Manuel Murguía
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Manuel Antonio Martínez Murguía (Arteixo, La Corogne, 1833 - 1923) a été le promoteur plus important de la Renaissance Galicienne. Murguía a étudié les Humanités et le Latin à Saint Jacques de Compostelle, en obtient le grade de bachellier en 1850. Depuis très jeune il a collaboré dans diverses publications avec des gens intéressés par le futur du pays galicien. Il avait entré en contact à cette époque avec Aurelio Aguirre, Eduardo Pondal et Rosalía de Castro et publierait son premier roman, Desde el cielo.
En 1853 il s'installe à Madrid, où il publie plusieurs œuvres de fiction, le poème Nena d'as soledades, essais, le livre scolaire La primera luz, etc. C'est à Madrid où il se retrouve à nouveau avec Rosalía, où cinq années plus tard ils seraient mariées et retourneraient en Galice. Sa véritable passion est centrée dans l'histoire. Il a en outre, encouragé sa femme à publier ses œuvres et même il lui est arrivé de publier quelques unes sans son consentement.
Manuel Murguía a collaboré dans le cadre journalistique de l'époque, dans L'Olive, Le Miño et La Patrie Galicienne, et a dirigé le Journal de La Corogne et L'Illustration Galicienne et Asturienne. Depuis 1860 il se consacré intensément à l'histoire et sortirait le premier volume d'Histoire de la Galice laquelle a convenu le mythe Celte et l'information historique un principe de galleguisme de hauteur. Ce volume est sorti une année plus tard et il a été considéré la première théorisation nationaliste galicienne. D'autres œuvres sont Précurseuses (1885) après le décès de son épouse Rosalía, La Galice (1888) est un dictionnaire d'auteurs galiciens qui resté inachevé.
Il a aussi été archiviste chef de l'Archive Général JO Royaume Galice et rédacteur à Madrid, Santiago de Compostela, La Corogne, Lugo, Vigo et Simancas. Nommé président de l'Association Rexionalista Galega (ARG), la première organisation politique de signe galleguista et le directeur de son journal La Patrie Galicienne.
Une fois quitté le poste d'archiviste à la Délégation de Finances de La Corogne en 1905, il reçu de Curros Enríquez et du Centre Galicien de La Havane la charge de fonder l'Académie Royale Galicicienne, dont il devient le premier président. Il est décédé à La Corogne en 1923.