New Immissions/Updates:
boundless - educate - edutalab - empatico - es-ebooks - es16 - fr16 - fsfiles - hesperian - solidaria - wikipediaforschools
- wikipediaforschoolses - wikipediaforschoolsfr - wikipediaforschoolspt - worldmap -

See also: Liber Liber - Libro Parlato - Liber Musica  - Manuzio -  Liber Liber ISO Files - Alphabetical Order - Multivolume ZIP Complete Archive - PDF Files - OGG Music Files -

PROJECT GUTENBERG HTML: Volume I - Volume II - Volume III - Volume IV - Volume V - Volume VI - Volume VII - Volume VIII - Volume IX

Ascolta ""Volevo solo fare un audiolibro"" su Spreaker.
CLASSICISTRANIERI HOME PAGE - YOUTUBE CHANNEL
Privacy Policy Cookie Policy Terms and Conditions
Histoire du Cachemire - Wikipédia

Histoire du Cachemire

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Ex-principauté de
Jammu & Cachemire
image:Drapeau_Cachemire.png
Fondateur Gulab Singh
Fondée en 1850
Clan Râjput Dogrâ
Religion hindoue
Superficie 226 013 km²
Salve 21 guns

Sommaire

[modifier] La préhistoire

[modifier] La période hindouïste et bouddhiste

[modifier] la période musulmane

[modifier] La domination moghole

[modifier] La domination afghane (1752-1819)

[modifier] La domination sikh (1819-1846)

[modifier] La principauté des Dogrâ (1846-1947)

[modifier] La décolonisation britannique et ses suites (1947-1956)

Le démantèlement de l'Empire des Indes en 1947 entraîne un changement d'équilibre important dans la sous-région cachemirienne.

À la veille de la décolonisation, l'État princier (native state, selon le lexique britannique de l'époque) du Cachemire est autonome, dirigé par un prince et chef de guerre qui a racheté le territoire pour 7,5 millions de roupies lors du Traité d'Amritsar. En vertu de cet accord, il est de facto un homme à la solde du Royaume-Uni, qui garde donc sa tutelle sur le Cachemire par intermédiaire interposé. Ce système d' État princier s’apparente à une variante de la stratégie britannique traditionnelle de contrôle indirect par le truchement d’un (micro) État vassalisé, bénéficiant d’une relative autonomie. Dans le cas du Cachemire, il est intégré au sein même du territoire sous contrôle britannique et confié à un mahârâja de confession opposée à celle de ses sujets. L’association d’un seigneur hindou étranger à une population musulmane marque le début des premières tensions au Cachemire.

Le processus de décolonisation s’engage en 1947. La commission Radcliffe est chargée de tracer les frontières des États indépendants. Elle accorde à trois États princiers le droit de l’autodétermination afin d’être rattaché au Pakistan ou à l’Inde, ou de conserver son autonomie. C'est le cas du Cachemire. Contrairement aux deux autres États princiers qui choisissent le rattachement, le processus aboutit à un conflit armé. Au moment de la Partition, et alors que, finalement, il semble s’orienter vers un rattachement à l’Inde suivant la confession de son prince Hari Singh, le Cachemire est envahi. Le Pakistan orchestre en effet une offensive armée des tribus pathanes de la province frontalière du Nord-Ouest. Le mahârâja demande l'aide de l'Inde qui s'engage alors dans une guerre avec le Pakistan. C'est le début de la 1ère guerre indo-pakistanaise.

Elle ne prend fin qu'avec l’intervention de l’ONU. En 1948, une résolution onusienne demande le retrait des troupes pakistanaises et l’organisation par l’Inde d’un « plébiscite libre et impartial ». Avec l’accord de Karachi, l’ONU impose en juillet 1949 la Line of Control, ligne de cessez-le-feu entre les deux camps, dont l’étanchéité est assurée par une force d’observation. Mais le Pakistan refuse de rendre les territoires conquis qui finissent mutatis mutandis par constituer une nouvelle province, l’Azad Kashmir (le Cachemire libre). L’Inde en tire argument pour ne pas organiser le référendum qu’elle a toute chance de voir basculer en faveur du Pakistan tant la domination musulmane est écrasante au sein de la population kashmirie. En 1950, un article de la Constitution indienne octroie à l’État de Jammu et Cachemire une relative autonomie vis-à-vis du pouvoir central. Mais ce n’est qu’en 1956 que l’Assemblée constituante de l’État de Jammu et Cachemire vote le rattachement à l’Inde. Néanmoins, le Pakistan maintient son occupation sur le reste du Cachemire.

[modifier] Le problème du Cachemire

[modifier] Deux Cachemire, une ligne de démarcation

Carte du découpage du Cachemire
Carte du découpage du Cachemire

Le différend quant au Cachemire opposant l'Inde et le Pakistan depuis la Partition a débouché sur deux autres conflits armés en 1965 et 1999, auxquels s'ajoute la guerre de 1971 à l'issue de laquelle le Bangladesh est devenu indépendant. À ce conflit interétatique, s'ajoute corrélativement, depuis 1989, un soulèvement interne au Cachemire qui a fait plusieurs dizaines de milliers de morts.

Les affrontements et les guerres se sont succédé afin de repousser la Line of Control vers l’est ou l’ouest, selon le camp envisagé. De par et d'autre de cette ligne de démarcation se situent donc deux territoires au statut international flou : le Jammu et Cachemire indien et l'Azad Kashmir pakistanais.

La 3e guerre indo-pakistanaise en 1971 s’achève par une victoire indienne mais la pression internationale oblige l’Inde à évacuer les terres conquises et à libérer 90 000 prisonniers. L’accord de Simla en 1972 marque le retour au statut quo ante pour le Cachemire. En 1989, le retrait soviétique après la défaite de l'URSS contre l'Afghanistan change de nouveau la donne, entraînant la radicalisation de l’Islam au Cachemire. Un virage fondamentaliste dans la lutte armée s’amorce qui n’existait pas auparavant. Au lendemain du départ soviétique se déclenche ainsi une insurrection au Cachemire réclamant désormais le rattachement au Pakistan, qui durant toute la guerre a soutenu l’Afghanistan.

En 1999, la tension entre les deux États culmine dans le conflit du Kargil suite aux mouvements de troupes régulières et irrégulières pakistanaises qui traversent la ligne de contrôle et prennent position dans les hauteurs himalayennes du Cachemire, menaçant des voies de circulation et entraînant une réponse de l'Inde. Le Pakistan tente à ce moment là de couper en deux la route SrinagarLeh et d’établir ainsi une nouvelle Line of Control. La tension entre les deux nations est alors à son comble, mais la pression diplomatique des États-Unis force le Pakistan à se retirer des territoires qu'il avait occupés. La résolution de crise entraîne le renversement du pouvoir civil et le coup d'État militaire qui porte le général Pervez Musharraf au pouvoir en octobre.

[modifier] L'entrée en jeu de la Chine

Les prétentions chinoises sur la sous-région kashmirie sont fondées sur une continuité topographique (haut plateau tibétain) et religieuse (bouddhisme). La Chine s’est installée dans le nord-est de la région après les guerres sino-indiennes de 1959-1960 et 1962 et s’impose progressivement comme un tiers encombrant dans un jeu initialement indo-pakistanais. L’implantation chinoise est entérinée par le développement d’infrastructures de communication. Depuis 1957, une route relie le Xinjiang au Tibet (la China National Highway 219) et depuis 1978 elle connecte le Xinjiang au Pendjab.

[modifier] Une périphérie économique, ethnique et religieuse

Du fait de sa topographie de haute montagne et de son isolement dans les réseaux de communication nationaux respectifs, l'ex-royaume du Cachemire est devenu un refuge pour les minorités religieuses ainsi qu’un conservatoire culturel et identitaire. Le compartimentage du territoire favorise le développement de logiques communautaires, voire tribales. Ce statut coïncide étroitement avec celui de périphérie économique. La mise en valeur agricole, principale activité de la région avec l’artisanant (filage de la soie, depuis le déclin du tissage du kashmir, sculpture sur bois et papier maché) s’avère plus difficile que dans les plaines indiennes où les techniques culturales sont beaucoup plus élaborées suite à la révolution verte.

Certes les musulmans composent l’écrasante majorité (94 %) de la population de l'ex-royaume. Mais la situation confessionnelle de la région est pourtant loin de constituer une base solide pour un quelconque découpage. Ainsi, si le Pakistan réclame le Cachemire en vertu de l’unité musulmane, l’Azad Cachemire constitue(rait) cependant une forte minorité chiite pour un pays à majorité sunnite. Au sein même de l’État indien de Jammu et Cachemire, les variations géographiques de la répartition religieuse sont importantes.

L'ex-royaume du Cachemire rassemble donc des confettis de particularismes conflictuels qui mettent en échec la fonction ethnico-religieuse de la « frontière » (Line of Control) de 1949. L’absence d’adhésion nationale aux valeurs d'un centre politique semble expliquer en grande partie l’explosion de la revendication des particularismes religieux, qui tentent de se constituer en différences spatiales.

[modifier] Trois stratégies nationales autour du Cachemire

[modifier] Le point de vue pakistanais

Le Pakistan, bien que bâti sur une structure fédérale, fonde son unité sur le rassemblement de musulmans. À la suite de la Partition de l’Empire des Indes britanniques en 1947, de gigantesques transferts de population eurent donc lieu, de sikhs vers l’Inde et de musulmans vers le Pakistan. C’est donc la poursuite de cette démarche que demande le Pakistan au vu des 94 % de musulmans présents au Cachemire.

Étant donné le rapport de force entre l’Inde et le Pakistan, ce dernier ne peut lutter face au boom indien, tant démographique qu’économique et militaire. C’est pourquoi Islamabad s’est engagé dans un processus d’internationalisation afin d’impliquer le concert des nations dans un règlement multilatéral. Le Pakistan réclame donc depuis 1947 l’application du principe onusien de l’autodétermination assistée par des observateurs : internationaliser le conflit est un moyen de s’assurer des appuis extérieurs qui contre-balancent le poids indien dans les possibles négociations. Ainsi, le Pakistan est susceptible d’éviter toute forme de chantage de la part du camp indien. La cession à la Chine d’une partie infinitésimale des Territoires du Nord en 1963 a ainsi permis au Pakistan de s’assurer les bonnes grâces d’un allié de poids, qui a officiellement soutenu sa position d’un référendum au Cachemire, prenant ainsi le contre-pied de la diplomatie indienne.

Néanmoins, cette revendication n’a jusqu’ici que peu abouti. Dès lors, le recours au financement des factions musulmanes séparatistes militarisées peut être interprété comme un pis-aller illégal au recours onusien légal. C'est en effet un moyen de provoquer le délitement intérieur indien au Cachemire afin d’obtenir une forme d’autodétermination qui ferait sans nul doute la part belle au Pakistan.

[modifier] Le point de vue indien

New Delhi voit d’un œil inquiet les revendications cachemirie d’indépendance dans la mesure où elles remettent en cause l’origine même de l’Inde. Pour ce régime laïc à structure fédérale, l’assimilation du Cachemire est en effet la preuve même de la réussite de son modèle politique, capable de coiffer par un pouvoir central réduit à l’essentiel des entités régionales diverses et partiellement autonomes grâce à leurs assemblées. La perte du Cachemire, de quelque façon que ce soit, serait donc une porte ouverte à toute aspiration de même nature dans le reste de l’Union, et donc une menace à terme pour sa structure étatique.

Du fait même de sa position politique sur le Cachemire, l’Inde refuse donc tout pluripartisme dans les négociations avec le Pakistan. Elle estime en effet que le conflit doit être réglé en "interne", au sein de l’Union indienne, puisque c’est son modèle d’assimilation qui est remis en cause. C’est pour cette même raison qu’elle tente de circonvenir les pourparlers avec le Pakistan dans un échange bilatéral, dénonçant comme ingérence toute tentative tierce officielle de se constituer en arbitre. Après la fin de la guerre avec le Pakistan en 1965, l’Inde a ainsi obtenu avec l’accord de Simla de 1972 le principe d’un règlement uniquement bilatéral. Ce cadre restreint lui permet d’instaurer à la table des négociations un rapport de force avec le Pakistan qui lui est favorable et ainsi d’imposer ses vues plus facilement.

[modifier] Le point de vue chinois

Le rôle de la Chine dans le conflit va en croissant. Pour ce régime à pouvoir central fort, il s’agit d’affirmer son autorité dans des territoires qu’elle a longtemps délaissés en raison de leurs difficiles accessibilités. Mais sa montée en puissance passe aussi par une maîtrise complète du territoire national, le développement des infrastructures routières déjà mentionnées en étant la preuve.

[modifier] La nucléarisation du conflit

Le contentieux autour du Cachemire prend une raisonnance d'autant plus importante que les trois États qu'il oppose sont des puissances nucléaires

Le développement des capacités militaires de l’Inde a débuté après la défaite contre la Chine en 1962 et l’accession de la Chine en 1964 au rang de puissance nucléaire. L’Inde a alors entamé différents programmes de développement de ses armes conventionnels et un programme nucléaire militaire (le nucléaire civil était envisagé depuis l’indépendance) longtemps resté secret. C’est donc en réponse à la menace chinoise que l’Inde est entré dans le club nucléaire.

Par ricochet, le Pakistan a du lui aussi se doter de l’armée nucléaire afin de rester une menace pour l’Inde. En effet, le Pakistan aurait été dans l’incapacité de faire pression sur l’Inde s’il n’avait été en mesure de faire jeu égal avec sa grande rivale. Pour pouvoir rester un acteur crédible de la sous-région et revendiquer le Cachemire, le Pakistan ne pouvait se passer de l’arme nucléaire sous peine de devenir une puissance marginale.

En réponse aux essais nucléaires indiens (mai 1998), le Pakistan a effectué les siens propres (juin). Cependant, la nucléarisation du Pakistan n’a jamais été réellement perçue comme une menace par l’Inde, même si le Ghauri dont le Pakistan a fait l’essai en avril 1998 possède une portée suffisante pour atteindre New Delhi. La menace pakistanaise est désormais indirecte. Elle résulte surtout de son "alliance" avec la Chine depuis 1963 qui pourrait éventuellement se solder par un appui militaire ou des transferts de technologies.

La dissuasion nucléaire semble donc désormais fonctionner, entraînant une stabilisation de la sous-région par sanctuarisation du territoire. Les positions de chacun apparaissent figées car tout changement territorial est susceptible de faire l’objet d’un chantage à la bombe nucléaire, provoquant quelques escalades qui néanmoins n’aboutissent pas dans les faits.

[modifier] L'hégémonie asiatique en question

Même si le conflit persiste et que Pakistan et Inde ne trouvent pas de réel terrain d’entente, il est devenu depuis 1999 l’objet d’un "dialogue composite" qui a permis depuis de maintenir les dérapages à l’état d’accrochage. Il est en fait de plus en plus difficile pour le Pakistan de contester de façon directe la position indienne en raison de son émergence progressive en tant que grande puissance. Le déséquilibre du rapport de force entre le Pakistan et l’Inde allant en s’accroissant, le premier subit de plus en plus la volonté du second. Ceci explique aussi en partie que le Pakistan ne se soit plus lancé dans une action militaire étatique.Au contraire, il s'est aventuré, jusqu'en 2001 semble-t-il en tout cas, dans le soutien financier à des groupes paramilitaires, voire terroristes, actifs au Cachemire indien.

En réalité, les enjeux stratégiques de la région tendent à se déplacer de la Line of Control issue de l'accord de 1949 entre Inde et Pakistan à la frontière sino-indienne, dont la fonction est politico-stratégique. Les incursions chinoises lors des guerres de 1959-1960 et 1962 ont permis à la Chine d’investir de petits territoires au Cachemire, mais suffisamment pour exister au sein du rapport de force. Les revendications de chacun paraissent beaucoup moins vives que sur la Line of Control et l’Inde a en partie accepté l’état de fait de l’installation chinoise, comme en atteste les négociations sino-indiennes d'avril 2005.

Néanmoins, cette opposition autour du Cachemire entre les deux pays témoigne d’une possible lutte quant au statut de puissance dominante en Asie. Tant qu’aucun des deux États n’avaient les moyens techniques suffisants pour maîtriser cet espace difficile - ce qui est encore en partie le cas pour l’Inde - la barrière montagneuse de la chaîne himalayenne a constitué le support d’une frontière politique limitant les deux aires culturelles hindoue et sinisée. L’Inde considère ainsi l’ensemble du sous-continent comme son aire d’influence naturelle où elle exerce sa domination. Il en va de même pour la Chine de l’autre côté de l’Himalaya, qui argue d’ailleurs d'une continuité géographique entre le Tibet et les plateaux du Ladakh ainsi qu’une continuité religieuse du bouddhisme pour justifier son installation. Le Cachemire constitue donc un symbole de leur emprise régionale pour ces deux puissances qui aspirent à devenir des modèles pour l’ensemble de l’Asie.

[modifier] La lutte anti-terroriste, une nouvelle donne ?

À la suite des attentats du 11 septembre 2001, les États-Unis sont entrés en guerre contre l’Afghanistan afin de mener une "guerre contre le terrorisme", entraînant le passage de nombreux réfugiés afghans pro-talibans au Cachemire. Ce dernier, tout comme pendant la guerre contre les soviétiques, est donc redevenu une base de repli active pour les miliciens afghans. Il semble ainsi avéré que des camps d’entraînement se soient installés à la "frontière" entre les Territoires du Nord sous domination pakistanaise et l’Inde. Ses camps feraient désormais aussi partie du cursus honorum privilégié des indépendantistes cachemiris.

L'adoption de l'attentat comme nouvelle méthode d'action pour les indépendantistes est la princiale conséquence de ce changement. Ainsi, en décembre 2001, le Parlement de Srinagar a fait l’objet d’une attaque à la bombe, attribué à un groupe basé au Pakistan et qui n’a pas été condamné par le Pakistan. En 2002, c’est le Parlement de New Delhi qui a été visé par un attentat à la voiture piégée, attribué à des indépendantistes cachemiris basés au Pakistan. Suite au tollé international, le Pakistan s’est vu dans l’obligation de condamner ces attentats. Malgré ces attaques, une rencontre de hauts fonctionnaires des deux pays l'année suivante entraîne une diminution de la tension. Le Premier ministre indien, Atal Bihari Vajpayee décide de "tendre la main de la paix au Pakistan" (avril 2003), à l'occasion d'un discours à Shimla. Le 5 janvier 2004, en marge d'un sommet de la SAARC (South Asian Association for Regional Cooperation) à Islamabad, est relancé le "dialogue composite", qui doit désormais officiellement porter sur toutes les questions opposant l'Inde et le Pakistan, y compris le Cachemire. L'alternance à New Delhi, qui porte au pouvoir le parti du Congrès et un nouveau premier ministre, Manmohan Singh, ne remet pas en cause ce rapprochement. Des groupes de travail avancent dans tous les domaines. En avril 2004, une ligne de bus est pour la première fois ouverte entre Srinagar et Muzaffarabad tandis qu'en visite à New Delhi, le Président Musharraf indique qu'à ses yeux, le processus de paix est "irréversible".

[modifier] Voir aussi

[modifier] Articles connexes

[modifier] Liens externes

Portail du monde indien – Accédez aux articles de Wikipédia concernant le monde indien.

Static Wikipedia (no images)

aa - ab - af - ak - als - am - an - ang - ar - arc - as - ast - av - ay - az - ba - bar - bat_smg - bcl - be - be_x_old - bg - bh - bi - bm - bn - bo - bpy - br - bs - bug - bxr - ca - cbk_zam - cdo - ce - ceb - ch - cho - chr - chy - co - cr - crh - cs - csb - cu - cv - cy - da - de - diq - dsb - dv - dz - ee - el - eml - en - eo - es - et - eu - ext - fa - ff - fi - fiu_vro - fj - fo - fr - frp - fur - fy - ga - gan - gd - gl - glk - gn - got - gu - gv - ha - hak - haw - he - hi - hif - ho - hr - hsb - ht - hu - hy - hz - ia - id - ie - ig - ii - ik - ilo - io - is - it - iu - ja - jbo - jv - ka - kaa - kab - kg - ki - kj - kk - kl - km - kn - ko - kr - ks - ksh - ku - kv - kw - ky - la - lad - lb - lbe - lg - li - lij - lmo - ln - lo - lt - lv - map_bms - mdf - mg - mh - mi - mk - ml - mn - mo - mr - mt - mus - my - myv - mzn - na - nah - nap - nds - nds_nl - ne - new - ng - nl - nn - no - nov - nrm - nv - ny - oc - om - or - os - pa - pag - pam - pap - pdc - pi - pih - pl - pms - ps - pt - qu - quality - rm - rmy - rn - ro - roa_rup - roa_tara - ru - rw - sa - sah - sc - scn - sco - sd - se - sg - sh - si - simple - sk - sl - sm - sn - so - sr - srn - ss - st - stq - su - sv - sw - szl - ta - te - tet - tg - th - ti - tk - tl - tlh - tn - to - tpi - tr - ts - tt - tum - tw - ty - udm - ug - uk - ur - uz - ve - vec - vi - vls - vo - wa - war - wo - wuu - xal - xh - yi - yo - za - zea - zh - zh_classical - zh_min_nan - zh_yue - zu -

Static Wikipedia 2007 (no images)

aa - ab - af - ak - als - am - an - ang - ar - arc - as - ast - av - ay - az - ba - bar - bat_smg - bcl - be - be_x_old - bg - bh - bi - bm - bn - bo - bpy - br - bs - bug - bxr - ca - cbk_zam - cdo - ce - ceb - ch - cho - chr - chy - co - cr - crh - cs - csb - cu - cv - cy - da - de - diq - dsb - dv - dz - ee - el - eml - en - eo - es - et - eu - ext - fa - ff - fi - fiu_vro - fj - fo - fr - frp - fur - fy - ga - gan - gd - gl - glk - gn - got - gu - gv - ha - hak - haw - he - hi - hif - ho - hr - hsb - ht - hu - hy - hz - ia - id - ie - ig - ii - ik - ilo - io - is - it - iu - ja - jbo - jv - ka - kaa - kab - kg - ki - kj - kk - kl - km - kn - ko - kr - ks - ksh - ku - kv - kw - ky - la - lad - lb - lbe - lg - li - lij - lmo - ln - lo - lt - lv - map_bms - mdf - mg - mh - mi - mk - ml - mn - mo - mr - mt - mus - my - myv - mzn - na - nah - nap - nds - nds_nl - ne - new - ng - nl - nn - no - nov - nrm - nv - ny - oc - om - or - os - pa - pag - pam - pap - pdc - pi - pih - pl - pms - ps - pt - qu - quality - rm - rmy - rn - ro - roa_rup - roa_tara - ru - rw - sa - sah - sc - scn - sco - sd - se - sg - sh - si - simple - sk - sl - sm - sn - so - sr - srn - ss - st - stq - su - sv - sw - szl - ta - te - tet - tg - th - ti - tk - tl - tlh - tn - to - tpi - tr - ts - tt - tum - tw - ty - udm - ug - uk - ur - uz - ve - vec - vi - vls - vo - wa - war - wo - wuu - xal - xh - yi - yo - za - zea - zh - zh_classical - zh_min_nan - zh_yue - zu -

Static Wikipedia 2006 (no images)

aa - ab - af - ak - als - am - an - ang - ar - arc - as - ast - av - ay - az - ba - bar - bat_smg - bcl - be - be_x_old - bg - bh - bi - bm - bn - bo - bpy - br - bs - bug - bxr - ca - cbk_zam - cdo - ce - ceb - ch - cho - chr - chy - co - cr - crh - cs - csb - cu - cv - cy - da - de - diq - dsb - dv - dz - ee - el - eml - eo - es - et - eu - ext - fa - ff - fi - fiu_vro - fj - fo - fr - frp - fur - fy - ga - gan - gd - gl - glk - gn - got - gu - gv - ha - hak - haw - he - hi - hif - ho - hr - hsb - ht - hu - hy - hz - ia - id - ie - ig - ii - ik - ilo - io - is - it - iu - ja - jbo - jv - ka - kaa - kab - kg - ki - kj - kk - kl - km - kn - ko - kr - ks - ksh - ku - kv - kw - ky - la - lad - lb - lbe - lg - li - lij - lmo - ln - lo - lt - lv - map_bms - mdf - mg - mh - mi - mk - ml - mn - mo - mr - mt - mus - my - myv - mzn - na - nah - nap - nds - nds_nl - ne - new - ng - nl - nn - no - nov - nrm - nv - ny - oc - om - or - os - pa - pag - pam - pap - pdc - pi - pih - pl - pms - ps - pt - qu - quality - rm - rmy - rn - ro - roa_rup - roa_tara - ru - rw - sa - sah - sc - scn - sco - sd - se - sg - sh - si - simple - sk - sl - sm - sn - so - sr - srn - ss - st - stq - su - sv - sw - szl - ta - te - tet - tg - th - ti - tk - tl - tlh - tn - to - tpi - tr - ts - tt - tum - tw - ty - udm - ug - uk - ur - uz - ve - vec - vi - vls - vo - wa - war - wo - wuu - xal - xh - yi - yo - za - zea - zh - zh_classical - zh_min_nan - zh_yue - zu

Static Wikipedia February 2008 (no images)

aa - ab - af - ak - als - am - an - ang - ar - arc - as - ast - av - ay - az - ba - bar - bat_smg - bcl - be - be_x_old - bg - bh - bi - bm - bn - bo - bpy - br - bs - bug - bxr - ca - cbk_zam - cdo - ce - ceb - ch - cho - chr - chy - co - cr - crh - cs - csb - cu - cv - cy - da - de - diq - dsb - dv - dz - ee - el - eml - en - eo - es - et - eu - ext - fa - ff - fi - fiu_vro - fj - fo - fr - frp - fur - fy - ga - gan - gd - gl - glk - gn - got - gu - gv - ha - hak - haw - he - hi - hif - ho - hr - hsb - ht - hu - hy - hz - ia - id - ie - ig - ii - ik - ilo - io - is - it - iu - ja - jbo - jv - ka - kaa - kab - kg - ki - kj - kk - kl - km - kn - ko - kr - ks - ksh - ku - kv - kw - ky - la - lad - lb - lbe - lg - li - lij - lmo - ln - lo - lt - lv - map_bms - mdf - mg - mh - mi - mk - ml - mn - mo - mr - mt - mus - my - myv - mzn - na - nah - nap - nds - nds_nl - ne - new - ng - nl - nn - no - nov - nrm - nv - ny - oc - om - or - os - pa - pag - pam - pap - pdc - pi - pih - pl - pms - ps - pt - qu - quality - rm - rmy - rn - ro - roa_rup - roa_tara - ru - rw - sa - sah - sc - scn - sco - sd - se - sg - sh - si - simple - sk - sl - sm - sn - so - sr - srn - ss - st - stq - su - sv - sw - szl - ta - te - tet - tg - th - ti - tk - tl - tlh - tn - to - tpi - tr - ts - tt - tum - tw - ty - udm - ug - uk - ur - uz - ve - vec - vi - vls - vo - wa - war - wo - wuu - xal - xh - yi - yo - za - zea - zh - zh_classical - zh_min_nan - zh_yue - zu