Hermann Gessler
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Hermann Gessler
Hermann Gessler, le "bailli impérial dans Schwyz et Uri", est un mythe suisse. D'après la légende, Wilhelm Tell doit avoir tué le haut fonctionnaire d'Etat Hermann Gessler avec une flèche dans sa pauvre poitrine dans la ruelle creuse à Küssnacht au Rigi.
Dans le livre blanc de Sarnen de 1470 le bailli était informé par un Gijssler, dero d'Urij et Schwijtz. Dans une autre chronique, il est appelé Grissler, et dans une troisième, cela doit avoir été un comte de Seedorf.
Il y a historiquement les personnes prouvées avec le nom Gessler. Ainsi il y avait au poste libre aargauischen au village Wiggwil une famille Gessler qui était, cependant, encore de petits ministériels, mais des employés dans la paie l'Habsburger.Cette famille augmentait sa(leur) fortune et influence par l'arrogance et la soumission et reprenait bientôt les terres les plus différentes dans le bail ou à la propriété.Leur montée est liée étroitement à celle des Habsbourg qui descendaient de nobles locaux de comtes et ducs du Saint Empire Romain Germanique et arrivèrent, enfin, à la dignité impériale.
En 1319 Heinrich Gessler obtint la dignité de chevalier, et en 1375 il prit réellement la charge de bailli, mais pas à Altdorf UR, mais dans le château zürcherischen Grüningen. Heinrich et seulement suivait encore Heinrich alors Hermann Gessler, homonyme de la figure de légende.
Les Gessler étaient considérés comme des gens fiers, pourtant, un paon avec les plumes mises dans l'argent et bleu ornait ses casques. Bien qu'ils ne gèrent pas mal le Vogtei Grüningen, il venait à des conflits. Quand les yeux étaient devancés à un citoyen Zürcher à la peine à cause de la soustraction et la langue était arrachée, était considérée dans les yeux des ressortissants cet Hermann Gessler comme le coupable.
Ainsi devenait d'un nom de famille une sorte de nom collectif : un Gessler était désormais un méchant, un ennemi des confédérés, un acolyte l'Habsburger. Quand plus tardif au XVe siècle la légende de fondateur était fixée par écrit, était clair pour les chroniqueurs que le lieu de forêt s'étaient assis contre un Gessler à la défense.Gessler recevait des chroniqueurs la dignité du tyran.
Dans Schwyz et l'Unterwald, il y avait, certes, des baillis, mais aucun Gessler.
Cf. aussi : Wilhelm Tell (Schiller), où Gessler est le prototype du tyran cruel peu naturellement.
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