Julius Axelrod
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Julius Axelrod est un biochimiste américain.
Il obtiens le prix Nobel de médecine, en même temps que Bernard Katz et Ulf von Euler, pour ces travaux sur les neurotransmetteurs catécholamine. Ces recherches ont également beaucoup apporté dans la compréhension du cycle du sommeil, et du rôle qu'y joue la mélatonine sécrété pas la glande pinéale.
Sommaire |
[modifier] Recherches
[modifier] Les analgésiques
En 1946, sous la direction de Bernard Brodie au Goldwater Memorial Hospital, il poursuit des recherches sur les analgésiques pour contourner ces effets secondaires de l'aspirine (antiagrégant entre autre). Il aboutiront, après avoir découvert l'acetanilide (en:Acetanilide), à proposer un des ces dérivés comme substitut: le paracétamol (4-acétylaminophénol).
[modifier] Les neurotransmetteurs
En 1949 il commence a travailler au NIH (National Institutes of Health) sur les mécanismes et les effets de la caféine, ce qui vas le conduire a étudie le système nerveux sympathique. Il s'intéresse plus particulièrement au neurotransmetteur de type catécholamine dont l'Adrénaline, la Noradrénaline, mais aussi la codéine, la morphine, la méthamphétamine, l'Éphédrine ou encore sur le LSD qu'il est l'un des premier à étudier.
Le prix Nobel qu'il reçoit en 1970 concerne ces travaux sur la libération, la recapture et le stockage de l'adrénaline et la noradrénaline. Au cours de ces recherches sur les Monoamine oxydase, il a découvert que l'action de ces neurotransmetteurs ne se limitais pas à une simple libération, mais qu'ils était recapturés et reconditionnés parle neurone présynaptique pour les utilisations ultérieurs. Ce fut la base du développement des Inhibiteur sélectif de la recapture de la sérotonine (comme le prozak).
[modifier] L'hormone du sommeil
Avec ses collègues, il montra que la mélatonine est générée a partir du tryptophane (comme la sérotonine), et que les taux de mélatonine sécrétés suivent les rythmes biologiques, sous la direction de l'hypothalamus. Les cherches se sont poursuivit jusqu'a démontrer le rôle de la mélatonine sur l'ensemble du système nerveux central, et mettre en évidence que la glande pinéale (qui la sécréte) agit comme une horloge biologique.
