Ordre cistercien
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L’ordre cistercien (Ordo cisterciensis), également connu sous le nom d’ordre de Cîteaux ou encore de saint ordre de Cîteaux (s.o.c.) est un ordre monastique catholique réformé, fondé en 1098 à l'abbaye de Cîteaux par Robert de Molesme ( mort en 1110) pour suivre la règle de saint Benoît.
Le plus célèbre des cisterciens est saint Bernard, (1090, Fontaine-lès-Dijon - 20 août 1153 à Clairvaux) à qui l'ordre doit son considérable développement de la première moitié du XIIe siècle.
Les monastères cisterciens se distinguent par la simplicité et la sobriété de l'architecture et des ornements. La robe est blanche avec un scapulaire noir. On les appelle parfois "bénédictins blancs" ou Bernardins, du nom de saint Bernard.
Le symbole de l'ordre est la feuille d'eau (cîteaux).
Des couvents de religieuses cisterciennes ont été établis ; l'un des plus célèbres est celui de Port-Royal.
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[modifier] Historique
[modifier] Le monachisme occidental et saint Benoît
Dans la règle de Benoît de Nursie, le cœur de la vie monastique est l'accomplissement de l'œuvre de Dieu, qui comprend en premier lieu la célébration des huit offices liturgiques (sept le jour et un la nuit) qui rythment la journée monastique. En dehors des offices, les moines sont occupés par le travail, la lecture, le repas ou le sommeil, car Benoît, qui avait appris des Pères du désert que « l’oisiveté est ennemie de l'âme » considérait qu'il était imprudent de laisser un quelconque moment libre.
L'année 909 ou 910, date de la fondation de Cluny, près de Mâcon, dans le sud de la Bourgogne, marque le début d'un renouveau du monachisme occidental. Cluny représentait une tentative courageuse, et réussie, de remonter la mauvaise pente et de redonner à la vie monastique l'esprit véritable de la règle de saint Benoît. Toutefois, malgré ses abbés, sa piété, sa dévotion à la règle, sa stricte observance et sa rigueur, qui contribuaient à faire de la réforme clunisienne un exemple pour tous les autres monastères, Cluny était, par certains aspects, tout le contraire de l'idéal cénobitique du désert. Au fil des années, des dons fréquents et généreux avaient afflué. La grande église dépassait en splendeur et en dimensions tous les édifices de l'époque. La liturgie était longue et très développée. Enfin les abbés, puissants et respectés, étaient trop impliqués à l'extérieur de la clôture, dans le siècle. Nombreux étaient donc les moines et les abbés de l'époque qui manifestaient leur mécontentement. Les XIe et XIIe siècles ont été marqués par différents mouvements qui voulaient appliquer une observance plus stricte de la règle de saint Benoît ou revenir aux idéaux oubliés du désert. Bruno de Cologne fonde la Chartreuse ; alors que l'on assiste à la naissance des Grandmontains, des Prémontrés, des Gilbertins, de la congrégation de Savigny et de bien d'autres.
[modifier] Robert de Molesme et la fondation de Cîteaux
Ce mouvement fut également à l'origine de l'abbaye Notre-Dame de Molesme, en Bourgogne, fondée en 1075 par saint Robert. La nouvelle abbaye connut un succès retentissant. Une quinzaine d'années après sa fondation, Molesme ressemblait à n'importe quelle abbaye bénédictine prospère de son époque. Cela n'était pas du goût de Robert qui quitta l'abbaye, fut contraint de revenir, puis devant l'impossibilité d'arriver à un compromis, se rendit auprès de l'archevêque de Lyon pour lui proposer l'établissement d'une nouvelle fondation. Il obtint la bénédiction de l'archevêque, et c'est ainsi que dans les premiers mois de l'année 1098, accompagné de vingt-et-un moines, il quitta Molesme pour s'installer dans la vallée de la Saône, à vingt-deux kilomètres au sud de Dijon.
Au départ, la nouvelle fondation était simplement appelée « le Nouveau Monastère », puis en 1119 elle prit le nom du site qui l'avait accueillie, « Cîteaux ». Suite au retour de Robert à Molesme à l'automne 1099, l'abbatiat du nouveau monastère fut confié à Albéric et à sa mort, le 26 janvier 1109, l'Anglais Étienne Harding prit sa succession. Étienne était un homme lettré et érudit, un habile organisateur et un administrateur expérimenté qui entretenait en outre d'excellents rapports avec les nobles seigneurs des environs. Sous son abbatiat quatre abbayes-filles virent le jour, entre 1113 et 1115, et c'est à partir de ce moment que nous pouvons vraiment parler de la fondation d'un nouvel « Ordre ». En 1113, alors qu'on entreprenait la fondation de la première abbaye-fille, La Ferté-sur-Grosne, un jeune homme de noble famille appelé Bernard arriva à Cîteaux, en provenance de Fontaine-lès-Dijon. En 1114, une deuxième maison fut établie à Pontigny, avec à sa tête Hugues de Mâcon, un des compagnons de Bernard. L'abbaye de Clairvaux, dont le premier abbé fut Bernard alors âgé de vingt-cinq ans, et l'abbaye de Morimond, près de Langres, furent toutes deux fondées en 1115.
Chaque nouvelle maison devait être économiquement indépendante, mais avait des comptes à rendre à l'abbaye qui l'avait fondée. L’exemption de la juridiction épiscopale permit à l’Ordre de Cîteaux de mettre au point deux institutions qui fit sa force : le système de visites des abbés-pères et le Chapitre général annuel.
L'abbé-père devait visiter une fois par an ses abbayes-filles pour s'assurer de leur bon fonctionnement. Cette procédure n’est pas entièrement originale puisqu’elle remonte aussi aux origines de l’Ordre de Vallombreuse, mais l’inspiration vient évidemment de la convention entre Molesme avec Aulps signée en 1097, sous l’abbatiat de Robert, le fondateur de Cîteaux.
L'Ordre cistercien se caractérise par une organisation arborescente. Cîteaux est le tronc principal d'où partent quatre branches-mères : La Ferté, Pontigny, Clairvaux et Morimond. Chaque monastère était comme un nouveau rameau sur une branche mère et pouvait à son tour fonder des abbayes, mais ces dernières seront toujours rattachées à l'une des cinq lignées primitives. Chaque abbé devait se rendre chaque année à Cîteaux pour le Chapitre Général autour de la fête de la Sainte Croix (14 septembre) et à la suite desquels des statuts étaient promulgués. Depuis la fin du XIIe siècle, le Chapitre était assisté par un comité de définiteurs nommés par l’abbé de Cîteaux, le Définitoire.
[modifier] Expansion et réforme
Avec le support de la papauté, des rois et des évêques, l'influence de saint Bernard dans l’expansion de l’Ordre fut décisive. À sa mort, trois cent cinquante monastères furent établis dont soixante-huit par Clairvaux. La véritable envolée se produisit entre 1129 et 1139 et un tel dynamisme suscita bien des problèmes : incorporation de monastères qui gardent un coutumier non conforme à l’esprit de la Charte de Charité, choix d’implantations difficiles, difficultés pour les abbayes-mères de pouvoir effectuer les visites annuelles, danger des prélèvements trop fréquents d’effectifs qui épuisent les abbayes-mères. La ligne de Clairvaux compta jusqu’à 350 monastères, Morimond plus de 200, Cîteaux une centaine et seulement une quarantaine pour Pontigny et moins de vingt pour La Ferté.
Cette expansion assure aux Cisterciens une place prépondérante non seulement au sein du monachisme européen mais aussi dans la vie culturelle, politique et économique. Ils prennent part aux grands événements de la vie de l'Église. Reconquête de la Terre sainte : des Cisterciens prêchent la troisième croisade (1188-1192) ; certains y participent personnellement. Évangélisation du Midi de la France et lutte contre les cathares, dont la doctrine est condamnée et combattue par l'Église ; les Cisterciens précèdent les Dominicains sur ces territoires ; ils y assurent la prédication et organisent la répression de l'hérésie. Missions de christianisation : les Cisterciens protégés par le bras séculier pénètrent en Prusse et dans les provinces baltiques. Défense des intérêts du Saint-Siège : la querelle entre le pape et l'empereur se prolonge; les Cisterciens soutiennent les visées théocratiques du pontife. Engagement dans la vie pastorale : de nombreux cisterciens deviennent évêques ou légats du pape, chargés des plus hautes affaires de l'Église.
Par suite de l'accroissement de l'Ordre, avec la fondation très rapide de centaines d'Abbayes et l'incorporation de plusieurs Congrégations (celles de Savigny et d'Obazine du vivant même de saint Bernard), l'uniformité des coutumes existant au commencement se diversifia lentement et insensiblement. En 1354, l’Ordre comptait 690 maisons d’hommes et s'étendait du Portugal à la Suède, de l'Irlande à l'Estonie et de l'Écosse jusqu'en Sicile. La transformation de la vie sociale, intellectuelle et politique eut aussi son influence sur l'évolution de l'Ordre, et à partir du XVe siècle, furent créées des Congrégations capables d'adapter aux réalités locales l'idéal commun insufflé par le chapitre général annuel. L'abbé de Cîteaux est reconnu comme chef de l'Ordre et reçoit le titre d'abbé général.
Il y eut aussi des religieuses de Cîteaux ; elles furent instituées en 1128, à l'abbaye de Tart, dans le diocèse de Langres, et prirent le nom de Bernardines ou Clairettes. Les monastères du faubourg Saint-Antoine à Paris et de Port-Royal sont les plus célèbres de ceux qu'elles occupèrent.
Par ailleurs l'administration de l'abbaye reposait, en théorie, exclusivement sur l'abbé ; d'où l'influence néfaste sur la vie de la communauté des abbés commendataires, souvent mondains, ambitieux et corrompus menant une vie peu conforme à la règle ou plus simplement absents.
À l'origine, la commende était une tentative de la part de la papauté d'Avignon d'exercer plus de contrôle sur les charges ecclésiastiques, mais ce système se révéla désastreux pour l'Ordre cistercien. Les communautés monastiques n'avaient plus le droit d'élire leur abbé, lequel était directement nommé par le pape ou par le roi. En général, on choisissait, non des moines, mais des prélats séculiers, qu'on récompensait ainsi de leurs bons et loyaux services. Le système de la commende fit des ravages, en particulier en France et en Italie. L'absence d'un véritable guide ou le manque d'intérêt entraîna l'appauvrissement, la détérioration et la désaffectation de nombreuses maisons.
Cependant la situation n'était pas dramatique dans toute l'Europe. En France pourtant, au XVIe siècle, on n’assiste pas seulement à la dégradation, et dans certains cas à l'annihilation, des établissements cisterciens, mais également à des tentatives énergiques de réforme. Jean de la Barrière, le très austère abbé commendataire des Feuillants, entreprit l'une de ces réformes et fonda la congrégation des Feuillants. Précurseur de l'abbé de Rancé, il tenta, avec succès, de réintroduire l'austérité de la règle bénédictine ou cistercienne primitive et de mettre un terme à la décadence morale et au relâchement dans son abbaye.
La naissance de l'Étroite Observance au début du XVIIe siècle est bien plus importante. Lorsque Rancé arriva à La Trappe, il fut horrifié par le spectacle qu'offrait l'abbaye. L'ancien courtisan embrassa les idéaux de la réforme cistercienne avec la même fougue qui l'avait poussé jadis à rechercher les plaisirs du monde. Les partisans de la réforme désiraient revenir aux idéaux ascétiques remontant aux origines de l'Ordre, et en particulier au végétarisme primitif. Leur refus absolu de manger de la viande leur valut le surnom d'abstinents. Les deux parties finirent par pouvoir disposer de structures administratives propres, mais si l'Étroite Observance avait le droit d'envoyer dix abbés au Définitoire, elle restait soumise à Cîteaux et au Chapitre Général.
Dans la seconde moitié du XVIIIe siècle, des critiques virulentes sont énoncées à l'encontre du monachisme. En France, l'Ordre est profondément ébranlé en cette fin de siècle où les vocations se font rares et où l'engouement pour un monachisme austère a fait place à l'adoption d'une vie monastique beaucoup moins exigeante et donc plus exposée aux critiques, même si on détecte encore des foyers de ferveur et de fidélité aux origines et mêmes des initiatives.
[modifier] Après la Révolution
À la veille de la Révolution française, soixante-cinq abbayes dépendaient de la Stricte Observance, mais aucun établissement français ne réchappa à la tourmente révolutionnaire. Après la Révolution, il ne restait qu'une douzaine de maisons, dispersées à travers le territoire du Saint Empire romain germanique. Lorsque l'abbaye de la Trappe fut à son tour réquisitionnée par l'État et les moines expulsés, le dernier maître-novice, dom Augustin de Lestrange, s'enfuit en Suisse avec un groupe de vingt-et-un moines. Le 1er juin 1791 il restaura la Stricte Observance à La Valsainte et imposa aux moines un régime encore plus rigoureux que celui mis en place par l'abbé de Rancé.
Après la défaite de Napoléon en 1815, les abbayes rescapées des guerres et des expulsions commencèrent à recréer des liens, à restaurer les Congrégations. La destruction de l'abbaye de Cîteaux a privé l'Ordre de son chef naturel, et le renforcement des nationalismes en Europe ne facilite pas la recherche d'une solution commune. Une première réunion d'abbés cisterciens se tient à Rome en 1869. En 1891, un abbé général est élu: Dom Wackarz, abbé de Vyssi Brod (empire austro-hongrois). Il portera le titre de président général de l'Ordre cistercien.
En France, les trappistes se réunissent en 1892 sous l'appellation « Cisterciens réformés de Notre-Dame de la Trappe ». À partir de 1898, les chapitres généraux se tiennent à Cîteaux, récemment récupéré. L'abbé général est installé à Rome. En 1902, les trappistes deviennent l'ordre des Cisterciens réformés ou de la stricte observance.
Au cours du XIXe siècle, les trappistes fondèrent au Canada, aux États-Unis, en Australie, en Syrie, en Jordanie, en Afrique du Sud et en Chine. À l'heure actuelle, l'Ordre cistercien de la stricte observance ou trappiste comprend 2600 moines et 1883 moniales, répartis respectivement dans quatre-vingt-seize et soixante-six monastères dans le monde entier.
L'Ordre cistercien (O. Cist.) pour sa part s'est implanté au Brésil, aux États-Unis, en Ethiopie et au Vietnam. Il comprend aujourd'hui 1500 moines et 1000 moniales, répartis respectivement dans 92 et 64 monastères.
Aux côtés des Cisterciennes officiellement incorporées à l'une ou l'autre des deux branches, nombreuses sont les communautés de femmes, vivant dans une mouvance spirituelle cistercienne, qui se regroupent en ordre ou congrégation : bernardines d'Esquermes, bernardines d'Oudenaarde, bernardines de Suisse romande.
[modifier] Art cistercien
Les abbayes cisterciennes sont une évolution de l'architecture romane vers le gothique (arc brisé), et se caractérisent par un grand dépouillement des lignes et de la décoration.
Voir l'article sur l'Art cistercien
[modifier] Liste non exhaustive des abbayes cisterciennes
Conformément à la législation de l'ordre, toute abbaye cistercienne est dédiée à la Reine des Cieux. En conséquence, son appellation officielle est toujours "abbaye Notre-Dame de…" ou "abbaye Sainte-Marie de…".
[modifier] Allemagne
- Disibodenberg (Rhénanie-Palatinat) Site officiel
- Ebrach (Bavière)
- Himmerod (Rhénanie-Palatinat) Site officiel
- Maulbronn (Baden-Württemberg)
- Otterberg (Rhénanie-Palatinat)
- Wallfahrtskirche Birnau (Baden-Württemberg)
[modifier] Autriche
- Heiligenkreuz
- Rein
- Schlierbach
- Lilienfeld
- Wilhering
- Zwettl
- Territorialabtei Wettingen-Mehrerau
[modifier] Belgique
- Abbiette (Hainaut)
- Achel (Limbourg) Site officiel
- Aulne (Hainaut) Site touristique
- Argenton (Namur)
- Aywiers (Brabant-Wallon)
- Beaupré (Grimminge) (Flandre-Orientale)
- Boneffe (Namur)
- Bijloke (Flandre-Occidentale)
- Bon Secours (Hainaut) Site officiel
- Brialmont (Liège)
- Cambre (La) (Bruxelles) Site officiel
- Cambron (Hainaut)
- Clairefontaine (Luxembourg) Site officiel
- Cordemois (Luxembourg) Site touristique
- Dunes (Les) (Flandre-Occidentale)
- Epinlieu (Hainaut)
- Grandpré (Namur)
- Groeninge (Flandre-Occidentale)
- Herkenrode (Limbourg) Site officiel
- Jardinet (Le) (Namur)
- Klaarland (Limbourg) Site officiel
- Marche-les-Dames (Namur)
- Maagdendale (Flandre-Orientale)
- Moulins (Grange) (Namur) Site officiel
- Nieuwenbos (Flandre-Orientale)
- Nizelles (Brabant-Wallon) Site officiel
- Olive (Hainaut)
- Orval (Luxembourg) Site officiel
- Paix (La) (Hainaut) Site archivé
- Paix Dieu (La) (Liège) Site officiel
- Ramée (La) (Brabant-Wallon) Site officiel
- Rochefort (Namur)
- Saint-Sixte (Westvleteren) (Flandre-Occidentale) Site officiel
- Salzinnes (Namur)
- Saint-Bernard-sur-l'Escaut (Flandre-Occidentale)
- Saulchoir (Le) (Hainaut)
- Scourmont (Chimay) (Hainaut) Site officiel
- Soleilmont (Hainaut)
- Solières (Liège)
- Ter Doest (Flandre-Occidentale) Site officiel
- Terhagen (Domus Gaudei) (Flandre-Orientale)
- Val-Dieu (Liège)
- Valduc (Brabant-Wallon)
- Val-Saint-Georges (Namur)
- Villers-la-Ville (Brabant) Site officiel, Site pédagogique
- Wauthier-Braine (Brabant-Wallon)
- Westmalle (Anvers) Site officiel
[modifier] Espagne
- Matallana (Valladolid. Castille-et-León)
- Santa Espina (Valladolid. Castille-et-León)
- Moreruela (Zamora. Castille-et-León)
- Valdeiglesias (Madrid)
[modifier] France
- Acey
- Aiguebelle (Drôme) Site officiel
- Auberive (Haute-Marne) Site archivé
- Aulps (Haute-Savoie) Site officiel
- Beaupré (Nord) Site "officiel"
- Bellaigue (Puy-de-Dôme) Site officiel
- Belleperche (Tarn-et-Garonne) Site archivé
- Bénisson-Dieu (La) (Loire) Site officiel
- Bohéries (Aisne)
- Bonnecombe (Aveyron) Site touristique
- Bonnefont (Haute-Garonne)
- Bonnevaux (Isère)
- Bonport (Eure) Site officiel
- Boschaud (Dordogne)
- Boulaur (Gers) Site officiel
- Breuil-Benoît (Le) (Eure)
- Cadouin (Dordogne) Site touristique
- Castagniers (Alpes-Maritimes) Site officiel
- Cercanceaux (Seine-et-Marne) Site officiel
- Champagne (Sarthe) Site officiel
- Cherlieu (Haute-Saône) Site officiel
- Chézery (Ain)
- Cîteaux (Côte-d'Or) Site officiel
- Clairvaux (Aube) Site officiel
- Crécy (Grange de) (Yonne)
- Elan (Ardennes) Site officiel
- Epau (L') (Sarthe) Site officiel
- Etoile (L') (Vienne) Site touristique
- Escaladieu (L')
- Ferté (La) (Saône-et-Loire) Site officiel
- Flaran (Gers)
- Flines (Nord)
- Floigny (Aisne) Site officiel
- Fontaine-Guérard (Eure)
- Fontaine-Jean (Loiret)
- Fontcalvy (Grange) (Aude) Site "officiel"
- Fontenay (Côte-d'Or) Site officiel
- Fontenelle (Nord) Site "officiel"
- Fontfroide (Aude) Site officiel
- Fontmorigny (Cher)
- Galinières (Grange) (Aveyron)
- Gimont (Gers)
- Grâce - Bricquebec, (Manche) Site officiel
- Grâce-Dieu (La) (Charente-Maritime) Site officiel
- Grosbot (Charente)
- Koad Malouen (Côtes-d'Armor)
- Léoncel (Drôme) Site officiel
- Lérins (Alpes-Maritimes) Site officiel
- Loc-Dieu (Aveyron)
- Longpont (Aisne)
- Loos (La) (Pas-de-Calais)[1]
- Lys (Le) (Seine-et-Marne)
- Maubuisson (Val-d'Oise)
- Mazan (Ardèche)
- Mègemont (Puy-de-Dôme)
- Le Miroir (Saône-et-Loire)
- Morimond (Haute-Marne)
- Mortemer (Eure)
- Neubourg (Bas-Rhin)
- Noirlac (Cher) Site officiel
- Ourscamp (Oise)
- Pin (Le) (Vienne)
- Pontigny (Yonne)
- Prébenoît (Creuse) Site archivé
- Prée (La) (Indre) Site officiel
- Preuilly (Seine-et-Marne)
- Quincy (Yonne)
- Rieunette (Aude) Site officiel
- Royaumont (Val-d'Oise) Site officiel
- Sénanque (Vaucluse) Site officiel
- Silvacane (Bouches-du-Rhône) Site officiel
- Sturzelbronn (Moselle)
- Sylvanès Site officiel
- Tamié Site officiel
- Thoronet (Le) (Var) Site touristique
[modifier] Norvège
- Lysekloster, le « monastère de la lumière », près de Bergen (en ruines).
[modifier] Suède
- Alvastra
- Ås (abbaye détruite en 1535)
- Nydala
- Varnhem (abbaye partiellement détruite en 1566)
- Vreta kloster
[modifier] Suisse
- Bonmont (Vaud) Site officiel
- Abbaye d'Hauterive (Fribourg) Site officiel
- Montheron (Vaud)
- Abbaye de la Maigrauge (Fribourg) Photos
[modifier] Voir aussi
[modifier] Liens internes
- Ordres religieux par ordre alphabétique
- Liste des ordres monastiques
- Bernard de Clairvaux
- Ordre cistercien de la stricte observance (trappistes)
- Ordre de saint Benoît (bénédictins)
- Ordre de Cluny
[modifier] Liens externes
- Ordre cistercien Site officiel
- Le web des abbayes et sites cisterciens d'Europe
- Association pour le rayonnement de la culture cistercienne
- L'architecture cistercienne
- Les Cisterciens, labeur, austérité et rayonnement par Yvan Gobry, professeur honoraire de l'université de Reims.
- (en) Cistercians and Cistercian Abbeys in the Languedoc including their roles in the Crusades against the Cathars of the Languedoc
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