Lycée Bellevue

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Le lycée Bellevue est un des plus grands lycées de France ^{[réf. nécessaire]} et un des principaux lycée de Toulouse.

Sommaire

1 Histoire
2 Le Lycée aujourd'hui
3 Les lycéens de Bellevue
4 Notes et Références
5 Liens externes

[modifier] Histoire

En 1884, Théodore Ozenne, un banquier toulousain, décide de léguer au lycée de Toulouse (actuel lycée Fermat) 33 hectares destinés à « favoriser l'épanouissement des lycéens à l'écart du centre ville »^[1].

En 1952, le lycée Bellevue est créé. Les études scientifiques y sont favorisés, tandis que le lycée Pierre de Fermat est plutôt littéraire.

[modifier] Le Lycée aujourd'hui

Le lycée Bellevue accueille plus de 2000 élèves, dont plus de 200 étudiants en classe préparatoire aux grandes écoles. Son proviseur est M. Cilia et son proviseur adjoint est M. Boullay. Le lycée possède un parc de plusieurs hectares^[2]. Le lycée propose un enseignement général (ES, L, S), un enseignement technologiques de gestion (STG) et un enseignement d'étude professionnelle (BEP), en plus d'un dispositif Sportifs de Haut Niveau (SHN).

Il comptait 57 classes durant l'année scolaire 2004-2005^[3].

Il y a un grand nombre de classes, dont des laboratoires pour les travaux pratiques (TP). Pour le sport, le lycée compte un terrain de rugby, un terrain de football, deux terrains extérieurs de basket-ball, un stade d'athlétisme en plus d'un gymnase où l'on peut pratiquer, entres autres, l'escalade ou le tennis de table. Le lycée possède aussi un parking réservé aux enseignants, un parking réservé au bus scolaire, un grand parking dans le lycée et un autre devant l'entrée principale. Il y a aussi un self, un CDI, des salles audiovisuelles, une maison des lycéens (MDL) et un château où se trouve l'intendance, les bureaux du proviseur et de son secrétariat, et les bureaux du proviseur adjoint et de son secrétariat.

Le lycée est « sans tabac ».

[modifier] Les lycéens de Bellevue

Le lycée Bellevue a été de nombreuses fois bloqué pour protester contre des lois qui touchent l'éducation (Fillon) et le début de la vie professionnelle (CPE).

En mars 2005, un référendum à propos du blocus du lycée a eu lieu ; 69% des votants se déclarent pour. Le lycée est par la suite bloqué. Durant les évenements anti-CPE, beaucoup d'élèves ne sont plus allé en cours^[4].