La Vénus d'Ille
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La Vénus d'Ille est une nouvelle de Prosper Mérimée, écrite en 1837 lorsqu'il avait 34 ans. À cet âge-là, il fréquente les milieux mondains et les salons littéraires.
Débutant dans ce monde, il commence par se faire connaître sous le nom de la comédienne espagnole, Clara Gazul. Il s’est aussi essayé au genre historique, surtout, en 1829 et 1830. Il a publié dans la Revue de Paris des œuvres courtes qui seront reprises en 1833 dans un recueil composite.
En 1834 il est nommé inspecteur général des monuments historiques et antiquités nationales. Dès lors, il entreprend un voyage dans le midi. Il a séjourné dans le Roussillon où il a écrit : LA VENUS D’ILLE. Il aurait également pu être inspiré par une énigmatique statue "la Vénus de Quinipily" qu'il a vue à Baud (Morbihan).
La Vénus d’Ille est peut-être moins connue que Colomba ou Carmen dont le succès fut amplifié par l’opéra de Bizet en 1875, mais elle séduit par son étrangeté et le savant dosage qu’a su établir l’auteur entre la logique et l’irrationnel. Dans cette œuvre, le « héros », un antiquaire parisien, se rend à Ille. Il loge chez un antiquaire local qui dit avoir trouvé un trésor : une Vénus. Toute l’histoire tourne autour de cette Vénus qui est personnifiée par tous ceux qui la connaissent, jusqu’à devenir bien vivante…
[modifier] Liens externes
- Prosper Mérimée, La Vénus d’Ille, (Nouvelle, 1837).
- la Vénus d'Ille, (http://www.ac-orleans-tours.fr/lettres/coin_eleve/venus/)