Discuter:Hannah Arendt
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Sources pour la modification : Elisabeth Young Bruhl :( Hannah Arendt , éditeur Calmann Lévy, )ainsi que Laure Adler : ( sur les pas de Hannah Arendt ). On peut aussi consulter Wolfgang Heuer ("Hannah Arendt).
Depuis le 18ème siècle, de nombreux juifs réformés ,allemands, recherchèrent l'assimilation et l'intégration dans la société.Devant les difficultés, beaucoup se convertirent. Karl Marx en est un exemple. Le roman de Hannah Arendt " Rachel Varnhagen", biographie d'une femme juive du XXVlll ème siècle, a pour thème les difficultés d'une intégration.
[modifier] communisme ou stalinisme
Quel mot exactement utilise-t-elle dans sa critique? Apollon 2 février 2006 à 13:53 (CET)
- Elle parle très explicitement de la période Stalininienne. Il faudrait que je consulte le livre pour voir si elle utilise spécifiquement stalinisme. Son propos est de parler d'un fonctionnement social, c'est à dire d'une période historique descriptible du point de vue des faits et non pas d'un type théorique de régime ou d'un idéal ou d'une doctrine politique. Elle ne considère pas le communisme avant ou après Staline en URSS comme constituant un société totalitaire. Dictature, régime autoritaire sans conteste, mais pas totalitaire. Luk 2 février 2006 à 15:21 (CET)
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- Ce qui est troublant c'est que dans la version anglaise on met "communisme" et dans la version française on utilise "stalinisme". Hannah Arendt parlait certes de la période stalinienne mais j'aimerais savoir lequel des deux mots elle employait pour désigner le régime. Apollon 2 février 2006 à 16:31 (CET)
j'aurais souhaité faire une partie sur les droits de l'Homme, selon Hannah Arendt, en m'appuyant sur son sous chapitre dans l'imperialisme, de; les embarras suscités par les droits de l'homme...
Donc, pour l'instant, je fais, une simple ébauche que je vais completer par la suite, que je compte nommer "sur les droits de l'Homme", est ce que le titre convient? Shoatan
[modifier] liberté...
Hannah Arendt rend à la liberté son champ... d'action. Elle la distingue clairement d'une indétermination (libre arbitre où pas, pesanteur de notre condition !) évidemment impossible. Et donc, en limitant paradoxalement notre liberté au seul champ du politique, c'est à dire, le lieu dédié à la parole et à l'action publiques, l'agora, elle nous rend en même temps une dignité que l'on croyait perdue. Mais cette distinction, liberté/indétermination, vous paraît-elle justifiée, réellement opérante ? FL