Discuter:Christologie
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[modifier] matériaux pour compléter l'article
[modifier] en provenance de catholicisme
Les trois autres conciles œcuméniques, réunis en Orient des patriarches orientaux et occidentaux tels qu'Athanase et Cyrille d'Alexandrie, s'entendent à définir la foi que partagent alors la grande majorité des chrétiens, d'ou seront issues plus tard les Églises dites catholique et orthodoxes. Ces termes sont utilisés, par simplification, pour distinguer d'une part l'Église romaine et d'autre part les Églises d'Orient relevant des églises des 2, des 3, et les églises des 7 conciles devant lesquelles l'Église romaine se considère en effet comme seule détentrice légitime de la catholicité (c'est-à-dire de l'universalité) sans pour autant reconnaître que sa foi ne serait pas orthodoxe. Mais cette distinction dans les esprits ne viendra que beaucoup plus tard et tous les délégués aux 4 premiers conciles œcuméniques sont d'accord entre eux et s'ils ne le sont pas, les empereurs se chargeront de les mettre d'accord. Quelques-uns résistent qui seront à l'origine des Églises dites pré-chalcédonniennes : nestoriens et monophysites entre autres.
Les divergences, à l'origine, ne sont pas doctrinales mais plutôt l'effet des questions de préséance dans l'ensemble des patriarches orientaux et occidentaux. En effet, un canon du premier concile de Nicée prévoit que soient nommé papes les métropolites d'Alexandrie, d'Antioche et de Rome. Ce titre est attesté, la première fois, pour le métroplite d'Alexandrie dès l'évêque Pierre, martyrisé sous Galère, empereur. Cependant, celui de Constantinople prend de l'importance à mesure que s'affirme le pouvoir de l'empereur, tandis que le pape se prévaut, en tant que son successeur, de la première place parmi les apôtres qui a été assignée à Pierre par Jésus, selon les Évangiles et réclame primauté et autorité sur ses collègues à partir de la toute fin du IVe siècle.
[modifier] désaccord de neutralité et/ou de pertinence
Cet aricle ne définit pas la christologie. Il confond christologie avec récit mythoogique. Il ne présente qu'une christologie chrétienne parmi de nombreuses autres, comme si la réflexion christologique s'était arrêtée en 451.
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