Le Plan B

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Le Plan B


Pays	France
Langue	Français
Périodicité	Bimestriel
Genre	Généraliste
Diffusion	25 000 ex. (2006 (d'après les responsables))
Date de fondation	2006
Ville d'édition	Paris

Directeur de publication	Gilles Balbastre
Directeur de la rédaction	toute l'équipe
Rédacteur en chef	toute l'équipe
Propriétaire	La Sardonie libre
Site Web	Le Plan B
ISSN	1950-1625

Presse écrite

Le Plan B est un journal français de critique des médias et d'enquêtes sociales.

Né du rapprochement des rédactions des journaux alternatifs Fakir et PLPL, son premier numéro est sorti dans la rue le 7 mars 2006, jour de la manifestation nationale contre le CPE, et en kiosque le 10 mars 2006.

Un numéro spécial du journal PLPL est paru en janvier 2006 pour appel à souscriptions.

Ce bimestriel est indépendant et sans publicité comme le souligne le Manifeste du Plan B, paru dans le n°1 et disponible sur le site Internet: « Le Plan B est un journal indépendant, financé exclusivement par ses lecteurs ; son capital est réparti à parts égales entre ses fondateurs ; la publicité y est hors-la-loi. Il n'est lié à aucune organisation politique et s'oppose à la fois aux patrons qui plastronnent, à la droite qui les engraisse, à la gauche qui les courtise. » Le journal entend donc combattre (et « détruire ») ce qu’il nomme « le Parti de la Presse et de l’argent (PPA) ».

Sa ligne éditoriale comporte deux dimensions. Journal de critique des médias, Le Plan B « informe sur l'information, son fonctionnement, ses dévoiements, ses cadors, explique son manifeste. Il n'épargne ni les artistes tirelire, ni les intellectuels à gages, ni les chefs narcissiques de la contestation. » Ainsi ses rédacteurs ont, par exemple, imaginé des procès ^[1] de journalistes en vue ou d’intellectuels prisés par les médias.

Mais la publication se veut également un journal d'enquêtes sociales ^[2] et de reportages ^[3]: « Le Plan B rend la parole à tous ceux que les journalistes ont voulu enterrer sous leur mépris , ajoute le manifeste. Il montre les intérêts communs des gens et des peuples que les puissants s'emploient à opposer. »

Issus d'un travail collectif, les articles du Plan B ne sont pas signés.

Comme à son prédecesseur PLPL, certains lui reprochent de se montrer, par ses violentes attaques ad hominem^[4], plus proche du pamphlet que de la critique. La question de la critique ad hominem a été reprise dans le numéro six du journal. Le journal argue qu'il est mieux de nommer ceux qu'il considère comme ennemis que de se reférer à des concepts creux (comme l'"ultralibéralisme").

Sommaire

1 Ours
2 Voir aussi
- 2.1 Article connexe
- 2.2 Liens externes
3 Notes et références

[modifier] Ours

Direction de la publication : Gilles Balbastre
Direction granitique : Pierre Rimbert, Elodie Couratier, Serge Halimi
Direction du bon goût : Marc Pantanella, Mathieu Colloghan
Direction des études : Stéphanie Caboche, Philippe Monti, Botox
Direction tricéphale : Achile Mortu, Damien Doignot, Denis Souchon
Direction picarde : Aline Dekervel, Fabian Lemaire, François Ruffin
Direction du savon à barbe : Mister Choubi, Denis Perais
Direction Palavas-lès-Flos : Antoine Schwartz, Dominique Pinsolle
Direction délicieuse : Clothilde Dozier, Samuel Dumoulin
Direction assistée : Mathias Reymond, Julien Parent
Direction logistique : Sébastien Marchal, Yvon Bureau, Benoît Breville, Arnaud Rindel
Direction de la propagande : Claude Pfeffer, Béatrice Vincent
Direction agricole : Alain Accardo, Antoine Bureau