Parti communiste des États-Unis d'Amérique
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Le Parti communiste des États-Unis d'Amérique (Communist Party of the United States of America, CPUSA) est un des groupes marxistes-léninistes des États-Unis d'Amérique.
Pendant de nombreuses années (1959-2000), il fut dirigé par Gus Hall. L'ex-membre la plus connue du CPUSA est sans doute Angela Davis. Le dirigeant actuel du parti est Sam Webb.
[modifier] La Fondation et les débuts (1919-1921)
En janvier 1919, Lénine invita la mouvance de gauche du Parti Socialiste d'Amérique à rejoindre l'Internationale communiste. Durant le printemps 1919, cette même mouvance du Parti Socialiste, grossie d'une large affluence de nouveaux membres venant de pays engagés dans la Révolution russe, se préparait à usurper le contrôle du parti à la plus petite mais non moins gouvernante mouvance de socialistes modérés. Un référendum pour la jonction avec le Komintern fut approuvé avec 90 % de oui mais les résultats furent étouffés par la direction en place. Des élections internes pour le Comité national exécutif se soldèrent par l'élection de 12 représentants issus de la mouvance de gauche sur 15. Des demandes furent formulées pour mettre à pied les modérés du parti. Les modérés en place ripostèrent en éliminant plusieurs organisations à l'échelle d'États, une demi douzaine de fédérations de langues, et beaucoup de sections locales, en tout les deux tiers des membres. Ils convoquèrent alors une assemblée générale extraordinaire qui se tint à Chicago le 30 août 1919.
Des plans furent conçus par la mouvance de gauche pour achever de prendre le contrôle du parti lors d'une assemblée en juin, l'Assemblée générale de la mouvance de gauche, mais les fédérations de langues, des organisations socialistes indépendantes de zones engagées dans la Révolution russe, qui furent rejointes par Charles Ruthenberg et Louis Fraina, se détachèrent de cette idée et choisirent de former leur propre parti, fondant le Parti Communiste d'Amérique, le 2 septembre 1919 dans une assemblée séparée à Chicago.
Pendant ce temps, les plans conçus par John Reed et Benjamin Gitlow pour anéantir l'assemblée du Parti Socialiste avancèrent. Il était prévu que des délégations venant de parties du parti qui avaient été renvoyées arriveraient en avance et exigeraient leur participation. Ayant eu vent du tuyau, les modérés prirent soin de cette manœuvre en appelant la police qui évacua obligeamment les partisans de la Mouvance de Gauche du bâtiment. Ce qui restait des délégués de la Mouvance de Gauche quitta l'assemblée et, se joignant aux délégués expulsés, forma le Parti Travailleur Communiste le 1er septembre 1919. Sous pressions de Internationale communiste, ces deux partis communistes fusionnèrent officiellement à une AG qui se tint à Woodstock, New York en mai 1921. Seulement 10 % des membres du parti nouvellement créé parlaient couramment anglais.
[modifier] La Peur Rouge et le Parti Caché (1919-1923)
Dès son origine, le CPUSA fut attaqué par les gouvernements d'états et le gouvernement fédéral, puis plus tard par le FBI. La Révolution russe et les événements associés en Allemagne et en Hongrie suscitaient alors de fortes craintes aux États-Unis. Craintes qui conduisirent aux raids de Palmer ou Peur Rouge fin 1919 et en janvier 1920, quand A. Mitchell Palmer, Procureur Général fit arrêter des milliers de membres du Parti en s'appuyant sur la juridiction du Sedition Act of 1918. Même si certains furent relâchés, beaucoup furent expulsés vers leurs pays d'origine qui étaient alors mêlés aux suites de la Révolution russe.
Le Parti Communiste fut donc contraint à la clandestinité et subit des changements de noms successifs pour éviter les arrestations. Après l'englobement du Conseil des Travailleurs — un autre groupe issu du Parti Socialiste — la couverture officielle pour le Parti Communiste, illégal, remplaça peu à peu le Parti Caché. Malgré un effort désespéré de certains membres du parti pour garder une activité illégale sur le principe, la Couverture et le Parti Caché furent complètement fusionnés, le nouveau parti étant appelé officiellement le Parti des Travailleurs Communistes. Chose notable, en 1930 le parti engloba aussi une organisation de socialistes Afro-Américains appelée la Confrérie de Sang Africain, dont certains membres se révéleront cruciaux pour la propagation de la cause communiste dans les milieux Afro-Américains.
[modifier] Le Parti dans la Légalité
Après avoir fusionné dans la légalité, le parti développa nombre de petits groupes plus ou moins stables à l'intérieur de sa hiérarchie. Il y avait en premier la faction autour du membre du bureau fédéral Charles Ruthenberg, qui était largement organisé par son partisan, Jay Lovestone. Contre cette faction se dressait la réunion Foster-Cannon, dirigée par le spécialiste des relations avec le Syndicat du Commerce, William Z. Foster, et Japes.P Cannon, dirigeant de l'Union Syndicale du Commerce. La base de la première faction était composée des fédérations de langues étrangères du Parti, tandis que la seconde trouvait ses partisans parmi les travailleurs américain d'origines.
[modifier] Premières luttes entre factions (1923-1929)
En 1925, Charles Ruthenberg et William Z. Foster étaient à la tête de factions ennemies à l'intérieur du parti. Le représentant du Komintern Sergei Gusev ordonna à la faction majoritaire menée par Foster de se rallier à la faction de Ruthenberg ; Foster obéit.
Ruthenberg mourut en 1927 et son allié, Jay Lovestone, lui succéda comme secrétaire du parti. Les statuts du parti comme section du Komintern assuraient que des luttes de factions au sein du parti dirigeant du Komintern, la section russe, auraient une influence sur le parti communiste des États-Unis. Il était donc certain que la participation de membres du parti au Sixième Congrès du Komintern en 1928 aurait des répercussions. Des répercussions qui pourraient surprendre spécialement ceux qui songeaient à utiliser leurs relations pour orienter les débats au sein du Komintern à leur avantage pour le parti américain comme Cannon ou Lovestone.
[modifier] Organisation de l'Union et autre travail progressif
Peu après les disputes décrites précédemment, une nouvelle direction du parti fut mise en place, dirigée par Earl Browder précédemment subordonné de Wiliam Forester. Il a été supposé que Forester lui-même ai été remplacé pour différentes raisons. Sa santé vacillante pendant cette période a sûrement été un des facteurs. La première partie de la présidence de Browder correspond à ce qui a été appelé la Troisième Période de la nouvelle lutte révolutionnaire, appellation du Komintern pour la période suivant 1928. Cette Troisième Période met en exergue le fait que les autres factions de gauches étaient alors considérées comme sociales-fascistes par les communistes. Dans ces conditions, toute alliance avec elles ont été rejetées
Au milieu de la Grande dépression, qui correspondra avec la Troisième Période, et en conséquence, le Parti Communiste a alors tenté de débuter de nouvelles unions indépendamment des précédentes unions affiliées à la Fédération Américaine des Travailleurs. Cette politique d'unions duales avait cependant déjà été dénoncée et rejetée par le Parti Communiste comme étant aventureuse et beaucoup trop de gauche. Bien que ces nouvelles unions aient été formées, Forester dirigea la Trade Union Education League renommée alors en Trade Union Unity League. Forester en personne a alors été malade la majeur partie de cette période, n'a donc que très peu pris part à ce travail. Aucune des unions alors formée ne correspondait à un très grand nombre de personnes bien que beaucoup d'entre elles ont aidé à former le noyau de ceux qui prendrait alors part à la grande regain des années 1930.
En 1932 les pires débordements de la Troisième Période et de la Grande Dépression ont été en quelque sorte affaiblis, et avec l'élection de Roosevelt l'organisation de l'union a commencé un renouveau. À cette date, le parti comptait 12 000 membres et lors de l'élection présidentielle, le candidat, William Z. Foster eut 102 000 voix .[1]. Initialement, cela a coupé les membres de l'union en unions ébauchées par l'AFL en régions 'fédérales' de l'union. Cela s'en rapidement être un échec. Donc la stratégie du groupe de l'Union des Mineurs, menée par John L. Lewis, de réunir ces industries fondamentales en relation avec la leur, a reçu un soutien important à la fois de la base des unionnistes et du nouveau Comité des Organisations Industrielles. Beaucoup de ces nouvelles unions comme Comité des Travailleurs du Fer, et plus particulièrement, les Travailleurs du Fer Réunis, ont embauché des communistes comme organisateurs régionaux. Cela est largement dû au travail qu'ils ont fournis les années précédentes. Ajouté à cela, le PC a fusionné ces propres petites alliances en des nouvelle unions affiliées au CIO. Ainsi l'Union des Travailleurs Automobiles a été amputé des membres qui ont rejoint les Travailleurs de l'Automobile Réunis.
- In addition to the industries and unions named above communists were important to union organising drives in rubber, longshore and among garment workers. Even farm workers were organised by party members and the membership of the party grew considerably. Communists organized the unemployed and fought successfully for unemployment insurance and what eventually became social security. They fought against evictions and housing repossessions. The CPUSA was the only political party at that time that explicitly denounced racism and fought for reforms in that area of US social life.
- Key to this turn was the rejection by the Comintern of the Third Period and the adoption of the Popular Front policy which in America meant that the party sought unity with forces to its right. Earl Browder offered to run as Norman Thomas' running mate on a joint Socialist Party-Communist Party ticket in the 1936 presidential election but Thomas rejected this overture.
- La politique du Front Populaire ne se traduit pas que par des tentatives de coopération avec les Socialistes,qui avaient violemment été dénoncés comme "socio-fachistes" mais aussi avec les libéraux et même avec le Parti Démocrate. Indeed while standing its own candidates for office the CPUSA pursued a policy of representing the Democratic Party as the lesser evil in elections. Intellectually the Popular Front period saw the development of a strong communist influence in intellectual and artistic life. This was often through various party influenced or controlled organisations or, as they were pejoratively known, »fronts."
Ce fut durant la période du front populaire que les membres du parti se rallièrent à la défense de la seconde république espagnole suite à une agression militaire fasciste pour écraser cette dernière, cela aboutit à la guerre d'Espagne (1936-1939). En provenance du monde entier, des gauchistes se rallièrent à la défense de la république espagnole, apportant des fonds pour l'assistance médicale et, en de multiples cas, s'engageant comme volontaires pour la république. Le CPUSA ne fit pas exception à ce phénomène. Nombre de ses membres se rendirent en Espagne avec l'aide du parti pour rejoindre la brigade Lincoln, une des Brigades internationales composée de citoyens américains. En plus de ses autres actions, la brigade Lincoln fut la première force militaire américaine à intégrer noirs et blancs dans ses rangs sur un même pied d'égalité.
[modifier] Le pacte Molotov-Ribbentrop
[modifier] Les poursuites gouvernementales
Quand le Parti Communiste se forma en 1919, le gouvernement des États-Unis était engagé dans des poursuites judiciaires contre les socialistes qui s'étaient opposés à la 1re guerre mondiale et au service militaire. Ces poursuites continuèrent durant l'année 1919 et jusqu'en janvier 1920. Beaucoup de membres du Parti furent arrêtés et déportés; les leaders étaient poursuivi en justice et parfois condamné à de la prison. Dans les années 1930, avec l'autorisation du Président Franklin Roosevelt le FBI commença à enquêter à la fois sur les Nazis et les Communistes. Le 'Smith Act' et l' 'Alien Registration Act', rendant illégal de parler en faveur d'un renversement violent du gouvernement, entrèrent en vigueur en 1940.
C'est entre 1940 et 1946 qu' Herbert Philbrick, un citoyen volontaire, infiltra le Parti Communiste pour le compte du FBI. Il apparut au grand jour (ainsi que quelques autres) au cours du procès de la direction du Parti Communiste en 1949 (procès pour violation du Smith Act). Pendant l'après-guerre, une grande peur des activités communistes fut déclenché par la découvertes d'espionnage Soviétiques et d'infiltration communiste du gouvernement de l'industrie. Une partie des ces peurs étaient sans doute justifiées, mais dans certains cas furent excessifs, en particulier celui du sénateur Joseph McCarthy. Ces soupçons excessifs et ses persecussions sont connus sous le nom de Maccarthisme.
En 1948, Eugene Dennis, William Z. Foste et d'autres dirigeants du Parti Communiste des États-Unis d'Amérique furent arrêtés sous l'accusation d'avoir appelé au renversement du gouvernement. L'affaire débuta en mars 1948. Il était difficile à l'accusation de prouver que les douze hommes avaient violé l' 'Alien Registrattion Act', vu qu'aucun des défenseurs n'avait jamais ouvertement appelé à la violence ni été impliqué dans une accumulation d'armes à des fins révolutionnaires. L'accusation s'appuya sur des passages des travaux de Karl Marx et d'autres figures révolutionnaires passés. Bien que le PC s'insurgea contre la poursuite de ses membres en 1948, lorsque les Trotskystes du 'Socialist Workers Party' furent les premiers poursuivis en vertu du Smith Act en 1941, les dirigeants du PC approuvèrent les poursuites. On peut relier cela à la stricte observance de la ligne de Moscou par le parti et à la guerre que menait alors Staline contre Trotsky et ses disciples. Le SWP au contraire, soutint les Communistes lorsque ce fut leur tour d'être poursuivi en justice.
Une des stratégies de l'accusation lors de ce procès fut de questionner les accusés sur d'autres membres du parti. Comme ils ne souhaitaient pas fournir d'informations sur leurs camarades, ils furent emprisonés et accusés d'outrage à la cour. Le procès dura onze mois et finalement, le juge Harold Medina, dont certains disent qu'ils ne cachaient pas ses sentiments personnels à l'égard des accusés, envoya les avocats de la défense en prison pour outrage à la cour.
Après neuf mois de procès, les dirigeants du PC furent jugés coupables de violation de l' 'Alien Registration Act' et condamné à cinq ans de prison et 10,000 dollars d'amende. Ils firent appel devant la Cour Suprême mais le 4 Juin 1951, les juges par 6 voix contre 2 décidèrent que la condamnation était légale.
Cette décision fut suivie par l'arrestation de 46 autres communistes durant l'été 1951. Parmi ceux-là on trouve Elizabeth Gurley Flynn, qui fut aussi accusé d'outrage à la cour après avoir dit au juge qu'elle n'identifierait personne comme étant communiste car elle ne souhaitait pas se déshonorer en devant une indic. Elle fut également reconnue coupable de violation de l' 'Alien Registration Act' et condamnée à deux ans de prison.
[modifier] Les crises de 1956
L' invasion soviétique de la Hongrie en 1956 et le rapport secret de Nikita Khrouchtchev au Parti communiste d'Union soviétique dans lequel il critiquait Staline a eu un effet dévastateur sur le parti communiste américain [1]. Le nombre d'adhérents baissa et la direction dut affronter pendant un moment le défi d'un petit groupe emmené par John Gates, le rédacteur en chef du Daily Worker qui voulait démocratiser le parti. Peut-être que le pire coup porté au parti à cette période fut la perte du "Daily Worker", publié depuis 1924, suspendu en 1958 à cause de la baisse de la diffusion. La plupart des critiques quittèrent le parti démoralisés mais continuèrent de s'engager dans les causes progressistes, travaillant souvent avec des membres du parti. Cette diaspora finit rapidement par fournir le lectorat de publications telles que le National Guardian et la Monthly Review, qui allaient devenir important dans le développement de la nouvelle gauche (New Left) dans les années 1960.
Les affrontements post-1956 au sein du PCEA vit l'avènement d'une nouvelle direction autour de l'ancien ouvrier metallurgiste Gus Hall. Les idées de Hall étaient très proches de celles de son mentor Foster, mais le jeune homme allait devenir plus rigoureux en garantissant que le parti serait totalement orthodoxe lors des dernières années du vieil homme. Donc, alors que les critiques persistantes qui souhaitaient libéraliser le parti furent exclues, aussi, en 1961, were other critics who sought to return the party to an even more stringent form of Stalinism. Never a coherent or organised faction, these critics would include elements on both coasts who would come together to form the Progressive Labor Movement in the early 1960's. Through Progressive Labor, which soon adopted the title of party, former CPUSA cadre would come to play a role in many of the numerous Maoist organisations of the 1970s. Jack Shulman, Foster's secretary, who also played a role in these organization, was not expelled but resigned.
[modifier] L'après McCarthysme
Dans les années 1970, le nombre d'adhérents au Parti Communiste Américain (CPUSA) réussit à frôler les 25 000, malgré l'absence de nombreux groupes anti-revisioniste et maoiste dans ses rangs. Cependant, en 1984, voyant l'impact du gouvernement anti-communiste de Reagan ainsi que la chute du nombre d'adhérents au Parti Communiste Américain, Gus Hall décida de mettre un terme à la campagne éléctoral du parti à travers les États-Unis. Depuis ce jour, le Parti communiste Américain soutient le Parti Démocrate dans toutes les élections à l'échelle nationale. Cependant, des candidats du Parti Communiste continuent de se présenter à des postes locaux.
Tout au long de son histoire, le Parti Communiste a subi le pression du gouvernement des États-Unis, plus particulièrement du FBI et fut fortement infiltré. À la suite du McCarthysme, les adhésions et les activités du Parti Communiste furent tenues secrètes, avec, officiellement, seulement quelques membres à son actif alors que beaucoup de leaders à travers les États-Unis avaient des liens avec le parti.
[modifier] Financement soviétique du parti
A partir de 1959 et jusqu'en 1989 (quand Gus Hall combattit les initiatives prises par Gorbatchev en URSS), le parti reçut des fonds conséquents de la part de l'Union soviétique. (Il y a au moins un reçu signé par Gus Hall dans les archives du KGB [2]). De 75,000 dollars en 1959, cette subvention monta jusqu'à 3 millions de dollars en 1987.
Au total, entre 1971 et 1989, il aura reçu 42 millions de dollars [2].
Cette somme considérable est liée à l'observance par le parti de la ligne politique de Moscou, alors qu'au contraire les partis communistes Français et Italien avaient abandonné la ligne orthodoxe. L'arrêt de ces versements en 1989 provoqua une crise financière, obligeant le parti à transformer en 1990 son quotidien (le People's Daily World) en un hebdomadaire (le People's Weekly World.
[modifier] L'idéalisme des membres du Parti
Les membres du Parti Communiste considèrent l'adhésion au parti comme un honneur et travaillent souvent très dur à la réalisation des idéaux communistes. En règle générale, la vie d'un communiste est organisée autour des activités du Parti qui doivent permettre d'atteindre par une discipline stricte les objectifs du Parti.
[modifier] Organiser
Comme la plupart des partis politiques, les communistes ont souvent participé à la creations de sociétés indépendantes(front groups) qui soutenaient certaines de leur idées ou qui servaient à des fins politiques. En outre, les membres du Parti Communiste qui travaillaient ensemble à l'intérieur d'une organisation telle qu'un syndicat de travailleurs, arrivaient souvent, en procédant habillement grâce à ceux qui les supportaient (ou du moins qui ne s'opposaient pas virulement à eux) à obtenir les postes les plus importants voire même, dans certain cas, à accéder à la direction de l'organisation. Parfois, surtout dans les syndicats tels que le Screen Actor Guild, cette pratique résultait en un jeu de denture puisque des membres plus conservateurs, comme Ronald Reagan[3] les concurrençaient pour controler le syndicat. Beaucoup de conservateurs utilisèrent opportunément le "red-baiting"( qui consiste à accuser quelqu'un d'être communiste)afin d'attaquer et d'expulser les communistes de la direction des syndicats et même de leur faire perdre leurs travails.
[modifier] CPUSA funding and espionage
Avec la declassification des fichiers du FBI sur le CPUSA, les archives Russes contenant les enregistrements du Communist International et du CPUSA, et les messages soviétiques de la seconde guerre mondiale entre les bureaux du KGB aux États-Unis et à Moscou, déchiffrés, aussi connu sous le nom de Venona Cables, l'étendue de l'implication du CPUSA dans l' espionage est maintenant connu/appréhendable du/par le grand public. L' URSS covertly subsidized le CPUSA depuiss a fondation en 1919 jusqu'à la dissolution de l'Union soviétique. Des Releases venant des archives du Comintern montreraient que tous les partis communistes nationaux qui se conformaient à la ligne soviétique étaient financés de la même manière. D'un point de vue Communiste ce financement international découle de la nature internationaliste du communisme; l' assistance fraternelle était considerée le devoir des Communistes dans n'importe quel pays pour aider leurs camarades dans d'autres pays.
De la documentation released depuis 1991 des anciens États Sovietiques confirme les suspicions que l'argent Sovietique continua à aller aux États-Unis et acheter l' influence à l'intérieur du CPUSA. Funding paid organizers, publèrent des journaux de presse écrite et d'autre produits Communistes, et supporta une varieté de fraternelles, educationelles et syndicalistes activités influencées par le CPUSA. Parfois, ces fonds étaient transferés as unspecified subsidies, mais souvent, ils étaient earmarked par le Comintern pourdes usages variés. Pendant/Tandis que la prominence et l' activité du CPUSA était grandement réduite après les années 1950s, les documents récemment released montrent quelques transferts d'argent Sovietique se déroulant jusqu'en 1987. Gus Hall demanda 2 millions de dollars (USD) pour la publication du Daily Worker et le rental fees pour le CPUSA headquarters.
De plus, on sait mainteant que le 10 avril 1943, ds agents du KGB et le résident de New York Vassili M. Zarubin ont rencontré CPUSA official Steve Nelson à Oakland et discutèrent de l'espionage. Même Robert Meeropol, fils de Julius and Ethel Rosenberg, when pressed on PBS’s Frontline, a admi la possibilité que son père puisse avoir participaté à l'espionage après avoirlu les transcriptions Venona qui parlent de la rencontre de Julius Rosenberg avec le KGB et des agents de NKVD. Cependant, Meeropol argumente dans son livre, An Execution in the Family (St. Martin's Press, 2003, ISBN 0312306369), que Venona exonère complètement sa mère, et que dans quelqu'événement ses parents ont été tués pour des crimes qu'ils n'ont pas commis. David Greenglass, qui est mentionné dans des transcriptions Venona comme un personnage important de l' espionage que Julius Rosenberg, n'a pas été ni tried or convicted après avoir nommé sa sœur Ethel et Julius comme espions.
Theodore Alvin Hall, un physicien formé à Harvard et membre de CPUSA commence à passer des informations sur la bombe atomique aux Sovietiques peu après avoir été hired de Los Alamos à l'âge de 19 ans. Hall, qui était connu comme Mlad par ces correspondants du KGB , échappa aux persecutions. LA femme de Hall, consciente de son espionage, claims que les correspondant aux KGB lui ont conseillé de plaider l' innocence, comme les Rosenberg le firent, si ils étaient formellement charged. L'Historien Ronald Radosh se demande si Joseph Staline aurait donné à Kim Il Sung la feu vert pour commencer la Korean War avoir l'Unions Sovietique ne pas posséder de atomic weapons et donc épargnant les millions de vies perdues dans le conflit. Conversely, les historiens du conflit coréen se demandent si les US auraient backed les projets de Douglas MacArthur pour jeter une bombe atomique sur la Chine (en causant donc possiblement des millions de morts) avoir l'URSS ne pas avoir de nuclear weapons d'elle même.
[modifier] Aujourd'hui
Le secrétaire national actuel est Sam Webb. Le journal officiel du parti s'appelle People's Weekly World et le mensuel du parti Political Affairs.
[modifier] Présidents du parti communiste américain
- Charles Ruthenberg, General Secretary (1919-1927), James P. Cannon, Party Chairman, (1919-1928)
- Jay Lovestone (1927-1929)
- William Z. Foster (1929-1932)
- Earl Browder (1932-1945)
- Eugene Dennis, General Secretary (1945-1959) and William Z. Foster, Party Chairman (1945-1957)
- Gus Hall (1959-2000)
- Sam Webb (since 2000)
[modifier] Anciens membres célèbres
- Richard Wright (1908-1960), écrivain noir américain
[modifier] Pour en savoir plus
[modifier] Articles de Wikipédia
[modifier] Sites internet
- (en)Site officiel, dont la foire aux questions
- (en) Publications officielles : journal (People's Weekly World) et le mensuel du parti Political Affairs
[modifier] Notes et références
[modifier] References for: Soviet funding of the Party
- The Sword and the Shield: The Mitrokhin Archive and the Secret History of the KGB, Christopher Andrew and Vasili Mitrokhin, Basic Books, 1999, hardcover edition, p. 287-293, p. 306, ISBN 0465003109. Vasili Mitrokhin was an archivist who worked for the KGB. After 1972, when the KGB established its new modern offices at Yasenovo, Mitrokhin was entrusted with transferring the corpus of KGB files from its old office at the Loubianka in Moscou to the new offices. During the next ten years while performing these duties he copied many files which he turned over to British intelligence when he defected in March, 1992.
- Operation Solo: The FBI's Man in the Kremlin, John Barron, Regnery Publishing, 1996, ISBN 0895264862; 2001 edition, ISBN 0709160615. This biography of Morris Childs, who together with his brother Jack arranged for and handled the money transfers during the 1960s and 70s, contains much of the same material.
[modifier] Bibliographie
American Communist History journal collaboratif publié par les Historians of American Communism. [4]
- Harvey Klehr and John Earl Haynes, The American Communist Movement: Storming Heaven Itself, Twayne Publishers (Macmillan), 1992, broché 210 pages, ISBN 080573855X, édition poche ISBN 0805738568
- Theodor Draper, The Roots of American Communism, Viking, 1957
- Theodor Draper, American Communism and Soviet Russia: The Formative Period, Viking, 1960
- Harvey Klehr, The Heyday of American Communism:The Depression Decade, Basic Books, 1984, broché, ISBN 0465029450, édition de poche, 1985, ISBN 0465029469
- Maurice Isserman, Which Side Were You On?: The American Communist Party During the Second World War, Wesleyan University Press, 1982 and 1987, University of Illinois Press, 1993, édition de poche, ISBN 0252063368, ré-édition ISBN 0819561118
- Philip J. Jaffe, Rise and Fall of American Communism, Horizon Press, 1975, broché, ISBN 0818008172
- Joseph R. Starobin, American Communism in Crisis, 1943-1957, Harvard University Press, 1972, broché, ISBN 0674022750
- Irving Howe and Lewis Coser, The American Communist Party: A Critical History, Beacon Press, 1957
- Guenter Lewy, The Cause That Failed: Communism in American Political Life, Oxford University Press, 1997, broché, ISBN 0195057481
- Aileen S. Kraditor, Jimmy Higgins: The Mental World of the American Rank-And-File Communist, 1930-1958 Greenwood Publishing Company, 1988, broché, ISBN 0313262462
- John Earl Haynes, Communism and Anti-Communism in the United States: An Annotated Guide to Historical Writings (Garland Reference Library of Social Science, Vol 379), Garland Science, 1987, broché ISBN 0824085205
- Newsletter of the Historians of American Communism
[modifier] Histoire de l'Union
- Bert Cochran, Labor and Communism: The Conflict That Shaped American Unions, Princeton University Press, 1977, ISBN 0691046441
- Harvey Levenstein, Communism, Anticommunism, and the CIO, Greenwood, 1981, broché, ISBN 0313220727
- Max M. Kampelman, Communist Party Vs the Cio: A Study in Power Politics (American Labor Series No. 2), Ayer Company Publishing, 1971, broché, ISBN 0405029292
- Ronald W. Schatz, Electrical Workers: A History of Labor at General Electric and Westinghouse, 1923-60, University of Illinois Press, 1983, broché, ISBN 0252010310; ré-édition poche ISBN 0252014383
- Joshua B. Freeman, In Transit: The Transport Workers Union in New York City, 1933-1966 With a New Epilogue, Temple University Press, 2001, édition de poche 446 pages, ISBN 156639922X
- Roger Keeran, Communist Party and the Auto Workers Unions, Indiana University Press, 1980, broché, ISBN 0253157544
- Cletus E. Daniel, Bitter Harvest: A History of California Farmworkers, 1870-1941, University of California Press, 1982, tédition de poche, ISBN 0520047222; textbook binding, Cornell University Press, 1981, ISBN 0801412846
[modifier] Qustions agricoles
- Robin D.G. Kelley, Hammer and Hoe: Alabama Communists During the Great Depression, University of North Carolina Press, 1990, édition de poche, ISBN 0807842885
- Lowell K., Dyson, Red Harvest: The Communist Party and American Farmers, University of Nebraska Press, 1982, broché, ISBN 0803216599
[modifier] Question sociales et ethniques
- Nathan Glazer, The Social Basis of American Communism, Greenwood, 1974, ISBN 0837174767
- Harvey E. Klehr, Communist Cadre: The Social Background of the American Communist Party, Hoover Institution Press, 1960, ISBN 0685672794
- Auvo Kostiainen, The Forging of Finnish-American Communism, 1917-1924: A Study in Ethnic Radicalism, Annales Universitatis Turkuensis, Series B, No. 147, Université de Turku, Turku, Finlande, 1978
- Mark Naison, Communists in Harlem During the Depression, University of Illinois Press, 1983, broché, ISBN 0252006445; Grove Press reprint, 1985, ISBN 0802151833
- Charles H., Martin, The Angelo Herndon Case and Southern Justice Louisiana State University Press, 1976, ISBN 0807101745
- Dan T. Carter, Scottsboro a Tragedy of the American South, Oxford University Press, 1972, trade paperback, ISBN 0195014855; Louisiana State University Press; 1979, édition de poche, ISBN 0807104981
[modifier] Related issues
- Daniel Aaron, Writers on the Left: Episodes in American Literary Communism, Harcourt Brace & World, 1959
- Larry Ceplair and Steven Englund, Inquisition in Hollywood: Politics in the Film Community, 1930-1960, Doubleday, 1980, broché, ISBN 0385129009; University of Illinois Press, 2003, édition de poche, 576 pages, ISBN 0252071417
- Robert Rosenstone, Crusade on the Left: The Lincoln Battalion in the Spanish Civil War, Pegasus, 1969.
- Constance Ashton Myers, The Prophet's Army : Trotskyists in America, 1928-1941, Greenwood, 1977, broché, 281 pages, ISBN 0837190304
- Robert Jackson Alexander and Robert S. Alley, Right Opposition: The Lovestoneites and the International Communist Opposition of the 1930's, Greenwood, 1981, broché, 342 pages, ISBN 0313220700
[modifier] Nouvelle gauche (New Left)
- Peter Collier and David Horowitz, Destructive Generation: Second Thoughts about the '60s, Summit Books, 1989, broché, ISBN 0671667521; Summit Books, trade paperback, ISBN 0671701282; Simon and Schuster, 1996, édition de poche, 398 pages, ISBN 0684826410
- Todd Gitlin, Sixties: Years of Hope, Days of Rage, Bantam, 1987, hardcover, ISBN 0553052330; Bantam Dell, 1993, édition de poche, ISBN 0553372122
- James E. Miller also known as Jim or James Miller, Democracy Is in the Streets: From Port Huron to the Siege of Chicago, Touchstone Books, 1988, broché, ISBN 0671530569; Harvard University Press, 1994, trade paperback, ISBN 0674197259; Touchstone Books, 1988, édition de poche, ISBN 067166235X
[modifier] Espionage and infiltration
- Allen, Weinstein, Perjury: The Hiss-Chambers Case, Knopf, 1978, broché, ISBN 0394495462
- Roger Pinto, Julius et Ethel Rosenberg. Un déni de justice 1950-1997, Série internationale, 2002, Publications De La Sorbonne, 231 pages, ISBN 285944419X.
- Earl Latham, Communist Controversy in Washington: From the New Deal to McCarthy, Holiday House, 1972, ISBN 0689701217; broché, ISBN 1125650796
- Richard M. Fried, Nightmare in Red: The McCarthy Era in Perspective, Oxford University Press, 1991, édition de poche, ISBN 019504360X; ISBN 0195043618
[modifier] Joe McCarthy
- David M. Oshinsky, Conspiracy So Immense: The World of Joe McCarthy, Simon and Schuster, 1985, édition de poche, ISBN 0029237602; Free Press, ISBN 0029234905
- Thomas C. Reeves, Life and Times of Joe McCarthy, Stein & Day, 1983, broché, ISBN 0812823370
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