Isfahan
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Esfahan اصفهان |
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Pays | Iran | |
Province | Esfahan | |
Latitude | 32° 40’ 48’’ Nord | |
Longitude | 51° 40’ 48’’ Est | |
Altitude | 1 574 m | |
Population | 1 600 554 (en 2006) | |
Provinces - Villes Sources : Gazetteer.de et Index Mundi |
Isfahan ou Esfahan (en persan : اصفهان, Esfahān) est une ville d'Iran, capitale de la province du même nom. Ispahan a été capitale de l'empire perse sous la dynastie des Safavides entre le XVIe siècle et le XVIIIe siècle. Elle est située à 340 kilomètres de la capitale, Téhéran, et est la troisième ville d'Iran (après Téhéran et Mashhad), avec 1 600 554 habitants en 2006.
La ville compte de nombreux monuments islamiques, construits entre le XIe et le XIXe siècle. La place Naghsh-e Jahan est classée patrimoine mondial de l’humanité par l’UNESCO depuis 1988.
[modifier] Nom de la ville
Le nom de la ville en vieux-persan était Aspadana, devenu Spahān en moyen-persan puis Esfahan après la conquête musulmane.
L'alphabet arabe ne possédant pas le son /p/, le nom de la ville est devenu Esfahan après la conquête par les arabes en 651. On trouve également des transcriptions du nom de la ville telles Isfahan ou Ispahan, qui s'expliquent par des transcriptions rendant des accents différents.
Un jeu de mot sur son nom fait dire que cette ville est « la moitié du monde » (en persan : نصف جهان, Nesf-e Jahān).
[modifier] Géographie
[modifier] Situation
Ispahan est une ville de 1 300 000 habitants au pied et à l’Est de la chaîne du Zagros. Elle est traversé par le Zayândeh Rûd. Cette rivière qui va se perdre dans le désert, peut rester à sec une partie de l’été. La ville est à une altitude de 1 500 m environ et les montagnes du Zagros peuvent dépasser 4 000 m. C’est un point de passage entre le Nord de l’Iran et le Sud.
Avant la conquête arabe la ville était coupée en deux villes séparées par le fleuve ; d’un côté la ville iranienne, de l’autre la ville juive. La rive Sud du fleuve abrite les restes d’une importante population arménienne arrivée au début du XVIIe siècle.
[modifier] Climat
[modifier] Géographie administrative
[modifier] Histoire
[modifier] Période pré-islamique
[modifier] Développement urbain de la période islamique
[modifier] Premiers développements urbains sur le modèle islamique
Les deux villes originelles fusionnèrent au moment de la conquête arabe (640). Une première mosquée y fut construite puis à la fin du VIIIe siècle une seconde mosquée fut bâtie sur l’emplacement de l’actuelle « Mosquée du vendredi ».
[modifier] Ispahan, capitale des seldjoukides
Les turcs seldjoukides firent d'Ispahan la capitale de leur empire (1051). Nizam al-Mulk résidait à Ispahan et de là il donnait ses instructions pour l’organisation de l’enseignement à Bagdad. L’ébauche de la mosquée du vendredi à ce moment là.
[modifier] Invasions mongoles
Ispahan connut ensuite une période de déclin avec l’occupation Mongole (vers 1225) et avec le sac de la ville par Tamerlan en 1386.
[modifier] Ispahan, capitale de l'Iran unifié par les Safavides
Au début du XVIe siècle, les safavides font du chiisme duodécimain la religion officielle de l’Iran et font d’Ispahan leur capitale. Chah Abbâs Ier fait construire le « Palais des 40 colonnes » et la « Mosquée du Chah » renommée depuis la révolution islamique de 1979 en « Mosquée de l’imam Khomeiny ».
Redevenue capitale provinciale, sa déchéance l'a préservée partiellement des excès de l'urbanisation. Si elle ne mérite plus l'épithète de « moitié du monde », elle n'en demeure pas moins, au milieu d'une oasis intensément cultivée, une des plus importantes cités du plateau iranien et un centre important d'industrie textile.
Le nom d'Ispahan, était déjà célèbre en Europe au XVIIIe siècle, lorsque Montesquieu écrivait « Paris est aussi grand qu'Ispahan » il n'est pas du tout sûr qu'il avait raison, Ispahan était sans doute plus grand que Paris.
« Les habitants de Paris sont d'une curiosité qui va jusqu'à l'extravagance. Lorsque j'arrivai, je fus regardé comme si j'avais été envoyé du ciel: vieillards, hommes, femmes, enfants, tous voulaient me voir. Si je sortais, tout le monde se mettait aux fenêtres; si j'étais aux Tuileries, je voyais aussitôt un cercle se former autour de moi: les femmes mêmes faisaient un arc-en-ciel, nuancé de mille couleurs, qui m'entourait; si j'étais aux spectacles, je trouvais d'abord cent lorgnettes dressées contre ma figure: enfin jamais homme n'a été tant vu que moi.
[...]
Cela me fit résoudre à quitter l'habit persan et à en endosser un à l'européenne, pour voir s'il resterait encore dans ma physionomie quelque chose d'admirable. Cet essai me fit connaître ce que je valais réellement : libre de tous les ornements étrangers, je me vis apprécié au plus juste.
[...]
Je demeurais quelquefois une heure dans une compagnie sans qu'on m'eût regardé, et qu'on m'eût mis en occasion d'ouvrir la bouche. Mais si quelqu'un, par hasard, apprenait à la compagnie que j'étais persan, j'entendais aussitôt autour de moi un bourdonnement : “Ah ! Ah ! Monsieur est persan ? c'est une chose bien extraordinaire ! Comment peut-on être persan ?” » Montesquieu (1689-1755), Les lettres persanes (lettre XXX).
[modifier] De la capitale détruite à la modernisation
[modifier] Déclin d'Ispahan
[modifier] Modernisation de la ville sous les Pahlavi
[modifier] Ispahan après la révolution islamique
[modifier] Population Esfahanaise et société
[modifier] Démographie
[modifier] Minorités ethniques et religieuses
[modifier] Enseignement supérieur
Les universités de la métropole d'Ispahan sont les suivantes :
- Université des sciences médicales d'Isfahan
- Université de technologie d'Isfahan, une des cinq meilleurs d'Ira dans son domaine.
- Université d'Isfahan
- Université d'art d'Isfahan
- Université des sciences de la réhabilitation et de la protection sociale
- Université libre islamique d'Isfahan
- islamique libre de Khomeinishahr
- Université islamique libre de Khorasegan
- Université islamique libre de Mobarakeh
- Université islamique libre de Najaf Abad
- Institut académique Ashrafi Isfahani
- Université de technologie Malek Ashtar
- Université des sciences et technologies de la défense
La ville compte également des écoles et des séminaires religieux.
Il existe également plus de 50 centres de formation et d'orientation administrés par l'Isfahan Technical and Vocational Training Organization.
[modifier] Les arméniens d'Ispahan
[modifier] La Nouvelle Djoulfa
Le quartier arménien porte le nom de la Nouvelle Djoulfa (arménien: Նոր Ջուղա), en mémoire à la ville de Djoulfa (ou Julfa) d'où sont originaires la plupart des immigrés Arméniens.
Au XVIIe siècle, sur ordre de Shah Abbas Ie (1571-1629), 300 000 Arméniens chrétiens sont déportés par vagues successives vers le centre du pays[1]. 144 000 d'entre-eux - essentiellement des artisans et des marchands - s'installent à la périphérie d'Ispahan, la nouvelle capitale de l'Empire perse. Dans ce faubourg, au sud de la rivière Zayandeh-Rud, ils vivent en quasi-autonomie, participent efficacement au développement de leur ville nouvelle. En édifiant églises, écoles et scriptoriums, en créant une imprimerie, un lieu de théâtre, ils maintiennent harmonieusement leur identité chrétienne et culturelle en terre islamique. Par leur savoir-faire en architecture, en peinture religieuse, en artisanant et dans le négoce, ils établissent des liens culturels, artistiques et commerciaux entre l'Occident, l'Orient et l'Extrême-Orient. Autrefois prospère car situé sur la route de la soie, la Nouvelle Djoulfa abrite encore aujourd'hui 13 églises arméniennes, dont la plus connue, la cathédrale Saint-Sauveur, ou Vank.
Vue de la rue, la cathédrale Saint-Sauveur a le même aspect qu'une mosquée si ce n'est la croix au sommet du dôme. L'intérieur est recouvert de peintures racontant le martyre légendaire de saint Grégoire l'Illuminateur, fondateur de l'Église arménienne. À côté de l'église se trouve un musée de l'art arménien, avec un mémorial du génocide arménien.
Un certain nombre d'Arméniens a émigré dans les années 1980-1990, suite à la Révolution iranienne de 1979. Ils seraient aujourd'hui minoritaires dans ce quartier.
Ispahan est aussi un archevêché qui compte 10 000 fidèles catholiques.
[modifier] L'urbanisme d'Ispahan, un aspect bien spécifique
[modifier] Une cité jardin
[modifier] De la maison urbaine à la mosquée à cour
[modifier] Une architecture menacée
[modifier] Économie
[modifier] Bazar et tapis
[modifier] Tourisme
[modifier] Haute technologie
Le centre de technologie nucléaire d'Esfahan est un site de recherche nucléaire qui opère actuellement quatre petits réacteurs nucléaires pour la recherche, tous fournis par la Chine. Il est opéré par l'Organisation de l'énergie atomique d'Iran.
Le site d'enrichissement de l'uranium d'Esfahan convertit de l'uranium concentré sous la forme de yellowcake (uranium concentré sous la forme U3O8) en hexafluorure d'uranium (UF6). Fin octobre 2004, le site est opérationnel à 70% avec 21 ateliers pour 24 en fonctionnement. Il existe aussi une usine de production de zirconium, située à côté, qui produit les ingrédients nécessaires aux réacteurs nucléaires[2]..
[modifier] Transports
[modifier] Culture
[modifier] Monuments notables
[modifier] Mosquée du vendredi
C'est un véritable complexe religieux, avec plusieurs cours, plusieurs salles de prières, plusieurs madrasas. C'est un lieu aussi difficile à décrire car sa construction est un vrai feuilleton s'étalant du XIe au XVIIIe siècle. En même temps la visite est une vraie leçon d'architecture et de son évolution au cours de ces siècles.
[modifier] Place de l'imām Khomeiny
Article détaillé: Place Naghsh-e Jahan.
La place de l'imâm Khomeiny (appelée Place Naghsh-e Jahan ou place du Shah avant la révolution) est une des plus grandes places du monde : 500 m sur 160 m. Elle date de 1612 et a été conçue par Shah Abbas Ie. Elle servait à l'origine de terrain de polo et de terrain de présentations des troupes militaires, évènements auxquels le Shah et la cour pouvaient assister depuis la terrase du palais `Ali Ghapu. Tout autour de cette place dans des galeries sont situées des échoppes de commerçants et d'artisans.
Elle est maintenant aménagée en place publique avec pelouses, bassins et allées. Autour de la place, aux quatres points cardinaux se situent quatre bâtiments :
- La mosquée de l'imâm, aussi appelée mosquée du Shah.
- La mosquée du Sheikh Lutfallah
- Le palais de `Ali Ghapu.
- Le bazar.
Un passage souterrain permettait de passer du palais de `Ali Ghapu à la « Mosquée du Sheikh Lotfollah » ce qui permettait aux femmes d'aller à la mosquée sans être vues, d'où le nom de « Mosquée des femmes » qu'on lui donne parfois.
[modifier] Les palais safavides
[modifier] Le palais de Chehel Sotoun
Le palais de Chehel Sotoun est un palais royal Safavide au nord-ouest du complexe de Ali Qapu. Mesurant 57,80 x 37 mètres, ce monument majeur du règne de Shah 'Abbas II était utilisé pour les cérémonies de couronnement et pour la réception des ambassadeurs étrangers. Le palais est situé au milieu d'un jardin qui faisait à l'origine 7 hectares, situé entre la meydān-e shāh (place Naghsh-e Jahan) et le chāhār bāgh. A l'est s'étend un long et étroit bassin rectangulaire (115 x 16 mètres environ), dans lequel il se relète.
Ce bâtiment, dont la datation reste très discutée, a sans doute été élevé sous le règne de Shah Abbas II, puis redécoré dans les années 1870. Selon un poème inscrit sur l'édifice et un autre de Muhammad Ali Sahib Tabrizi, il aurait été créé en 1647-48, et si certains chercheurs pensent que cet édifice a été construit en plusieurs étapes, la plupart inclinent à penser qu'il fut construit en un seul jet, car il est assez cohérent [3] Il s'agit d'un édifice rectangulaire, comportant 20 colonnes qui se reflètent dans le bassin faisant face au bâtiment (chehel soutoun signifie quarante colonnes en persan).
Dans ce palais, Shah Abbas II et ses successeurs recevaient les dignitaires et les ambassadeurs; ou sur la terrasse ou dans un des halls de réception.
Le chehel Soutoun est décoré de grandes peintures historiques, exaltant la magnanimité ou le courage guerrier des différents grands souverains de la dynastie.
[modifier] Le palais de Hasht Behesht
Le Hasht Behesht (les « huit paradis »), est constitué d’un pavillon comportant huit petites entités disposées autour d’une grande salle sous coupole à quatre iwans. De petites voûtes couronnent les salles secondaires, décorées de miroirs qui rendent les surfaces mouvantes. Le décor extérieur, en céramique, est remarquable par l’emploi extensif du jaune. On situe cet édifice dans les années 1671.
[modifier] Madreseh Mādar-e Shah
La madreseh Mādar-e Shah, ou madreseh de la mère du Shah, se trouve sur le Chāhār Bāgh et est datée de 1706-1714, sous le règne de Shah Soltan Hossein. Elle n’apporte aucune nouveauté architecturale : un plan à quatre iwans et un dôme rappelant la mosquée du Shah constituent la majeure partie de ses éléments architectoniques. Le décor, très géométrisé, est par contre un peu différent des décors du XVIIe siècle, par une palette où dominent le jaune, le vert et l’or, et un réseau végétal plus dense que dans la mosquée du Shah.
[modifier] Les ponts
Le plus ancien pont date de l'époque seldjoukide sur les fondations d'un pont d'époque sassanide. Les autres datent de l'époque séfévide.
Le pont Allahverdi Khan (Pol-e Allahverdikhan), aussi appelé pont « aux trente-trois arches » (Si-o-se Pol en persan)a été érigé par ordre du premier ministre géorgien de Shah Abbas vers 1608[4]. Il se place dans la continuité du Chāhār Bāgh[5]. Avec ses arcades, dans les côtés et dans la base, il offre ainsi une possibilité de promenade à plusieurs niveaux, selon la hauteur de l’eau. Il sert évidemment de lieu de passage, mais aussi de barrage, pour réguler le cours du fleuve. En le traversant, l’eau donne lieu à un effet de grande fontaine grâce aux emmarchements. À côté se trouve un talār, le kiosque des miroirs, d’où le souverain pouvait observer le fleuve.
Le pont Khwaju est le deuxième grand pont d’Isfahan, édifié cinquante ans après le Pont Allahverdikhan, le pont Khwaju présente une structure identique et légèrement complexifiée, avec des brise-flots en éventail, permettant des effets d’eau plus spectaculaires.
[modifier] Menār Jombān
[modifier] Artisanats d'Isfahan et de la région
[modifier] Le Gaz, une particularité culinaire d'Isfahan
Le Gaz est une spécialité culinaire d'Isfahan, un bonbon préparé à partir de gaz angobin, d'eau, de blancs d'oeufs et de pistaches ou d'amandes. Le gaz angobin est un exsudat sucré produit par des arbustes du genre Astragalus. Le gaz angobin est comparable à du miel et il est utilisé en Iran depuis des siècles.
Les gaz sont produits en grande majorité à Isfahan, à partir de gaz angobin récolté à Kānsār, dans la province d'Esfahan.
Le gaz angobin est dissout dans un volume équivalent d'eau puis porté à ébullition. Le mélange est ensuite passé afin de retirer les impuretés, et des blancs d'œufs sont ajoutés avant de battre le mélange. Du sucre est ensuite ajouté au mélange et le tout est chauffé jusqu'à obtenir une pâte consistante. Des éclats de pistaches ou d'amandes sont alors ajoutés à la mixture, à qui on donne la forme de pièces rectangulaires ou rondes et plates de 2-3 cm d'épaisseur. Le gaz est conservé dans un peu de farine pour éviter que les morceaux se collent. La recette et les proportions exactes diffèrent chez chaque fabricant.
Ce bonbon est caractéristique d'Isfahan, et il avait déjà été remarqué par Edward Frederick, un voyageur britannique qui était allé en Iran au cours du XIXe siècle[6].
[modifier] Esfahanais célèbres
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Arthur Upham Pope, archéologue et historien de l'art iranien, d'origine américaine, est enterré avec sa femme Phyllis Ackerman, dans un mausolée proche du Pol-e Khaju.
[modifier] Jumelage
- Erevan, Arménie
- Florence, Italie
- Fribourg-en-Brisgau, Allemagne
- Iaşi, Roumanie
- Istanbul, Turquie
- Kuala Lumpur, Malaisie
- Le Caire, Égypte
- Saint-Pétersbourg, Russie
[modifier] Annexes
[modifier] Notes et références
- ↑ Le territoire arménien était à l'époque intégré au territoire iranien et se trouvait à sa périphérie
- ↑ (en) Weapons of Mass Destruction - Iran, sur le site globalsecurity.org
- ↑ S. Babaie, « Shah 'Abbas II, the conquest of Qandahar, the Chihil Sutun and its wal paintings »Muqarnas n°11, 1994
- ↑ (en) Roger M. Savory, «Allaverdi Khan», in Encyclopædia Iranica en ligne
- ↑ (en) Roger M. Savory, «Chāhār Bāgh», in Encyclopædia Iranica en ligne
- ↑ pour plus d'informations sur le gaz et le gaz angobin, voir l'article « Gaz » de lEncyclopædia Iranica référence en bibliographie
[modifier] Bibliographie
- K. Würfel, Isfahan, Zurich, 1974.
- A. U. Pope, Persian Architecture, London, 1965.
- (en) Roger M. Savory, «Chāhār bāgh-Esfahān», in Encyclopædia Iranica en ligne
- (en) Reza Abouei, Urban Planning of Isfahan in the Seventeenth Century, The University of Sheffield School of Architecture, mai 2005[lire en ligne sur planum.net
- (en) Mohammad Gharipour, Bazaar of Isfahan, Iran Chamber Society, 12 décembre 2003 lire en ligne sur le site d'Iran chamber Society
- (en) A. Amurian et M. Kasheff, «Armenians of modern Iran», in Encyclopædia Iranica en ligne
- (en) M.R Ghanoonparvar, «Gaz», in Encyclopædia Iranica en ligne
[modifier] Pour aller plus loin
[modifier] Articles connexes
- Art safavide
- Safavides
- Arméniens d'Iran
- Église apostolique arménienne
- Nouvelle Djoulfa
- Peria
- Programme nucléaire iranien
[modifier] Liens externes
[modifier] Sites officiels
- (fa) (en) Site officiel d'Isfahan
- (fa) Municipalité d'Isfahan
- (fa) (en) Site du métro d'Isfahan
- (fa) (en) Organisation de l'héritage culturel - branche d'Isfahan
- (en) Site de l'université d'Isfahan
- (fa) Site de l'université de technologie d'Isfahan
[modifier] Autres
- (fr) Ispahan et l'art des Séfévides par Jean-Paul Roux, Directeur de recherche honoraire au CNRS.
- (fr) La Grande Mosquée d'Ispahan : Histoire et civilisation de l'Iran islamique par Jean-Paul Roux, Directeur de recherche honoraire au CNRS.
- (en) Index des lieux d'intérêt architectural d'Esfahan, sur le site archnet.org
- (en) Animations présentant l'architecture d'Isfahan
- (hy) Site de la Nouvelle Djoulfa
- (fr) Photographies d'Ispahan les mosquées et la rue
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