Utilisateur:Sol@l
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Je m'intéresse beaucoup à l'histoire, mais aussi (évidemment) à l'économie, à la philosophie (et notamment à Epicure, Rousseau, Kant, Hegel et Marx)
En histoire, je m'intéresse surtout à la révolution française et à la révolution russe de 1917, et plus généralement aux divers mouvements et crises révolutionnaires du 19eme et du 20eme siècle.
Je suis par ailleurs un amirateur de Yaruch Bann, ignoré en France ici, ici et là
Sur wikipédia comme ailleurs, j'ai le plus grand mépris pour ceux qui dissimulent leurs préjugés idéologiques derrière la façade d'un prétendu "pragmatisme". « Je suis avant tout pragmatique. » déclarait Nicolas Sarkozy dans un entretien au Figaro en Novembre 2004 « Je ne me réveille pas chaque matin en lisant Adam Smith, Ricardo ou Hayek, mais en cherchant des solutions. » Mais cette attitude n'est pas — loin s'en faut — l'apanage de M. Sarkozy.
Ainsi sur wikipédia : « esprit libre, qui n'aime pas les idéologues. » 1, ou bien « je déteste les partis pris idéologiques. » 2 etc. Quelle prétention ! Il existe donc des esprits libres qui ne prennent pas parti idéologiquement ? J'en doute au vu des débats pour le moins animés qui agitent la rédaction de certains articles de wikipédia.
[modifier] Histoire et idéologie
La fin du XXeme siècle, notamment après la chute du mur du Berlin, a été l'occasion d'un étalage de mensonges et de falsifications ayant pour but d'affirmer que le seul horizon possible de l'histoire humaine est le régime de la propriété privée des moyens de production.
Toute une école de pensée réactionnaire s'est formé autours de la prétention hypocrite de comprendre le "sens" de ce siècle, en relégant aux oubliettes de l'histoire les mouvements révolutionnaires porteurs d'un projet d'émancipation sociale et politique. Ceux ci, aux mieux considérés comme des élans "généreux" mais "utopiques", sont bien souvent réduites à des aventures sanglantes, oeuvres de quelques fous fanatiques.
En France, ce courant s'est notamment incarné dans la plume de l'historien François Furet — sympathisant stalinien de 1949 à 1956 et reconverti par la suite à l'économie de marché — ainsi que par les auteurs du Livre noir du communisme qui dédiaient d'ailleurs leur livre « à la mémoire de François Furet, qui avait accepté d'en rédiger la préface ».
Celui-ci reliait d'ailleurs son combat contre l'héritage d'octobre 1917 à celui de la remise en cause de la Révolution française et du jacobinisme. Omniprésent dans les journeaux, à la dévanture des librairies, lors de la célébration du bicentenaire de la révolution, ce chef de file de la contre-révolution idéologique se félicitait alors de « la disparition de la tradition révolutionnaire et jacobine » et du « consensus institutionnel [...] marqué par le ralliement de la gauche à une monarchie républicaine qui concilie l'Ancien régime et la révolution » (France Culture, Les Lundis de l'histoire, 12 décembre 1988).
Sa haine de la démocratie révolutionnaire et sa nostalgie de l'Ancien régime, Furet ne l'a pas caché : « Depuis le 10 août 1792, la Révolution a été entrainée par la guerre et la pression de la foule parisienne hors du chemin tracé par l'intelligence et la richesse du XVIIIeme siècle. Une passion égalitaire est remontée en surface (...). Le monde de la revendication sans-culotte est un monde sans hiérarchie, sans singularité, sans prestige de la fortune ou du talent (...). C'est la révolution des forces obscures, de la misère et de la colère. » (La Révolution française p 253). Assurément, F. Furet donne sa préférence aux salons de l'aristocratie d'ancien régime, lui qui se pique d'adopter des idées nouvelles !
Les réflexions du révolutionnaire Léon Trotsky développées dans Bilan et perspectives (1906) prennent une surprenante actualité :
« Le terme de "jacobinisme" est actuellement une expression péjorative dans la bouche de tous les sages libéraux. La haine de la bourgeoisie contre la révolution, sa haine des masses, sa haine de la force et de la grandeur de l'histoire qui se fait dans la rue se concentre dans ce cri de peur et d'indignation : "C'est du jacobinisme !" Nous, l'armée mondiale du communisme, avons depuis longtemps réglé nos comptes historiques avec le jacobinisme. (...) Nous l'avons soumis à une critique théorique, nous avons dénoncé ses limites historiques, son caractère socialement contradictoire et utopique, sa phraséologie, nous avons rompu avec ses traditions, qui, des décennies durant, ont été regardées comme l'héritage sacré de la Révolution.
Mais nous défendons le jacobinisme contre les attaques, les calomnies, les injures stupides du libéralisme anémique. La bourgeoisie a honteusement trahi toutes les traditions de sa jeunesse historique, et ses mercenaires actuels déshonorent les tombeaux de ses ancêtres et narguent les cendres de leurs idéaux. Le prolétariat a pris sous sa protection l'honneur du passé révolutionnaire de la bourgeoisie. »
L'idéologie n'est jamais gratuite. Le travail des Courtois, Werth, Furet et autres plumitifs sensibles au vent du mensonge qui passe, vise à faire accepter comme seul horizon définitif de l'histoire humaine la propriété privée des moyens de production, la dictature des marchés financiers, les délocalisations, le dépécage de dizaines de nations à travers le monde en Yougoslavie, en Irak, en Palestine, depuis l'annonce de la création d'un « nouvel ordre mondial » par Georges Bush en 1991, avec l'appui de la bureaucratie soviétique, liquidatrice des héritages d'octobre 1917.
Furet — encore lui — avait rédigé peu avant de mourir un texte que son décès a transformé en testament, paru dans Le Monde (23 septembre 1997), intitulé L'énigme française. On y lisait :
« Le capitalisme est victorieux, devenu même l'horizon unique de l'humanité.» La France y est selon lui confrontée à deux grands problèmes : « Le premier d'entre eux, la construction européenne, trop complexe ou trop explosif pour fournir un sujet électoral, continue à être réservé aux élites (...). Le deuxième des grands problèmes français (est) le chômage (...). Mais comme le remède en ce domaine passe avant tout par une diminution du coût du travail et donc par un allègement des dépenses sociales (...), cette voie n'est pas facile à mettre en oeuvre ni même à proposer, tant la protection sociale est devenue un tabou dans l'opinion, sans parler des multiples intérêts organisés autours du maintien du statut quo » Tout historien a évidemment le droit d'avoir des opinions politiques, mais le "pragmatisme" de Furet, ou de ceux qui s'en réclament, prend parfois des formes bein étranges.
Les insurgés de Falloujah écrasés sous les bombes de l'armée américaine, les paysans sans terre brésiliens occupant les Latifundias, les ouvriers chinois en lutte contre le talon de fer des multinationales et de leurs vassaux du PCC, l'immense déferlement des travailleurs et étudiants français contre le CPE en mai 2005... des millions d'hommes et de femmes se battent chaque jour pour refuser que le capitalisme soit l'horizon unique de l'humanité.
« Qui contrôle le passé contrôle le présent. Qui contrôle le présent controle le futur » lit-on chez Orwell. L'enchainement idéologique de l'histoire est aussi une arme d'oppression. La défense de l'héritage d'octobre 1917 et de la révolution française — entre autres — prend ici tout son sens.
[modifier] Citations et extraits
- « Ces historiens et universitaires, coauteurs de ce Livre noir du communisme, viennent de commettre une escroquerie (...). L'escroquerie consiste en ce que ce collectif d'auteurs appelle "communisme" ce qui en est précisément le contraire (...) Ce qui m'étonne, c'est que ce qui me semblait clair il y a soixante ans : que Staline, dix ans après la mort de Lénine, trois ans après l'exclusion et l'envoi en exil de Trotsky, Staline avec qui la contre-révolution s'installe, soit tenu par des "historiens" et des "universitaires" d'aujourd'hui pour un "communiste" et ce qu'il incarne pour le "communisme". Où donc ont-ils fait leurs classes, ces "historiens" ? Pour quelques-uns, pardi ! Chez Staline, précisément. » Maurice Nadeau dans La Quinzaine littéraire, décembre 1997. article. Voir aussi l'article de Bensaïd
- « Les problèmes que soulève la théorie moderne de la démocratie libérale sont, nous le verrons, plus fondamentaux qu'on ne l'a cru. Il nous est apparu qu'ils ne sont qu'autant d'expressions d'une difficulté essentielle qui apparait aux origines mêmes de l'individualisme au XVIIeme siècle : celui-ci est en effet l'affirmation d'une propriété, il est essentiellement possessif. Nous désignons ainsi la tendance à considérer que l'individu n'est nullement redevable à la société de sa propre personne ou de ses capacités, dont il est au contraire, par essence, le propriétaire exclusif. À cette époque l'individu n'est considéré ni comme un tout moral, ni comme la partie d'un tout social qui le dépasse, mais comme son propre propriétaire. C'est dire qu'on attribue rétrospectivement à la nature même de l'individu les rapports de propriété qui avaient alors pris une importance décisive pour un nombre grandissant de personnes, dont ils déterminaient concrétement la liberté, l'espoir de se réaliser pleinement. L'individu, pense-t'on, n'est libre que dans la mesure où il est propriétaire de sa personne et de ses capacités. Or, l'essence de l'homme, c'est d'être libre, indépendant de la volonté d'autrui, et cette liberté est fonction de ce qu'il possède. Dans cette perspective, la société se réduit à un ensemble d'individus libres et égaux, liés les uns aux autres en tant que propriétaires de leurs capacités et de ce que l'exercice de celles-ci leur a permis d'acquérir, bref, à des rapports d'échanges entre propriétaires. Quant à la société politique, elle n'est qu'un artifice déstiné à protéger cette propriété et à maintenir l'ordre dans les rapports d'échanges. » C.B Macpherson, La théorie politique de l'individualisme possessif, de Hobbes à Locke
- « La tartuferie chrétienne et l'utilitarisme capitaliste n'avaient pas perverti ces philosophes des Républiques antiques; professant pour des hommes libres, ils parlaient naïvement leur pensée. Platon, Aristote, ces penseurs géants, dont nos Cousin, nos Caro, nos Simon ne peuvent atteindre la cheville qu'en se haussant sur la pointe des pieds, voulaient que les citoyens de leurs Républiques idéales vécussent dans le plus grand loisir, car, ajoutait Xénophon, "le travail emporte tout le temps et avec lui on n'a nul loisir pour la République et les amis". Selon Plutarque, le grand titre de Lycurgue, "le plus sage des hommes" à l'admiration de la postérité, était d'avoir accordé des loisirs aux citoyens de la République en leur interdisant un métier quelconque.
Mais, répondront les Bastiat, Dupanloup, Beaulieu et compagnie de la morale chrétienne et capitaliste, ces penseurs, ces philosophes préconisaient l'esclavage. - Parfait, mais pouvait - il en être autrement, étant donné les conditions économiques et politiques de leur époque? La guerre était l'état normal des sociétés antiques; l'homme libre devait consacrer son temps à discuter les affaires de l'État et à veiller à sa défense; les métiers étaient alors trop primitifs et trop grossiers pour que, les pratiquant, on pût exercer son métier de soldat et de citoyen; afin de posséder des guerriers et des citoyens, les philosophes et les législateurs devaient tolérer les esclaves dans les Républiques héroïques. - Mais les moralistes et les économistes du capitalisme ne préconisent-ils pas le salariat, l'esclavage moderne? Et à quels hommes l'esclavage capitaliste fait-il des loisirs? - À des Rothschild, à des Schneider, à des Mme Boucicaut, inutiles et nuisibles esclaves de leurs vices et de leurs domestiques.
"Le préjugé de l'esclavage dominait l'esprit de Pythagore et d'Aristote", a-t-on écrit dédaigneusement; et cependant Aristote prévoyait que "si chaque outil pouvait exécuter sans sommation, ou bien de lui-même, sa fonction propre, comme les chefs-d'oeuvre de Dédale se mouvaient d'eux-mêmes, ou comme les trépieds de Vulcain se mettaient spontanément à leur travail sacré; si, par exemple, les navettes des tisserands tissaient d'elles-mêmes, le chef d'atelier n'aurait plus besoin d'aides, ni le maître d'esclaves".
Le rêve d'Aristote est notre réalité. Nos machines au souffle de feu, aux membres d'acier, infatigables, à la fécondité merveilleuse, inépuisable, accomplissent docilement d'elles- mêmes leur travail sacré; et cependant le génie des grands philosophes du capitalisme reste dominé par le préjugé du salariat, le pire des esclavages. Ils ne comprennent pas encore que la machine est le rédempteur de l'humanité, le Dieu qui rachètera l'homme des sordidœ artes et du travail salarié, le Dieu qui lui donnera des loisirs et la liberté. » Paul Lafargue Le droit à la paresse
- « Avez-vous jamais, lecteur, assisté à l'interrogatoire d'un accusé ? Avez-vous observé ses ruses, ses détours, ses fuites, ses distinctions, ses équivoques ? Battu, confondu dans toutes ses allégations, poursuivi comme une bête fauve par l'inexorable juge, traqué d'hypothèse en hypothèse, il affirme, il se reprend, il se dédit, se contredit ; il épuise tous les stratagèmes de la dialectique, plus subtil, plus ingénieux mille fois que celui qui inventa les soixante-douze formes du syllogisme. Ainsi fait le propriétaire sommé de justifier de son droit : d'abord il refuse de répondre, il se récrie, il menace, il défie ; puis, forcé d'accepter le débat, il se cuirasse de chicanes, il s'environne d'une formidable artillerie, croisant ses feux, opposant tour à tour et tout à la fois l'occupation, la possession, la prescription, les conventions, la coutume immémoriale, le consentement universel. Vaincu sur ce terrain, le propriétaire, comme un sanglier blessé, se retourne : J'ai fait plus qu'occuper, s'écrie-t-il avec une émotion terrible, j'ai travaillé, j'ai produit, j'ai amélioré, transformé, CRÉÉ. Cette maison, ces champs, ces arbres sont les leurres de mes mains ; c'est moi qui ai changé la ronce en vigne et le buisson en figuier ; c'est moi qui aujourd'hui moissonne sur les terres de la famine. J'ai engraissé le sol de mes sueurs, j'ai payé ces hommes qui, sans les journées qu'ils gagnaient avec moi, seraient morts de faim. Nul ne m'a disputé la peine et la dépense, nul avec moi ne partagera.
Tu as travaillé, propriétaire ! que parlais-tu donc d'occupation primitive ? Quoi ! n'étais-tu pas sûr de ton droit, ou bien espérais-tu tromper les hommes et faire illusion à la justice ? Hâte-toi de faire connaître tes moyens de défense, car l'arrêt sera sans appel, et tu sais qu'il s'agit de restitution.
Tu as travaillé ! mais qu'y a-t-il de commun entre le travail, auquel le devoir t'oblige, et l'appropriation des choses communes ? ignorais-tu que le domaine du sol, de même que celui de l'air et de la nature, ne peut se prescrire ?
Tu as travaillé ! n'aurais-tu jamais fait travailler les autres ? Comment alors ont-ils perdu en travaillant pour toi ce que tu as su acquérir en ne travaillant pas pour eux ?
Tu as travaillé ! à la bonne heure ; mais voyons ton ouvrage. Nous allons compter, peser, mesurer. Ce sera le jugement de Balthazar : car, j'en jure par cette balance, par ce niveau et cette équerre, si tu t'es approprié le travail d'autrui, de quelque manière que ce soit, tu rendras jusqu'au dernier quarteron. » Pierre Joseph Proudhon, Qu'est-ce que la propriété ?
- « Le terrorisme individuel est-il ou non admissible du point de vue de la "morale pure" ? Sous cette forme abstraite, la question est pour nous tout à fait vaine. Les bourgeois conservateurs suisses décernent encore des éloges officiels au terroriste Guillaume Tell. Nos sympathies vont sans réserve aux terroristes irlandais, russes, polonais, hindous, combattant un joug politique et national. Kirov, satrape brutal, ne suscite en nous aucune compassion. Nous ne demeurons neutres à l'égard de celui qui l'a tué que parce que nous ignorons ses mobiles. Si nous apprenions que Nikolaev a frappé consciemment dans le dessein de venger les ouvriers dont Kirov piétinait les droits, nos sympathies iraient sans réserve au terroriste. Mais ce qui décide à nos yeux ce n'est pas le mobile subjectif, c'est l'utilité objective. Tel moyen peut-il nous mener au but ? Pour le terrorisme individuel, la théorie et l'expérience attestent le contraire. Nous disons au terroriste : il n'est pas possible de remplacer les masses ; ton héroïsme ne trouverait à s'appliquer utilement qu'au sein d'un mouvement de masses. Dans les conditions d'une guerre civile, l'assassinat de certains oppresseurs cesse d'être du terrorisme individuel. Si un révolutionnaire faisait sauter le général Franco et son état-major, on doute que cet acte puisse susciter l'indignation morale, même chez les eunuques de la démocratie. En temps de guerre civile, un acte de ce genre serait politiquement utile. Ainsi dans la question la plus grave -- celle de l'homicide -- les règles morales absolues sont tout à fait inopérantes. Le jugement moral est conditionné, avec le jugement politique, par les nécessités intérieures de la lutte. » Léon Trotsky, Leur morale et la notre (1938)
- « Le tapage organisé autour des aviateurs qui survolent le Pôle vise à étouffer les cris et les gémissements des victimes torturées à la Loubianka, à la Svobodnaia, à Minsk, à Kiev, à Leningrad, à Tiflis. Ces efforts sont vains. La parole, la parole de la vérité, est plus forte que le vacarme des moteurs les plus puissants.
Les recordmen de l'aviation, il est vrai, toucheront les cœurs des ladies américaines et de la jeunesse des deux continents intoxiqués par le sport, plus facilement que nous arriverons à conquérir l'opinion internationale et à émouvoir la conscience du monde ! Que l'on ne s'y trompe pourtant pas : la vérité se fraiera son chemin, le jour de la vérité est plus proche, bien plus proche que ne le pensent les seigneurs du Kremlin. Le jour est proche où le socialisme international jugera les crimes commis au cours des dix dernières années. Rien ne sera oublié, rien ne sera pardonné. L'histoire est sévère : « le chef génial, le père des peuples, le soleil du socialisme », rendra compte de ses actes : la défaite de la révolution chinoise, le plébiscite rouge, l'écrasement du prolétariat allemand, le social-fascisme et le Front populaire, les confidences à Howard, le flirt attendri avec Laval : toutes choses plus géniales les unes que les autres ? » Ignace Reiss Lettre au Comité Central du Parti Communiste de l'Union Soviétique (1937)
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