Discuter:Croûte terrestre
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L'épaisseur moyenne de la croûte terrestre est de 15 km à 80 km, avec une moyenne de 35 km pour la croûte continentale, et de 5 à 7 km pour la croûte océanique.
Une valeur moyenne ne devrait pas être une fourchette. Surtout si la moyenne de la croute océanique n'est pas dans cette fourchette. Ffx 31 déc 2003 à 18:39 (CET)
- Bien vu. J'ai reformulé cela en l'intégrant dans la description des differents types de croutes.
- -- AlNo 18 mar 2004 à 17:00 (CET)
Attention ! la lithosphère n'est pas la croûte. La croûte est la partie supérieure de la lithosphère. La litosphère étant constituée de la croûte et du manteau supérieur. La limite inf de la lithosphère se trouve au niveau de la low velocity zone. La limite entre la croûte et le manteau supérieur est le MOHO, ou discontinuité de Mohorovicic. --Buggs 1 mai 2004 à 11:03 (CEST)
Dire que la croûte océanique est plus fine (et en tirer qu'elle est plus facilement percée par les points chauds) me semble discutable.
La lithosphère serait plutôt à prendre en compte.
La fusion des roches à l'origine de nombre de points chauds se produisant de façon profonde,
à la limite du noyau et du manteau, dans une instabilité vue comme l'arrivée de matériaux lithosphériques et crustaux qui aurait plongé jusqu'à cette limite.
Dans ce cadre, les points chauds peuvent être la trace des anciennes subductions. Ex Le volcanisme du massif central : trace de la vieille subduction de l'océan alpin.
Il y a des points chauds dont la source serait à la limte du manteau supérieur. Les éléments traces (dont 3He et 4He) montrent deux types de manteau apportant donc des signatures différentes.
Je regrette aussi que l'article n'évoque pas du tout, le fait que la planète Terre est une planète qui présente un processus global de différenciation chimique qui explique, la nature de la croûte océanique (gabbros et basaltes) et la nature de la croûte continentale qui est le résultat de processus de différenciation encore plus poussée avec intervention de l'eau dans le cycle externe et interne du manteau supérieur. On considère que les panaches issus des points chauds seraient plutôt des moteurs majeurs des prémices des dorsales oécaniques : ex Islande et Açores.
-- desoxy chez no-log.org--desoxy 20 nov 2004 à 18:32 (CET)