Musique cubaine
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[modifier] Genres musicaux
Genres musicaux cubains |
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Par ordre chronologique : Conga | Punto guajiro | Guaracha | Tumba francesa | Contradanza | Rumba | Habanera | Trova | Changui | Danzón | Boléro | Son | Guajira | Mambo | Jazz afro-cubain | Filin | Cha-cha-cha | Pachanga | Nueva Trova | Songo | Timba |
Par ordre alphabétique : Boléro | Cha-cha-cha | Changui | Conga | Contradanza | Danzón | Filin | Guajira | Guaracha | Habanera | Jazz afro-cubain | Mambo | Nueva Trova | Pachanga | Punto guajiro | Rumba | Son | Songo | Timba | Trova | Tumba francesa |
[modifier] Instruments
Les instruments utilisés dans la musique cubaine sont le résultat de plusieurs siècles d’innovation et de développement. Comme les cultures autochtones ont été virtuellement détruites par les colonisateurs européens, il reste peu de preuves de leurs contributions musicales. Certains termes et instruments ont cependant survécu.
[modifier] Instruments européens
Les instruments importés à Cuba d'Europe comprennent des instruments à cordes, plusieurs sortes d'instruments à vent comme les bois et les cuivres, des claviers et des percussions. Leurs principaux pays d'origine sont l'Espagne, la France, l'Allemagne, l'Angleterre et l'Italie. Beaucoup d'instruments espagnols sont d'origine arabe et d'autres sont des instruments folkloriques comme des tambours, des percussions et différentes flûtes. Les cordes, les cuivres, les bois et les claviers viennent des autres pays européens.
Instruments à cordes
Les instruments de la famille de la guitare furent parmi les premiers instruments à être importés à Cuba, déjà lors du XVe siècle. Ils étaient utilisés principalement dans des chansons genre troubadour et ils comprenaient des vihuela, des bandurria et des laúd. La guitare évolua à partir de ces premières versions, comme le firent des variétés plus petites comme le requinto et le tiple.
Les instruments de la famille du violon apportés à Cuba furent tous les instruments de la famille des violes de gambe. Ils furent utilisés dans de la musique symphonique, des opéras et du théatre lyrique.
Bois et cuivres
Beaucoup de bois et de cuivres arrivèrent à Cuba pendant le XVIe siècle avec les fanfares militaires. La corneta ou cornet était d'usage courant en Espagne dans la musique militaire. Plus tard les Français apportèrent au XVIIIe siècle des piccolos, des flûtes à cinq clefs, des hautbois, des clarinettes, des cuivres, des trompettes et des cors.
Bien qu'il ne fasse pas précisément parler des bois ni des cuivres, la botija fut un instrument important de la musique cubaine populaire traditionnelle. La botidja ou botijuela est une large cruche en céramique qui était utilisée à l'origine pour transporter l'huile d'olive depuis l'Espagne, et elle fut utilisée comme un instrument de basse jusqu'au milieu du XIXe siècle dans le son.
Claviers
Les instruments à claviers tels que les orgues, l'accordéon et le piano arrivèrent à Cuba très tôt après leurs inventions respectives en Europe car l'île était le pricipal port de commerce des Caraïbes. L'orgue à tuyaux arriva d'Espagne dans la cathédrale de Santiago de Cuba en 1544, Plus tard, différents types d'orgues furent apportés par les Français à la fin du XVIIe siècle. Une version cubaine appelée órgano oriental fut développée dans la province de l'Oriente à la fin du XIXe siècle. Cet orgue ressemblait à un piano mécanique et il pouvait jouer des valses, des polkas et de la musique cubaine.
Le piano arriva avec les Français qui fuyaient la révolution haïtienne à la fin du XVIIIe siècle. Il n'appartient qu'au répertoire de musique classique jusqu'au XIXe siècle et le développement de styles populaires comme la contradanza, la guaracha et la guajira. Le piano fut incorporé dans la musique populaire cubaine au début du XXe siècle, il devient alors éventuellement une partie de la section rythmique de certains ensembles (telle qu'avec l'instrumentation charanga). Vers 1940, il est incorporé à l'instrumentation de la conjunto dans l'interprétation su son.
L’accordéon fut utilisé principalement dans la musique paysanne à la fin du XIXe siècle dans des ensembles appelés charanguitas.
Percussions
L'Espagne contribua à amener beaucoup d'instruments de percussion à Cuba. Les castañuelas (castagnettes) accompagnait certaines dances; le pandareta est un tambourin équipé de petites cymbales tandis que le pandero est un tambourin sans cymbale.
Le panderata portoricain est dérivé du pandero espagnol car il n'a pas de cymbale. Il est aussi accordable. D'autres instruments de percussion furent introduit d'Europe à la fin du XVIe siècle comme la timbale française.
[modifier] Instruments africains
[modifier] Instruments Yoruba
Les instruments originaires du Nigeria et recréés par le peuple Yoruba à Cuba comprennent :
- les tambours batá, joués dans l'île par groupe de trois: l’Iyá est le plus gros, l’Itótele est le moyen et le petit est appelé okónkolo. Le batá peut être accompagné par un petit shaker mettalique, l’atcheré;
- L’agbes (agües/agwes) ou güiros (aussi connu comme chékeres) sont des instruments fait avec des courges et souvent recouvert de petites perles. Ils sont joués en groupe de trois ou plus, et habituellement divisés en parties appelées le kachimbo ou golpe, le segundo et le caja. L'agbes peut être joué avec une petite cloche de fer appelée guataca ou agogo;
- les tambours bembé, un ensemble de trois tambours faits de bois de palmier avec des peaux clouées et accordées à chaud; et
- les tambours iyesá, un ensemble de quatre tambours sacrés à deux têtes, cylindriques, faits de cèdres découpés à la main et joués avec des bâtons. Les iyesá sont divisés en caja, segundo, tercero et bajo, ce dernier est joué avec les mains. Ils sont accompagnés par deux cloches agogo et un güiro.
[modifier] Instruments du Dahomey
Les instruments créés à Cuba par les peuples Arará amenés comme esclaves ainsi que par ceux qui arrivèrent dans la province de l'Oriente suite à la révolution haïtienne comprennent :
- les tumbas francesas, quatre larges tambours peints, accordés avec du cuir cerclé en travers de leurs têtes. Ils sont divisés en parties appelés premier ou redublé, sécond, bulá ou bebé et tambora; le catá est un une pièce en bois ou en bambou placée sur un banc en bois qui est frappée avec une sorte de baton; le chachá ou maruga est un shaker en métal;
- les tambours arará, trois tambours de cérémonie utilisés par le peuple Arará dans leurs cérémonies. Ils sont similaires aux tumba francesa et consistent en un large tambour appelé caja ou junga, le junguedde et le juncito, ils sont de taille et de forme similaire et joués avec deux bâtons. Un quatrième tambour est parfois utilisé, le jun. Des instruments additionnels comprennent l'ogán (une cloche), le palos (bâtons avec lesquels on frappe le corps du junga), et des shakers métalliques appelés cheré. Les tambours sont des troncs creusés avec une simple peau accordée par tension. Ils sont décorés de motifs géométriques et ils sont joués en les penchant sur un support ou un banc en bois.
[modifier] Instrument du Congo
Les tambours utilisés dans le folklore religieux et séculaire de la culture congolaise (bantú) sont:
- les makuta, larges tambours rebondis, les précurseurs des congas;
- les yuka, longs tambous cylindriques divisés en trois parties appelées caja (large), mula (moyen et cachimbo (petit). D'autres instruments joués avec ces tambours sont des batons (joués sur le corps de la caja), et des shakers en métal portés sur les poignets du percussioniste, les nkembi.
Un autre instrument bantú est le marímbula, un grand boîte-piano dont les touches sont des languettes qui est posée et que l'on joue avec les doigts. Le marímbula fournit la fonction des basses dans les ensembles qui interprètent un des plus ancien styles de son cubain, le changüí.
[modifier] Instruments d'Asie
La corneta china ou trompeta china (trompette chinoise) est un cor en métal, droit, qui fut amené à Cuba par les chinois pendant la période coloniale. Il s'est maintenu dans les quartiers chinois de la Havane et il était joué durant les célébrations du carnaval par les comparsas asiatiques (troupes de carnaval). Vers 1910, elle fut introduite aux comparsas de Santiago de Cuba où elle devînt un élément permanent des congas santiagueras (groupes de conga de Santiago). Son son est fort, nasal et perçant.
[modifier] Instruments indigènes
Il reste peu de chose des peuples antillais qui avaient habité à Cuba. Parmi les différentes cultures qui existèrent -- et qui furent décimée au XVIe siècle -- il y avait les peuples siboney, taíno et guanajatabibe. Ils ne transmirent aucun héritage musical, les historiens témoignèrent la présence de formes de danse, de musique et différents instruments.
- Des shakers, des hochets et d'autres types de maracas ont été fréquemment notés par les historiens, souvent faits de bois et remplis de petits cailloux. Ces types de percussions existent aussi dans les cultures africaines et il subsiste des questions quant à savoir si les maracas des Caraïbes sont d'origine antillaise ou africaine.
- Les tambours étaient une composante importante de la musique et de la vie de tous les jours des Antilles. De nombreux tambours furent construits à partir de bûches creusées et jouées avec des maillets -- ils ressemblaient beaucoup à des xylophones; une sorte fut appelé mayohuacán. D'autres étaient découpé avec des lignes dentelées et frappés avec des bâtons.
- Des historiens ont aussi notés la présence de différentes variétés de flûtes et de sifflets en bois, de flûtes en os, et de conques utilisées comme cors et appelées fotutos. Comme tous les autres instruments mentionnés, les seules évidences de leur existence sont les notes de ceux qui ont enregistré l'histoire.
[modifier] Instruments hybrides
En combinant les éléments d'instruments européens, africains et (supposés) antillais, plusieurs instruments créoles furent créés à travers le développement musical de Cuba. Certains de ces instruments furent inventés suite au manque de matériaux de base et au besoin de leur substituer les matériaux disponibles ; d'autres instruments furent transformés ou améliorés, par exemple en ajoutant un dispositif d'accordage sur certains tambours.
- Le tres cubain est dérivé de la guitare espagnole. Il est de taille plus petite et son cordage est constitué de trois groupes de doubles cordes. Voir l'article tres.
- Timbales et Timbalitos. La timbale créole ou timbales est une adaptation de la timbale qui constituât à supprimer la forme en bol pour ne laisser que deux tambours cylindriques, munis de têtes accordables et montés sur un trépied en métal. Cette évolution fut complétée au début du XXe siècle quand les nouvelles timbales créoles furent utilisées dans des ensembles connus comme charangas qui interprétaient le danzón cubain. Les timbales créoles furent jouées dés cette époque avec des baguettes et elles se sont vues adjoindre des accessoires comme des cloches, des blocs en bois et des cymbales.
- Une version plus petite, le timbalitos ou pailas, est parfois ajouté pour former un ensemble de quatre tambours.
- Le güiro a une importance vitale dans de nombreux ensembles car son rôle est de garder le tempo par une pulsation consistante, et aussi de par les différents sonorités qu'il produit, lesquelles renforcent la texture de la section rythmique.
- Cajones. Les Africains réduits en esclavage par les colonisateurs créèrent des tambours à partir de boîtes et de caisses de transport, ceci en particulier pour le style de musique profane appelé rumba. Le yambú est le plus ancien style de rumba et il était joué sur des cajones. Des grandes caisses à poissons servaient de tambour basse ou tumba, et les petites boîtes à chandelles au timbre aigu servaient de tambour soliste ou quinto. Les cajones sont toujours très populaires aujourd'hui et ils sont souvent accompagné par des palitos (paire de petits cylindres en bois) avec lesquels on frappe soit les cajones, soit une pièce de bambou ou de bois, soit encore des cucharas, une sorte de râteau métallique appelé le maruga ou d'autres shakers.
- Les bongos cubains sont deux petit tambours relié par une fine pièce en bois. Ils sont souvent tenus entre les genoux. Quelque fois, ils sont désignés comme un seul instrument : le bongó. Le plus grand tambour, accordé dans les basses, est appelé hembra (femelle en espagnol), le petit accordé dans les aigües est le macho (mâle en espagnol). Ils sont joués avec les doigts et les paumes des mains, et ils offrent de grandes possibilités sonores. Les bongos ont été développés à partir de leur prédécesseurs africains dans la province de l'Oriente, et ils font parties de l'instrumentation du son. À l'origine, les peaux de ces tambours était clouées et accordée avec de la chaleur, mais des dispositifs mécaniques d'accords ont été rajoutés. Les bongos d'aujourd'hui sont fabriqués aussi bien en fibre de verre qu'en bois.
- Le tambour tumbadora ou conga est un tambour en forme de tonneau fait de bandes de bois. Il est dérivé du tambour makuta d'origine congolaise. Le tumbadora avait une peau clouée, et un dispositif mécanique d'accordage lui fut souvent ajouté. Les premiers tumbadoras furent utilisés dans les comparsas (goupes de carnaval) et ils étaient aussi appelés tambores de conga. Il y a trois sortes de tumbadoras: le tambour basse appelé tumbadora ou tumba, le tambour de taille moyenne appelé conga et le plus petit au son aigu qui est appelé le quinto. Dans la rumba, le quinto est celui avec lequel le musicien improvise ou effectue des solos, alors que des cellules régulières et répétitives sont jouées sur les deux autres.
- Bombo créole et sartenes. Les bombo criollo (tambour basse créole) est un tambour militaire à deux têtes et accordable. Il est originaire d'Europe et il fut adapté et utilisé dans les congas de comparsas. Il est joué avec une grosse baguette ronde qui ressemble à un maillet et l'autre main nue. Une autre percussion populaire dans l'instrumentation de la comparsa est le sartenes (ou poêles) qui consiste en deux pièces de métal en forme de poêle à frire montées sur un support en bois, le tout suspendu au du cou du musicien. Cet instrument se joue avec deux baguettes en bois ou en métal.
- De nombreuses sortes de cloches sont utilisées dans la musique populaire de Cuba, la populaire cencero créole est modelée d'après l’ekón Abakuá. C'est une simple cloche sans battant qui est jouée avec un morceau de bois. La cencerro a deux sons principaux : un son ouvert - produit en frappant le bord de la bouche de la cloche; et un son fermé - produit en pressant les doigts de la main qui tiennent la cloche contre son fond tout en frappant le centre de la cloche.
- Quijada (mâchoire inférieure de cheval, d'âne ou de mule. Bien que ce soit un instrument primitif, le quijada a un son très populaire et facilement reconnaissable, et il a inspiré la création contemporaine du "vibra-slap". La mâchoire (ou des parties de squelette de cheval, d'âne ou de mule) produisent un son distinct, brisé et hoquetant, quand il est frappé, ceci par la vibration des dents. Il est appelé jawbone en Louisiane. Le quijada suit le rythme de la clave dans des morceaux au rythme puissant et il n'est jamais utilisé pour accompagner des douces mélodies.
- La batterie a été intégrée dans la musique populaire cubaine dés les années 20 quand les premiers ensembles de jazz et d'autres musiques fusionnèrent avec le son et d'autres styles. Dans les années 40 et 50, la musique cubaine bénéficiât d'un mariage heureux avec le jazz. Un des précurseurs les plus reconnus de cette période fut Guillermo Barreto dont l'immense talent en tant que batteur et percussionniste l'amenât à collaborer avec des géants comme Beny Moré, Tommy Dorsey, Nat King Cole, Chico O'Farrill, Israel "Cachao" López et bien d'autres. Baretto a travaillé de nombreuses années comme batteur dans le fameux night-club Tropicana de la Havane, où il aida à mettre fin au traitement raciste des musiciens cubains noirs. Walfredo de los Reyes (Sr.) est une autre figure importante dans le développement de la batterie dans la musique cubaine.
- Dans les dernières décennies, beaucoup de batteurs ont expérimenté et adapté des rythmes traditionnels cubains, et ils les ont mélangés au vocabulaire déjà complexe des techniques de la batterie du jazz, du rock et du funk.
- Le batteur cubain Enrique Plá du groupe Irakere est un excellent exemple d'un batteur qui a une profonde connaissance de beaucoup de styles et de techniques, et qui continue son approche innovatrice en mélangeant des éléments de jazz, de funk et de musique brésilienne et cubaine. José Luis Quintana de Los Van Van a non seulement contribué à créer le style songo, mais il fut aussi un des premiers batteurs cubains à utiliser des tambours électroniques.
- Oscarito Valdés - connu pour son œuvre avec deux des plus fameux groupes de fusion de Cuba, Afro Cuba et Irakere - a incorporé des séquenceurs et la technique de la double pédale basse dans son son.
[modifier] Quelques artistes
- Rumba (Guaguanco...):
- Los Papines
- Clave y Guaguanco
- Los muñequitos de Matanzas
- Trova :
- Sindo Garay
- María Teresa Vera
- Rosendo Ruiz Suarez
- Alberto Villalon Morales
- Manuel Corona Raimundo
- Miguel Faílde, compositeur de danzon
- Joseíto Fernández (compositeur de Guajira Guantanamera)
- Carlos Puebla, compositeur de Hasta siempre (Comandante Che Guevara)
- Son cubain
- Trio Matamoros de Miguel Matamoros (Quelques oeuvres : Son de la loma, Lágrimas negras)
- Septeto Habanero d'Ignacio Piñeiro
- Arsenio Rodriguez
- Buena Vista Social Club : Compay Segundo, Omara Portuondo, Ibrahim Ferrer, Rubén González, Pío Leiva, Eliades Ochoa, Amadito Valdés, Barbarito Torres, Manuel « Puntillita » Licea, Manuel « Guajiro » Mirabal, Orlando « Cachaíto » López
- Afro Cuban All Stars
- Sierra Maestra
- Polo Montañez
- Cha-cha-cha
- Enrique Jorrín, l'inventeur
- Orquesta Aragon
- Salsa
- Albita
- Celia Cruz
- Donaldo Flores
- Maraca
- Sonora Matancera
- Willy Chirino
- Timba
- Adalberto Álvarez y su Son
- Azúcar Negra
- Bamboleo
- Calle Real : http://www.callereal.se
- Carlos Manuel y Su Clan
- Cesar « Pupy » Pedroso
- Chispa y los Complices
- Danny Lozada y su timba cubana
- Fidel Morales y Proyecto Nega
- Klimax
- Isaac Delgado
- La Charanga Habanera
- La Charanga Forever
- Los Dan Den
- Los Van Van
- Manolín « El Médico de la salsa »,
- Manolito Simonet y su Trabuco
- Maraca (ne joue pas que la timba)
- NG La Banda
- Pachito Alonso y su Kini Kini
- Tirso Duarte
- Paulo FG
- Yumurí y sus Hermanos
- Reggaeton, hip-hop et rap cubain:
- Clan 537
- Cubanito 20.02
- Cubanos en la red
- Eddy K
- Kid Brown
- El Medico
- Gente de Zona
- Orishas
- Triangulo Oscuro
[modifier] Bibliographie
- ACOSTA (Leonardo), HOROVIO (Elio), ESPI (René), Havana fiesta. Le jazz cubain des années 40 et 50. [Paris], Éditions Vade-retro, 1999, 128 pages, illus. en noir et en coul. + CD audio
- ACOSTA (Leonardo), ZAMORA (Bladimir), ARIEL (Sigfredo), Kubamusika. Images de la musique populaire cubaine. Prologue de Pepin Alen. Ed. Matxitxa. Photographies d’Alberto Korda, Raul Corrales, Michael P. Smith et al. Biarritz, Pyrénées atlantiques], Éditions Atlantica, 2003, 248 pages, illus. en coul.
- CALVO OSPINA (Hernando), Sur un air de Cuba, traduit de l’espagnol par Karine Alvarez et Martial Leduc. Préface de Pierre Richard. Postface de Sergent Garcia. [Pantin, Seine-Saint-Denis], Éditions Le Temps des cerises, 2005, 104 pages, illus. en coul. [Portrait de dix artistes cubains de musique populaire : Ibrahim Ferrer, Omara Portuondo, Pancho Amat, Chucho Valdès, Giraldo Piloto, Adalberto Alvarez, Manolito Simonet, Juan Formell, David Calzado, José Luis Cortés.
- CARPENTIER (Alejo), La Musique à Cuba (La Música en Cuba, Mexico, 1946), essai, traduit de l’espagnol par René L.-F. Durand. [Paris], Éditions Gallimard, « Hors série Connaissance », 1985, 312 pages
- CHANG MELLIS (Leiling), Métissages et résonnances. Essais sur la musique et la littérature cubaine. [Paris], Éditions L’Harmattan, « Univers musical », 2002, 202 pages
- COSSARD (Olivier), OROVIO DÍAZ (Hélio), Musiques de Cuba. [Paris], Éditions Mille et une nuits, 2001, 144 pages, discographie
- DELANNOY (Luc), Caliente. Une histoire du latin jazz. [Paris], Éditions Denoël, 2000, 368 pages [Portraits de Mario Bauza, Chico O’Farrill, Chucho Valdès, et al.].
- GOMEZ (François-Xavier), Les Musiques cubaines. [Paris], Éditions L.J.L, « Librio musique » n°279, 1999, 88 pages
- LEYMARIE (Isabelle), La Salsa et le latin jazz. [Paris], Presses universitaires de France, « Que sais-je ? », 1993, 128 pages
- LEYMARIE (Isabelle), Cuban Fire. Musiques populaires d’expression cubaine. [Paris], Éditions Outre Mesure, 1997, 352 pages, bibliographie, discographie
- LEYMARIE (Isabelle), Latin jazz. [Paris], Éditions Vade-retro, 1998, 112 pages, illus. en coul. + CD audio – réédition : [Paris], Éditions Musipages, 200
- LEYMARIE (Isabelle), Cuba, la musique des dieux. [Paris], Éditions du Layeur, 1998, 32 pages, illus. en coul. + CD audio
- LEYMARIE (Isabelle), Cuba et la musique cubaine. [Paris], Éditions du Chêne, 1999, 96 pages, illus. en coul., bibliographie, discographie, glossaire + CD audio
- LEYMARIE (Isabelle), Latin jazz. [Paris], Éditions Buchet-Chastel, « Musique », 2003, 230 pages, illus., bibliographie, discographie
- LOBO (Éric), Cuba musical. Introduction de Chinolope (Guillermo Fernando Lopez Junque). [Sommières, Gard], Éditions R. Pages, 2002, 152 pages, illus. en coul. + CD audio (Adalberto Alvarez, Arsenio Rodriguez, Benny Moré, Compay Segundo, Ruben Gonzalez, Pancho el Bravo…)
- NAVARETTE (William), La Chanson cubaine, 1920-1953. Textes et contexe. Préface de Maria Poumier. [Paris], Éditions de L’Harmattan, « Recherches et documents. Amériques latines », 2000, 206 pages, bibliographie, glossaire
- OROVIO DÍAZ (Hélio), COSSARD (Olivier), Ritmo cubano. Préface de Leonardo Padura Fuentes. [Paris], Éditions La Mascara, 2000, 128 pages, illus. en coul. + CD audio [250 pochettes de disques de musique cubaine, depuis les années 30 jusqu’à nos jours].
- ROY (Maya), Musique cubaine. [Paris], Cité de la musique / [Arles], Éditions Actes Sud, « Musiques du monde », 2001, 192 pages, illus. en noir et en coul. + CD audio
- VIAU (Emmanuel), Anton et la musique cubaine. Texte dit par Philippe Lejour. Illustrations d’Olivier Tallec. Photographies de Stéphane Lagoutte. [Paris], Éditions Gallimard Jeunesse, « Musiques d’ailleurs », 1998, 36 pages, illus. en coul. + CD audio
[modifier] Liens externes
- MontunoCubano.com, Les Musiques Populaires Cubaines
- Histoire des musiques cubains
- (en) Catégorie musique cubaine de l'annuaire dmoz.
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