Migration humaine
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Une migration humaine est un déplacement du lieu de vie d'individus. C'est un phénomène probablement aussi ancien que l'humanité. Les statistiques officielles évaluent entre 185 et 192 millions, le nombre de migrants internationaux pour les années 2000[1], pour les personne ayant quitté leur pays pour vivre et se fixer dans un autre pays pour au moins un an. Ce chiffre augmente de 2% par an, nonobstant les restrictions à l'immigration qui ont vues le jour dans de nombreux pays. Il mesure un stock et comprend la migration volontaire et la migration forcée. Les migrations internes aux pays sont également en augmentation, mais on parle alors plutôt de déplacement de populations (qui sont également volontaire ou forcés). Les statistiques montrent que les très grandes vagues migratoires ont récemment diminués, au profit d'une tendance à l'immigration choisie hélas favorable à la fuite des cerveaux et compétences des pays pauvres, au détriment de ces derniers. Les caractéristiques du phénomène migratoire actuel sont la diversification des pays de provenance et de destination ainsi que les formes prises par la migration. On estime que l'argent injecté dans les pays d'origine en provenance des pays d'accueil est au moins égal si ce n'est très supérieur à la quantité d'aides financières apportées par les pays dits « riches » aux pays plus pauvres. Les démographes considèrent que les migrations seront une importante variable d'ajustement d'ici 2050, échéance à laquelle 2 ou 3 milliards d'individus supplémentaires sont attendus sur la planète, alors que les effets des modifications climatiques se feront probablement déjà sentir et que certaines zones ne pourront plus nourrir une population supplémentaire.
[modifier] Définition
On suppose que l'homo sapiens est apparu en Afrique centrale. La présence d'humains dans tous les endroits de la planète résulte donc de nombreuses migrations.
Les flux migratoires sont classifiés selon leurs mobiles. On distingue notamment :
- les migrations économiques (déplacement de travailleurs)
- les migrations contraintes (fuite de persécutions, famines résultant souvent de guerres ; on parle aussi de conquête, d'invasion, d'exode, de colonisation…).
Pour l'ère post-industrielle, la migration correspond plutôt à un changement définitif de résidence, sauf pour le cas particulier des migrations saisonnières liées au phénomène des vacances. On parle alors, selon le point de vue, d’émigration (sortie du pays d'origine) ou d'immigration (entrée dans le pays de destination).
[modifier] Typologie des migrations
La migration peut prendre diverses formes (voir ci-dessous).
[modifier] Migration de travail (économique)
Elle est par nature difficile à évaluer compte tenu du manque de chiffres pour le secteur informel et des « clandestins ». Ces flux migratoires concernent environ 100 millions de personnes. Selon de récentes statistiques les principaux foyers de migration de travail se trouveraient en Inde et au Canada qui ont des politiques d'accueil à l'égard des populations.
[modifier] Migration permanente
il s'agit de migrations forcées. Ce sont des migrations forcées en effet comme réfugiés politiques par exemple.
[modifier] Migration de contrainte(ou migration de réfugiés)
Il s'agit de déplacements justifiés par des mobiles de contraintes : persécutions ethniques, religieuses, régimes politiques injustes, guerres civiles. 50 % d'entre eux concerneraient l'Afrique subsaharienne. Depuis plus de 100 ans, une partie de l'exode rural peut être assimilé à une migration de contrainte, exacerbée par l'industrialisation de l'agriculture, même dans les pays riches.
[modifier] Étude
Il s’avère aujourd’hui que les flux d’étudiants sont organisés en vastes systèmes fortement polarisés. L’essentiel des échanges s’effectue alors d’un pays du Sud vers un pays du Nord. Toutefois, cette polarisation s'accompagne d'une extension des zones de recrutement (départ) et d'un élargissement des destinations. Ces flux migratoires se diversifient et se mondialisent au détriment des relations classiques de pays à pays. Les relations privilégiées qu’entretenait la France avec ses anciennes colonies par le biais de la coopération se sont estompées et modifie le rapport d’offre et de demande dans l’espace international et/ou mondial de l’enseignement supérieur. Ainsi la relation autrefois exclusive entre le Maroc et la France est-elle en train de s'effacer au profit de relations multiples avec différents pays d'Europe occidentale et d'Amérique du Nord.
Ces flux migratoires d’étudiants sont pour 88 % en direction des pays de l'OCDE. L'unilatéralisme des flux au sein des systèmes d'enseignements supérieurs mondiaux est la caractéristique principale de ce type de migration. Elle est constituée d'environ deux tiers d'étudiants en provenance des pays du Sud (non OCDE) dont la quasi totalité étudie dans un pays du Nord (9 étudiants sur dix). Ces données globales traduisent les inégalités en matière d'éducation entre “pays du Nord” et “pays du Sud”. Le quelque tiers d'étudiants étrangers restant sont issus des pays du Nord et effectuent principalement une expatriation vers d'autres pays du Nord. Dans ce cadre global, pour la période 1960-2000, les effectifs d'étudiants expatriés ont crû de 7 % annuellement. On estime cette population [Unesco et OCDE] à près de 1,8 millions en 2000. Cette croissance traduit bien l’émergence d’une nouvelle problématique au sein des migrations internationales. L'un des changements essentiels du paysage migratoire mondial tient au « renversement des flux migratoires », selon l'expression d'Alfred Sauvy, entre le Nord et le Sud, les pays du Sud alimentant désormais la majorité des flux de départ. Mais la mutation n'est pas seulement géographique, elle concerne aussi la composition des flux selon le sexe et l’origine sociale des étudiants, leur durée et leur signification.
[modifier] Travail saisonnier
De nombreux pays (Espagne, Italie, France en particulier, pour l'Europe, USA pour l'Amérique du Nord..) utilisent une abondante main-d’œuvre saisonnière étrangère au moment de la culture ou récolte manuelle de certains fruits ou légumes. Ces employés sont souvent mal logés, mal payés et avec une couverture sociale imparfaite ou inexistante, tout en étant plus exposés aux pesticides et à diverses affections.
[modifier] Les migrations internationales
[modifier] Les migrations préhistoriques
[modifier] Colonisation du continent américain
- Article principal : Indiens d'Amérique
voir également : Théories du premier peuplement de l'Amérique
Pendant longtemps, on a pensé que l'Amérique a été peuplé par des peuples venus d'Asie et ayant traversé le détroit de Béring pendant la période glaciaire. Les découvertes récentes montrent que l'histoire du peuplement de l'Amérique est plus complexe. L'Homme de Kennewick, retrouvé dans le nord-ouest des États-Unis en 1996 a un profil « caucasien » (au sens étatsunien du mot). Luzia ainsi que des dizaines autres squelettes découverts à Cerca grande et sur le site de Pedra Furada, tous situés au Brésil, indiquent une origine australoïde évidente. Les squelettes mis à jour dans l'État de Mexico, La Femme de Peñon et L' Homme de Tlapacoya ont une morphologie à la fois proche du type caucasien et australoïde.
[modifier] Peuplement de l'Asie du Sud-Est insulaire, du Pacifique et de Madagascar
Il y a 5 000 ans (3 000 avant J.-C.), des habitants du littoral de la Chine du sud commencent à traverser le détroit pour s'installer à Taiwan. Vers 2 000 avant J.-C., des migrations ont lieu de Taiwan vers les Philippines. De nouvelles migrations commencent bientôt des Philippines vers Célèbes et Timor et de là, les autres îles de l'archipel indonésien. Il y a 3 500 ans (1 500 avant J.-C.), un autre mouvement mène des Philippines en Nouvelle-Guinée et au delà, les îles du Pacifique. Bien plus tard, du IXe au XIIIe siècles, des sources Arabes notent la présence, sur la côte est de l'Afrique et aux Comores, la présence de marchands et marins originaires des îles d'Asie du Sud-Est. Les Austronésiens sont sans doute les premiers grands navigateurs de l'histoire de l'humanité.
[modifier] Les migrations post-industrielles
[modifier] Les migrations au début du XXIe siècle
En 2005, le nombre de migrants[2] dans le monde est estimé entre 185 et 192 millions[3], soit environ 2,9% de la population mondiale. Ce chiffre masque les grandes disparités existantes entre les pays. 63% des migrants résident dans les pays développés et 34% dans les pays en développement. L'Amérique du Nord et l'Océanie comptent plus de 10% de migrants. Alors qu'en Afrique, Amérique latine et Asie les migrants représentent moins de 2% de la population totale de chaque région. Dans certains pays, les migrants représentent plus de 60% de la population, c'est le cas d'Andorre, Émirats arabes unis, Guam, Macao, Monaco, Qatar et le Vatican.
48,6% des migrants sont des femmes. La migration est concentrée sur un nombre restreint de pays d'accueil (55). 75% des migrants internationaux sont dans 12% des pays du monde. Les trois principaux pays d'accueil de migrants sont les États-Unis, la Russie et l'Allemagne. Les trois principaux pays d'origine des migrants sont la Chine, l'Inde et les Philippines.
En 1965, le nombre de migrants internationaux s'élevait à 75 millions. Au cours des quarante années suivantes, la croissance sera en continuelle augmentation. Rapportée à la population totale, la part des émigrés dans le monde qui était de 2,3% en 1965 a d'abord diminué durant la première décennie pour ensuite augmenter du fait du ralentissement de la croissance démographique. En 2050, les démographes prévoient 230 millions de migrants pour une population totale de neuf milliards.
Régions | Population totale[4] (milliers) |
Nombre de migrants[5] (milliers) |
% | Réfugiés (milliers) |
---|---|---|---|---|
Pays développés | 1 193 872 | 104 119 | 59,57 | 5 008 |
Pays en développement | 4 876 709 | 70 662 | 40,43 | 13 631 |
(dont pays les moins avancés) | (667 757) | (10 458) | (5,98) | (6 551) |
Afrique | 795 671 | 16 277 | 9,31 | 6 060 |
Asie | 3 679 737 | 49 781 | 28,48 | 8 450 |
Europe | 727 986 | 56 100 | 32,09 | 5 649 |
Amérique latine et Caraïbes | 520 229 | 5 944 | 3,40 | 576 |
Amérique du Nord | 315 915 | 40 844 | 23,37 | 1 051 |
Océanie | 31 043 | 5 835 | 3,34 | 85 |
Monde | 6 070 581 | 174 781 | 100 | 21 871 |
[modifier] Les raisons de la migration
Les migrations sont souvent qualifiées d'économiques ou de politiques. Elles peuvent être dues à une quête d'identité absolue, à un déracinement profond, à un mal de vivre, causes classées sous le thème d'exil volontaire. Par opposition, la migration involontaire peut être due à une situation de guerre (les gens fuyant leur propre pays) ou encore, à une situation économique précaire.
Voir aussi colonisation.
[modifier] Théories de la migration
Ci-dessous sont présentées les théories économiques de la migration du travail.
[modifier] Lois de Ravenstein
La première tentative de formalisation de la migration est à mettre au crédit de Ravenstein (1885). Il présente sept "lois" qui sont des faits stylisés tirés de l'analyse des données disponibles à l'époque:
- La plupart des migrants n’effectuent qu’une migration de courte distance. Ceux qui effectuent une migration de longue distance vont de préférence dans des centres de commerce ou industriels.
- Il résulte alors un déplacement progressif de la population en direction des centres.
- Chaque flux migratoire produit un contre-flux compensatoire.
- Les personnes du milieu urbain migrent moins que celles du milieu rural.
- Les femmes sont mieux représentées dans les flux de courte durée.
- La migration augmente avec le développement de la technologie.
- Le principal motif des flux migratoires est le désir de l’homme d’améliorer son statut sur le plan matériel.
[modifier] Modèles d'économie duale
Bien que développés pour décrire le processus de développement économique des pays en développement, les modèles d'économie duale peuvent servir à l'analyse de la migration. Selon l'approche dualiste, les économies se décomposent en deux secteurs: un secteur traditionnel et un secteur moderne. Le secteur traditionnel dispose d'un surplus de main-d'œuvre à l'origine d'une offre illimitée de travail. Le secteur moderne absorbe ce surplus en attirant la main-d'œuvre en offrant un salaire légèrement supérieur à la rémunération du secteur traditionnel (Lewis 1954, Ranis et Fei 1961).
Cette théorie prévoit donc un effet positif de la migration sur le secteur de départ en contribuant à réduire le chômage déguisé qui y prévaut et à égaliser les différences de rémunérations entre les secteurs. Le déterminant de la migration est le différentiel de rémunération entre le secteur traditionnel et le secteur moderne. Le flux migratoire perdure tant que ce différentiel n'est pas résorbé. Au niveau international, la migration de la force de travail est donc un facteur de convergence économique entre les pays.
L'observation empirique de périodes d'émigration accompagnées par du chômage ont mis à mal cette théorie, ce qui a conduit à l'émergence de nouveaux modèles dans les années 1970 (Todaro (1969) et Harris et Todaro (1970)).
[modifier] Approche probabiliste
Harris et Todaro sont les premiers à avoir développé une théorie de la migration dans laquelle la décision de migrer relève d’un choix rationnel qui prend en compte les avantages et les désavantages liés à la migration. La rentabilité de migrer ou non relève donc d'un calcul coûts-bénéfices. À partir d’un modèle d’économie duale, où le secteur agricole riche en main-d’œuvre s’oppose au secteur moderne relativement mieux doté en capital et bénéficiant d’une productivité plus élevée, ces deux économistes établissent les conditions de migration du secteur agricole (ou secteur traditionnel) vers le secteur moderne. Le choix de migrer dépend du différentiel de rémunération entre les deux secteurs.
[modifier] Théorie de la dépendance ou théorie du système mondial
La théorie néo-classique fut remise en cause dans les années 1970 par les théoriciens de la dépendance. Les économistes néo-marxistes, notamment Singer, s'intéressaient particulièrement à l'exode rural. Le centre constitué des industries exploiterait la périphérie spécialisée dans l'agriculture. La migration n'est qu'un corollaire de la domination du centre sur la périphérie.
[modifier] Nouvelle économie des migrations de travail
Les analyses économiques classiques de la migration du travail souffrent de deux principales limites: l'aspect purement individuel de la migration et la présence obligatoire d'un gain espéré pour justifier la migration. Ces deux aspects ont été remis en cause par les travaux[5] qui forment désormais ce qui est appelé la nouvelle économie de la migration du travail. Pour ce courant d'analyse, la migration repose sur un choix collectif fait par un groupe d'individus, souvent le ménage, dans une situation d'imperfections des marchés. La famille avance l'argent nécessaire pour payer les coûts de la migration (visa, passeport, transports, installation…). De plus, la migration peut être une des stratégies qui s'offre au ménage afin de diversifier ses sources de revenus. L'agriculture dans les pays en développement est particulièrement risquée car bien souvent les paysans ne disposent pas de moyen de s'assurer contre les risques. Par exemple, une mauvaise récolte peut entraîner une baisse des revenus. Afin de limiter les risques, un ménage peut choisir d'envoyer un membre du ménage à l'étranger. Les revenus de ce dernier dont une partie sera reversé au ménage sous forme de transferts d'argents feront office d'assurance informelle. La migration n'est plus déterminée par les écarts de revenus comme dans les théories précédentes, mais par une logique de diversification des revenus et d'assurance afin de lutter contre les imperfections de marché et de l'incertitude.
[modifier] Organisation de l'émigration
Les formes d'aides à l'émigration sont diverses et variées: famille, amis, communauté villageoise, diaspora, passeurs, agence privée de placement international, associations de migrants…
[modifier] Les effets de la migration
[modifier] L'émigration: un facteur de développement ?
Les aspects démographiques de la question migratoire Notion de surpeuplement relatif, en rapport avec un mode de production, de mise en valeur, et une croissance démographique. Peut être au point de départ de mouvements migratoires. (exemples historiques) Transition démographique. Théorie démographique, induisant un déséquilibre démographique liée à l'accroissement naturel. En conséquence déclenchement de migrations, notamment l'urbanisation. (La transition démographique liée historiquement à un développement industriel et une crise rurale). Le décalage historique de la transition démographique déclenche les phénomènes migratoires de manière différenciée. D'autant que même pour les pays ayant terminé leur transition démographique, ils peuvent se positionner par rapport aux flux, cette fois-ci comme pays d'accueil.
Le mouvement migratoire international, enjeux politiques et culturels La politique migratoire comme constante et élément constitutif d'un État moderne, les USA. Composition et mouvement historique, politiques et évolution. Les flux et reflux migratoires en Argentine. La migration comme outil social, politique et géographique, le Brésil ou l'Indonésie.
Les réseaux migratoires et la société française Migration fonctionne en réseau, met en relation les deux pays. Kabyles, communauté montagnarde plus frappée que d'autres en Algérie par le besoin migratoire et fonctionnant de manière propre et particulière par rapport au reste de la migration algérienne. Accidents historiques, réfugiés, Arméniens, Espagnols. Une double migration les Espagnols de l'Oranie, et le 'rapatriement'. Les transformations culturelles et sociales de la France par les flux migratoire. Racisme et xénophobie, paradoxes, poids de la guerre d'Algérie.
[modifier] Les effets de l'immigration
l'immigration va affecter l'economie et les elements societaux dans les cultures différentes
[modifier] Les nouvelles formes de migration
- Migration pendulaire: est un phénomène caractéristique des grands ensembles urbains et de la division spatiale des activités. L’expression désigne les déplacements quotidiens des personnes de leur domicile à leur lieu de travail et inversement. Les plages horaires déterminées justifient le qualificatif pendulaire.
- Écoréfugié ou réfugié climatique : migration humaine due au réchauffement planétaire.
[modifier] Notes et références
- ↑ Nations unies 2005
- ↑ Les statistiques internationales sur la migration comportent les réfugiés et personnes déplacées, mais elles ne prennent pas en compte les migrants irréguliers qui échappent aux comptabilisations officielles.
- ↑ Sauf mention contraire, les données proviennent de [1].
- ↑ Les chiffres sont pour l'an 2000 et proviennent du site de l'ONU, division Développement économique et social [2]
- ↑ Les chiffres sont pour l'an 2000 et proviennent du site du HCR [3]
[modifier] Voir aussi
[modifier] Bibliographie
- Cohen, Robin, Theories of Migration, Elgar, Cheltenham, 1996
- Guilmoto et Sandron, Migration et développement, La documentation française, 2003
- Harris et Todaro , 1970
- Lewis, Arthur , 1954
- Ravenstein E.G. (1885), The laws of migration, Journal of the Statistical Society, London, 48(2), 167-227.
- Stark, Oded, The Migration of Labour, Blackwell, Cambridge, 1991
- Stark et Bloom, , 1985
- Todaro, Michael P. A Model of Labor Migration and Urban Unemployment in Less Developped Countries, American Economic Review, 59(1), 1969, pp. 138-148
- Wihtol de Wendel, Catherine Atlas des migrations dans le monde, Paris, Autrement, 2005
[modifier] Liens internes
[modifier] Liens externes
- Organisation internationale pour les migrations (OIM)
- Haut commissariat des nations unies pour les réfugiés (HCR) (site francophone)
- Assemblée de l'ONU sur les migrations internationales et le développement.
- Commission globale sur les migrations internationales (GCIM)
- Centre de documentation du Swiss Forum for Migration and Population Studies (SFM)
- Chaire de recherche du Canada sur le droit international des migrations Revue de presse en ligne sur l'actualité des migrations; textes, analyses et vidéos en ligne sur la migration humaine
- Atlas de l'immigration en France entre les deux guerres (cartes et tableaux)
Revues
- International migration review
- Forced migration review
- Journal of ethnic and migration studies
- MIGRATION
- Actes de l'Histoire de l'immigration
Conférences
- Cycle de conférences UTLS "Déplacements, migrations, tourisme"
- La complexe dynamique des migrations internationales Série de conférences universitaires en ligne sur plusieurs aspects de la migration, automne 2005/hiver2006