Promotion et défense des étudiants
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Promotion et Défense des Étudiants (PDE) est une association loi 1901 qui fait partie des organisations étudiantes représentatives selon les termes de la loi d'orientation sur l'éducation n°89-486 du 10 juillet 1989.
PDE se revendique comme le représentant du mouvement associatif « indépendant et apolitique » au niveau national. Ils participent aux prises de décisions des différentes institutions nationales de l'enseignement supérieur français et fait le choix de limiter ses prises de positions aux thématiques liés à la vie étudiante.
PDE fédère des unions d'associations étudiantes monodisciplinaires.
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[modifier] Composition actuelle
PDE est une association régie par la loi du 1er juillet 1901, créée en 1994. C'est une organisation étudiante représentative selon les termes de la Loi d'Orientation sur l'Éducation n°89-486 du 10 juillet 1989. Elle représente les étudiants en participant aux prises de décisions des différentes institutions nationales de l'enseignement supérieur français.
PDE se définit (comme les associations qui la composent) comme apartisane, aconfessionnelle et asyndicale. Cependant elle a été classée à droite par le nouvel observateur [1].
PDE regroupe quatre associations nationales monodisciplinaires[2] :
- le B.N.E.I. (Bureau National des Élèves Ingénieurs)
- l' U.N.E.D.E.S.E.P. (Union Nationale des Étudiants en Droit, gEstion, Sciences Économiques et Politiques)
- l' U.N.E.G. (Union Nationale des Étudiants en Gestion)
- La F.N.E.B. (Fédération Nationale des Etudiants en Biologie)
[modifier] Anciennes associations membres
Les associations ayant été adhérentes sont :
- l'A.N.E.P.F. (Association nationale des étudiants en pharmacie de France) de 1994 à 2006 ;
- l'A.N.E.M.F. (Association nationale des étudiants en médecine de France) de 1995 à 1996
- l'A.N.E.M.K.E.F. (Association Nationale des Etudiants en Masso-kinésithérapie et Ergothérapie de France) de 1998 à 2002 ;
- l'U.N.E.A.E.S. (Union nationale des étudiants en AES) de 1998 à février 2006 ;
- la FE.N.E.PSY (FEdération Nationale des Etudiants en PSYchologie) de 2002 à février 2006 ;
- la F.N.S.I.P. (Fédération Nationale des Syndicats d'Internes en Pharmacie), membre associé depuis 2002, a quitté PDE en janvier 2006.
Les associations ayant quitté la structure en 2006 expliquent leur choix de partir en dénonçant l'élection de la nouvelle direction[3] [4], qu'elles considèrent comme trop proche des mutuelles étudiantes régionales, ainsi que de l'UMP et des robiénistes de l'UDF.
[modifier] Histoire
[modifier] La création
La création d'une deuxième fédération d'associations étudiantes est le résultat de clivages internes à la FAGE. En 1994, les fondateurs de PDE reprochent à la FAGE, dont ils sont alors membres, ce qu'ils considèrent être une dérive syndicale, ainsi que le choix du faible poids accordé aux monodisciplinaires dans la structure, aux dépends des fédérations de ville, structures fondatrices de la FAGE. Des rivalités entre les mutuelles régionales (SMER) (notamment la SMERRA), pèsent aussi en faveur de la constitution de PDE. La FAGE, quant à elle, reste alors plutôt proche de la SMESO, de la MGEL et de la SMEREP, ainsi que de la MNEF jusqu'à sa disparition. Ces rivalités mutualistes qui jouèrent un rôle non négligeable dans la division du milieu associatif étudiant sont certainement encore aujourd'hui en partie à l'origine des difficultés de réunification des deux structures.
Les fondateurs de PDE sont trois associations nationales monodisciplinaires :
- l' A.N.E.P.F. (Association Nationale des Étudiants en Pharmacie de France)
- la F.N.E.B. (Fédération Nationale des Étudiants en Biologie)
- l' U.N.E.D.E.S.E.P. (Union Nationale des Étudiants en Droit, Gestion, Sciences Économiques et Politiques)
Avant 1994, une structure commune se substitue à la FAGE et tente de dépasser les divisions : il s’agit de la FAGEM. Toutefois l’échec du fonctionnement de cette structure conduira les unions monosdiciplinaires à créer leur propre organisation nationale : PDE. Elles reprochent alors à la FAGE :
- de trahir la représentation étudiante indépendante en concédant des alliances, sous forme d’intersyndicales (exemples récurrents au CNESER).
- d’entretenir des relations avec les mutuelles étudiants telles que la MNEF, comme l’atteste cet extrait d'un rapport parlementaire sur le régime de sécurité sociale étudiante : « La FAGE, dont le président était numéro 2 sur la liste " Reconstruire ensemble la MNEF " a, également, perçu des aides indirectes de la MNEF ».
- d’entretenir des relations avec des organisations politiques ou confessionnelles, telles que son alliance avec les mouvements communautaires (exemple de la liste commune entre la Fage et l’EMF pour les élections étudiantes nationales au CNOUS).
- de créer des structures de services à but lucratif, en opposition avec les valeurs des associations étudiantes (exemple de la SARL « Fage asso services »).
[modifier] 12 ans de représentation étudiante
PDE dispose d'un élu CNESER dès 1994, même si sa création a lieu peu de temps après. En janvier 1996, l'ANEMF (Association Nationale des Etudiants en Médecine de France) quitte la FAGE pour rejoindre PDE. Cette même année, PDE ne souhaite pas se présenter aux élections CNOUS, souhaitant ainsi laisser la gestion des œuvres universitaires et scolaires aux fédérations étudiantes locales, donc à la FAGE.
Les élections CNESER de 1996 voient l'affrontement de deux listes associatives : la FAGE et PDE. Alors que 1994 était l'année d'une victoire des associations étudiantes au CNESER, la division n'est pas bénéfique et l'UNEF-ID progresse. On note alors une diminution des représentants associatifs.
L'année 1997 aurait pu voir une réunification des structures associatives mais après diverses réunions, elle n'a pas lieu.
Alors que l'ANEMF rejoint à nouveau la FAGE en 1998, l'UNEAES quitte cette dernière pour rejoindre PDE suite aux élections CNESER. L'élu CNESER de la FAGE issu de l'UNEAES prend donc l'étiquette PDE et ne démissionne pas de son poste. Conjointement, PDE se présente pour la première fois aux élections CNOUS et obtient son premier élu. Ce changement d'attitude est important car désormais, PDE se reconnaît comme compétente d'un point de vue technique et social pour intervenir au CNOUS.
En 2000, PDE et la FAGE souhaitent présenter une candidature commune aux élections du CNOUS et créent ainsi le CFAEOUS (Centre de Formation des Élus Associatifs aux Œuvres Universitaires et Scolaires). Les élections sont un échec, le nombre de voix attendu n'est pas là et certaines associations locales ne se reconnaissent pas dans cette structure commune : le discours faisant la promotion d’une unité associative nationale, soutenue par la base locale, est donc démenti par les faits. Une nouvelle organisation nationale pourra naître à la condition de ne pas être le fruit d’un accord technique, mais bien d’une convergence des valeurs et de l’éthique de l’action associative. Les élections CNESER suivantes marquent à nouveau la présence de deux listes distinctes.
Lors des élections du CNESER et du CNOUS de 2002, PDE ne progresse pas et obtient un élu dans chaque instance. Le débat de 1997 et de 2000 autour d’une liste commune aux élections CNOUS n’a pas été mené : la FAGE a fait le pari de faire liste commune avec l’EMF et de progresser électoralement en s’appuyant sur les listes communautaristes. PDE reste aconfessionnelle et indépendante, et condamne cette nouvelle dérive de la FAGE. Peu de temps après les élections, en mars 2002, les associations étudiantes en psychologie se fédèrent et créent la FENEPSY, qui adhère à PDE.
En 2003, une nouvelle monodisciplinaire quitte la FAGE pour PDE. Il s'agit du BNEI (Bureau National des Élèves Ingénieurs), ce qui permet à PDE de récupérer un élu CNESER, qui change d'étiquette sans démissionner de son poste.
Cette même année, les associations des IAE (Institut d'Administration des Entreprises) et des MSG (Maîtrises et Sciences de Gestion) se fédèrent et créent l'UNEG (Union Nationale des Etudiants en Gestion).
Les élections 2004 marquent un tournant pour PDE car pour la première fois, le centre de formation dispose de deux élus au CNESER et progresse en nombre de voix au CNOUS tout en gardant un élu.
Ainsi depuis 1994, PDE est représentée au sein du CNESER. De même, depuis 1998, PDE est représentée au sein du conseil d’administration du CNOUS. Cette présence institutionnelle démontre un engagement et une implication importante.
Pour autant, PDE a perdu un élu au profit de la FAGE lors du renouvellement des représentants étudiants au CNESER en 2006, même si l'organisation conserve un siège.
[modifier] La crise de janvier 2006
Le 6 janvier 2006, la FNSIP a quitté PDE pour divergence d'objectifs, à la suite de l'assemblée générale ayant élu le nouveau bureau. Elle fut suivie par la désaffiliation de :
Cette crise fait suite à la proposition de la FAGE faite au début du mois de janvier 2006, elle propose aux membres actifs de PDE de construire une organisation associative unique. Mais finalement les monodisciplinaires dissidentes n’ont pas créé une organisation indépendante, mais ont renforcé la FAGE. Elles ont aussi échoué dans leur tentative de réunir l’ensemble des unions monodisciplinaires au sein de la FAGE.
[modifier] Et l'avenir?
L’objectif de PDE, sur la base de scores électoraux enregistrés en 2006, de poursuivre un travail de fond pour conduire les réformes du système d’aides sociales étudiantes et les réformes de la gouvernance de l’enseignement supérieur. Suite aux mouvements anti-CPE, PDE participe activement aux réflexions relatives à l’insertion professionnelle des jeunes.
Enfin des réunions thématiques sous forme de séminaires de formation et des congrès étudiants continueront à être organisés afin :
- de permettre un dialogue entre les responsables institutionnels et les élus étudiants ;
- de mener des concertations de fond avec les élus étudiants afin de valider les positions de PDE avec l’ensemble des associations ;
- de favoriser la cohésion du milieu associatif autour de ses valeurs : le corporatisme, l'apolitisme, l'anti-syndicalisme, le bénévolat et la participation étudiante dans un esprit de collaboration.
Les discussions relatives au rapprochement sont désormais rendues impossibles par la crise de janvier 2006, où l'instrumentalisation par la FAGE du projet de réunification a échoué.
[modifier] Implication de PDE dans des structures universitaires
- PDE est membre fondateur de l’AFIJ, l’association pour faciliter l’insertion des jeunes. Cette association a été crée par l'ensemble des organisations étudiantes et des mutuelles étudiantes.
- l’OTU (Office du Tourisme Universitaire) dont PDE fait partie des administrateurs ;
- l’ONISEP, où PDE a un administrateur suppléant ;
- le Groupe de Recherche Enseignement Supérieur Santé (GRESS)
- Observatoire de la vie étudiante (OVE).
- la Commission Armée Jeunesse (CAJ)
Le rôle de PDE est de représenter les élus étudiants et les associations indépendantes auprès des pouvoirs publics. En complément du travail effectué par les élus nationaux et les administrateurs de PDE, l’organisation étudiante rencontre les parlementaires sur les projets de loi de finance et les principaux projets relatifs à l’enseignement supérieur. PDE est reçue fréquemment par les différents ministres en charge des questions étudiantes et universitaires.
[modifier] Positions de PDE sur la politique universitaire
- Participation aux travaux de la commission Hetzel sur l’Université et l’emploi durant le premier semestre de l’année 2006
- Participation aux travaux du député M. Laurent Wauquiez sur le thème des aides sociales étudiantes durant le premier semestre de l’année 2006
- La citoyenneté et la participation étudiante (exemple du rapport du CIDEM de mars 2004 : « Etude sur la participation des étudiants aux élections universitaires » auquel PDE a participé)
- Participation aux débats sur la dimension européenne de l’enseignement supérieur et la réforme LMD (exemple du rapport du parlementaire M. Michel Herbillon en 2004)
Liens : www.assemblee-nationale.fr/12/europe/rap-info/i1927.asp et www.bologna-bergen2005.no/.../050127-28-Participants.pdf
- Participation aux débats sur le projet de loi sur l’autonomie des universités (automne 2003)
- Participation aux débats sur le logement étudiant, avec notamment le rapport du député Jean-Paul Anciaux (2004)
- Participation aux débats sur les pratiques culturelles, sportives et citoyennes des étudiants (exemple du rapport « Mission sur les pratiques culturelles, sportives et citoyennes en faveur de la jeunesse » paru en 2004)
- Participation aux débats sur l’autonomie de la jeunesse
- Participation aux débats sur l’avenir du régime de sécurité sociale étudiante (exemple du rapport parlementaire de 1999 auquel PDE a été auditionné) :
Enfin, PDE participe activement aux activités du GERME et à la mission CAARME.
[modifier] Organisation
[modifier] Le Bureau actuel
- Présidente : Nadine Vrignaud , étudiante à l’IAE de l’université de Paris I - Panthéon Sorbonne
- Secrétaire général : Alexandre Vasseur, étudiant à l’UFR Sciences Exactes et Naturelles de l’Université de Reims Champagne-Ardennes (URCA)
- Trésorier : François Lehoux, étudiant à la Faculté de Droit de l’université Jean Moulin (Lyon III)
- Délégué général Formation et Élections : Fabrice Julien, étudiant à l'Université Technologique de Compiègne (UTC)
- Délégué général Communication : Nicolas Cacopardo, étudiant à l'Université Paris 9 - Dauphine
- Délégué général Représentation : Xavier Laurent (UNEDESEP), étudiant à la faculté de droit de l’université Jean Moulin (Lyon III).
[modifier] Fonctionnement interne
PDE fonctionne selon un modèle confédéral. En effet, chacune des associations nationales membres assume indépendamment la représentation propre à son secteur disciplinaire, tout en ayant la qualité d'organisation étudiante représentative
PDE est composée d'un Bureau dont les membres sont cités ci-dessus. Le Conseil d'administration est composé de trois représentants par monodisciplinaire adhérente (dont le président de chacune d'entre-elle). Les Assemblées Générales sont l'occasion de renouveler le bureau et de valider les bilans moraux et financiers.
Les relations entre PDE et les SMER s’expliquent par le positionnement des associations étudiantes, favorables au développement du régime de sécurité sociale étudiante et aux acquis sociaux. Par ailleurs, les SMER ont été créées par des membres d'associations étudiantes, elles-mêmes fondatrices de PDE, et les relations restent proches.
[modifier] Objectifs
PDE se revendique comme le premier réseau associatif national totalement apolitique[8]. Les associations membres de PDE souhaitent contribuer à leur niveau, par leur offre de services aux étudiants, par l'animation des campus, etc, au développement de la vie étudiante.
PDE s'en fait le relais au niveau national et permet d'effectuer un travail technique mais aussi une action de formation et d'information auprès de ces associations locales.
[modifier] Moyens
Afin de réaliser ses objectifs, PDE dispose de moyens financiers et logistiques. Comme toute organisation représentative, elle touche une subvention de la part du ministère de l'Éducation Nationale au titre de ses élus au CNESER et au CNOUS.
PDE utilise une partie des subventions pour assurer son fonctionnement interne et l'organisation de séminaires de formation pour les élus (deux à trois fois par an), la publication d'un journal (Acteur Étudiant) et la formation à la demande des associations locales.
L'autre partie des subventions ministérielles est reversée aux monodisciplinaires membres pour leur fonctionnement et l'organisation de formations dans leurs domaines de compétences.
PDE organise tous les deux ans un congrès où elle rassemble l'ensemble de ses associations membres, des acteurs de l'enseignement supérieur et des partenaires mutualistes pour former, discuter et proposer.
[modifier] Représentativité
Ayant des élus au CNOUS ou au CNESER, PDE est représentatif auprès du ministère de l'Éducation Nationale, au terme de la loi Jospin du 10 juillet 1989.
| Année | 1994 | 1996 | 1998 | 2000 | 2002 | 2004 | 2006 |
|---|---|---|---|---|---|---|---|
| CNESER | 1 | 1 | 1 | 1 | 1 | 2 | 1 |
| CNOUS | - | - | 1 | 1 | 1 | 1 | 1 |
En 2006, l'UNEF possède un total de 7 élus au CNOUS et CNESER, la FAGE 7 , la Confédération Étudiante 1 et l'UNI 2 élus.
Au niveau du CNESER, PDE devient la dernière organisation derrière la Confédération Étudiante, nouvelle venue.
[modifier] Anciens bureaux
* De 1994 à 1996
- Président : Frédéric Badey
- Trésorière : Elisabeth Ségard
- Secrétaire Général : Jean-Luc Silberstein puis Sylvain Arnaud
* En 1996
- Présidente : Valérie Dessemond
- Trésorier : Damien Mandry
- Secrétaire Général : Fabrice Labaume
* De 1997 à 1999
- Président : Guillaume Fumanal
- Trésorier : Karim Sahrawi
- Secrétaire Général : Frédéric Turlan
- Vice-président : Eric Lecoq
* De 1999 à 2001
- Président : Eddy Agnassia
- Trésorière : Anne-marie Garcia
- Secrétaire Général : Arnaud Malioche
- Déléguée Générale: Géraldine Pflieger
* En 2001
- Président : François Salicis
- Trésorière : Gaelle Manson
- Secrétaire Général : Ariel Sakh
- Délégué Général : Jérôme Mourroux
* De 2001 à 2003
- Président : Jérôme Mourroux
- Trésorier : Ariel Sakh
- Secrétaire Général : Renaud Pfeffer puis Guillaume Briant
- Vice-présidente : Virginie Baudais puis Nicolas Ménard
- Vice-président : Kris Canales puis Ludovic Wahnert
- Vice-président : Vincent Guala
- Vice-président : Arnaud Mouly puis Philippe Sommer
- Vice-président : Yannick Morvan
* De 2003 à 2004
- Président : Jérôme Mourroux
- Trésorier : Ariel Sakh
- Secrétaire Général : Guillaume Briant
- Délégué Général : Fabrice Julien
- Délégué Général : Yannick Morvan
- Délégué Général : Goddhus Razafimanjato
* De 2004 à 2005
- Président : Jérôme Mourroux
- Trésorier : François Lehoux
- Secrétaire Générale : Nathalie Rumolo
- Délégué Général : Fabrice Julien
- Délégué Général : Yannick Morvan
* 2005
- Président : Alexandre Boquillon
* De 2005 à 2006
- Président : Sébastien Coudert
* 2006
- Présidente : Dorothée Folliet
- Trésorier : Xavier Laurent
- Secrétaire Générale : Jordi Montesinos
- Délégué Général : Fabrice Julien
- Délégué Général : Brice Margraitte
[modifier] Notes et réfénces
- ↑ http://permanent.nouvelobs.com/social/20060217.OBS7014.html
- ↑ http://www.pde.fr/html/index.php?idpage=3
- ↑ PDE: le nouveau bureau ne fait pas l'unanimité en interne. La FNSIP annonce son départ. dépêche AEF du 11/01/2006, n°60087
- ↑ L'ANEPF et la FNEB quittent PDE qui condamne "les méthodes choisies" », dépêche AEF du 20/02/2006, n°61593
- ↑ « La FENEPSY annonce son départ de PDE », dépêche AEF du 06/02/2006, n°61113
- ↑ « L'Union nationale des étudiants en administration économique et sociale quitte PDE », dépêche AEF du 15/02/2006, n°61436
- ↑ L'ANEPF et la FNEB quittent PDE qui condamne "les méthodes choisies" », dépêche AEF du 20/02/2006, n°61593
- ↑ http://www.pde.fr/html/index.php?idpage=3&id=1
- « PDE change de bureau. Dorothée Folliet prend la présidence », AEF, 09/01/2006, n°59963.
[modifier] Voir aussi
[modifier] Lien externe
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