions de survie traduisent aussi une fossilisation de l'entreprise, elles vont de pair avec la persistance de conditions de travail archaïques. L'asphyxie viendra de la fermeture du marché du papier de paille : l'usine aura vécu plus d'un siècle ; aucun relais industriel ne lui a encore succédé. M. Moretti. [Origine : Centre Régional de Documentation Pédagogique d'Aquitaine]
[modifier] Personnalités liées à la commune
- Jean-Pierre Timbaud (Une place du bourg de Payzac porte son nom : place de la bibliothèque, de la bascule et du foirail, en montant à l'école.)