Rugby Rome
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Cet article est une ébauche à compléter concernant le rugby à XV, vous pouvez partager vos connaissances en le modifiant. |
- Statut de la traduction : Traduction en cours
- Commentaire :
- Demandeur : Demenza 21 novembre 2006 à 00:30 (CET)
- Intérêt de la traduction : article intéressant
- Traducteur(s) : Demenza
- Avancement de la traduction :
- Version traduite : Veuillez renseigner les arguments « oldid » et « date »
- Liens utiles : Comment participer à la traduction ? ; dictionnaires ; traduire les liens internes
Page de suivi de traduction --- Mettre à jour ces informations (instructions)
|
||||
---|---|---|---|---|
Club fondé en | 1930 | |||
Couleurs | blanc et noir | |||
Stade | places |
|||
Siège |
Rugby Rome est un club de rugby à XV italien basé à Rome participant au Championnat d'Italie de rugby.
Sommaire |
[modifier] Le Club
- Fondé en 1930
- Stade :
- Couleurs : blanc et noir
Le rugby arrive à Rome à la fin des années 20 et contrairement à ce que l'on pourrait imaginer, il se répand dans les quartiers de la moyenne et haute bourgeoisie sur la zone nord de la capitale, Parioli et Trieste.
Alessandro Squadrilli, sans doute l'archétype des rugbymen romains, avait développé ses qualités aux États-Unis, à Oxford et en France, pour ensuite faire partie des premières sélections nationales.
Le roumain Balsch, venu à Rome pour faire ses études, avait joué pour sa propre équipe nationale ; Ernesto Nathan provenait du football américain.
En somme le noyau dur autour duquel agréger un groupe d'initiés était déjà constitué, la fondation de la première équipe de la capitale, sous l'égide de la Polisportiva Lazio, n'était qu'une question de temps.
Le 13 mai 1928 est le jour de la première rencontre officielle contre la XV Legione Leonessa de Brescia.
Malgré une brillante deuxième place dans le championnat, la Lazio décide de ne pas poursuivre cette activité et le groupe entier quitte le club pour rejoindre l' A.S. Roma. Un choix qui, seulement un an plus tard, n'aura pas d'aboutissment, en laissant les rugbymen de la capitale sans aucun maillot pour lequel combattre.
La fondation d'une société autonome semble donc l'unique solution possible : le 21 octobre 1930, dans la maison des quatre frères Vinci, dans la rue d Villa Torlonia au n°10, est constituée la Rugby Roma.
Pour les couleurs de l'équipe, il est décidé, sur proposition du demi de mêlée Giuseppe Bigi, qui a vécu en Argentine, d'adopter les couleurs du Club Atlético San Isidro : blanches et noires, avec des bandes horizontales.
Le premier entrainement a lieu dans les prés de Villa Glori au Vélodrome Appio, aujourd'hui démoli.
Tout de suite, la nouvelle équipe de rugby de Rome défraye la chronique lors de la première saison ('30/'31), puis échouant dans la suivante lors du championnat déséquilibré contre la formidable Amatori Milano.
Avec l'avènement de l'ouverture sud africaine Pierre Theron, entraineur-joueur provenant de Pretoria, qui rejoignit Rome à la suite de la Délégation sud africaine auprès du Quirinale, les prémisses pour une hausse de la qualité sont constituées, et qui permettra à la Rugby Roma de boucler un cycle incroyable de succès et de popularité. La préparation et le changement de méthodologie des entraineurs sont le secret d'une équipe capable de conquérir deux championnats ('34/'35 et '36/'37).
Par la suite, la jonction avec l'A.S. Rome coutera à la société un déclin inexorable jusqu'à la dissolution "pour motifs économiques de la section rugby.
Le refondation advient le 31 août 1940, en pleine période de guerre, grâce à la passion de quelques ex-noirs et blancs et au soutient financier du commandeur Levantesi.
Durant cette période, la jeune équipe romaine se retrouve, à cause de la guerre, dans une activité fragmentée et à caractère principalement local.
L'entrée des troupes alliées consent pourtant aux rugbymen romains de se confronter avec certaines sélections militaires, en particulier britanniques, sud africaines et néozélandaises, et d'acquérir une forte expérience qui sera utile pour le futur proche.
La reprise de l'activité officielle (championnat '46/'47) voit la jeune Rugby Roma traverser une phase transitoire avec l'absorption des meilleurs éléments d'une autre formation romaine, l'Olimpic '44, un épisode qui posera les bases du cycle des deux saisons suivantes.
Le championnat 1947/48 est préparé par la Rugby Roma en disputant des matchs amicaux prestigieux contre le Paris université club, le FC Auch, les Espagnols de Barcelone et de la S.E.U. Madrid.
Lors de la reprise, les difficiles batailles contre Ginnastica Torino, Parme RFC et Rovigo, conduisent l'équipe au rendez-vous final avec le championnat dans le transfert de Milan.
La victoire 8-9 face à l'Amatori restitue le tricolore dans les mains des blancs et noirs. Rosi, Farinelli, Tartaglini, Marini, Zaccaria, Raffo, Gabrielli : ce sont quelques uns des noms qui dans la saison suivante vont conquérir le doublé historique contre le camp de Parme.
Les années '50 signent une période tourmentée dans l'histoire du club.
Après trois années riches d'espérances ('50-'53), les tentatives d'une nouvelle fusion avec l'A.S. Roma aboutissent à un déchirement irréductible et à un lent déclin jusqu'en (1957) à la rétrogradation dans les séries inférieures. Le retour en Serie B en 1961 récolte les fruits d'une intense activité de développement du secteur juvénile, depuis toujours pivot du club.
En 1969 la fusion avec l'Olimpic 52, permet aux deux équipes d'unir leurs forces et leur organisation pour affronter le championnat de Serie A 1969/70 sous cette nouvelle dénomination : Rugby Roma Olimpic Club.
Les années '70 s'ouvrent avec la douloureuse finale de la Coppa Italia, perdue contre le Fiamme Oro Padova, et la victoire de la Coupe Printemps U19 : beaucoup de ces noms, Coletti, Bonavolontà, Pagni, Gargiullo, Lari, seront encore protagonistes trois ans plus tard, aux sommets du championnat de série A.
L'arrivée sur le banc des blancs et noirs de Rick Greenwood, déjà capitaine de Inghilterra et du Barbarians, révolutionne la façon de comprendre le rugby dans la capitale sur le plan du jeu et du rapport avec les sponsors qui, dans la saison '73/'74, font leur entrée en masse dans le monde du ballon ovale.
Les maillots blancs et noirs arborent bien vite les couleurs d'Algida, entreprise leader dans le secteur de la confiserie, et les recettes de la société se font peu à peu plus importantes.
Au cours de sa gestion quadriennale Greenwood amène l'Algida Rugby Roma Ilimpic à un niveau d'une grande valeur, conquiert deux tiers posés avant de céder les commandes au Gallois Roy Bish, qui restera dans les rangs de l'Algida jusqu'en 1979.
L'arrivée à la tête de la nazionale italiana de Pierre Villepreux et la diffusion d'une nouvelle méthode d'entrainement portant l'empreinte française, recueille de larges approbations chez les techniciens italiens. Parmi eux, Paolo Paladini, arrivé au sein du Rugby Roma Olimpic comme successeur de Bruno Balestra. Une réforme de l'équipe et une valorisation des nombreux jeunes issus d'une pépinière ô combien prolifique : c'est ce en quoi consiste le programme du jeune technicien de Frascati, qui réussit à conduire l'équipe à la qualification en poule de championnat 1984/85.
Dans la saison suivante, le développement raté amène l'équipe à être rétrogradée en Serie A2.
En 1988 l'entrepreneur romain Renato Speziali arrive à la présidence du club, depuis toujours proche de l'équipe en tant que dirigent tout d'abord puis de vice-président ensuite. Speziali appelle auprès de lui le coach des Abruzzes Pino Lusi pour prétendre à la reconquête de la série supérieure, perdue d'un cheveu durant la saison '89/'90 après un mémorable barrage à Calvisano.
Il passaggio di Lusi nello staff tecnico federale, costringe la Rugby Roma ad un ennesimo cambio: nelle vesti di allenatore giocatore arriva il 33enne sudafricano Pote Fourie, n.8 di grande personalità ed esperienza che riesce ad infondere nella squadra la determinazione e la maturità necessaria al salto di categoria, puntualmente ottenuto al termine di un campionato da incorniciare.
Nelle due stagioni successive si affacciano al “Tre Fontane” campioni del calibro di Gabriel Filizzola, Marcelo Valesani, Luigi Salvati, l’All Black Walter Little e si affermano i giovani del vivaio quali Fabio Roselli e Giampiero de Carli.
La Rugby Roma Olimpic punta a consolidare la sua presenza nella massima serie: due spareggi senza patemi nella poule retrocessione nelle stagioni '91/'92 e '92/'93 preparano il club ad un ulteriore salto di qualità.
La stagione '93/'94 si apre con l’arrivo dell’ex capitano degli All Blacks, Wayne Shelford. “Buck” arrive en Italia sulle ali di un’enorme popolarità per la sua grande esperienza internazionale, dopo un biennio in Angleterre alla guida del Northampton Saints come allenatore-giocatore. La squadra, targata Magazzini del Popolo (MDP), strappa il biglietto per i play off scudetto eliminando nei quarti il Petrarca Padova, ma deve necessariamente arrendersi in semifinale alla maggiore esperienza della Benetton Rugby Trévise.
La stagione successiva la dirigenza punta decisamente allo scudetto. Il supporto finanziario dello sponsor MDP permette una campagna di rafforzamento senza precedenti: Javier Pertile, Julian Gardner, Stefano Barba, Adri Geldenhuys, integrano una rosa di primissimo livello dove Shelford inserisce alcuni tra i giovani campioni d’Italia U19, in particolare Giampiero Mazzi e Giovanni Raineri.
Ma le speranze di conquistare l’agognata finale si spengono nella pesante sconfitta interna (6-59) subita nella semifinale di andata, ancora contro la Benetton Treviso.
L’abbandono dello sponsor MDP al termine della stagione '94/'95 chiude un ciclo fastoso e rimette fortemente in discussione le potenzialità del club, costretto ad affrontare la massima serie con un manipolo di giovani: quei tre volte campioni d’Italia juniores che, dati per spacciati alla vigilia del torneo, sorprenderanno tutti conquistando un inatteso settimo posto e la poule scudetto sotto la guida carismatica del coach sudafricano Rob Louw.
La squadra viene affidata, per la stagione '96/'97 nelle mani del tecnico francese Guy Pardiès, con l’intento di portare a maturazione un gruppo dall’età media di circa 24 anni. Pardiès riesce nella missione, conduce la squadra, sponsorizzata nel frattempo dal network radiofonico Radio Dimensione Suono, alla qualificazione nei play off (quarti di finale) e nella stagione successiva arriva a sfidare la Benetton in una appassionante semifinale (5.500 spettatori nella gara di ritorno a Roma e diretta TV locale).
Il club si costituisce in S.r.l. e vede l’ingresso nei propri quadri dirigenziali di manager quali Mauro Miccio, ex consigliere di amministrazione della RAI, ed Edoardo Montefusco, patron dello sponsor RDS con il quale ormai la città identifica i bianconeri.
Sulla panchina l’arrivo di Gilbert Doucet, 43enne ex campione di Francia con il R.C. Toulon, porta ad un ulteriore salto di qualità e professionalità in termini di metodologie di allenamento.
La Rugby Roma Olimpic torna a conquistare un trofeo nazionale seniores, vincendo la Coppa Italia 1998, qualificandosi per l’European Shield, ma fallisce ancora di un soffio la vittoria del 5° scudetto.
Dodici mesi dopo, nella finale giocata allo Stadio Flaminio di Roma davanti a 16.000 spettatori, la squadra e Speziali coronano un sogno lungo 51 anni battendo per 35 a 17 i rivali di sempre L’Aquila.
La grande festa per lo scudetto apre paradossalmente una fase discendente, legata a vicende finanziarie che precipitano il club verso una crisi profonda sino alla retrocessione in serie A2 del giugno 2004.
Attualmente la squadra milita nel campionato Serie A Girone A.
[modifier] Joueurs actuels
[modifier] Saison 2005-2006
[modifier] Joueurs célèbres
[modifier] Liste des entraîneurs
[modifier] Palmarès
1935 - 1937 - 1948 - 1949 - 2000
[modifier] Liens
Super 10 2006-2007 |
Amatori Catane • Rugby Rovigo • Rugby Viadana • Benetton Trévise • L'Aquila |
|
|