Services de renseignements suisses
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- Demandeur : ChFire 28 décembre 2006 à 10:19 (CET)
- Intérêt de la traduction : contexte du scandale des fiches
- Traducteur(s) : ChFire
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Les services de renseignements suisses officiels[1] ont été réformés suite au scandale des fiches.
Ce sont:
- Service de renseignement stratégique (SRS, allemand SND) [2]
- Service d'analyse et de prévention (SAP, allemand DAP)[3]
- Service de renseignement militaire (SRM, allemand MND)
- Service de renseignement des Forces aériennes (SRFA, allemand LWND)
- ? (?, allemand DBA)
Sommaire |
[modifier] Service de renseignement stratégique (SRS)
Le SRS est le service de renseignement suisse pour l'étranger. Il est directement sous la direction du chef du DDPS, le département fédéral de la défense, de la protection de la population et des sports[4]. En 2006, le chef du DDPS était le conseiller fédéral Samuel Schmid. Le SRS s'occupe exclusivement d'information concernant l'étranger. Les priorités actuelles sont les Balkans, le proche et Moyen-Orient, l'Afrique du Nord, l'Asie centrale ainsi que l'Inde et le Pakistan.
Le SRS déclare jouer un rôle dans la sauvegarde des intérêts nationaux de la Suisse :
- Protection de la Suisse
- Conservation d'une économie de marché concurrentielle et sociale
- Fonctionnement ininterrompu des infrastructures
- Garantie de l'approvisionnement
- Assurance d'un environment intact
Les connaissances apportées par le SRS doivent soutenir le Conseil fédéral dans sa politique.
Le SRS est formé des départements suivants : management, évaluation, matériel et soutien. Le nombre et les noms des employés ainsi que le budget du STS ne sont par rendus publics pour des raisons de sécurité politique.
En novembre 2006, le dirigent du SRS Hans Wegmüller a reçu le Big Brother Awards pour la Suisse à cause de la mise en place du système d'écoute espion Onyx.
Les bases juridiques du SRS sont établies selon les lois et ordonnances suisses suivantes :
- Loi fédérale sur l’armée et l’administration militaire
- Ordonnance sur l’organisation des services de renseignements…
- Ordonnance sur la guerre électronique
[modifier] Service d'analyse et de prévention (SAP)
Ce service est le successeur de la Bupo (police fédérale sur la protection de l'État) auteur des fameuses fiches dont le scandale a été révélé en 1989.
[modifier] Service de renseignement militaire (SRM)
[modifier] Service de renseignement des Forces aériennes (SRFA)
[modifier] ? (?, allemand DBA)
[modifier] Références
[modifier] Voir aussi
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