Régionalisme occitan

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Déjà le 1843 Claude-François Lallemand publia Le hachych, où il|elle prévoyait une spontanée et future union de néo-latin "Ibères, des Italiens|italien et nous", dirigée pour la France et avec capitale à Marselha, puisque c'était centre de l'arc. Cette idée a été rencontrée en 1862 à l'Armana Prouvençau et dans la Conférence de Marseille de 1882. L'Idée Latine, aussi exposée pour le languedocien Alfons Ròcaferrier(1844-1907) -qui depuis 1878 sous patronage initial de Mistral il|elle a célébré les fêtes latines afin de promouvoir une fédération latine agile et tolérante, dans celles qui étaient célébrées trouvées internationales (Catalans|catalan, Roumains, Italiens|italien) mais sans ressó politique - basée dans l'expérience de l'amitié occitano-catalana et ouverte à Italiens|italien et Roumains. Entre les éléments pour définir la latinité nous pouvons y trouver :

• L'idée latine, conscience d'appartenir au monde latin, commencée avec l'amitié catalane et 1870 avec la Revue depuis langues Romaines, le V Centenaire de Petrarca, qui avait fondé l'Académie du Sonnet, critiquée par Mistral pour|par questions de leadership et pour s'opposer à la présence d'intellectuels français, célébré en 1874 quand plusieurs personnalités italiennes se joignirent au mouvement felibre, patronnées par Léon de Berluc-Perussis (1860-1902). Ils|Elles y annoncèrent l'ambassadeur italien Constantino Nigra, Teodòr Aubanèl i Fèlis Gras, auteur d'un Catechisme dou bon felibre (1893). À la fois, Tourtolon et Ròcaferrier indiquèrent des aspects de la réalité historique de solidarité latine inconsciente (Carlemany, Carles V, Lluís XIV, les Borbons), et le remarquèrent aux fêtes latines de Forcalquièr i Gap de 1886. Ils|Elles affirmèrent même que la Confédération Latine non seuls il devait se borner en Europe, mais aussi en Amérique, bien qu'ils|elles étaient plutôt des luthériens.
• L'Empire du Soleil, exposé à la Conférence de Marseille du 25 novembre 1882. Il a déjà été revendiqué par Mistral aux Jeux Floraux de Montpelhièr de 1875, où y participa le Roumain|roumain Vasile Alecsandri. Il était considéré l'Empire des Sept Nations Latines (L'Espagne, la Catalogne, l'Occitanie, la France, le Portugal, l'Italie et la Roumanie). La conférence aborda aussi la protection de la langue provençale, en réponse aux acussacions de séparatisme faites par les considérations de l'Empire. Constantino Nigra, Vasile Alecsandri, et Frederic Donnadieu y participeraient. La capitale de l'empire devait être Marseille pour|à cause de son|leur humeur culturelle et artistique, malgré la commune et être réfractaire à la réforme orthographique provençal. Il s'agit d'un nationalisme dans la supranacionalistat, puisque ils|elles croyaient que toutes les énergies latines ont dû converger à Paris. Mais l'Italie était recién unifiée, la Roumanie luttait contre le panslavisme, et Catalogne pour réaffirmer son|leur identité, de sorte que tout resta en orris. Endemés, l'Italie a signé la triplice avec l'Allemagne et Austria, ce qui a été rejeté|refusé par Mistral.

[modifier] Le fédéralisme occitaniste

D'autre part, en 1891 la revue apparaîtrait provençalista et fédéraliste L'ALHOLI, organe de la Jeunesse Occitan, dirigée par Folco de Baroncelli-Javon (1869-1943), qui rassemblerait les jeunes felibres comme Frederic Amouretti, Auguste Marin (1860-1904) et Charles Maurras, et qu'en 1892 ils|elles publieraient à París el Manifest dels Felibres Federalistes, assez confus puisque il|elle mêle des termes comme fédéralisme, confédération, régionalisme, décentralisation et provincialisme, et où on propose un fédéralisme et du régionalisme d'aspect traditionaliste et catholique qu'il|elle réclame une nouvelle monarchie. D'ici deux en surgiraient synthèse dans le mouvement occitanista d'alors :

• Une de progressiste, d'aspect fédéraliste et proudhoniana et qui offrait un programme politique avec des considérations économiques et sociales. L.X. de Ricard, traducteur de Francesc Pi i Margall, auteur de Le Federalisme, et traducteur avec Forès de la Déclaration des Droits de l'Homme et quelques textes d'histoire locale à l'occitan, contraire à l'apoliticisme de Mistral et précurseur du Felibre Roig. En 1876 il|elle avait fondé avec Maurice Faure le centre LA CIGALO afin de servir de mouvement linguistique, politique et littéraire du Midi, et qui essaya de battre à soi-même le felibre d'Avinyó, assez conservateur et instrument de l'église. Le Felibre Roig voulait faire prévaloir les interesos des tendances républicaines dans la rédaction des nouveaux statuts felibres, contre l'apoliticisme de Mistral, et créer une minorité républicaine dans le mouvement felibre (et à la fois faire prévaloir l'especifitat languedocien dans la tradition de lutte pour|à cause de la liberté et contre la centralisation monarchique) et créer un organe républicain au Llenguadoc. Celui-ci serait La Lauseto, hebdomadaire socialiste et anticlérical de ce que quatre numéros en furent publiés entre 1877 et 1879 et où y collaborèrent endemés de Ricard i Forés, Jean Aicart, Fèlis Gras, Alban Germain, Napoleon Peirat et Leon Cladel (1835-1892), entre d'autres. Ils|Elles croyaient que le fédéralisme avait de ressucitar la patrie romaine, récupérer la tradition des girondins, Albigeois et autres hétérodoxes. Il|Elle pensait que les Latins|latin étaient hostiles aux traditions unitaires et il|elle criait pour|à cause de l'ancienne|antique liberté ibérique, et que la Patrie Latine avait une mission presque providentielle influencée pour|à cause de le romantisme, et pas du tout incapable pour|par Edgar Quinet ou Augustin Thierry. Il|Elle a aussi enlevé la théorie des cercles concentriques : 1) Cercle central, bourg ou communauté, 2) province, 3) nation, 4) race, qui est une confédération de nations apparentées. Cette fédération est dans la tradition même du village|peuple.
• Dans la progressiste, surmanière le Catalan|catalan Francesc Pi i Margall, président de la Première République Espagnole et auteur de Las nacionalidades (1877), a influencé où il|elle crie pour|à cause de la souveraineté totale de l'homme contre la centralisation, et qu'il faut un contrat social afin d'éviter l'antagonisme entre liberté et autorité, basé sur les cercles concentriques famille-bourg-province-nation. Son|Leur fédéralisme était basé sur la géographie et l'histoire, et où l'indépendance n'était point synonyme de séparatisme. Ils|Elles reçurent aussi certaines influences marxistes ; Valeri Bernard et les Marseillais Juli Boissière et Loïs Funel fonderaient le groupe fédéraliste Lou Roble di Jouve, Jean Lombard fonderait en 1879 le Parti du Travailleur Socialiste de France (PTSF), où ils|elles y détachèrent Antide Boièr, Auguste Marín, Pèire Bertas (socialiste et fédéraliste influencé par Pin et Ivraie et pour Proudhon), et les languedociens Prosper Estieu, Antonin Perbosc et Ricard, qu'ils|elles animèrent les revendications ouvrières à la presse locale en occitan. Le 1890 Pèire Bertas prononcerait une conférence en Marseillais, La naciounalita prouvençalo e lou felibruji où il|elle affirme que d'unité n'est pas le même que d'union et la spécificité provençale (il vient de faire une ardente défense du drapeau bleu de la Provence) défend, que malgré le felibre la langue occitane a reculé et critique l'apoliticisme de Mistral.
• Conservateur, influencé pour|à cause de le catalanisme de Francesc Cambó. León de Berluc-Perussis adopta le programme décentralisateur du comte de Chambord et la Déclaration des jeunes felibres du 22 février 1892. Le mouvement se situera dans la reneixença littéraire aromàntica, influencés pour|à cause de le néotraditionalisme de Taine, qui influencerait aussi bien sur Murras que sur le Catalan|catalan Prat de la Riba. Berluc considère comme une trinité Mistral, Le Play et Caumont, auxquels Paul Marieton (1882-1902) s'unirait plus tard, auteur de L'idee latine (1883). Maurras parlerait aussi de Joseph Maistre i de Renan, d'Amouretti, Comte et de Fustel de Coulanges. Mais Berluc-Perussis est considéré aujourd'hui comme le véritable doctrinaire du felibre, puisque il distingue clairement les domaines|dominations poétique, linguistique et politique du mouvement ; d'autre part, il est l'origine de l'action pour|à cause de la sauvegarde de la langue comme moyen pour|à cause de le ravivage national. Il|Elle voit la décentralisation comme un patriotisme provincial, L'idée provinciale, d'aspect décentralisateur et fédéraliste, termes qu'il|elle utilise confusément. Néanmoins, le 1886 Paul Marieton rejeta|refusa le fédéralisme pour réclamer la décentralisation, en s'opposant ainsi à Ricard. Et en 1892 il|elle pensait que du régionalisme, romantisme, de la fraternité du Village|Peuple d'Oc, Idée Latine et fédéralisme étaient des versants du même idéal du felibre.

[modifier] L'échec du fédéralisme occitan

La Déclaration des jeunes felibres de 1892, d'Amouretti i Maurras, fut parallèle aux Bases de Manresa en Catalogne et le plus influencées pour Berluc-Perussis que pour Mistral,, puisque ils|elles étaient des partisans de passer du régime de chansons et banquets à l'action politique, et ils|elles voyaient dans la langue pas du tout une finalité mais un moyen pour|par le revetllament provincial et renaissance municipale. Ils ont été félicités par les fédéralistes marseillais A. Marin et P. Bertas, aussi bien que par Ricard, mais ils ont été reçus avec des réserves pour Gaston Jourdanne, qui pensait que de fédéralisme n'était pas de reconstituer les circonscriptions de l'ancien|antique régime.

Le 1898 Bertas a été nommé adjoint du maire socialiste de Marseille, Dr. Flassières, et depuis sa|leur charge|poste la politique protectionniste de Paris dénonça qu'il|elle nuisait au bourg de Marseille et qu'il|elle tuait le commerce, en même temps qu'un port franc exigeait intégrale dominé par les autorités municipales, raison par laquelle il a été taxé de séparatiste. En 1891 le felibre républicain et capolié Fèlis Gras réclama aussi décentralisation, mais il était partisan de conserver la langue "pour parler du pays", puisque elle "était frère de la belle langue nationale, le Français|français" (Discours aux Jeux Floraux de Carpentràs de 1892). Avec le temps, le mouvement perdrait spécificité et s'intégrerait dans l'espace français de la III République. La décentralisation sera envisagée seulement à niveau municipal, et pour cela considérée négative. Comme il|elle coïncida avec le Manifeste des Jeunes Felibres, où fédéralisme était comparé à régionalisme, il a été considéré conservateur.

D'autre part, le 1885 Marseille enverrait au Parlement français les deux premiers députés du Parti Ouvrier Française, Antide Boier i Clovis Hugues. Quand même, ils|elles ne pourraient point empêcher que depuis le 1883-1885 ils s'approuvent et ils appliquent les Lois Ferry d'educació, grâce lesquelles la scolarisation obligatoire, gratuite, laïque était étendue dans toute la France... et en Français|français. En elle tu n'as pas l'habitude il n'y a pas aucun espace réservé pour les langages|paroles régionaux, qui recevront le nom|prénom péjoratif de patuès, mais se suivra le lemme Soyez prope, parlez français et le signal sera utilisé contre ceux auxquels on résiste. Peu voix ils se levèrent dans les politiciens de portée nationale pour protester. Une des peu fut celle du socialiste languedocien Jean Jaurès 1858-1914), professeur de philosophie à l'Université de Tolosa et fondateur en 1901 du Parti Socialiste François, par lequel député pour Caramaus en serait choisi en 1902, et en 1904 du journal L'Humanité. Je définis le patuès comme "la langue d'un village|peuple vaincu", et il|elle a défendu l'enseignement des langues régionales à l'école, tout et que sans beaucoup de succès.

Finalement, sans rien mois à suggérer|dire, les felibres assistèrent à la déstructuration économique du pays et semenfotista qui les divorceront de son|leur village|peuple furent enfermés|fermés en une résistance littéraire.