Portes de Paris

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Paris étant ceinturée par le boulevard périphérique, on appelle portes de Paris les accès routiers et piétons à la ville. Comme Paris a connu plusieurs enceintes successives au cours des siècles, on trouve des traces d'anciennes portes de Paris à l'intérieur de la ville.

Sommaire

1 Les portes de Paris aujourd'hui
- 1.1 Nord-est
  - 1.1.1 18e est
  - 1.1.2 19e
- 1.2 Est
  - 1.2.1 20e
  - 1.2.2 12e
- 1.3 Sud (rive gauche)
- 1.4 Ouest
  - 1.4.1 16e
- 1.5 Nord-ouest
  - 1.5.1 17e
  - 1.5.2 18e
2 Anciennes portes de Paris
3 Voir aussi

[modifier] Les portes de Paris aujourd'hui

Pour une correspondance des portes avec les boulevards des Maréchaux et les communes limitrophes, voyez le Tableau synoptique des boulevards des Maréchaux et des portes de Paris.

Arrondissements de Paris

(Liste des portes et poternes créées lors de l'extension de Paris en 1860 et ayant laissé aujourd'hui une trace dans sa toponymie, triée dans le sens horaire à partir du Nord, démarrage de la Route Nationale 1.)

[modifier] Nord-est

[modifier] 18^e est

Porte de la Chapelle : route nationale 1, autoroute A1

[modifier] 19^e

Porte d'Aubervilliers : route nationale 301
Porte de la Villette : route nationale 2
Porte de Pantin : route nationale 3
Porte Chaumont
Porte Brunet
Porte du Pré-Saint-Gervais
Porte des Lilas

[modifier] Est

[modifier] 20^e

Porte des Lilas
Porte de Ménilmontant
Porte de Bagnolet : autoroute A3
Porte de Montreuil : route nationale 302

[modifier] 12^e

Porte de Vincennes : route nationale 34
Porte Jaune
Porte de Saint-Mandé
Porte de Montempoivre
Porte Dorée ou de Picpus
Porte de Reuilly
Porte de Charenton : route nationale 6
Porte de Bercy : autoroute A4

[modifier] Sud (rive gauche)

[modifier] 13^e

Porte de la Gare
Porte de Vitry
Porte d'Ivry
Porte de Choisy : route nationale 305
Porte d'Italie : route nationale 7
Poterne des Peupliers

[modifier] 14^e

Porte de Gentilly
Porte d'Arcueil
Porte d'Orléans : route nationale 20
Porte de Montrouge
Porte de Châtillon
Porte Didot
Porte de Vanves

[modifier] 15^e

Porte Brancion
Porte de Plaisance
Porte de la Plaine
Porte de Versailles
Porte d'Issy
Porte de Sèvres

[modifier] Ouest

[modifier] 16^e

Porte du Point-du-Jour
Porte de Saint-Cloud : route nationale 10
Porte Molitor
Porte de Boulogne
Porte de l'Hippodrome
Porte d'Auteuil : autoroute A13
Porte de Passy
Porte de la Muette
Porte Dauphine
Porte de la Seine
Porte de Madrid
Porte Saint-James
Porte de Neuilly
Porte des Sablons

[modifier] Nord-ouest

[modifier] 17^e

Porte Maillot : route nationale 13
Porte des Ternes
Porte de Villiers
Porte de Champerret
Porte de Courcelles
Porte d'Asnières
Porte de Clichy
Porte Pouchet

[modifier] 18^e

Porte de Saint-Ouen
Porte de Montmartre
Porte de Clignancourt : route nationale 14
Porte des Poissonniers

[modifier] Anciennes portes de Paris

Porte Saint-Denis sur le tracé de l'ancienne enceinte de Charles V.
Porte Saint-Martin sur le tracé de l'ancienne enceinte de Charles V.
Rue des Fossés-Saint-Bernard
Rue des Fossés-Saint-Jacques
Rue des Fossés-Saint-Marcel

Après la construction du mur des Fermiers généraux en 1785, les portes de Paris ont porté le nom de « barrières » jusqu'en 1860 : barrière de la Villette, barrière du Trône, barrière d'Italie... Elles servaient en effet de barrières d'octroi, matérialisées par des pavillons construits par Ledoux. Certains sont toujours visibles :

rotonde de la place Stalingrad
place du Trône
place Denfert-Rochereau (ancienne barrière d'Enfer)

[modifier] Voir aussi

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