Front pour la libération des prisonniers politiques bretons
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Le FLPPB, sigle de Front pour la libération des prisonniers politiques bretons, a vu le jour pour sa première action le 26 octobre 2001, en réponse à la prolongation de la détention provisoire de militants politiques bretons présumés appartenir à l'ARB. Ce groupe souhaitait soulever ce problème d'emprisonnement par des actions non-violentes (à l'image des DEMOS au Pays basque).
Sommaire |
[modifier] Revendications
La principale revendication était la libération immédiate des prisonniers politiques bretons.
[modifier] Actions
Elles s'étendaient sur tout le territoire breton (5 départements) avec des actions également hors-Bretagne, comme dans les villes ou étaient maires Jean-Pierre Raffarin ou Roselyne Bachelot. Leurs actions allaient du cadenassage de gendarmeries, aux taguages de permanences de partis politiques français, en passant par le dérobage de panneaux signalétiques ou le déversement de fumier.
- 2001
- 26 octobre 2001, Première action du FLPPB, 40 bâtiments officiels enchaînés.
- 27 décembre 2001, 15 locaux tagués, le FLPPB revendique.
- 2002
- 15 février 2002, 8 permanences parisiennes ainsi que enchaînées, revendication FLPPB.
- 15 mars 2002, FLPPB revendique le déversement de dizaines de kilos de fumier pendant l'inauguration du local de soutien à Jean-Pierre Chevènement.
- 28 mars 2002, Action à Fougères, FLPPB.
- 9 novembre 2002, Des militants bretons « visitent » la ville de JP Rafarrin, revendication FLPPB.
- 21 décembre 2002, le FLPPB visite la ville de R. Bachelot.
- 2003
- 29 janvier 2003, Le FLPPB rend les panneaux.