Martorana
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Demandeur : Milooh 6 décembre 2006 à 20:02 (CET)
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L'église de la Martorana, appelée aussi Santa Maria dell'Ammiraglio se situe à Palerme sur la place Bellini.
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[modifier] Histoire
Comme le montre diplôme gréco-arabe de 1143, une inscription grecque sur la façade Nord et stessa raffigurazione musiva di dedicazione
, l'église fut fondée en 1149, selon la volonté des Georges d'Antioche, le grand amiral syriaque au service du roi normand Roger II de 1108 à 1151, et fut dédiée à la Madone: motif pour lequel elle fut connue comme "Santa Maria dell'Ammiraglio"[1]. De l'église, qui dans le cours des siècles a été détruit et restauré, on peut accéder au campanile: une construction à base carrée du XIIIe siècle, ouverte
basso da arcate arcuate
à colonnes angulaires avec trois grands
ordini di grandi bifore
.
Un portail axial (encore existant), comme dans les premières églises chrétiennes, donne sur le narthex et l'entrée, qui prolongent la croix grecque, forme de base de l'église. Au delà du narthex, l'édifice était décoré comme une église byzantine à quatre colonnes, mis à part les arcs à six angles et les panaches
qui étaient d'origine islamique. En 1193, les maisons alentour
vengono adibite a Convento basiliano per le donne e la chiesa verrà poi ad esso inglobata
. Vers 1394, le couvent de la Martorana (du nom des propriétaires) qui sera cédé aux bénédictains de la couronne normande, qui donnera ensuite son nom à l'église. Dans les années 1683-1687, l'abside centrale fut détruite et remplacée par une abside rectangulaire, selon le projet de Paolo Amato. En 1740, Nicolò Palma propose une nouvelle façade, selon le goût baroque de l'époque, qui donne sur la place. En 1846, on réalise l'abaissement de la place et on construit un petit escalier.
Dans les années 1870-1873, Guiseppe Patricolo entreprend la restauration de l'église. Il enlève les marbres du XVIIIe siècle des murs du presbytères (dont on avait prévu la destruction) et refait le mur de fermeture original.
[modifier] Itinéraire d'art
Déjà dans la première période de la construction -- réfection du XVIIe siècle av. J.-C., dont les voutes sont ornées des fresques de Olivio Sozzi, Antonio Grano e Guglielmo Borremans -- deux décorations de musive
sur représentent Roger II et Georges d'Antioche; seules la tête et les mains de ce dernier sont d'époque.
Après ça, on arrive dans l'église proprement dite. Ici les murs et la coupole, au sommet de laquelle on trouve l'image du Christ Pantocratore, sont entièrement revêtues de décorations de l'époque byzantine, les plus vieilles de toute la Sicile et d'uce grande importance, avec celles concernant Daphné, dans l'Attique.
Les mosaïques de la coupole représentent le Christ, au centre, et, descendant sur les cotés, les quatre archanges (trois opriginaux et un apocryphe) et les patriarches. Les quatre évangélistes sont dans des niches et les apôtres dans les voutes.
L'abside, détruite vers la fin du XVIIe siècle av. J.-C., a été remplacée par l'actuelle chapelle baroque avec des tarsie
en marbre
[modifier] Curiosité
Les gâteaux à base de massepain et pour la plupart en forme de fruit doivent leur nom de martorana au fait que c'étaient les sœurs du monastère de la Martorana qui les préparaient et les vendaient, jusqu'au XIXe siècle. D'où l'expression fruit de Martorana
[modifier] Voir aussi
[modifier] Notes
- ↑ Sainte Marie de l'Amiral
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