User:Jashiin/Translations
From Wikipedia, the free encyclopedia
from [1], for German organ schools?
Several schools of organ composers formed in German-speaking countries during the Baroque era. They are typically referred to as the Northern German, Central German and Southern German schools.
Contents |
[edit] Northern German school
Numerous oragnists from the north of Germany were pupils of Jan Pieterszoon Sweelinck, and the Northern German school embodies the contrapuntal complexity of Sweelinck's style. (something about Northern German organs; maybe partly from [2])
- Georg Böhm (possibly studied under Johann Adam Reinken, pupil of Heinrich Scheidemann)
- Nikolaus Bruhns (studied under Dieterich Buxtehude)
- Dieterich Buxtehude
- Johann Nikolaus Hanff
- Vincent Lübeck
- Johann Mattheson
- Michael Praetorius (studied under Sweelinck?) and other members of the Praetorius family
- Johann Adam Reinken (studied under Heinrich Scheidemann, pupil of Sweelinck)
- Heinrich Scheidemann (studied under Sweelinck)
- Paul Siefert (studied under Sweelinck)
- Franz Tunder
- Matthias Weckmann
[edit] Central German school
- Johann Kuhnau
- Samuel Scheidt (studied under Sweelinck)
- Johann Gottfried Walther
- Friedrich Wilhelm Zachau (one of Handel's first teachers)
[edit] Southern German school
This school consists mostly of organists from southern Germany who studied under Italian composers like Giacomo Carissimi or Girolamo Frescobaldi. To do so, many German musicians would travel to Rome and convert to Catholicism in order to do so. Some composers of this school were also influenced by French composers such as Jean Baptiste Lully. (something about Southern German organs, possibly from Johann Pachelbel)
- Johann Caspar Ferdinand Fischer (possibly studied in Paris, French influence traced in numerous works)
- Johann Jakob Froberger (studied under Frescobaldi)
- Johann Kaspar Kerll (studied under Giovanni Valentini in Vienna, then under Carissimi)
- Georg Muffat (studied under Jean Baptiste Lully in Paris, then with Bernardo Pasquini)
- Johann Pachelbel (possibly studied under Johann Kaspar Kerll, French and Italian influence traced in numerous works)
[edit] Musical forms
German organists have adopted three basic musical forms:
- the chorale prelude and its various forms. Chorale preludes were particularly well developed in Protestant (more specifically, Lutheran) regions.
- pieces based on improvisation and virtuosic pieces (preludes, toccatas, fantasias, etc) were mostly composed by northern organists, whereas southern composers tended to cultivate more archaic forms derived from Italian styles (canzonas, capriccios, etc)
- fugal pieces, often with highly developed counterpoint; more complex ones by northern composers and more simple ones by southern composers.
[edit] See also
- French organ school
- French harpsichord school
from [3], for French organ school or French baroque organists
L'école française d'orgue a connu son apogée aux XVIIe et Template:XVIIIe siècle. C'est aussi (et ce n'est pas un hasard) le moment ou la facture classique atteint sa perfection avec des facteurs de génie : Dom Bédos de Celle, les Clicquot, Lefebvre, etc.
Les compositeurs pour cet instrument sont très nombreux, si aucun n'a laissé une œuvre écrite comparable à celles de Buxtehude ou de Bach en Allemagne à la même époque — et même en tenant compte des œuvres perdues, leur production collective forme un corpus considérable et de qualité.
En fait, la plupart d'entre eux ont passé plus de temps à improviser qu'à écrire pour la postérité, l'orgue étant à l'origine plus considéré comme instrument utilitaire destiné à accompagner le culte que comme instrument d'agrément propre à séduire l'auditoire et à mettre en valeur la virtuosité de l'interprète. Même les plus doués des compositeurs, titulaires de charges ou d'instruments prestigieux comme François Couperin et Louis Marchand, ont laissé peu d'œuvres pour l'orgue. Quant à Rameau, qui fut organiste pendant des dizaines d'années, il n'a rien écrit pour cet instrument.
La plupart de ces artistes sont établis à Paris ou dans des grandes villes de province assez proches : Rouen, Reims, Chartres, Laon, Beauvais, ... dont les cathédrales possèdent des instruments prestigieux.
Le début de leur carrière est souvent marqué par la publication d'un « premier livre » destiné à attester leur science, et qu'ils pensent de façon certainement sincère faire suivre d'autres ouvrages dans les 8 tons ecclésiastiques. Mais beaucoup d'entre eux s'arrêtent avant d'avoir réalisé ce programme. Il est vrai qu'ils ont, pour la plupart d'entre eux, beaucoup d'autres charges prenantes et peut-être plus gratifiantes auprès du Roi et des grands de la Cour. Ainsi, malgré quelques réussites incontestables, peu d'œuvres n'atteignent les proportions de celles écrites au même moment par les contemporains du nord de l'Allemzgne - font exception, par exemple : le Grand Dialogue du 5<wup>e ton de Marchand et les Offertoires sur les Grands Jeux de Grigny et de François Couperin (Messe à l'usage des paroisses).
Le style évolue pendant cette période d'une polyphonie austère à un style de plus en plus concertant. Lorsque cette dernière tendance l'emportera, ce sera le signe d'une décadence accélérée qui se prolongera jusqu'à la seconde moitié du Template:XIXe siècle.
Une caractéristique de l'école française est l'attention particulière portée à la registration, et les compositeurs l'indiquent souvent de manière extrêmement précise (Couperin : Dialogue sur les trompettes, clairon et tierces du grand clavier et le bourdon avec le larigot du positif).
Ce trait distinctif doit être signalé à une époque ou l'on se soucie assez peu du timbre des instruments, et ou beaucoup de musiciens écrivent des pièces dont ils précisent qu'elles peuvent se jouer indifféremment « sur le violon, la flûte, le hautbois, la viole, etc. ». Le célèbre gambiste Marin Marais allait même jusqu'à indiquer que ses œuvres pouvaient être jouées à l'orgue, au clavecin, au violon, au dessus de viole, au théorbe, à la guitare, à la flûte traversière, à la flûte à bec et au hautbois !
Les compositions (jusque vers 1750) s'organisent en quatre groupes :
- les messes ;
- les hymnes ;
- les suites ;
- les Noëls.
Sur la fin de la période, les organistes se permettront beaucoup plus de fantaisie (sonates, concertos, etc), souvent au détriment du caractère de l'instrument.
[edit] Composers and works
Listed here are the most important ones:
[edit] First period, until about 1660
L'orgue, instrument de la polyphonie :
- Jehan Titelouze (v. 1563-1633)
- 1624 : 12 hymnes avec les fugues et recherches
- 1626 : 8 Magnificat dans tous les tons ecclésiastiques
- Charles Racquet (1598-1664)
- avant 1634 : Fantaisie publiée dans l'Harmonie Universelle du père Marin Mersenne
- Louis Couperin (v. 1626-1661)
- de 1650 à 1659 : 70 pièces restées en manuscrit
- François Roberday (1624-1680)
- 1660 : 12 fugues et caprices
- Jean-Henri d'Anglebert (1635-1791)
- œuvres de jeunesse publiées en 1689 (quatuor et 5 fugues)
[edit] Second period, from 1660 to 1700
New musical forms and new style:
- Guillaume-Gabriel Nivers (1632-1714)
- 1665 - 1Template:Er livre : 100 pièces dans tous les tons
- 1667 - 2×10{{{1}}} livre : 1 messe et les hymnes de l'Église
- 1675 - 3×10{{{1}}} livre : suites de pièces dans tous les tons
- Nicolas-Antoine Lebègue (1631-1702)
- 1676 - 1Template:Er livre : 8 suites dans les 8 tons ecclésiastiques
- 1678 - 2×10{{{1}}} livre : 1 messe et versets de Magnificat dans les 8 tons ecclésiastiques
- 1685 - 3×10{{{1}}} livre : 10 Offertoires, 4 symphonies, 9 noëls variés, les cloches, 8 Elévations.
- Nicolas Gigault (1627-1707)
- 1683 : 20 noëls variés
- 1685 : 180 pièces dans tous les tons ecclésiastiques (messes, hymnes, pièces diverses)
- André Raison (v. 1640-1719)
- 1688 - 1Template:Er livre : 5 messes (1Template:Er, 2×10{{{1}}}, 3×10{{{1}}}, 6×10{{{1}}}, 8×10{{{1}}} tons) et une Offerte d'action de grâces du 5×10{{{1}}} ton
- 1714 - 2×10{{{1}}} livre : Pièces diverses et 18 noëls.
- Gilles Jullien (1650 ou 1653-1703)
- 1687 - 1Template:Er livre : suites de pièces dans tous les tons
- Jacques Boyvin (v. 1650-1706)
- 1689/90 - 1Template:Er livre : suites de pièces dans tous les tons
- 1700 - 2×10{{{1}}} livre : suites de pièces dans tous les tons
- François Couperin (1668-1733)
- 1690 - 1Template:Er livre : Messe pour les paroisses et Messe pour les couvents)
- Louis Marchand (1669-1732)
- Pièces éparses - certaines datables de 1696 et 1700 - éditées après 1740.
- Lambert Chaumont (v. 1640-1712)
- 1695 - Un livre : 111 pièces dans tous les tons
- Nicolas de Grigny (1672-1703)
- 1699 - 1Template:Er livre : 1 messe et 5 hymnes
- Gaspard Corrette (v. 1670-avant 1733)
- 1703 - Messe du 8e ton
- Jean-Adam Guilain (v. 1675(?)-après 1739)
- 1706 : 4 Magnificat
- Pierre Du Mage (1674-1751)
- 1708 - 1Template:Er livre : Suite du 1Template:Er ton (8 pièces)
[edit] Third period, the 18th century
L'orgue, instrument de concert :
- Louis-Nicolas Clérambault (1676-1749)
- 1710 - 1Template:Er livre : 2 suites dans les 2 premiers tons
- Jean-François Dandrieu (1682-1738)
- 1729 : 45 noëls variés (certains peut-être de Pierre Dandrieu)
- 1739 : Publication posthume : 6 suites (chacune avec Offertoire, Magnificat et pièces diverses)
- François d'Agincourt (1684-1758)
- environ 45 pièces restées en manuscrit
- Louis-Antoine Dornel (1685-1765)
- 1756 - Livre comprenant 3 Magnificat, 1 noël varié, une dizaine de pièces diverses
- Michel Corrette (1707-1795)
- 1728 - 1Template:Er livre : 4 suites dans les 4 premiers tons
- 1750 - 2×10{{{1}}} livre : 4 suites dans les 4 derniers tons
- 1753 - 4 suites de noëls variés
- 1756 - 3×10{{{1}}} livre : Messes, hymnes, pièces diverses
- 1756 - 6 concertos pour orgue
- 1764 - 12 offertoires
- pièces diverses
- Louis-Claude Daquin (1694-1772)
- 1757 - 12 noëls variés
[edit] Décadence au temps de la Révolution
- Claude Balbastre (1724-1799)
- 1770 - 4 suites de noëls variés, redites de Daquin
- Jean-Jacques Beauvarlet-Charpentier (1734-1793)
- 12 journaux d'orgue, 1 livre de Noëls, soit le corpus le plus vaste pour l'orgue français du XVIIIe siècle, à mettre en relation avec les instruments de Clicquot, Isnard...
- Nicolas Séjan
- Guillaume Lasceux
Les derniers organistes du XVIIIe siècle s'amusent à imiter la tempête, le tonnerre et entonnent les air militaires ou révolutionnaires (Ah, ça ira'!, la Marseillaise, le chant du départ etc)
Les métiers d'organiste et de claveciniste étaient alors les mêmes et exercés par les mêmes artistes. Un grand nombre d'entre eux ont donc aussi participé au rayonnement de l'École française de clavecin. Les deux instruments suivent donc une évolution assez comparable pendant toute la période « baroque ». La période révolutionnaire est le signal de la disparition du clavecin et d'un cantonnement prolongé de l'orgue au domaine de l'accompagnement liturgique, peu adapté qu'il est à l'esthétique romantique.
[edit] Renaissance à la fin du XIXe siècle
C'est le renouveau de sa facture, avec Cavaillé-Coll, et de sa littérature avec César Franck et la nouvelle génération d'organistes qui lui succèdent, qui lui redonneront un nouveau prestige.
Les tendances qui s'expriment à la fin du XIXe siècle ressortissent de deux courants qui ne s'excluent d'ailleurs pas l'un l'autre : le courant "liturgique" et le courant "symphonique". Les grans noms sont Camille Saint-Saëns, Charles-Marie Widor, Alexandre Guilmant, Eugène Gigout, nés dans les années 1830-1840. Tous instrumentistes de talent, improvisateurs, compositeurs, ils furent aussi des professeurs à l'origine d'une longue lignée de disciples directs ou indirects.
[edit] Voir aussi
[edit] Liens internes
- Musique baroque
- Livre d'orgue de Montréal
- Pierre Cochereau
- Écoles allemandes d'orgue
- Les organiers Verschneider : Constructeur d'orgue de l'Est de la France
