Vouivre
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La vouivre et une créature fantastique. C'est une sorte de dragon ailé qui porte une escarboucle sur le front. Cet œil, une gigantesque pierre précieuse, est parfois caché dans les roseaux des berges d'une rivière ou d'un lac tandis que la vouivre y pêche, et peut être subtilisé par un voleur audacieux. Le reste du temps, la vouivre veille sur les trésors souterrains.
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[modifier] Vouivre et wivern
La vouivre et la wivern ne paraissent pas être exactement la même créature, car les définitions n'insistent jamais sur les mêmes choses selon la langue. Les définitions suivantes ont été créées en comparant de nombreux dictionnaires français et anglais. On constatera qu'elle sont différentes l'une de l'autre :
Français
Dans les contes populaires et en héraldique, serpent fantastique préposé à la garde d’un trésor possédant un corps de serpent, des ailes de chauve-souris et des pattes de pourceau.
En littérature : Marcel Aymé voit la vouivre comme une jeune femme nue vivant au milieu des marais et protégeant un Diamant. Cédric Vincent, quant à lui fait un mixe des deux versions. Il imagine la vouivre comme un esprit lié à l'eau, qui se présente aux humains sous l'aspect d'une femme lorsqu'elle est heureuse, d'un dragon à deux pattes lorsqu'elle est en colère.
Anglais
Dans les contes populaires et en héraldique, serpent fantastique possédant deux pattes, deux ailes et une queue hérissée de pointes.
[modifier] La guivre en héraldique
Vouivre, en patois de Franche-Comté, est l'équivalent du vieux mot français "guivre" qui signifie serpent et qui est resté dans le langage du blason.
En héraldique, la guivre est un serpent en pal ondoyant, engloutissant un enfant (l'issant). Elle est assez répandue en héraldique italienne. En héraldique anglaise, la wyvern est un dragon ailé à deux pattes.
[modifier] Aspects étymologiques
[modifier] Orthographe variable
L'orthographe de Vouivre varie beaucoup selon les légendes. On trouve guivre, wivre. On trouve, en Franche-Comté, le nom de « vouire » pour vouivre, ce qui semble plus proche de la racine primitive. Certains considèrent le mot « Vouivre » comme berrichon. Dans le patois bourguignon, une "Vouivre", ou une « Vivre », désignait une jeune fille résolue et vive.
On retrouve aussi son nom en toponymie, par exemple dans Woëvre (prononcé Ou-âvre), région du nord-est de la France dans le nord-ouest de la Lorraine, plateau et autres cours d'eau.
« Guivre », ou « Givre », est souvent orthographié « wivre » comme dans la Nièvre, et parfois « Nwywre » à propos du serpent gravé sur le menhir de Manio à Carnac (worm et wurm en anglais et en allemand).
Vèvre, Vaivre, ou vaisvre, sont d’autres noms de la vouivre.
Le Manuscrit des Paroles du Druide sans nom et sans visage préfère la sonorité Vuipre, plus âpre et plus rude. Parfois, il est orthographié « Wivre », le W marquant bien, par sa sonorité autant que par sa graphie, le mouvement du serpent, son ondulation, la vibration.
[modifier] Une étymologie discutée
Son nom viendrait du latin vipera signifiant vipère. L'origine de son appelation pourrait aussi provenir de vivere (vivre en latin).
Dans vouivre, certains retrouvent une racine indo-européenne Gwer, Gwor, indiquant une idée de "chaleur" et dont dérivent des mots allemands, anglais et français qui ont perdu le son guttural initial ou qui l'ont adouci en un f comme warm et four; en d'autres termes.
La "Vouivre" ou la Guivre aurait été primitivement un "serpent de feu" et non pas un serpent d'eau. Cette étymologie expliquerait pourquoi les vouivres ont des ailes et portent au front une escarboucle étincelante, c'est-à-dire un charbon ardent, en latin "carbonculus"; quand elles plongent dans les fontaines ou dans les puits, elles laissent leur escarboucle sur la margelle. Il y a là une association de la "vouivre" avec une idée de lumière et de chaleur sortie des entrailles de la terre; aussi, traditionnellement la vouivre garde-t-elle les trésors souterrains. Souvent d'ailleurs la Vouivre crache le feu.
[modifier] Adjectifs dérivés
Dans les ouvrages de référence moderne, il existe un flou certain quant au sens des adjectifs se rapportant à cette notion.
Les ouvrages de référence modernes répertorient trois sens différents pour les adjectifs guivré et vivré, en héraldique, soit les sens 1 et 2 pour l’adjectif guivré et le sens 3 pour l’adjectif vivré. Or l’édition de 1762 du Dictionnaire de l’Académie française renvoie à vivré sous guivré.
On trouve aussi la forme givré dans le Littré comme synonyme de guivré. On peut donc dire, contrairement à ce qui est écrit dans le dictionnaire Antidote, que givré est un ancien synonyme de guivré, et non son paronyme.
1. Orné d’une tête de guivre.
2. Orné d’une ou de plusieurs guivres.
3. Pièce dont les bords en dents de scie ou ondulés rappellent la queue de la guivre.
[modifier] Aspects folkloriques
[modifier] Vivacité des légendes
Monstre folklorique, la vouivre, si longtemps oubliée, fait pourtant partie intégrante, depuis des siècles, du Patrimoine français. Son souvenir reste néanmoins vivace. Ainsi, tous les vingt ans se célèbre à Couches (Saône-et-Loire) la fête de la « Vivre », en l’honneur d’un monstre qui semait la terreur. La légende remonte à 1328 et la prochaine fête sera en 2008. La richesse des traditions vivantes est extraordinaire.
[modifier] L'escarboucle ou l'œil unique
De nombreuses vouivres sont représentées comme une sorte de dragon ailé qui porte une escarboucle sur le front. Cet œil, une gigantesque pierre précieuse, est parfois caché dans les roseaux des berges d'une rivière ou d'un lac tandis que la vouivre y pêche, et peut être subtilisé par un voleur audacieux.
Cette pierre a fasciné les hommes. Leur convoitise se retrouve dans de nombreuses légendes de nos provinces et les amène à la tuer pour s'emparer du diamant comme dans les contes similaires du Cantal, du Puy-de-Dôme, de Vienne, de Basse-Normandie, de Bresse, du Revermont... Paul Sébillot, dans "Le Folklore de France", a recensé beaucoup de légendes ainsi qu’Henri Dontenville dans son "Histoire et Géographie Mythiques de la France".
A Brétigny en Côte-d'Or, « Lai Sarpan du Bois du Roz » avait une couronne sur la tête, un œil de diamant, des écailles brillantes et sonores et un anneau à la queue.
Dans le conte, Le Serpent au diamant, le bûcheron qui dérobe l’escarboucle apprend de la bouche du roi qu’elle a le pouvoir de transformer le fer en or.
Les montagnes des Alpes et du Jura, un serpent volant aux proportions énormes, appelé vouivre, portait sur sa tête une aigrette ou couronne étincelante, et sur le front un œil unique, diamant lumineux qui projetait une vive lumière que l'on voyait de très loin. Lorsqu'elle voltigeait avec bruit de mont en mont, une haleine de flammes et d'étincelles sortait de sa bouche.
On voyait jadis dans les forêts de Luchon de grands serpents qui avaient une pierre brillante sur le front.
La « Male Beste » des bords de la Garonne est aussi, dotée au front d'un seul œil.
[modifier] Une apparence variable selon les régions
Les serpents volants ne sont pas rares. Tels ceux du Château de la Fraudière à Jouhet (Côte-d'Or) et de Presly (Cher), la serpente volante du Château de Rosemont à Luthenay-Uxeloup (Nièvre), la couleuvre volante du Château de la Motte-Chevagnes (Allier) entre autres.
Toutefois, la vouivre peut avoir d'autres formes : On conte que les habitants du Valais se débarrassèrent d'un monstrueux serpent nommé la Ouïvra qui enlevait les bestiaux de la montagne de Louvye... La Ouïvra avait une tête de chat sur un corps de serpent...
Dans le Berry, grand serpent de quarante pieds de longueur se réveillait de temps à autre; sa tête était celle d'un homme.
Dans le Mâconnais, on parle de la Bête Faramine, monstre « faramineux » qui volait d'un coup d'aile de la Roche de Solutré jusqu'à Vergisson, ou bien encore de Thouleurs jusqu'à la pierre de la Wivre du Mont Beuvray. Toutefois, la Bête Faramine de Vergisson, qu'on appelle aussi "le Peteu" a perdu tout caractère reptilien : elle est présentée comme un oiseau gigantesque, du moins en apparence, puisque, une fois tuée et plumée, la bête ne s'avère pas plus grosse qu'un poulet. [1] La bête Faramine est aussi connue dans le Poitou où on l'orthographie « Bête Pharamine ».
Le « Dard » du sud de la Gâtine avait le corps d'un serpent à queue très courte et quatre pattes, une tête de chat et une crinière tout le long du dos. Son sifflement faisait peur. Lorsqu’il était attaqué, il mordait cruellement, mais il n'était pas venimeux. Cependant, il avait coutume de téter les vaches.
[modifier] L'eau
L'élément aquatique est très fréquent dans les légendes de vouivre :
George Sand décrit dans Légendes Rustiques le Grand Serpent des étangs de la Brenne, près de Saint-Michel-en-Brenne. A Gargilesse, lieu de prédilection de George Sand, la Vouivre prend le nom de Gargelle.
Les légendes locales gardent le souvenir de la vouivre de Blamont (Doubs) qui lavait ses ailes brillantes à la source de la Fuge, de celle qui hantait les forêts du Mont Bleuchin (Doubs), de celle de Gémeaux (Côte-d'Or) qui se baignait dans la fontaine Demelet, de celles encore de Couches-les-Mines (Saône-et-Loire), de Vitteaux (Côte-d'Or), de Beaulon (Allier), de Fleury-sur-Loire (Nièvre)...
[modifier] Apparitions annuelles et trésors
Très souvent, la vouivre veille sur les trésors souterrains comme le montrent de nombreuses légendes du Nivernais. A Moraches, on conte qu’un serpent gardien d’un trésor, ne sortait qu’une fois l’an pour aller boire.
Sous la pierre de Vaivre du Mont Beuvray, la vouivre sortait de terre une fois l’an, à Pâques, et étalait ses trésors au soleil.
Pour son roman "La Vouivre", Marcel Aymé s’est vraisemblablement inspiré de la légende de la vouivre d'Avoudrey, la plus belle de Franche-Comté. Outre l'escarboucle, elle a une couronne de perles sur la tête, descend à minuit, le soir de Noël, au moment où, dans l'église, on chante matines, et vient boire à la fontaine voûtée du village. Elle pose un instant son escarboucle et sa couronne au bord de la source...
[modifier] Tous les "dragons" de France sont-ils des vouivres ?
Si l'on admet que vouivre puisse être un terme générique comme dragon, alors d'autres créatures peuvent aussi être des vouivres :
Un dragon ravageait le pays d'Ajoie (Doubs), celui des Combes (Doubs) gardait un trésor, on offrait des jeunes filles en pâture à celui de Domfront (Orne).
Le dragon de Lissagues (Basses-Pyrénées) tua le seigneur Gaston de Belzunce près de la fontaine, celui des creux du Laquet à Saint-André-de-Valborgue (Gard) était particulièrement horrible !
Et on en trouve à Douai, Mons, Vannes, Moret-sur-Loing, Troyes, Nevers, Avignon, Cavaillon, Sisteron…
La Coulobre (du latin coluber) provençale, c'est surtout le dragon sorti de la grotte de la fontaine de Vaucluse d'où sourd la Sorgue. Celle de Bagnols-sur-Cèze (Gard) a sept têtes et sept queues.
La « Bête Rô » tapie dans la caverne de la Pointe de Roux, près d'Aytre, dans le canton de La Rochelle en Aunis, la Kraulla de Reims, l'énorme serpent ailé de Niort, la « Male Beste » des bords de la Garonne, le lézard monstrueux du Médoc, le Lumeçon de Mons (Hainaut, Belgique) que combat saint Georges, les Vermines et les Vers, les griffons à queue de serpent et les basilics (coqs à queue de serpent), comme celui du puits de Coulaine à Claunay-le-Bouchet (Vienne), sont d'autres avatars du Dragon-Vouivre.
La déformation des prononciations donne des noms dérivés de «crocodile », monstre des bords du Nil qui a impressionné les voyageurs des temps passés: « cocodrilles », devenant « cocadrilles » en Sologne et « coquatrix », ou « cocatrics » dans de nombreux endroits. L'Auberge du Coquatrix, dans le Hurepoix, maintient encore le souvenir d'une ancienne légende. Il y a, à l'Hôtel-Dieu de Lyon, un crocodile qui fut tué, dit-on, sur le Rhône, au Moyen Âge !
Les dragons et les serpents ou les lézards vivent parfois en couple, et selon la Gest Maugis (XIIIe siècle), le cheval fabuleux Bayart serait né de l'accouplement d'un dragon et d'un serpent : « un dragon l'engendra ileuc en un serpent ».
A Provins (Seine-et-Marne) vivaient un dragon et une lézarde qui sont encore fêtés de nos jours.
Mais il y a aussi la Tarasque (du grec tarasso : épouvanter) dévoreuse, celle de Novès, terrifiante, qui ressemble à une ancienne Tarasque étrusque, celle d'Arles et celle de Tarascon, plus bonasse, dont la fête est remise actuellement à l'honneur. Peut-être ces Tarasques ont-elles pour ancêtre le serpent carnassier de trois mètres de long gravé dans une caverne des Beaumes-Latrone, située dans une falaise abrupte de la vallée du Gard ?
Dans la Légende Dorée, Jacques de Voragine, évêque de Gênes, décrit ainsi la Tarasque : « En ce temps, avoit en ung boys sur le Rosne, entre Arles et Avignon, ung dragon, demy beste et demy poisson, plus gros que ung beuf, et plus long que ung cheval. Et avoit les dents aguës comme une espée, et estoit cornu de chascune part, et se tapissoit en l'eaue, et tuoyt les passans, et noyoit les nefs... « Et quand on le suyvoit par une espace de temps, il mettoit hors l'ordure du ventre, ainsi comme ung dart et brusloit tout ce à quy il touchoit. Et Marthe, à la prière du peuple, alla là, et le trouva mengeant ung homme en sa bouche. Et lors getta dessus »uy l'eaue benoiste, et luy monstra une croix : et fut tantost vaincu, et se tint comme une brebis, et lors Marthe le lya de sa sainture. Et fut tantost tué du peuple à lances et à pierres, et ce dragon estoit appellé, de ceulx du pays, Tarascon, Tarasconus.»
Louis Dumont, dans son livre La Tarasque, essai de description d'un fait local d'un point de vue ethnographique, a étudié minutieusement la tradition millénaire qui commémore la soumission de ce dragon dévorant à sainte Marthe. Le chanoine Bovis la décrit ainsi : «Elle était de la grosseur d'un taureau, ayant la teste d'un lion, le crin d'une jument, les dents comme des épées, le dos tranchant comme une faux, la queue couleur de vipère. Elle était couverte d'écailles comme une tortue ». Mais la Tarasque que l'on sort actuellement pour la fête annuelle est d'un aspect beaucoup plus débonnaire !
Le Drac par exemple, qui se jette dans l'Isère à Grenoble, est souvent cause d'inondation, et un ancien dicton dauphinois dit : «Lo serpen e lo dragon Mettron Grenoble en savon. Il en lessive les rives ! »
[modifier] Vouivre et symbolisme contemporain...
Dans Le Pape des Escargots d’Henri Vincenot, le héros se déplace en suivant les chemins de la vouivre, les chemins qui serpentent dans les campagnes, ce que font traditionnellement tous les pèlerins. Les cannes des paysans de nos campagnes, souvent décorées d'une vouivre, témoignent d'une ancienne connaissance qui a traversé les siècles : le serpent est symbole de sagesse et de guérison. La vouivre représente les courants d’énergie tellurique qui innervent la Terre considérée comme vivante.
Sur les hauts lieux, son énergie rejoint l’énergie cosmique. C’est pourquoi à ces endroits se succèdent depuis des millénaires les cultes, celtes, gaulois, romains et chrétiens. Beaucoup de sources sont dites « guérisseuses » parce qu’elles sont "chargées de l’énergie de la vouivre" du lieu.
Dans les temps reculés, il y eut sans aucun doute en France, en de nombreux endroits, de culte à la Terre-Mère dont le serpent est l'attribut. Certains, comme à Longpont-sur-Orge ou à Montmorillon, furent des lieux de culte à Isis.
Le serpent a été associé au féminin, et tout particulièrement aux Déesses-Mères. Son mouvement ondulatoire et sa forme l’associent à l'énergie sexuelle ; ses résurrections périodiques et ses mues l'associent aux phases de la lune qui incarnent le pouvoir régénérateur des eaux, mais aussi énergies latentes renfermées dans le sein de la terre. Il représente la force vitale, étant à la fois créateur et destructeur ; il est de ce fait d’essence supérieure. Salus, déesse de la Santé et de la Guérison chez les Romains, a comme attribut le serpent.
Les Dragons-Vouivres sont très souvent donnés comme habitants des grottes ou des cavernes, des lieux souterrains, qui furent, affirment des lieux d'initiation à l'époque néolithique.
Les déesses-mères étaient souvent souterraines ; tel serait peut-être le sens du buste de femme gravé dans une grotte sous la station préhistorique de Cordie. La déesse au serpent du Fâ de Barzan est peut-être la transposition d'une déesse chthonienne gauloise. Les vierges noires sont les héritières de ces déesses-mères.
En Provence, Alphonse Daudet, très au fait des traditions de sa région, nous dit que la Tarasque est «connue dans tout le pays sous le nom de "la mère-grand" _»! Elle est soumise par sainte Marthe (Mar = mère).
L'Energie de la Tarasque, celle de la Terre Vivante émergeant du Chaos, c'est celle de la Grand'Mère, la Mère-Grand, sonorité MRG, comme pour Morgane, Morgue, Margot, Marguerite. Cette Mère-Grand est Mère de l'Unité, Merlin, Mère de la Lumière, Merlusine. Et Mélusine, chthonienne, avec sa queue de serpent, est une Vouivre, elle qui s'envole par la fenêtre du château de Mervent. Que de légendes et de contes ont été recensés là aussi sur toutes ces fées et sur bien d'autres !
[modifier] Notes
- ↑ Voir à ce propos Le peteu de Vergisson ou la bête faramine (légende mâconnaise du XVIII° siècle). Mâcon. Protat 1966. In-4 oblong, 42 pp.
[modifier] Voir aussi
- La Vouivre, roman de Marcel Aymé
- La Vouivre, symbole universel, essai de Kintia Appavou et Régor R. Mougeot aux éditions EDIRU, 2006.
- L'Œil de la Vouivre, d'Édith Montelle aux éditions La Nuée Bleue Éditions de l'Est.
- La Vouivre est également un tableau célèbre du peintre Léonor Fini.
- Article du Centre régional de documentation pédagogique de Franche-Comté, traitant de l'étymologie et du noyeau légendaire (http://crdp.ac-besancon.fr/ftp/lejal/vouivre7/intro.htm).
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