Parti socialiste (Belgique)
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- Pour les articles homonymes, voir Parti socialiste.
Parti socialiste | |
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Président Vice-Présidents Secrétaire général |
Elio Di Rupo Christie Morreale Philippe Moureaux Maurice Bayenet Jean-Pol Baras |
Fondation | 6 avril 1885 (POB) 1945 (PSB) 1978 (PS) |
Siège | Parti Socialiste Bd de l'Empereur 1000 Bruxelles |
Au niveau fédéral | |
Chambre | 24 députés |
Chef de groupe | Thierry Giet |
Sénat | 12 sénateurs |
Chef de groupe | Philippe Mahoux |
Ministres fédéraux |
Rudy Demotte Christian Dupont André Flahaut Laurette Onkelinx |
Secrétaire d'État | Didier Donfut |
Dans les entités fédérées |
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Parl. wallon | 34 députés |
Ministres wallons |
Marie Arena Philippe Courard Michel Daerden Elio Di Rupo Jean-Claude Marcourt Christiane Vienne |
Parl. Comm. française | 41 députés |
Ministres francophones |
Marie Arena Michel Daerden Claude Eerdekens Fadila Laanan |
Parl. bruxellois | 25 députés |
Ministres bruxellois |
Françoise Dupuis Emir Kir Charles Picqué |
Parl. Comm. germanophone | 5 députés |
Ministre germanophone | Karl-Heinz Lambertz |
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Au parlement européen | |
Représentants | 4 députés |
Affiliation européenne | Parti socialiste européen |
Affiliation internationale | Internationale socialiste |
Idéologie(s) | Social-démocratie |
Couleur | Rouge |
Site officiel | www.ps.be |
voir aussi
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Le Parti socialiste (PS) est un parti politique. Le mouvement socialiste domine la scène politique belge francophone depuis la moitié du XXe siècle. Le Parti socialiste est issu de la scission en 1978 du Parti socialiste belge en un aile flamande, le Socialistische Partij (SP, aujourd'hui Socialistische Partij Anders) et une aile francophone. Le parti est aujourd'hui le premier parti francophone de Belgique et est présent à tous les niveaux de pouvoir (gouvernement fédéral, Région wallonne, Communauté française, Région de Bruxelles-Capitale), où il participe à des gouvernements de coalition. Il est né sur les cendres du POB
Sommaire |
[modifier] Fondements idéologiques et philosophiques
[modifier] Le socialisme démocratique
Le socialisme démocratique se fixe pour objectif la formation d'une société fondée sur les idéaux démocratiques et sur l'égalité de tous les citoyens.
Chaque individu doit pouvoir être libre dans son épanouissement, dans ses choix, dans ses décisions tout comme il doit impérativement pouvoir peser à tous les niveaux de la société dans laquelle il vit. La liberté conjugue deux aspect: celui de ne subir aucune oppression et contrainte extérieure comme la faim, l'ignorance et la peur de l'avenir et celui de pouvoir s'engager et participer aux prises de décisions qui engagent la collectivité. La liberté des citoyens suppose leur égalité. L'égalité impliquant que chaque personne peut justement s'impliquer dans les choix de la société et décider de sa propre vie en dépit des conditions sociales et familiales dont il est issu. L'égalité suppose le droit de faire des choix et de suivre des trajectoires différentes, sans que ces différences ne mènent à une subordination dans la vie quotidienne et dans la société.
La liberté et l'égalité sont à la fois liées aux droits des individus et aux solutions collectives de réalisation d'objectifs conformes à l'intérêt général. L'homme est un être social qui se développe et s'épanouit au contact d'autrui, et des pans entiers de ce qui détermine le bien-être individuel ne peuvent être créés que dans le cadre d'une action commune. Cet intérêt commun supposant la solidarité, sentiment communautaire découlant de la prise de conscience de notre interdépendance.
La société que visent les socialistes est une société fondée sur l'action commune, dans le respect et le souci des autres. Tout citoyen doit avoir les mêmes droits et les mêmes possibilités de contribuer aux solutions, tout citoyen a le même devoir d'en assumer la responsabilité. La solidarité n'exclut pas l'épanouissement individuel mais est profondément incompatible avec l'égoïsme qui permet d'exploiter les autres au nom d'un intérêt personnel.
Pour les socialistes, tout pouvoir doit se fonder sur la communauté des personnes qui constitue la société, les intérêts économiques n'ayant pas à poser des limites à la démocratie: la démocratie a toujours le droit de tracer le cadre économique et de fixer les limites du marché. Les socialistes doivent mettre en place une organisation sociale où citoyens et individus doivent pouvoir peser sur les décisions collectives. Chaque citoyen, en tant que salarié ou consommateur doit avoir le droit d'exercer une influence sur l'agencement et la répartition de la production, l'organisation et les conditions du travail. Ces valeurs démocratiques doivent ainsi régir tous les niveaux de la société pour que celle-ci soit organisée sans rapport de domination ou de soumission, sans différences de classes, sans préjugés ou discriminations.
Le socialisme démocratique a également intégré les problématiques liées à l'environnement et au développement durable, ainsi que celles liées au combat des femmes et aux combats pour les droits.
[modifier] La Charte de Quaregnon
Déclaration de principe
Les richesses, en général, et spécialement les moyens de production, sont ou des agents naturels ou le fruit du travail - manuel et cérébral - des générations antérieures, aussi bien que de la génération actuelle ; elles doivent, par conséquent, être considérées comme le patrimoine commun de l'humanité. Le droit à la jouissance de ce patrimoine, par des individus ou par des groupes, ne peut avoir d'autre fondement que l'utilité sociale, et d'autre but que d'assurer à tout être humain la plus grande somme possible de liberté et de bien-être. La réalisation de cet idéal est incompatible avec le maintien du régime capitaliste qui divise la société en deux classes nécessairement antagonistes : l'une, qui peut jouir de la propriété, sans travail, l'autre, obligée d'abandonner une part de son produit à la classe possédante. Les travailleurs ne peuvent attendre leur complet affranchissement que de la suppression des classes et d'une transformation radicale de la société actuelle. Cette transformation ne sera pas seulement favorable au prolétariat, mais à l'humanité tout entière; néanmoins, comme elle est contraire aux intérêts immédiats de la classe possédante, l'émancipation des travailleurs sera essentiellement l'œuvre des travailleurs eux-mêmes. Ils devront avoir pour but, dans l'ordre économique, de s'assurer l'usage libre et gratuit de tous les moyens de production. Ce résultat ne pourra être atteint, dans une société où le travail collectif se substitue de plus en plus au travail individuel, que par l'appropriation collective des agents naturels et ses instruments de travail. La transformation du régime capitaliste en régime collectiviste doit nécessairement être accompagnée de transformations corrélatives :
- Dans l'ordre moral, par le développement des sentiments altruistes et la pratique de la solidarité ;
- Dans l'ordre politique, par la transformation de l'État en administration des choses.
Le socialisme doit donc poursuivre simultanément l'émancipation économique, morale et politique du prolétariat. Néanmoins le point de vue économique doit être dominant, car la concentration des capitaux entre les mains d'une seule classe constitue la base de toutes les autres formes de sa domination. Pour la réalisation de ces principes Le Parti Ouvrier déclare qu'il se considère comme le représentant, non seulement de la classe ouvrière, mais de tous les opprimés, sans distinction de nationalité, de culte, de race ou de sexe. Que les socialistes de tous les pays doivent être solidaires, l'émancipation des travailleurs n'étant pas une œuvre nationale, mais internationale. Que, dans la lutte contre la classe capitaliste, les travailleurs doivent combattre par tous les moyens qui sont en leur pouvoir. Parmi ces moyens : l'action politique, le développement des associations libres et l'incessante propagation des principes socialistes.
[modifier] Organisation interne
[modifier] Structures internationales
Le Parti Socialiste est membre de l'Internationale Socialiste (I.S), qui est l'organisation mondiale des partis socialistes, sociaux-démocrates et travaillistes. Elle rassemble actuellement 139 partis et organisations politiques de tous les continents.
L'I.S., dont les origines remontent à 1889, existe sous sa forme actuelle depuis 1951, lorsqu'elle fut rétablie au Congrès de Francfort. Depuis, ses activités et le nombre de ses membres n'ont cessé de croître, surtout ces dernières années.
L'I.S. est une organisation qui par son rayonnement suscite de plus en plus de demandes d'adhésion de la part de partis progressistes. Chaque année elle reçoit des demandes de tous les coins du monde de partis dans l'opposition et venant de pays qui accèdent à la démocratie. L'I.S. a d'ailleurs été pour eux, sans qu'ils en soient membres, un point d'appui, en particulier dans" l'ex-Europe de l'Est".
Les partis socialistes, sociaux-démocrates et travaillistes sont aujourd'hui une force politique significative dans toutes les démocraties du monde. Beaucoup de partis membres de l'Internationale sont au pouvoir ou représentent la principale force d'opposition.
Au niveau européen, le Parti socialiste, ainsi que l'ensemble des militants du PS et des partis membres, adhèrent au Parti socialiste européen. Ancienne organisation de coordination des politiques de chaque parti socialiste ou social-démocrate européen, il s'est mué très récemment de Parti des socialistes européens vers l'appellation Parti socialiste européen. Il dispose d'un groupe parlementaire au Parlement européen et tend à harmoniser de plus en plus les lignes politiques de chaque mouvement socialiste européen afin de devenir à terme une force de gauche réelle et cohérente à l'échelle du continent.
[modifier] Organisations associées
Le Parti socialiste travaille quotidiennement avec des organismes dont l'action participe à la réalisation de ses objectifs. Ils peuvent être liés organiquement au Parti socialiste ou en être partenaire.
- Le Mouvement des jeunes socialistes est une structure autonome qui réunit les jeunes qui souhaitent y adhérer, de 15 à 30 ans.
- L’Institut Émile Vandervelde, constitue aujourd’hui une équipe de jeunes attachés, dont la mission consiste à jouer un rôle d’interface avec les groupes parlementaires socialistes dans les différentes assemblées. Ils sont accrédités auprès de ces groupes parlementaires afin d’aider les députés dans les travaux parlementaires. Ils sont regroupés au sein de cellules spécialisées (voir menu en haut de page) dans différents domaines. Ils sont secrétaires de Commissions, présidées par un parlementaire et qui se chargent d’étudier des problématiques dans différents domaines. Les travaux en commissions ou en groupes de travail conduisent à une note au Bureau du parti ou à une proposition parlementaire.
La mission du centre d’études réside également dans l’organisation de colloques sur les sujets les plus divers de la politique belge, le volet européen et international étant plus centralisé auprès de la Fondation Louis de Brouckère. L’Institut dispose également d’une bibliothèque.
[modifier] Historique
Voir Parti socialiste belge pour l'histoire du socialisme en Belgique avant 1978.
Si la Flandre a effectivement obtenu en 1970 l'autonomie culturelle qu'elle souhaitait, la Wallonie n'a eu que la promesse de la régionalisation économique qu'elle réclamait.
Tous les efforts des socialistes francophones tendront au cours de la décennie à la concrétisation de cette revendication, que la crise économique rend encore plus justifiée à partir de 1975. Dans ce contexte, les tensions et les divergences entre socialistes du nord et du sud du pays - comme dans les autres familles politiques - aboutissent à la constitution d'un Parti socialiste et d'un Socialistische Partij en 1978. C'est l'aboutissement d'une évolution alors en cours depuis quarante ans. André Cools devient le premier président des socialistes francophones. En 1981, il est remplacé par Guy Spitaels qui exerça la fonction jusqu'en 1992, Philippe Busquin lui succédant à cette date. Elio Di Rupo devient président en octobre 1999. En 1980, un nouveau gouvernement social-chrétien-socialiste fait voter les lois concrétisant la régionalisation. Mais celle-ci n'est encore que limitée. Comme celle de 1970, l'étape de 1980 n'est qu'un pas vers une Belgique fédérale. Il faudra attendre 1988 et le retour des socialistes au pouvoir, après sept ans d'opposition, pour qu'une nouvelle étape soit franchie lors d'une nouvelle réforme de l'État qui voit notamment enfin la création de la région Bruxelles-Capitale. Ce processus institutionnel conduisant à la création d'un véritable État fédéral sera poursuivi par le gouvernement socialiste-social-chrétien lors de la réforme en 1993. Suite aux élections de mai 1995, la même majorité est reconduite avec un programme centré sur les problèmes socio-économiques. Pour le parti socialiste, il s'agit de faire de l'emploi la priorité du gouvernement fédéral notamment par la redistribution et la réduction du temps de travail. S'engageant à maintenir la concertation sociale, l'indexation des salaires et des allocations sociales, le Parti Socialiste se prononce en faveur d'une réforme de la sécurité sociale qui préserve les mécanismes de solidarité entre les personnes et les générations. S'opposant à toute fédéralisation ou privatisation de la sécurité sociale, le PS exige et obtient le financement alternatif qui met à contribution les revenus du capital. Exprimant leur loyale volonté de faire fonctionner au mieux les institutions fédérales qu'ils ont contribué à mettre en place, les socialistes francophones, tant wallons que bruxellois, réaffirment, lors de leur congrès respectif tenu à Ans, le 9 février 1996, et à Bruxelles, le 16 mars 1996, leur entière solidarité et leur détermination à renforcer l'alliance Wallonie-Bruxelles. Convaincu par ailleurs de la nécessité d'une Europe forte et unie, le PS a toujours œuvré en faveur de la construction européenne, facteur de progrès, de sécurité et de paix. Face à la crise économique particulièrement grave et au moment où l'Europe cherche un nouveau souffle, le PS, membre du Parti des Socialistes Européens, réaffirme son engagement en faveur d'une véritable Communauté basée sur la démocratie parlementaire, les droits de la personne et l'État social. Considérant que l'espace communautaire ne peut se réduire à un simple marché, les parlementaires du PS exigent tout à la fois la mise en œuvre d'une véritable politique sociale européenne, l'harmonisation fiscale et le développement de la coopération en matière environnementale.
[modifier] 1990-2006 : De l'Affaire Agusta à la Présidence Di Rupo
Dans les années 1990, le parti est secoué par un scandale : l'affaire Agusta. Des ministres socialistes sont condamnés pour avoir accepté des sommes en échange de l'attribution d'un marché public (l'achat d'hélicoptères pour l'armée belge). Cette affaire, ainsi que la mauvaise gestion de l'affaire Dutroux et de la crise de la Dioxine, conduit à de mauvais résultats électoraux. Ainsi, aux élections législatives et régionales de 1999, le parti voit une partie de l'électorat de gauche se détourner de lui au profit d'Ecolo et sa position de premier parti francophone menacée par le PRL-FDF-MCC (aujourd'hui le Mouvement réformateur).
Le PS reste cependant au pouvoir à tous les niveaux, dans des gouvernements de coalition avec le PRL-FDF-MCC (aujourd'hui le Mouvement réformateur) et Ecolo. Une majorité symétrique fut formée en Flandre (SP, VLD et Agalev). Cette majorité fut surnommée la majorité arc-en-ciel (ou paars-groen en néerlandais).
Grâce à une nouvelle direction (présidence d'Elio Di Rupo) et à un effort de modernisation, le parti réussit à se redresser et enregistre coup sur coup deux très bons scores électoraux, aux élections législatives de 2003 et surtout aux régionales de 2004. Sa position de premier parti francophone est aujourd'hui incontestée et le parti est dans la majorité à tous les niveaux de pouvoir dans des coalitions différentes. Au gouvernement fédéral, son partenaire est le MR (et symétriquement, les partis flamands VLD et SPA), cette coalition est qualifiée de violette (paars en néerlandais), car alliant le bleu libéral et le rouge socialiste. À la Communauté française et à la Région wallonne, il gouverne avec le CDH. À la Région de Bruxelles-Capitale, il s'agit d'une coalition PS-CDH-Ecolo.
En mars 2005, le parti est secoué par une « affaire » : Anne-Marie Lizin, présidente du Sénat, a écrit une lettre à la présidente de la cour d'appel de Liège dans laquelle elle incite la juge à être bienveillante envers une des parties dans une affaire strictement privée[1]. Anne-Marie Lizin s'explique et présente ses excuses devant l'assemblée, mais garde son poste.[2]
Fin 2005, c'est l'affaire de la Carolorégienne qui affaiblit le parti. Il s'agit alors de malversations dans la gestion d'une société de logement sociaux de Charleroi.[3] Trois échevins PS de Charleroi sont privés de leur mandat par le conseil communal et l'un d'eux, Claude Despiegeleer, est incarcéré préventivement et inculpé.[4] Déstabilisé, une autre personnalité socialiste, Jean-Claude Van Cauwenberghe, ministre-président de la Région wallonne, démissionne de son poste.[5] Elio Di Rupo le remplace et promet une « traque aux parvenus » au sein du PS.
La ville de Charleroi fait encore parler d'elle en mai 2006. Il s'agit à nouveau de malversations dans la gestion de sociétés publiques : l'ICDI, intercommunale de traitement des déchets de la région et le Foyer marcinellois, autre société de logement social.[6] Un échevin carolo, Lucien Cariat, est privé de ses compétences, inculpé et incarcéré préventivement . Simultanément, d'autres dossiers, impliquant des personnalité du PS carolo, font surface : l'un concernant le passé de curateur de faillite d'un député permanent et l'autre un homme d'affaire proche du PS.[7]
À Fontaine-l'Évêque, près de Charleroi, le bourgmestre sortant Georges Rovillard est placé le 13 octobre 2006 sous mandat d'arrêt pour détournements de fonds par fonctionnaire public[8]. Le 20 octobre 2006, c'est au tour du bourgmestre carolo sortant Jacques Van Gompel d'être placé sous mandat d'arrêt dans le cadre de l'affaire de la « Carolorégienne ». À peine vainqueur des dernières élections communales, il est inculpé de faux, usage de faux et de détournement par fonctionnaire public. Les hauts fonctionnaires Jean-Pol Incecca et Patrick Roeland, ont également été inculpés dans ce dossier.[9]
Dans le même temps, à Namur, le bourgmestre sortant Bernard Anselme, l'échevin Jean-Louis Close[10] et le secrétaire communal Jean-Marie Van Bol[11] sont inculpés d'entrave à la liberté des soumissions, de prise d'intérêt et de faux et usage de faux dans le cadre de l'affaire « Sotegec ».
[modifier] Quelques membres
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[modifier] Voir aussi
[modifier] Sources
- ↑ Article de La Dernière Heure-Les Sports du 12 mars 2005
- ↑ Article de La Libre Belgique du 14 mars 2005
- ↑ Article de La Libre Belgique du 6 septembre 2005
- ↑ Article de La Libre Belgique du 20 septembre 2005
- ↑ Article de La Libre Belgique du 30 septembre 2005
- ↑ Article de La Libre Belgique du 12 mai 2006
- ↑ Article de La Libre Belgique du 19 mai 2006
- ↑ Article de la RTBF du 19 octobre 2006
- ↑ Article de La Libre Belgique du 23 octobre 2006
- ↑ Article de la RTBF du 20 octobre 2006
- ↑ Article de la RTBF du 23 octobre 2006
[modifier] Bibliographie
[modifier] Articles connexes
- Génériques :
- Politique
- Les Mouvements Politiques où l'on trouvera les autres partis socialistes européens
- Parti politique
- Idées politiques
- Spécifiques :
[modifier] Liens externes
Centres d'archives ou de documentation utiles pour l'histoire du Parti
- L'Institut d'histoire ouvrière économique et sociale à Seraing [1]
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