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Mayotte ne dispose que d'une circonscription, détenue lors de la XIIe circonscription par l'UMP Mansour Kamardine.
- Mansour Kamardine - Union pour un mouvement populaire, sortant
- Candidats des partis issus de la mouvance « Soroda » : nom du mouvement historique qui s'est battu pour le maintien de Mayotte au sein de la République française. Il s'est divisé dans les années 90 pour des conflits de personne (les fruits de sa scission se divisant eux-mêmes) mais aussi et surtout en raison de l'avenir institutionnel. Si tous ces partis sont départementalistes, certains défendent le maintien de certains des statuts particuliers de Mayotte (notamment sur la question religieuse, sur la polygamie), ou au contraire mettre l'accent sur certains droits entraînés par la départementalisation (comme le droit du sol) plutôt que d'autre ou bien tout simplement la création d'un département avec les mêmes statuts, droits et devoirs que les autres départements d'outre-mer:
- Bacar Ali Boto - Mouvement républicain et citoyen, affilié donc au parti chevénementiste national, départementaliste sous condition de maintenir les spécificités mahoraises
- Ahamed Madi - proche Union pour la démocratie française - Mouvement départementaliste mahorais, départementaliste sans demander de conditions particulières ou de statuts particuliers de Mayotte par rapport aux autres départements d'outre-mer, s'est détaché du MPM à la fin des années 90 alors qu'il semblait que les négociations pour obtenir le statut de département n'allaient pas aboutir
- Aly Abdoulatifou - Force de l'Alternance, tendance dissidente du Mouvement départementaliste mahorais, qui se bat surtout pour l'application du droit du sol et du regroupement familial avec les immigrés comoriens
- Ali Haduiri Hamada - Parti socialiste, maire de Bouéni
- Saïd Amadi « Raos » - Parti social mahorais, dissident du Parti socialiste, maire de Koungou
- Ahamada Salime - Les Verts