Acupuncture
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L'acupuncture ou acuponcture (du latin : acus, "aiguille" et pungere "piquer"[1] ) dont la caractéristique la plus représentative est son traitement par implantation d'aiguilles, constitue l'une des composantes de la médecine traditionnelle chinoise.
L'acupuncture traditionnelle est un art thérapeutique qui élabore son raisonnement diagnostique et thérapeutique sur une vision énergétique taoïste de l'Homme et de l'univers : l'Homme, microcosme, organisé à l'image du Macrocosme universel, s'en trouve donc soumis aux mêmes règles, qui devront inspirer son mode de vie, et serviront de trame à l'élaboration de l'acte médical.
L'efficacité de l'acupuncture fait toujours débat au sein de la communauté scientifique.
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[modifier] Histoire
[modifier] Protohistoire
En Europe, on a retrouvé en 1991 dans un glacier situé à cheval sur l'Italie et la Suisse un corps congelé, et relativement bien conservé d'un homme baptisé Ötzi par les scientifiques. Cet homme, conservé dans les glaces pendant 5 300 ans (et ayant donc vécu vers -3 300 av. J.-C. environ), porte sur son corps des tatouages localisés à proximité de zones correspondant aux points d'énergie décrits par la médecine chinoise. Cela pourrait suggérer que ces zones étaient également connues en Europe à cette époque, et utilisées pour la poncture (ou la cautérisation comme c'est le cas de nos jours encore en Afrique du Nord, dans le Moyen et le Haut-Atlas). Ce point de vue est toutefois contesté par certains auteurs, qui ne voient qu'une pure coincidence entre la proximité des tatouages d'Ötzi et des points d'acupuncture (voir l'article Ötzi).
[modifier] Antiquité
En Inde l'utilisation de l'acupuncture est mentionnée il y a environ 5 000 ans dans l'Ayurveda (traité de médecine ayurvédique) et elle reste utilisée de nos jours en médecine traditionnelle indienne.
Le papyrus d'Eber (Eber 854a), qui date de -1 500, en pleine Égypte antique et visible au British Museum, donne une représentation de canaux dans lesquels circule un fluide (sang ou Qi [2]) et appelés metu.
[modifier] Premières traces de l'acupuncture chinoise
Les premières traces pourraient remonter à l'âge de pierre où des instruments affutés auraient été utilisés pour soigner les douleurs. Des aiguilles d'os ou de bambou auraient pu être utilisées avant la découverte de la technique de coulage du bronze (dynastie Chang - du XVIème au XIème siècle av. J.-C.) [3].
Le Nei Jing Su Wen est une compilation d'écrits sur l'acupuncture, la moxibustion mais aussi l'usage des drogues thérapeutiques, des massages et de la gymnastique, datée de la période des Royaumes combattants (-500 à -220) et la dynastie Han (-206. Il constitue la source historique la plus ancienne, bien que seules des éditions postérieures à sa période de rédaction supposée aient été retrouvées. L'acupuncture et la théorie des méridiens sont décrits dans certains des ouvrages datant du début de la dynastie Han (-168, soit 50 ans environ après la fin des Zhanguo) trouvés dans une tombe des Han (Mawangdui, 1973-75).
[modifier] Arrivée en Europe
L'acupuncture aurait été introduite en Europe au XVIIème siècle par Ten Rhyne, médecin de la Compagnie des Indes (1679) et Kæmpfer. Un siècle plus tard Dujardin et Vicq d'Azyr relatent le procédé dans leurs ouvrages respectifs. Il semble que ce soit Berlioz, père du compositeur qui, le premier, en ait tenté la pratique en France (1810), imité ensuite par de nombreux médecins ([1]).
[modifier] Époque industrielle
L'acupuncture fut interdite en 1822 par l'empereur chinois et supprimée du programme du Collège médical impérial. Mais elle survivra.
Mao Zedong essaiera lui aussi d'éliminer cette pratique - à cause de ses fondements taoïstes incompatibles avec l'idéologie marxiste - avant de la réhabiliter ([2]).
De nos jours, l'acupuncture occupe en Chine une large place dans la médecine pour un vaste éventail de pathologies [3], notamment dans les hôpitaux dont certains se sont vus transformés en hauts lieux touristiques [4]. De colossales expériences ont été entreprises, pas toujours en accord avec les principes traditionnels orthodoxes, aboutissant à la multiplication des points situés hors méridiens, et à l'avènement de nouvelles techniques telles que l'analgésie [5] par acupuncture.
Taiwan, où ont pu trouver refuge ceux des maîtres acupuncteurs qui ont échappé aux purges de Mao lors de son arrivée au pouvoir, reste un des hauts-lieux de l'acupuncture traditionnelle.
Le consul français en Chine, George Soulié de Morant (1878-1955), étudia l'acupuncture durant son long séjour dans l'Empire du Milieu, et publia lors de son retour en France un imposant traité qui fait toujours référence de nos jours [6].
[modifier] Théorie traditionnelle
Selon la tradition chinoise, l'être vivant, et ici, plus particulièrement, l'homme, est une organisation résultant de la combinaison de matière - le corps matériel ou physique - de nature yin, et d'énergie, qui anime la matière, de nature yang. L'équilibre harmonieux entre ces deux composants conditionne l'état de santé.
Les perturbations de cet équilibre sont responsables de la maladie.
Toute perturbation de nature à rompre cet équilibre affecte d'abord préférentiellement l'énergie.
L'énergie (Qi) est mouvement. Et sa perturbation princeps sera l'entrave au mouvement : le blocage. L'énergie bloquée en une région du corps matériel, s'accumule en amont du blocage, alors que les régions en aval du blocage vont se trouver en déficit énergétique. En présence d'un état de pathologie ainsi décrit, l'acupuncteur va établir son diagnostic en recherchant les niveaux auxquels l'énergie est bloquée, et quelle est la raison du blocage. Il va ensuite appliquer son traitement en levant le blocage et en corrigeant, si cela se peut, la raison de ce blocage.
L'aiguille, parmi d'autres moyens va lui permettre de diriger le cours des énergies.
L'énergie circule notamment le long de conduits appelés méridiens, et, à partir de ces méridiens, se répand dans tout le corps pour insuffler son principe vitalisant (yang) à l'ensemble des constituants de l'organisme. Elle a une certaine correspondance avec le sang, qui, lui-même, circule dans des conduits (vaisseaux) et se répand dans tout le corps pour l'irriguer de son principe yin.
Les méridiens principaux, sont parcourus de points qui sont autant de zones stratégiques. Contrairement à ce que s'imagine habituellement le profane, ces points n'ont pas en eux de vertu thérapeutique spécifique. C'est à dire qu'il n'y a pas un point du sommeil, un point de l'angine, de la douleur dentaire ou de la colique abdominale ... Les points permettent, ainsi que précisé plus haut, d'influer sur le cours des énergies.
Déjà bien compliqué, cet exposé n'en n'est pas moins très schématique et parcellaire. Car il n'y a pas une énergie, mais des énergies, chacune ayant sa spécialité ; outre les méridiens principaux, il y a encore une foule de méridiens aux fonctions diverses ; et l'équilibre de l'organisme humain doit toujours être évalué relativement à celui de son environnement, et de cycles qui vont en rythmer l'évolution. Cycles avec lesquels il devra rester en harmonie et dont les correspondances matérielles (les cinq éléments) vont servir de repère à l'acupuncteur pour établir son diagnostic et son traitement, en fonction de règles subtiles qui trouvent leur origine dans le taoïsme.
[modifier] Les points
Les méridiens principaux sont parcourus de points qui sont autant de zones stratégiques.
Les points les plus importants pour le traitement des énergies des méridiens par l'aiguille sont ceux situés près des extrémités.
Il est facile de s'assurer de la localisation d'un point : l'implantation de l'aiguille dans la peau est est en principe indolore : le simple contact de la pointe de l'aiguille n'est pas ressenti alors qu'il l'est un ou deux millimètres plus loin quand on est précisément dans le point.
Il y en a plus de 360 points répartis sur les méridiens, qui parcourent toute la surface du corps.
[modifier] Les méridiens
Les méridiens principaux sont au nombre de 12.
Ils débutent (ou se terminent) à l'extrémité d'un doigt (ou d'un orteil).
Conformément au cours d'un fleuve, dont ils sont la correspondance sur le corps, ils grossissent depuis leur source (extrémité d'un doigt) vers le centre du corps.
Ils disposent de nombreux affluents, ou méridiens secondaires, et nourrissent de leur énergie la chair et les muscles ; les organes internes, et la totalité du corps.
Les lignes médianes du corps sont parcourues par deux méridiens particuliers, l'un antérieur, l'autre postérieur.
Les méridiens constituent donc les voies par lesquelles l'organisme reçoit cette énergie, qui peut être apport nutritif, apport d'informations (notamment d'origine extérieure) mais aussi portes d'entrée pour certaines maladies.
[modifier] Les Six Energies
Taé Yang ; Chao Yang ; Yang Ming ; Taé Yin ; Tsiué Yin ; Chao Yin.
[modifier] Les Huit Entités viscérales
On peut les classer dans les Cinq éléments : bois, le Roun ; feu, le Chen; terre, le I et le Si; métal, le Pro; eau, le Tche et le Zhi;
[modifier] Effets physiologiques
Le concept de méridien est un concept empirique, établi à l'époque où l'on ne connaissait pas ou peu le fonctionnement de l'organisme. Le corps est parcouru de réseaux permettant la distribution des informations (système nerveux) et des produits nécessaires au fonctionnement des cellules (notamment circulation sanguine), la notion de méridien a donc pu être une compréhension intuitive de cette distribution à partir d'organes vitaux.
La cybernétique, dans son explication et sa méthodologie, est la découverte des antiques méthodes chinoises d'étude des flux (Chii) par des variables d'entrée (input) et des variables de sortie (output) pour interpréter les variables d'activité (throughput) sans besoin d'ouvrir la "boîte noire", de disséquer des cadavres. C'est la méthode expérimentale in situ du vivant dans ses activités vitales en situation. Cette méthode privilégie les interactions et les rétroactions plutôt que les éléments. La science occidentale analytique a fait une découverte tardive de l'information au XXe siècle, une des trois composantes fondamentales avec la matière et l'énergie. Cette "information" (ce qui permet de former ou structurer l'intérieur avec la matière et l'énergie) a lancé la percée spectaculaire de la biologie, dans la génétique et les "neurosciences". Les sciences occidentales ne se préoccupaient que de la matière et l'énergie, d'où, peut-être, le faux sens de "Chii" rendu en "énergie", comme, auparavant, la "phlogistique" qui concevait la "chaleur" comme "matière" avant de pouvoir imaginer la notion de "énergie".
La logique chinoise d'une approche écosystémique "globaliste" est aussi absurde pour la logique occidentale d'une approche analytique"élémentariste" que l'algèbre arabe des nombres négatifs pour la géométrie grecque. L'acupuncture, d'autre part, traite des flux et non pas des organes, des interactions et non pas des entités. La pensée chinoise ne s'est pas intéressée à la "structure" où le temps est absent, mais, par contre, elle s'est portée vers la "fonction" des activités et processus dans la flèche du temps du développement et de l'évolution. L'idée de l'entropie thermodynamique est dans la pensée chinoise[7] (voir Marcel Granet).
Certaines pressions à travers la peau induisent des actions réflexe, et la palpation à travers la peau fait partie de la démarche diagnostique (par exemple prise du pouls, palpation des ganglions). Il serait donc séduisant de voir l'acupuncture comme une découverte empirique de certains de ces phénomènes.
Mais en raison de la complexité du fonctionnement de l'organisme, l'efficacité d'une méthode ne peut être établie que par des études cliniques, utilisant notamment des méthodes statistiques et la comparaison avec l'effet placebo. Études qui doivent être réalisées en double aveugle. Jusqu'à présent aucune étude reconnue internationalement par la communauté scientifique n'a pu apporter un quelconque élément qui étayerait la thèse de l'existence de ces méridiens.
Des études scientifiques récentes[8] réalisées en Allemagne et utilisant la thermographie dermique démontreraient que l'application d'une source de chaleur sur les points d'acupuncture se traduit par une diffusion spécifique privilégiée sur des trajets qui correspondraient aux trajets traditionnellement décrits pour les méridiens, ces études doivent maintenant être analysées par la communauté scientifique avant d'être considérées comme valides.
Les études dirigées par le Dr. J.E.H. Niboyet ont mis en évidence une diminution de la résistivité électrique de la peau au niveau du point d'acupuncture [9].
Par le passé de nombreuses mystifications ont été réalisées afin de démontrer un effet de l'acupuncture, on peut citer en novembre 1985 l'étude des docteurs Darras, Albarède et de Vernejoul[10] qui ont prétendu avoir visualisé un méridien grâce à un isotope radiocatif, cette publication a correspondu à la sortie d'un livre de vulgarisation sur l'acupuncture par les auteurs de cette étude. Le magazine Science & vie fut un des seuls journaux grand public de l'époque à critiquer la méthodologie[11]. L'expérience était en fait peu rigoureuse et la même expérience fut réalisée suivant un protocole rigoureux en 1988 par le professeur Lazorthes[12], qui démontrera que la migration du marqueur suivait un trajet veineux et donc que les conclusions de 1985 sur l'existence de méridiens étaient erronées[13].
Une étude allemande de décembre 2004[14] a tenté d'évaluer l'efficacité de l'acupuncture sur les migraines, domaine pour lequel les traitements médicaux préventifs sont assez décevants. L'étude a porté sur 302 personnes, réparties en trois groupes : un groupe traité par des acupuncteurs, un groupe traité par des non-acupuncteurs mais plantant des aiguilles « au hasard » (placebo), et un groupe témoin non traité. On a constaté une amélioration dans les groupes traités (diminution de la fréquence des migraines de moitié environ par rapport au groupe témoin), mais on n'a pas constaté de différence entre le groupe traité par acupuncture et le groupe traité par placebo ! L'acupuncture semble donc agir comme un placebo.
[modifier] Risques
L'acupuncture est une technique délicate et dont une mauvaise pratique, comme pour toute intervention médicale ou para-médicale, peut avoir des effets nocifs, par exemple si les aiguilles ne sont pas stériles, inadaptées ou appliqués dans des zones sensibles. Certains praticiens ne recourant pas à la stérilisation (ou utilisant des stérilisations « alternatives ») peuvent transmettre des infections entre les patients, de la même façon qu'avec des aiguilles de seringues si elles étaient utilisées plusieurs fois ; contre ce problème, en Occident on utilise en général des lots d'aiguilles à usage unique.
[modifier] Diplômes et formations
En France pour pratiquer l'acupuncture il faut réunir deux conditions : être médecin et avoir obtenu le DIU(diplôme inter-universitaire)d'acupuncture ou être sage-femme et avoir obtenu un DIU d'acupuncture obstétricale, tous deux d'une durée de trois ans. Le DIU d'acupuncture générale est enseigné au sein de sept facultés de médecine : Aix-Marseille 2, Montpellier 1, Nantes, Paris XIII, Bordeaux 2, Lyon 1, Strasbourg 1; celui d'acupuncture obstétricale l'est au sein de trois universités de médecine: Paris XIII, Strasbourg 1 et Montpellier 1.
Dans d'autre pays, cette approche thérapeutique bénéficie d'autres modalités de reconnaissance (diplôme d'écoles privées agréées, formation délivrée par un Ordre professionnel,…). Celle-ci fait parfois partie de la classification commune des actes médicaux (Heilpraktiker, en Allemagne). Un reportage d'Arte (février 2007) montre d'ailleurs un médecin allemand ayant basé son traitement du diabète sur l'acupuncture. Son établissement fonctionne depuis plusieurs années et il prouve l'efficacité de son approche par ses résultats. En France il n'existe pas de codification ni de tarification d'acte médical pour ce type de pratique que la sécurité sociale ne rembourse donc actuellement pas.
En Chine, il existe un enseignement universitaire d'une durée minimale de 5 années. Plusieurs écoles en France (IMTC, CHUZHEN...) proposent un enseignement en coopération avec des universités chinoises (Shanghai, Beijing, Shanghai, Tianjin, Chengdu...) Il n'est pas nécessaire d'être médecin pour s'inscrire.
[modifier] Citations
- Dans les dix dernières années, les progrès de l’imagerie du cerveau en action ont démontré que la stimulation par les fines aiguilles d’acupuncture contrôle directement des régions clés du cerveau émotionnel. Une séance d’acupuncture aurait une influence directe sur l’équilibre entre les deux branches du système nerveux autonome. Elle augmenterait l’activité du parasympathique, le frein de la physiologie, aux dépens de l’activité du système sympathique, l’accélérateur. Elle favoriserait la cohérence du rythme cardiaque et de façon plus générale, permettrait de ramener le système à l’équilibre. David Servan-schreiber "Guérir" (2004).
[modifier] Voir aussi
[modifier] Notes et références
- ↑ Alain Rey, Le Robert, dictionnaire historique de la langue française.
- ↑ Le Qi est représenté par l'esprit dans certaines religions et par l'énergie spirituelle ou l'énergie vitale dans d'autres.
- ↑ 3,0 3,1 Académie de médecine traditionnelle chinoise (Pékin) Précis d'acupuncture chinoise, Dangles, 1985, traduction de An Outline of Chinese Acupuncture publié sur les presses des Éditions en langue étrangères de Pékin en 1975
- ↑ Dr. Jean Clouzet et Dr. Monique Horwitz, Comment se soignent les Chinois aujourd'hui, Robert Lafon, 1980.
- ↑ Jean Bossy, « Acupuncture, moxibustion, analgésie acupuncturale », Synthèse des travaux des symposia de Pékin, 1 - 5 juin 1979, Doin, 1980.
- ↑ George Soulié de Morant, L'Acupuncture chinoise, Maloine, 1972.
- ↑ Un site anglophone vantant la pensée chinoise
- ↑ Schlebusch KP, Maric-Oehler W, Popp FA. Biophotonics in the infrared spectral range reveal acupuncture meridian structure of the body. J. Altern Complement Med. 2005 Feb;11(1):171-3.
- ↑ Professeur Audier (C.H.U. de la Timone, Marseille), Cours d'acupuncture, Maisonneuve, 1977.
- ↑ DeVernejoul et al., « Étude des méridiens d'acupuncture par des traceurs radioactifs », dans Bul. Acad. Natle. Med., 169:-1071-1075, 1985.
- ↑ Science & vie, no 819
- ↑ chef de service de neurochirurgie du centre hospitalier universitaire de Rangueil (Toulouse)
- ↑ Des aiguilles et des hommes
- ↑ John Sorri, L'acupuncture empêche-t-elle le mal de tête ?, 22 septembre 2005, JIM
[modifier] Liens internes
- Acupression
- Cinq éléments
- George Soulié de Morant
- Médecine traditionnelle chinoise
- Moxas
- Qi (spiritualité)
- Qi gong
- Réflexologie
- Shiatsu
- Taoïsme
- Yin et yang
- Yoga
[modifier] Liens externes
[modifier] Sites favorables à l'acupuncture
- Planches des 12 Méridiens, des Points Shu et Points Mu, de l'Horloge Circadienne , etc. , Documents téléchargeables au format PDF, sous licence Creative Commons.
- Acupuncture Médecines Naturelles
- Chiffres sur les contacts avec un praticien en acupuncture en Belgique
- Thérapies non conventionnelles en Belgique Étude
- L'acuponcture, le qigong, et la « Médecine chinoise », Association des allergologues et immunologues du Québec (AAIQ)
[modifier] Sites critiques de l'acupuncture
- Critique rationnelle de l'acupuncture
- L'acupuncture sur le site des «pseudo-médecines»
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