Utilisateur:Loudon dodd/Mac Orlan
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Cet article est un brouillon, situé dans l'espace personnel de Loudon dodd. Il n'appartient pas à l'espace encyclopédique.[modifier] Le Mystère de la malle n°1 - documents
« Lazareff, lui, n'avait personne à convaincre. Jean Prouvost l'était d'avance, persuadé de l'intérêt d'un reportage complet sur l'homme à la moustache [Hitler] [...] il ne fallait pas hésiter et envoyer non pas un seul collaborateur... mais une véritable équipe de reporters dont on publierait en même temps les observations, les impressions, les interviews. Et quels reporters ! Tous de classse internationale et éminents dans leur spécialité. A Jules Sauerwein l'analyse de la République mourante et de l'irrésistible montée du national-socialisme ; à Pierre Mac Orlan les problèmes sociaux et les rues ensanglantées par les combats entre hordes nazies et bandes communistes ; à Maurice Dekobra qui, avec la Madone des sleepings, s'était révélé l'explorateur d'un monde cosmopolite légèrement faisandé, le Berlin des homosexuels, des travestis, du sadisme et de toutes les perversions du Kurfürstendamm. »
Yves Courrière, Pierre Lazareff ou Le Vagabond de l'actualité, Gallimard, N.R.F. Biographies, Paris, 1995, p.148.
« Ce 7 mars 1932 le tirage de Paris-Soir enregistra une augmentation de 100 000 exemplaires en vingt-quatre heures ! »
(ibid., pp.148-149)
À propos de femmes coupées en morceaux, cf. article de 1927, « Le fantastique criminel », in Domaine de l'ombre, Phébus, Paris, 2000, pp.71-72 spécialement.
[modifier] Analyse de l'œuvre mac orlanienne
Recoupements : cf. Baritaud, pp.233-234 (« L'œuvre de Mac Orlan peut, ainsi, être perçue comme un jeu de correspondances multiples, de livre à livre », p.233)
« L'aventure est dans l'homme » (« quatre serviteurs du démon des pensées secrètes », in Domaine de l'ombre, Phébus, Paris, 2000, pp.76-77)
[modifier] Stevenson, Jekyll et Hyde
Selon Mac Orlan, c'est Hyde qui est « la véritable incarnation de celui qu'on nomma Jack l'Éventreur » (« quatre serviteurs du démon des pensées secrètes », in Domaine de l'ombre, Phébus, Paris, 2000, p.74)
