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Catastrophe de l'usine AZF de Toulouse - Wikipédia

Catastrophe de l'usine AZF de Toulouse

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Pour les articles homonymes, voir AZF. 

La cheminée de l'usine vue du centre ville via les jumelles touristiques installées sur le Pont Neuf, d'une distance d'environ 4-5 km
La cheminée de l'usine vue du centre ville via les jumelles touristiques installées sur le Pont Neuf, d'une distance d'environ 4-5 km

AZF désignait une usine chimique (AZote Fertilisants) aujourd'hui rasée, qui appartenait jusqu'en 2005 à la société Grande Paroisse. Cette société, alors filiale d'Atofina, regroupait depuis la fusion de Total et d'Elf-Aquitaine toutes les activités chimiques du groupe TotalFinaElf. Cette usine était située à 5 km du centre de Toulouse. Initialement construite à l'écart de la ville en 1920, elle a été progressivement englobée par l'agglomération.

Le 21 septembre 2001, à 10 h 17, un stock d'environ 400 tonnes d'ammonitrate (engrais à base de nitrate d'ammonium) y a explosé (en fait, ce sont environ 40 tonnes sur les 400 stockés qui ont explosé), creusant un cratère de près de 30 mètres de diamètre et d'une dizaine de mètres de profondeur.

Sommaire

[modifier] Bilan humain

Le bilan officiel fait état de 30 morts, dont 21 employés sur le site parmi lesquels 10 salariés de Grande Paroisse, plus de 2 500 blessés graves, et près de 8 000 blessés légers.

La majorité des victimes a subi les effets directs du souffle de l'explosion, ou ses effets indirects, en étant touchés par des objets portés par ce souffle (éclats de verre notamment).

Selon l'Institut de veille sanitaire, de nombreuses personnes souffrent de désordres psychiques (dépressions, angoisses, insomnies). Dix-huit mois après l'explosion, quelque 14 000 personnes étaient toujours sous traitement pour pouvoir dormir, calmer leurs angoisses ou soigner une dépression.

Depuis 2001, d autres victimes des blessures sont décédées et de nombreux cas de cancers à la SNPE dont certains ont été mortels sont intervenus dans le plus parfait silence.

[modifier] Bilan matériel

L'explosion a causé des destructions importantes dans la partie sud-ouest de la ville, dont de très nombreux logements, plusieurs entreprises et quelques équipements (piscines, gymnases, salles de concert, lycée Déodat de Séverac). Les dégâts (murs lézardés, portes et fenêtres enfoncées, toitures et panneaux soufflés ou envolés, vitres brisées...) ont été visibles jusqu'au centre-ville.

Parmi les équipements publics touchés on peut citer le petit palais des sports (entièrement démoli et reconstruit suite à ces dommages), le Bikini (salle de spectacle), l'École nationale supérieure des ingénieurs en arts chimiques et technologiques, le lycée Gallieni,le centre hospitalier Gérard Marchant ...

On estime globalement à 1,5 milliards d'euros le coût de la catastrophe.

[modifier] Autres conséquences

Contrairement au souhait des salariés de l'usine, qui demandaient le redémarrage des installations épargnées après renforcement des mesures de sécurité, le site de l'usine et ses alentours, dévastés, ont entièrement été rasés et sont en cours de dépollution. Plusieurs projets ont été présentés, dont une zone verte et un centre international de recherche sur le cancer, proposé par le maire de Toulouse Philippe Douste-Blazy juste avant sa nomination comme ministre de la santé. En dépit des actions de recours effectuées par certaines associations déclarant représenter les riverains, la réalisation de ce projet est en cours.

La tour la plus haute de l'usine, qui avait survécu à l'explosion, a finalement été mise à terre (bien qu'elle fût un point de repère apprécié des pilotes d'avions en approche vers l'aéroport de Blagnac), principalement en raison de la pression du maire de la ville qui en demandait la démolition.

Autre réminiscence du traumatisme subi par la population, la combinaison de lettres AZF n'a pas été utilisée, à la demande du député de la zone concernée, sur les plaques d'immatriculation des véhicules du département : on est passé directement de la combinaison 999 AZE 31 à la combinaison 11 AZG 31.!

[modifier] Enquête juridico-scientifique et doutes sur la thèse officielle

Trois jours seulement après la catastrophe, sans avancer la moindre preuve, le procureur de la République, M. Bréard déclarait qu'il s'agissait « à 99% » d'un accident. Une certitude qui, presque 5 ans après, demande toujours à être justifiée.

Cette hypothèse de l'accident reste cependant toujours privilégiée par les autorités, mais la thèse du procureur semble infirmée. En effet cette thèse (l'accident chimique) postulait que la catastrophe soit la conséquence d'une erreur de manipulation qui aurait conduit un employé d'AZF à déverser, un quart d'heure avant l'explosion, 500 kg de produit chloré pour piscines (DCCNa ou Dichloroisocyanurate de sodium), produit dans une autre partie de l'usine sur le tas d'ammonitrate stocké en vrac, le contact des produits suffisant à déclencher la réaction. Or d'une part la reconstitution réalisée sur place en octobre 2002 a démontré l'impossibilité de confondre les deux produits, ce qui rend ladite erreur très improbable, et d'autre part des expertises internationales n'ont pas pu démontrer la possibilité d'une telle réaction dans les conditions réelles rencontrées ce jour-là.

La thèse d'un attentat a aussi été évoquée par certains médias, la catastrophe s'étant produite dix jours seulement après les attentats de New York et Washington. Cependant, les autorités ont toujours mis cette hypothèse de côté et aucune revendication sérieuse n'a jamais été formulée. D'autres éléments semblent invalider cette hypothèse : selon environ 200 témoins, des phénomènes électriques et électromagnétiques se seraient produits avant et pendant la catastrophe, y compris la veille au soir de l'explosion. Ces témoins auraient assisté à des phénomènes de boules de feu et de rayons lumineux. Ces phénomènes n'auraient pas d'explication dans le cadre d'un acte terroriste et pourraient impliquer des phénomènes d'origine extérieures à l'usine AZF ce qui apporterait un éclairage nouveau et peut être gênant pour certains au regard des responsabilités.

Il semble également que de tels phénomènes pourraient être explicables dans le cas d'un séisme ou bien encore d'une cause accidentelle ou " criminelle ", qui aurait pu se produire environ 10 secondes avant l'explosion d'AZF. Une expertise menée par le juge d'instruction de l'affaire est en cours (septembre/octobre 2004) pour le déterminer, mais elle serait handicapée par le fait que le sismographe de l'Observatoire Midi-Pyrénées aurait pu avoir au moment de l'explosion quelques problèmes de fonctionnement en n'étant pas calé sur l'heure universelle délivrée par diverses horloges atomiques. La difficulté consiste à retrouver la chronologie exacte des événements, pour savoir si le séisme relevé a précédé l'explosion ou bien si l'explosion du nitrate a donné l'impression d'un séisme. Pour cela, une campagne de mesures a été conduite pour déterminer la vitesse de propagation des ondes sismiques entre le site AZF et l'Observatoire Midi-Pyrénées. Une campagne qui n'a permis d'avancer aucune certitude sur le sujet. Mais le principal obstacle sur cette piste sismique est bien la dissimulation par le CEA-DAM de l'ensemble de ses données sismiques des plus précises au monde. En effet cet organisme n'a communiqué que des données extrêmement dégradées par rapport à leur version originale et a de cette manière fait croire à la justice que seules l'OMP avait des données exploitables alors qu'en réalité le cumul des données du CEA-DAM et du réseau national RéNaSS permettait une très bonne analyse des phénomènes sismiques de cette matinée. Seul l'annexe 2 du dernier rapport en géophyque [1] des experts entièrement rédigée par le CEA-DAM permet de découvrir uniquement les deux premières datations d'arrivées des ondes sismiques au 1/1000ème de seconde près sur les deux plus proches sismographes. Plusieurs énormes contradictions sont présentes dans cette annexe.

En novembre 2004, le juge d'instruction Perriquet a signé un non-lieu en faveur des neuf personnes (cadres et employés de l'usine AZF) qui avaient été mises en examen pour non-observation des règles de sécurité et autres manquements. Visiblement les thèmes de l'usine « mal tenue » ou « d'erreur » ne sont plus retenus tandis que sont démentis certains rapports d'"experts" dont la compétence est contestée par les meilleurs chimistes français.

En décembre 2005, le chef d'atelier qui avait été impliqué dans le scénario jusque là pris en compte était également et définitivement mis hors de cause. Il apparaît également en fonction des témoignages obtenus lors des compléments d'enquêtes qu'il y a eu une ou plusieurs explosions qui ont précédé l'explosion principale du nitrate d'ammonium, dans la quinzaine de secondes « avant » (voir liens externes). Il est vraisemblable que l'enquête s'oriente aujourd'hui vers la recherche d'un phénomène d'origine électro-magnétique très spécifique et peu fréquent ayant été la cause de la génération de plusieurs explosions.

Des essais de décharge électrique de 63 kV dans un tas de nitrate d'ammonium ne donnent aucun effet.

Des essais de mise à la terre des bâtiments, d'une phase de la ligne de 63 kV n'ont donné qu'une augmentation de tension de 15 Volts sur lesdits bâtiments (leurs carcasses) c’est-à-dire aucun effet possible.

Selon des témoignages, une vidéo tournée par M6-Toulouse et la bande son d'une vidéo prise dans un lycée voisin, un mystérieux hélicoptère survolait la zone sinistrée 20 secondes après la dernière explosion. Il s'agirait d'un hélicoptère type Écureuil 350 de la Gendarmerie nationale ou des Douanes, mais les occupants de l'appareil n'ont jamais été identifiés.

Quatre ans après et alors que seul le directeur de l'usine reste mis en examen, les responsabilités n'ont donc toujours pas pu être établies et aucune explication convaincante n'a encore été apportée. Explication qui serait d'autant plus nécessaire que la société Grande-Paroisse exploite d'autres sites similaires à celui de Toulouse en France, dont trois directement : les usines AZF du Grand-Quevilly (Seine-Maritime), Mazingarbe (Pas-de-Calais) et Grandpuits (Seine-et-Marne) ; et une autre en partenariat avec BASF : l'usine PEC-Rhin d'Ottmarsheim (Haut-Rhin).

Au mois de mai 2006 un rapport d'experts désignés était déposé. Face au fiasco des reconstitutions qui avait mis à mal les hypothèses avancées jusque là, ils tentaient de confirmer la thèse du mélange de produits incompatibles. Cette fois c'est un scénario totalement différent et tout aussi invérifiable que le précédent qui était laborieusement échafaudé. Les 500 kg de produits chlorés étaient ainsi ramenés à quelques "balayures". Une nouvelle hypothèse qui donnait satisfaction aux associations qui s'emploient à tenter d'imposer une prétendue responsabilité de l'industriel mais qui ne trompait ni les salariés de l'usine, ni les spécialistes compétents en chimie industrielle.

Le 31 mai 2006, la société Grande Paroisse a été mise en examen en tant que personne morale.

Le 13 juillet 2006, un non-lieu est prononcé en faveur du manutentionnaire Gilles Fauré qui était soupconné d'avoir réalisé un mélange malencontreux d'un produit chloré avec le nitrate d'ammonium.(Le Monde du 21 juillet 2006)

Il ne reste donc que la société Grande Paroisse et le directeur de l'usine Serge Biechlin à avoir été mis en examen pour "homicide et blessures involontaires" dans cette affaire.

[modifier] La piste hydrazine

En juillet 2006, une nouvelle piste est proposée par la presse française : celle de l'explosion de nappes de vapeurs de dérivé d'hydrazine. Une telle substance, l'UDMH (diméthyle-hydrazine assymétrique), est fabriquée à la SNPE jouxtant l'usine AZF. Le site de fabrication de ce produit était en arrêt pour maintenance le jour de l'explosion, et une grande quantité d'UDMH était stockée sur place.

Ces vapeurs sont plus lourdes que l'air, attaquent les muqueuses et les yeux, et ont une odeur âcre et ammoniaquée: des lésions et brûlures compatibles ont été relevées sur plusieurs victimes de l'explosion, et des témoignages mentionnent l'odeur d'ammoniaque et de poisson pourri portée par le vent venant du site.

Mêlées à l'air, ces vapeurs forment un mélange explosif. Aucun obstacle n'aurait pu entraver leur route, poussées en ligne droite par le vent soufflant ce jour-là de la SNPE vers la tour verte de prilling et le hangar 221 de l'usine AZF. Au niveau de la tour de prilling, le mélange gazeux est aspiré et remonte dans la tour : normalement cette circulation d’air sert à refroidir le nitrate fondu pour en faire des granulés. De là l’air chaud est évacué à l’extérieur via deux grands ventilateurs. Le mélange air chaud - UDMH évacué ce 21 septembre 2001, en s’enflammant, a très bien pu prendre l’aspect d’un éclair frappant la tour, tandis que l’explosion de ce mélange à l’intérieur aurait suffit pour faire décoller le bâtiment entier.

L’UDMH aurait aussi continué de se répandre jusqu’au hangar 221 contenant un grand tas de nitrate d’ammonium, et dont le sas est à ce moment ouvert et exposé au vent. L’UDMH réagit avec les nitrates pour former ce qui s’appelle de l’astrolite, l’explosif conventionnel le plus puissant en utilisation, connu sous la classification américaine BLU-73. Il est utilisé dans les mines anti-char et les bombes anti-bunker. Ce composé a pu se former dans la tour de prilling et dans le hangar 221, aggravant la situation.

L'explication proposée pour la mise à feu des nappes de mélange air-UDMH est soit l'hypothèse d'un contact entre l'UDMH et du trioxide de chrome CrO3 utilisé pour mesurer le taux de gaz carbonique dans l'air sur le site d'AZF (dont 11 kilos ont été volés dans le laboratoire de l'usine un peu avant la catastrophe), soit un incident électrique à la SNPE.

L'hypothèse de l'explosion de nappe de gaz a été abordée lors de l'expertise, mais seul le méthane, gaz inodore et plus léger que l'air, a été envisagé comme combustible.

[modifier] La piste EMP

Dans son enquête AZF-Toulouse : Quelle vérité ? Daniel Dissy révèle l'existence d'une nouvelle bombe à effet électromagnétique - EMP , dite e-bomb, qui aurait été utilisée ou testée à Toulouse.

Les très nombreux témoignages de faisceaux lumineux géants rectilignes et/ou légèrement courbés quelques secondes avant l'explosion du hangar 221 dénotent la présence d'une énergie considérable sur une très courte période. L'hypothèse de faisceaux micro-ondes, voire même de rayons X est envisagée pour expliquer ces faisceaux mais également pour expliquer une coïncidence extraordinaire vérifiable sur le terrain : l'axe principal du tunnel de Palayre (nom désigné par Véolia) de 400 m de long, 3 m de haut et 3 m de large, qui relie les anciennes usines de traitement des eaux, qui est situé au nord de la colline de Pech David, que peu de Toulousains connaissent, tombe exactement sur le point de rupture du câble HT 63 kV Lafourguette - Pont des Demoiselles rompu vers 10H18'07 juste après l'explosion du hangar 221 entre les pylônes 9 et 10 de cette ligne juste au-dessus du pont de la voie ferrée et à quelques mètres de la porte A d'AZF.

Les experts n'ont jamais exploité les données sismiques au 1/1000ème de seconde près de la trentaine de sismographes dont dispose le CEA-DAM. Depuis le début de l'enquête, la justice n'a rescencé que des arrivées d'ondes sismiques à 1/10ème de seconde pour le CEA-DAM et 1/100ème de seconde pour le RéNaSS. Or il s'avère que le RéNaSS sur son site internet a fourni, dès les premières semaines, à partir des données sismiques civiles des sismographes pyrénéens (stations les plus proches de Toulouse) une position de l'épicentre beaucoup plus l'Est et en profondeur. Une étude plus poussée réalisée par Pierre Grésillaud montre également qu'un secteur particulier sous la colline de Pech David présenterait, en tant qu'épicentre, des caractéristiques exceptionnelles d'homogénéité des vitesses des premières ondes Pg arrivant sur plus d'une douzaine de sismographes. L'hypothèse de l'existence d'une explosion souterraine confinée sous ce secteur compris entre l'ancien Hôpital militaire du Larrey et le CHU de Rangueil a été évoquée et pourrait expliquer l'enchainement d'un séisme souterrain de magnitude 3.4, suivi quasi immédiatement par l'apparition de faisceaux lumineux géants dont un issu du tunnel de Palayre, de répercusions multiples sur les installations chimiques de la SNPE et d'AZF puis quelques secondes plus tard de l'explosion du Hangar 221 et de la rupture du câble 63kV d'EDF-RTE. Même si dans le terrain sédimentaire du bassin de la garonne, les secousses de l'explosion d'AZF ont été impressionnantes, le Hangar 221 n'aurait provoqué qu'un séisme de magnitude inférieure à 1.6 qui serait l'explication des ondes "acoustiques" des deux courbes du sismographe de l'OMP situé à 4 km à l'Est d'AZF et arrivant plus de 10 secondes après celles de l'explosion souterraine.

[modifier] AZF dans les livres

De nombreux livres traitent de la catastrophe d’AZF, mais leur diffusion est souvent restée confidentielle. Certains n'ont même jamais été imprimés.

  • Toulouse, chronique d’un désastre annoncé, Henry Farreny, Cepadues.

Le premier livre publié est l’œuvre d’un Toulousain. Henry Farreny est ancien maire de Ramonville et élu écologiste. Il sera d’ailleurs poursuivi en diffamation par la SNPE avant que celle-ci ne retire sa plainte.

  • Toulouse : an I après AZF. De la catastrophe au complot d’État, André Dispeil, Cephes

Le second livre est celui d'André Dispeil, Président du Cephes. Il développe la thèse de cet expert éminent, sur sa théorie dite de "l'arc électrique".

  • AZF Toulouse : un mensonge d'État , Jean-Pascal Serbera, DPF, 2002
  • Attentat à la SNPE? : la face cachée de l'affaire AZF, Jean-Pascal Serbera, Lectures et civilisation, 2003.

Jean-Pascal Serbera, élu d'extrême droite, est le premier à pointer le projecteur sur la SNPE et à supputer l'explosion d'une bombe EMP.

  • AZF : le mensonge était presque parfait, Thierry Deransart, Calman-Levy, jamais paru.

Thierry Deransart, journaliste à Valeurs Actuelles est le premier journaliste à avoir découvert l'affaire AZF. Thierry Deransart a été promu au Figaro. Depuis cette date, Thierry ne communique plus sur l'affaire AZF et son livre n'est jamais sorti.

  • 7 raisons de ne plus croire à un accident, Anne-Marie Casteret, Michel Lafon, jamais paru

Anne-Marie Casteret, journaliste d'investigation célèbre pour son enquête sur le sang contaminé, s'est intéressée de très près à l'affaire AZF. Convaincue de la thèse de l'attentat, elle se proposait de sortir un livre lorsqu'une longue maladie l'a rattrappée. Les Éditions Michel Lafon ont renommé son ouvrage en 7 raisons de ne plus croire à un accident alors que le titre de l'auteur était L'attentat interdit. Le livre n'est pas paru.

  • AZF-Toulouse : Quelle vérité ?, Daniel Dissy, Éditions des Traboules, 2006.

Il aura fallu attendre le cinquième anniversaire de la catastrophe d'AZF pour que paraisse le premier livre à "grand tirage" : AZF-Toulouse : Quelle vérité ? de Daniel Dissy aux Éditions des Traboules. Introuvable au delà de la Garonne, le livre a eu un fort succès à Toulouse (1000 exemplaires vendus en quelques mois). Daniel Dissy est ingénieur chimiste à Toulouse. Passionnant, ne laissant rien au hasard, son livre aborde l’aspect politique de l’affaire et replace cette catastrophe dans son contexte historique. Il émet l’hypothèse d’une action de la CIA préparatoire à l’intervention américaine en Irak : la France était le principal fournisseur d’armes à Saddam Hussein et la SNPE à Toulouse fabriquait un gaz mortel. Toulouse aurait pu se trouver au cœur d’un bras de fer entre Français et Américains à la veille de l’invasion de l’Irak. Pour Daniel Dissy, l'utilisation d'une e-bomb à effet EMP ne fait aucun doute. Hypothèse étudiée parmi bien d'autres et qui repose sur de puissants arguments. Une bombe à manipuler avec précautions !

Le livre AZF-Toulouse : Quelle vérité ? de Daniel Dissy a été sélectionné pour participer au Ier Salon du Livre d'Investigation qui s'est tenu à Paris au Palais Brogniard (Bourse).

[modifier] Voir aussi

Accidents industriels impliquant du nitrate d'ammonium | Catastrophes industrielles | Toulouse

[modifier] Liens externes

[modifier] Bibliographie

  • Numéro 100 de la revue « Fusion »
  • Numéro 68 de la revue Canal N7, journal de l'association des ingénieurs de l'INP-ENSEEIHT
  • Daniel Depris : Toulouse, an I après AZF
  • Numéros 3609, 3625 et 3634 du magazine Valeurs actuelles
  • Daniel Dissy : AZF-Toulouse : Quelle vérité ? Révélations sur la catastrophe de Toulouse
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