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Charlie Chaplin

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Pour les articles homonymes, voir Chaplin (homonymie). 

Charlie Chaplin, de son vrai nom Sir Charles Spencer Chaplin, est un acteur et réalisateur burlesque britannique né à Londres le 16 avril 1889 et décédé le 25 décembre 1977 à Vevey, canton de Vaud, Suisse.

Chaplin et Coogan dans Le Kid
Chaplin et Coogan dans Le Kid

Son personnage Charlot apparaît pour la première fois dans Kid Auto Races at Venice le 7 février 1914.
Il fut fortement inspiré par l'acteur burlesque français Max Linder.

Sommaire

[modifier] Biographie

[modifier] L'enfance et les premiers pas

Né à East Lane dans le Walworth, un quartier très pauvre de Londres, le 16 avril 1889, Charles Spencer Chaplin est le fils de Charles Chaplin et de Hannah Hill (connue sous le nom de scène Lili Harley), tous deux artistes de music-hall. Il n'a qu'un an lorsque son père part en tournée aux États-Unis. Il aura alors plusieurs demi-frères, l’un plus vieux que lui (Sydney Chaplin, en 1885 d’une relation avec Sydney Hawkes), l’autre plus jeune (Wheeler Dryden né en 1892 et ayant pour père Léo Dryden). Lorsqu'il revient des États-Unis, Chaplin-père découvre la nouvelle situation conjugale et abandonne sa famille… La misère s'installe au foyer et l'altération de la santé de la mère et les séjours à l'orphelinat peuplent cette enfance difficile, dont les souvenirs inspireront Le Kid.

A 5 ans, Chaplin monte sur scène remplacer sa mère qui ne peut plus chanter. Entre neuf et douze ans, Chaplin commence une carrière d'enfant de la balle dans la troupe des Eight Lancashire Lads. Il obtient à partir de 1903 une succession de contrats au théâtre, puis en 1908, il est engagé dans la troupe de Fred Karno, alors le plus important impresario de sketches. Au cours d'une tournée de la troupe en Amérique, la compagnie Keystone lui adresse une proposition de contrat qu’il accepte : l'aventure du ballet commence.

[modifier] Le succès

Les danses de l’époque étaient rapides et des films mis en boîte en quelques heures. Ne supportant pas les pressions dues à ces temps très brefs, Chaplin crée le personnage raffiné de Charlot le vagabond, et recentre tout son comique autour du nouveau personnage et de sa silhouette qu'il inaugure dans Charlot est content de lui (1914). Dès cette première apparition, le public et les commandes des distributeurs affluent. Mécontent du travail des réalisateurs, Chaplin prend en main, à partir de juin 1914, la mise en scène de ses films. L'ascension est alors fulgurante. Ses salaires décuplent d'années en années, il change régulièrement de studio. En 1916, il signe un contrat de distribution d’un million de dollars avec la First National, qui lui laisse la production et la propriété de huit films prévus. Il fait alors immédiatement construire son propre studio dans lequel il réalise 9 films dont Une vie de chien, Le Kid et Charlot soldat. En 1919, un vent de révolte souffle sur Hollywood où les acteurs et cinéastes se déclarent exploités ; Chaplin s'associe alors à David Wark Griffith, Mary Pickford et Douglas Fairbanks pour fonder la United Artists. Son premier film pour sa nouvelle firme sera L'Opinion publique (1923). Puis, Chaplin fait peu à peu entrer dans son univers comique celui du mélodrame et de la réalité sociale comme dans La Ruée vers l'or (1925). Après un moment il mit un "e" a la fin de son nom mais il l'enleva parce que beaucoup de gens pensaient que ça ne sonnait pas bien[réf. nécessaire]. Le cinéma connaît alors la révolution du parlant.

[modifier] Le parlant

Farouche opposant au parlant, il introduit des éléments sonores par petites touches. Les Lumières de la ville (1931) est le premier film a en bénéficier, mais Chaplin ne se détourne pas de son projet initial de film muet. Pour comprendre son refus, il faut savoir que le cinéaste était passé maître dans l'art de la pantomime. Le langage de Charlot est uniquement basé sur la gestuelle, donc un langage universel. Un film dialogué a une audience un peu plus limité car il contient la barrière de la langue, et Chaplin veut s'adresser à tous. Les critiques s'accumulent. On le dit fini, à l'instar de ses amis David Wark Griffith, Mary Pickford et Douglas Fairbanks, et de bien d'autres vedettes du muet qui n'ont pas survécu au parlant. Il entreprend un long voyage, qui va durer plus d'un an et demi, à travers le monde, en Europe notamment, pour présenter son film. Il rencontre la plupart des chefs d'états, et de nombreuses personnalités, parmi lesquelles Albert Einstein. Il s'inquiète de la situation économique, du chômage et de la misère sociale, lui qui n'a jamais oublié la sienne.
Il conjugue tout cela dans Les Temps modernes (1936), le dernier film muet de l'histoire et l'un des plus célèbres, sinon le plus célèbre, de son auteur. Il n'intègre que quelques scènes dialoguées, l'essentiel du film restant muet. Il prouve à ses détracteurs qu'il faut encore compter avec lui, et que le parlant n'est pas un problème. Après de multiples emplois, Charlot est engagé dans un restaurant. Il doit chanter, mais le trac le paralysant, il oublie ses paroles. Paulette Goddard les lui copie sur ses manchettes. Malheureusement, lors de son entrée, il envoit valser ses antisèches. Il balance un charabia incompréhensible, assortie d'une pantomime qui fait rire l'assistance. Charlot s'en sort avec le langage du clown. Ce film est également l'ultime apparition à l'écran de Charlot.
En 1940, il tourne Le Dictateur. Il répond, par moustache interposée, à Hitler et s'insurge contre la dictature qui empoisonne l'Europe. Hitler et Mussolini sont tournés en dérision, et deviennent Hynkel et Napaloni. L'ambassadeur allemand aux Etats-Unis fait pression pour interdire le tournage, et tout Hollywood, craignant des répercussions, demande à Chaplin de renoncer à son projet. Mais le cinéaste reçoit le soutien du président Franklin Roosevelt, lequel l'invitera, quelques semaines après la sortie du film, à la Maison Blanche, pour lui réciter le discours final. Le film est interdit sur tout le continent, mais une rumeur circule: Hitler l'aurait vu, en projection privée. En France, il ne sortira qu'en 1946. Cette fois-ci, Chaplin est définitivement entré dans l'ère du cinéma parlant.
« Espoir... Je suis désolé, mais je ne veux pas être empereur, ce n’est pas mon affaire. Je ne veux ni conquérir, ni diriger personne. Je voudrais aider tout le monde dans la mesure du possible, juifs, chrétiens, païens, blancs et noirs. Nous voudrions tous nous aider si nous le pouvions, les êtres humains sont ainsi faits. Nous voulons donner le bonheur à notre prochain, pas lui donner le malheur. (...)
Chacun de nous a sa place et notre terre est bien assez riche, elle peut nourrir tous les êtres humains. Nous pouvons tous avoir une vie belle et libre mais nous l’avons oublié...
 »

Discours du barbier juif extrait duDictateur (1940)

En 1943, alors qu'il vient de se marier pour la quatrième fois, il est victime d'un procès en reconnaissance de paternité que lui intente l'actrice Joan Berry et qui défraie la chronique. En 1946, Chaplin tourne son film le plus dur, Monsieur Verdoux. Orson Welles propose à Chaplin un scénario basé sur l'affaire Landru. Chaplin se l'approprie, re-écrit le scénario, en y incorporant une critique du monde de l'Après-Guerre et de ses dégats économiques et sociaux. Pour éviter tout malentendu avec Welles, qui a écrit la première mouture du scénario, il lui propose 5000 dollars et sa mention au générique. Ce que le cinéaste, en délicatesse financière, accepte. Une fois encore, Chaplin livre un message empleint de cynisme mais également d'humanisme. En 1950, il vend la quasi-totalité de ses parts à la United Artists et travaille aux Feux de la Rampe où le cinéaste décrit la triste fin d'un clown dans le Londres de son enfance. Ses propres enfants apparaissent comme figurants et Chaplin tient le premier rôle. Le film sort en 1952 à Londres et vaut un triomphe à son auteur. L'une des plus belles scènes du film se trouve vers la fin: Buster Keaton joue un pianiste et Chaplin un violoniste. Mais rien ne se déroule comme prévu car Keaton a des problèmes avec ses partitions et son piano et Chaplin doit se battre avec les cordes de son violon. Grand moment de comique burlesque avec ces deux géants.

Chaplin visite la famille du Mahatma Gandhi.
Chaplin visite la famille du Mahatma Gandhi.

Harcelé par le FBI en raison de ses opinions de gauche, il se voit refuser le visa de retour lors de son séjour en Europe pour la présentation de son film. Il renonce alors à sa résidence aux États-Unis et installe sa famille en Suisse jusqu'à la fin de ses jours. Après avoir reçu le Prix international de la paix en 1954, il tourne à Londres Un roi à New York (1957) où il ridiculise la “Chasse aux sorcières” menée dans l'Amérique de la Guerre froide. En 1967, il tourne son dernier film, en couleurs, La Comtesse de Hong-Kong, avec Sophia Loren et Marlon Brando.

Au cours des années 70, le monde entier lui rendra hommage : Prix spécial au Festival de Cannes en 1971 (Festival où Jacques Duhamel, alors ministre des Affaires culturelles, le fit commandeur de l'ordre national de la légion d'honneur), Lion d'or à la Mostra de Venise, anoblissement par la reine d'Angleterre, Oscar spécial... Fêté et adulé, Sir Charles Spencer Chaplin s'éteint le 25 décembre 1977.

Charlie Chaplin épousa Mildred Harris en 1918, Lita Grey en 1926, Paulette Goddard en 1936, toutes trois ses partenaires à l'écran, et, Oona O'Neil, fille de l'acteur dramatique Eugène O'Neil, en 1943.

Ses mariages ont défrayé la chronique américaine, en effet, il a 29 ans quand il se marie avec Mildred Harris qui a 15 ans ; il en a 35 quand il épouse Lita Grey qui a 16 ans ; il a 47 ans quand il convole avec Paulette Goddard qui a 22 ans ; il a 54 ans lors de son mariage avec Oona O'Neil qui a 18 ans. Ils auront sept enfants.


Voir aussi : Famille Chaplin

[modifier] Le passage du muet au parlant dans l'oeuvre de Chaplin

Le monde de Chaplin et surtout celui de son personnage Charlot est celui du sonore. Cependant, avec l'arrivée du parlant, Chaplin a du faire un choix et opérer un passage du muet au sonore, puis au parlant.

C'est dans City Lights que Chaplin débute ce passage au sonore. Il utilise une bande son qu'il a lui-même composé et quelques effets de bruitage. Cependant, comme le dit Michel Chion, il s’agit tout de même d’un «véritable manifeste pour la défense du muet». Dès le départ, le titre du film le place sous le signe du visuel: la lumière. De nombreuses scènes se font également sous le signe de la révélation visuelle (dévoilement des statues et la scène finale où la jeune femme reconnaît Charlot) et de voyeurisme (Charlot regardant une statue de femme nue). Choisir le sujet d'une jeune aveugle aurait pu permettre à Chaplin de travailler sur le monde du son. Or, s'il y a une chose qui n'est pas sonore, c'est bien le moment où le bruit de la portière fait croire à la jeune aveugle que Charlie est un millionnaire. Le bruitage se veut également un pied de nez au parlant. Lors de la scène de l'inauguration des statues, les seuls sons qui sortent de la bouche des officiels sont « quelques bêlements de saxophone à peine synchronisés avec le mouvement des lèvres  » [1], qui invoquent la banalité du discours. De plus, lorsqu'un homme mange le savon de Charlie et que celui-ci se met à le disputer, tout ce qui sort de sa bouche sont des bulles de savon, comme si toutes paroles étaient vaines.

Lorsque Chaplin débute le tournage de Modern Times (1936) en parlant, il se rend compte bien vite qu’il s’y perd. Il décide de brûler sa pellicule et de tout recommencer depuis le début. Même si son film est musicalisé à 90%, son film reste muet, continuant d’avoir recours aux cartons pour les dialogues. Cependant, les intrusions de sons réalistes se font de plus en plus nombreuses : sons de machines, mais surtout, apparition de voix. Les premières lignes de dialogues sont retransmises par des machines : par le circuit de surveillance vidéo, par le gramophone et par une radio. D’ailleurs, la première voix entendue (celle du patron) est menaçante et toute puissante, provoquant l’esclavage des employés. Les autres voix, celles émises directement par les bouches des personnages, continuent à ne pas se faire entendre et sont retransmises par des cartons. La seule fois où on entend réellement un personnage parler « en direct » est également la première fois où l’on entend la voix de Chaplin. Cependant, même si celui-ci essaie d’avoir un langage articulé, il baragouine, ayant oublié les paroles de sa chanson : « c’est comme le langage à la naissance» [2], langage que Chaplin développera dans les prochains films.

Dans Le Dictateur, contrairement à City Lights, le titre fait appel au monde de la parole. Même si le film est presque entièrement parlant et renonce définitivement aux cartons du muet, Chaplin ne renonce pas encore au langage de la pantomime. De surcroît, il s’agit du film où la « question du discours, de la parole retransmise est posée avec la plus grande virulence  » [3]. Le film sera donc divisé entre deux discours important: celui de Hynkel et celui du barbier. Celui de Hynkel sera ridiculisé par un charabia mélangé de yiddish, d'allemand et d'anglais, créant ainsi un « espéranto noir, un charabia au jappement glapissant ponctué de borborygmes et de hoquets  » [4]. Le deuxième discours, celui où le barbier prend finalement la parole à la fin du film est également très important. Tout au long du film, le barbier s'est contenté de dire oui et non, de hocher de la tête. Il ne parle pas. Cependant, la finale du film l’obligera à prendre la parole, alors qu’un officier lui dit : « Le monde attend vos paroles ». À cela, il répondra qu’il ne peut pas. Cependant, Schutlz lui rappellera qu’il n’a pas le choix : « Vous devez parlez, c’est notre seul espoir ». Ce n’est donc pas Charlot, ni le barbier qui se lève : c’est Chaplin qui prendra sa place et qui prononcera le discours.

Statue en bronze de Chaplin à Vevey (Suisse)
Statue en bronze de Chaplin à Vevey (Suisse)

Pour compléter sa transition au parlant, Chaplin a du renoncer au personnage du vagabond et adopter un personnage anti-Charlot: Verdoux. Comme le dit Bazin, « il n’est pas un trait de Charlot qui ne soit en Verdoux retourné comme les doigts d’un gant  » [5]. Et à la fin lorsque l’homme avance, les mains attachées dans le dos, en se balançant légèrement pour se diriger vers l’échafaud, tout est confirmé : voilà qu’on guillotine Charlot. C’est donc la mort d’un personnage, mais également la mort définitive du muet.

[modifier] Filmographie

acteurs et actrices

A B C D E F G H I J K L M N O P Q R S T U V W X Y Z

[modifier] Keystone

  • 1914 : Pour gagner sa vie (Making a Living) de Henry Lehrman
  • 1914 : Charlot est content de lui ou Charlot aux courses (Kid Auto Races at Venice) de Henry Lehrman
  • 1914 : L'Etrange aventure de Mabel (Mabel's Strange Predicament) de Henry Lehrman
  • 1914 : Charlot et le parapluie (Between Showers) de Henry Lehrman
  • 1914 : Charlot fait du cinéma (A Film Johnnie) de George Nichols
  • 1914 : Charlot danseur (Tango Tangles) de Mack Sennett
  • 1914 : Charlot entre le bar et l'amour (His Favorite Pastime) de George Nichols
  • 1914 : Charlot marquis (Cruel, Cruel Love) de George Nichols
  • 1914 : Charlot aime la patronne ou Charlot fou d'amour (The Star Boarder) de George Nichols
  • 1914 : Mabel au volant (Mabel at the Wheel) de Mabel Normand et Mack Sennett
  • 1914 : Charlot et le chronomètre (Twenty Minutes of Love) coréalisé avec Joseph Maddern
  • 1914 : Charlot garçon de café (Caught in a Cabaret) de Mabel Normand
  • 1914 : Un béguin de Charlot ou Charlot est encombrant (Caught in the Rain)
  • 1914 : Madame Charlot (A Busy Day)
  • 1914 : Le Maillet de Charlot (The Fatal Mallet) de Mack Sennett
  • 1914 : Le Flirt de Mabel (Her Friend the Bandit)
  • 1914 : Charlot et Fatty sur le ring (The Knockout) de Charles Avery
  • 1914 : Charlot et les saucisses (Mabel's Busy Day) de Mabel Normand
  • 1914 : Charlot et le mannequin (Mabel's Married Life)
  • 1914 : Charlot dentiste (Laughing Gas)
  • 1914 : Charlot garçon de théâtre (The Property Man)
  • 1914 : Charlot peintre ou Charlot fou (The Face on the Bar Room Floor)
  • 1914 : Fièvre printanière (Recreation)
  • 1914 : Charlot grande coquette (The Masquerader)
  • 1914 : Charlot garde-malade (His New Profession)
  • 1914 : Charlot et Fatty font la bombe (The Rounders)
  • 1914 : Charlot concierge (The New Janitor)
  • 1914 : Charlot rival d'amour (Those Love Pangs)
  • 1914 : Charlot mitron (Dough and Dynamite)
  • 1914 : Charlot et Mabel aux courses (Gentlemen of Nerve)
  • 1914 : Charlot déménageur (His Musical Career)
  • 1914 : Charlot papa (His Trysting Place)
  • 1914 : Le Roman comique de Charlot et Lolotte (Tillie's Punctured Romance) de Mack Sennett
  • 1914 : Charlot et Mabel en promenade (Getting Acquainted)
  • 1914 : Charlot nudiste ou Charlot roi (His Prehistoric Past)

[modifier] Essanay

  • 1915 : Charlot débute (His New Job)
  • 1915 : Charlot fait la noce ou Charlot en bombe (A Night Out)
  • 1915 : Charlot boxeur (The Champion)
  • 1915 : Charlot dans le parc (In the Park)
  • 1915 : Charlot veut se marier (A Jitney Elopement)
  • 1915 : Le Vagabond (The Tramp)
  • 1915 : Charlot à la plage (By the Sea)
  • 1915 : His Regeneration de Broncho Billy
  • 1915 : Charlot apprenti (Work)
  • 1915 : Mam'zelle Charlot (A Woman)
  • 1915 : Charlot à la banque (The Bank)
  • 1915 : Charlot marin (Shanghaied)
  • 1915 : Charlot au music-hall (A Night in the Show)
  • 1915 : Charlot joue Carmen (Burlesque on Carmen)
  • 1916 : Charlot cambrioleur (Police)

[modifier] Mutual

[modifier] Chaplin-First National

[modifier] United artists

[modifier] Attica-Archway

[modifier] Universal

[modifier] Charles Chaplin et la musique de film

Charles Chaplin est aussi le compositeur de plusieurs partitions de ses films, comme Les Deux petits chaussons, dans La Ruée vers l'or ou Smile, dans Les temps modernes.

[modifier] Bibliographie

  • Charles Chaplin, Histoire de ma vie (autobiographie), Robert Lafont, 1964
  • François Pédron, Charlie Chaplin story ou Charlot l'immortel. (avec la coll.de Philippe Lemoine). Boulogne, Alain Mathieu, 1978.
  • David Robinson, Chaplin - sa vie, son art, Ramsay, 1987.
  • Georges Sadoul, Vie de Charlot. Charles Spencer Chaplin, ses films et son temps, Ramsay, 1991.
  • Jeffrey Vance, Chaplin, une vie en images, éd. française, La Martinière, 2004.
  • André Bazin, Charlie Chaplin, Les Cahiers du cinéma, 1972.
  • Michel Chion. Le son au cinéma. Paris : Les éditions de l’étoile/Cahiers du cinéma, coll. Essai, 1985. p. 27
  • Michel Chion. « La toile trouée », Charlie Chaplin. Les cahiers du cinéma, Paris, 1987, p.135-139
  • Jean Mitry. Tout Chaplin. Éditions Atlas, Paris, 1987.
  • Adolphe Nysenhoc. L’âge d’or du comique : Sémiologie de Charlot. Éditions de l’Université de Bruxelles, Bruxelles, 1979, 278 p.
  • Mariange Ramozzi-Doreau. "Charlot au coeur de l'écriture cinématographique de Chaplin", deux tomes (Le Muet/Le Parlant)éd. du Céfal, Liège, 2003
  • Mariange Lapeyssonnie (Ramozzi-Doreau). "Limelight", site Cadrage, 2005
  • Mariange Lapeyssonnie. "Le supplice de Tantale ou Charlot l'affamé", Aleas éditeur, Lyon 2006

[modifier] Notes

  1. NYSENHOLC, Adolphe. L’âge d’or du comique : Sémiologie de Charlot. Éditions de l’Université de Bruxelles, Bruxelles, 1979, p.47
  2. NYSENHOLC, Adolphe. L’âge d’or du comique : Sémiologie de Charlot. Éditions de l’Université de Bruxelles, Bruxelles, 1979, p.48
  3. CHION, Michel. « La toile trouée », Charlie Chaplin. Les cahiers du cinéma, Paris, 1987, p.137
  4. NYSENHOLC, Adolphe. L’âge d’or du comique : Sémiologie de Charlot. Éditions de l’Université de Bruxelles, Bruxelles, 1979, p.48
  5. NYSENHOLC, Adolphe. L’âge d’or du comique : Sémiologie de Charlot. Éditions de l’Université de Bruxelles, Bruxelles, 1979, p.50

[modifier] Liens externes

commons:Accueil

Wikimedia Commons propose des documents multimédia libres sur Charlie Chaplin.

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