Côte d'Émeraude
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Côte d'Émeraude est le nom donné par Eugène Herpin, en raison de la couleur de la mer à certains moments, à la partie de la côte nord de la Bretagne située entre le cap Fréhel et Cancale.
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[modifier] Localités
Ses sites et stations balnéaires sont :
[modifier] Ille-et-Vilaine
[modifier] Côtes-d'Armor
Le port d'Erquy et la station-balnéaire du Pléneuf-Val-André, bordant la baie de Saint-Brieuc, se rattachent également à la côte d'Émeraude.
[modifier] Historique
Le secteur délimité par la Rance, la Manche et la dépression de Châteauneuf portait jadis le nom de Clos-Poulet (nom issu de « Pou-Alet », du latin Pagus Aleti, « le pays d'Alet »). Il fut rebaptisé Côte d’Émeraude sur le modèle de Côte d'Azur afin d'accompagner le développement touristique.
[modifier] Les paysages
La côte a inspiré plusieurs artistes tel que le peintre Léon Hamonet qualifié en 1941 par un journaliste de Sorcier de la Côte d'Émeraude pour son talent à en traduire le pittoresque.[1]
[modifier] Voir aussi
[modifier] Notes et références
[modifier] Archives
- Fonds Armel Beaufils, Archives I&V, fonds 140 J, (0,80 ml), 1927-1976 - Archives concernant la protection de sites de la Côte d'Émeraude à la Côte de granit rose.
[modifier] Bibliographie
- Anne-Marie Ferellec, Les pollutions marines. Situation actuelle sur la Côte d'Émeraude et mesures préventives, thèse de médecine, 1975, 209 p., (Archives d'I&V - Mémoire 2 J 701).
- Monique Sclaresky, La belle époque sur la Côte d'Émeraude, Éditions Ouest-France, 1984.
- Rachel Fournier, La contrebande maritime, 1763-1791, du Cap Fréhel à la baie du Mont-Saint-Michel, Rennes, 1997, (Archives d'I&V - Mémoire 2 J 815).
- Philippe Clairay, Le développement touristique de la Côte d'Émeraude (partie d'Ille-et-Vilaine) depuis le Second Empire, Rennes, 1997, (Archives d'I&V - Mémoire 2 J 928).
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