Championnat de France de football
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Le championnat de France de football, connu actuellement sous le nom de Ligue 1 Orange est une compétition annuelle mettant aux prises les vingt meilleurs clubs de football en France.
[modifier] Les Championnats de France amateurs de football (1894-1932)
Le premier championnat de football organisé sous l'égide du Comité Football de l'USFSA a lieu en avril-mai 1894 et met aux prises cinq clubs parisiens : Standard A.C., White-Rovers, Club Français, Neuilly et Asnières. En 1895-1896, on adopte la formule championnat, les deux premières éditions du championnat de France s'étant déroulées par élimination directe. Chaque rencontre a lieu sur terrain neutre, sans revanche. La première « Division 1 » de l'histoire du football français comprend neuf clubs parisiens : Standard AC, White-Rovers, Club Français, Neuilly, Asnières, United SC, Paris Star, et l'UA 1er arrondissement. Après les deux triomphes du Standard, le Club Français enlève le titre en 1896. Depuis 1895, l'équipe victorieuse reçoit un trophée offert par Gordon Bennett, directeur du New York Herald, grand pourvoyeur de trophées sportifs aux quatre coins de la planète.
En Normandie et Nord-Picardie, la floraison des équipes scolaires et des compétitions inter-scolaires forme un terreau particulièrement riche pour l'installation de clubs extra-scolaires. Devant la pression de ces provinciaux, l'USFSA ouvre les portes du championnat de France au Havre AC et à l'Iris Club Lillois. Ainsi, en 1899, Le Havre AC doit affronter le champion de Paris (Club Français) pour l'attribution du titre national. Les Parisiens contestent la légitimité de ce challenger, qui n'est pas champion de sa région, et la rencontre n'a pas lieu. Large vainqueur d'une sélection anglaise Southampton - Oxford, 7-1, le HAC fait peur... Le club havrais pratique le football depuis quelques saisons à peine (et pas depuis 1872), mais son effectif est quasi exclusivement composé de joueurs britanniques, rompus au jeu. L'USFSA, qui tient à garder l'ascendant sur le comité parisien qui gère le football dans la capitale, couronne alors Le Havre AC du titre de champion de France. La saison suivante, les deux mêmes finalistes se qualifient. Le Club Français accepte cette fois la confrontation. Le Havre vient d'être sacré premier champion de Normandie et s'impose en finale nationale, légitimant de façon éclatante l'entrée des clubs de province à la table des « grands ». Dans la foulée, les Havrais enlèvent le Challenge International réunissant principalement des clubs belges et français, en battant en finale le Club Français, 3-2.
Le Havre AC, donc, mais aussi le RC Roubaix, s'avèrent alors de coriaces adversaires face à l'armada des clubs parisiens. On notera que ces clubs sont encore issus de la zone originelle du football dans notre pays. Il faut en effet attendre les premières années du XXe siècle pour voir le football partir à l'assaut de l'Hexagone. Les clubs fleurissent alors aux quatre coins du pays et des sections football sont créées dans des clubs sportifs existants. Les ligues régionales de l'USFSA. se constituent et le football devient un phénomène national. Ainsi, le 26 janvier 1902, l'hebdomadaire La Vie au Grand Air concède que le football mérite le titre de sport athlétique autant que le rugby tout en faisant remarquer qu'il est encore bien moins connu. On passe ainsi de 4 régions désignant un champion (Paris depuis 1894, Nord depuis 1898 et Normandie et Basse-Normandie depuis 1900) en 1902 à 13 dès 1904, Bretagne, Picardie et Champagne ouvrant leurs palmarès en 1903.
Prisonnier de son environnement (1905 : loi de séparation de l'Église et de l'État marquant le summum de la guerre froide religieuse qui divise alors la France), le football connaît un changement d'orientation majeur en 1905 avec la montée en puissance de la Fédération de Gymnastique Sportive des Patronages de France (FGSPF) fondée en 1898. Sous l'impulsion du Dr Michaux, Charles Simon et Henri Delaunay, cette fédération regroupant les clubs sportifs mis en place au sein des patronages catholiques, décide de faire du football le sport référence. L'Étoile des Deux Lacs, le Patronage Olier, les Bons Gars de Bordeaux ou l'AJ Auxerre, sont les principaux animateurs des compétitions entre patros. Le football est le sport qui monte et l'USFSA tente encore d'en limiter l'expansion ; la FGSPF en profite pour attirer à elle toute une jeunesse avide de jouer, provoquant par contrecoup la réplique des clubs laïcs qui ne tiennent pas à abandonner aux seuls patros le monopole du football.
En 1906, la Fédération Cycliste et Athlétique de France, dissidente de l'Union Vélocipédique de France, doit mettre en place un championnat de France de Football, les clubs qui la composent accueillant désormais majoritairement une section football. D'autres ligues voient le jour à Paris (FSAPF qui admet des clubs « pros » dès 1897) ou en Province (FASO dans le Sud-Ouest, entre autres). Citons l'Union des Sports de France, champion pro 1897, 1898 et 1899 ou l'Union Athlétique Batignolaise, champion pro de 1905 à 1905. Ces ligues professionnelles étaient évidemment dénigrées par les sportsmen typiques de la Belle Époque. Ces championnats pros de l'époque héroïque connurent toutefois un remarquable succès populaire à Paris et bénéficiaient d'une couverture importante dans la presse. L'étude de ces compétitions aujourd'hui totalement tombées dans l'oubli reste à faire.
Devant ce développement anarchique, une première tentative d'union est testée avec la mise en place d'un Trophée de France en 1907 par le Comité français interfédéral. Groupant plusieurs fédérations, le CFI est fondé par Charles Simon le 23 mars 1907. Admis en 1908 par la FIFA comme représentant de la France au grand désespoir des dirigeants de l'USFSA, le CFI prend un ascendant déterminant sur l'Union. Le Trophée de France du CFI oppose en fin de saison les champions des différentes ligues. L'USFSA se refuse à y prendre part. Certains clubs parisiens de l'Union se lassent alors de l'attitude bornée de leur fédération. En 1910, la LFA (Ligue de football association) est lancée par des clubs dissidents de l'USFSA comme le Red Star (Jules Rimet, président-fondateur) et le CA Paris. La LFA adhère évidemment au CFI.
« La paix est faite » titre le quotidien sportif L'Auto du 5 janvier 1913. Suivant l'exemple donné en Angleterre par l'AFA qui trouve un accord avec la toute puissante FA, l'USFSA rejoint finalement le CFI ; son champion, l'Olympique Lillois, s'adjuge d'ailleurs le Trophée de France au printemps 1914.
La Coupe de France (ou Coupe Charles-Simon, mort au front en 1915), créée en 1917, est alors la seule épreuve à caractère national. C'est la conséquence de l'accord signé entre le CFI et la société Hachette, sponsor de l'épreuve, qui interdit la mise en place d'une autre compétition à caractère national pendant dix ans. S'ouvre alors l'ère des ligues régionales qui se créent à l'initiative des clubs, souvent sur les ruines des comités régionaux de l'USFSA La Ligue du Nord est la première fondée (1918). En 1921, 18 ligues régionales se partagent le territoire national. Les championnats de Division d'Honneur qu'elles organisent permettent l'émergence de nombreux clubs cultivant les rivalités locales. La Coupe de France s'affirme, surtout de 1920 à 1932, comme la compétition référence par excellence. Dès cette période, les grands clubs tentent de limiter le nombre des inscrits afin d'en faire une compétition élitiste. C'est pourtant son caractère ouvert qui fait la grandeur de cette Coupe nationale à la réputation sans égale sur tout le continent. Même les poussives tentatives de mise en place d'un championnat de France à la fin des années 1920 ne font que peu d'ombre à la Coupe Charles Simon. Ce championnat de France opposait pourtant les champions régionaux mais intéressa peu les joueurs et les spectateurs. À l'époque, le champion désignait le vainqueur de la Coupe de France.
[modifier] Palmarès (1894-1914)
[modifier] La création du Championnat de France professionnel
Le football français résiste au professionnalisme jusqu'en 1932. Les pères fondateurs du professionnalisme français sont Georges Bayrou, Emmanuel Gambardella et Gabriel Hanot. Inexorable évolution, l'instauration du professionnalisme entraîne un resserrement de l'élite, nombre de clubs n'étant plus capables de suivre le rythme financier imposé. On s'arrangeait, avant 1932, pour rémunérer discrètement les joueurs ou leur trouver un emploi de complaisance. Avec l'officialisation du professionnalisme, ces pratiques restent l'apanage des clubs amateurs. L'instauration du professionnalisme en 1932 ne modifie pourtant pas le cadre légal des clubs. Seule différence avec les milliers de clubs restés amateurs, les clubs pros sont des associations type 1901 autorisées par la F.F.F.A. à aligner des joueurs rémunérés. On parle de « clubs autorisés ».
Favorisant le resserrement de l'élite, l'instauration du professionnalisme coïncide avec la mise en place d'un championnat à caractère national. Face à l'émergence de ce championnat pro, les ligues régionales perdent de leur prestige, les meilleurs clubs quittant leurs championnats de Division d'Honneur (D.H.). On comprend les réticences de certains dirigeants de ligues tel Jooris à Lille.
[modifier] Palmarès du Championnat de France professionnel (D1 puis L1 - 1932-2006)
[modifier] 1932-1939
Saison | Champion | Dauphin | Écart 1er/2e |
Clubs | Affluence moyenne |
Meilleure affluence | Meilleurs buteurs | |
1932-33 | O. Lillois | AS Cannes | finale (4-3) |
20 | n.c. | O. Lillois - AS Cannes 15 000 spectateurs |
Mercier - Club Français Kaiser - Stade rennais |
15 |
1933-34 | FC Sète | SC Fives | 1 pt | 14 | n.c. | inconnue | Lukacs - FC Sète | 28 |
1934-35 | FC Sochaux | RC Strasbourg | 1 pt | 16 | n.c. | RC Strasbourg - FC Sochaux 25 112 spectateurs |
Abegglen - FC Sochaux | 30 |
1935-36 | RC Paris | O. Lillois | 3 pts | 16 | n.c. | RC Paris - O. Lillois 27 193 spectateurs |
Courtois - FC Sochaux | 34 |
1936-37 | O. Marseille | FC Sochaux | 0 pt | 16 | n.c. | RC Strasbourg - O. Lillois 22 000 spectateurs |
Rohr - RC Strasbourg | 30 |
1937-38 | FC Sochaux | O. Marseille | 2 pts | 16 | n.c. | O. Marseille - FC Sochaux 29 866 spectateurs |
Nicolas - FC Rouen | 26 |
1938-39 | FC Sète | O. Marseille | 2 pts | 16 | n.c. | inconnue | Courtois - FC Sochaux Koranyi - FC Sète |
27 |
[modifier] Les championnats de guerre
Les championnats de 1939 à 1945 sont dits « Championnats de guerre ». Par convention, ces titres ne figurent pas au palmarès des clubs. En effet, entre 1939 et 1945, la France du football fut entravée par la guerre : les combats, le gouvernement de Vichy, les bombardements puis le désordre des premiers mois de la Libération furent d'authentiques freins à la mise en place d'un championnat digne de ce nom.
Saison | Champions | Notes |
1939-40 | Zone Nord : FC Rouen ; Zone Sud-Est : OGC Nice Zone Sud-Ouest : Girondins de Bordeaux |
Championnat inachevé et de nombreux clubs non inscrits. |
1940-41 | Zone Occupée : Red Star Zone Libre : Olympique de Marseille Zone Interdite RC Lens |
|
1941-42 | Zone Occupée : Stade de Reims Zone Libre : FC Sète Zone Interdite : RC Lens |
|
1942-43 | Zone Nord : RC Lens Zone Sud : Toulouse FC (1937) |
|
1943-44 | Poule unique : Équipe fédérale Lens-Artois | Les clubs sont dépossédés de leurs sections pros par le régime de Vichy. Mise en place d'un championnat avec des équipes « régionales ». |
1944-45 | Zone Nord : FC Rouen Zone Sud : Lyon OU. Finale nationale : FC Rouen 4-0 Lyon OU |
Les clubs de l'extrême Nord et de l'Est du pays non inscrits en raison de la poursuite des combats. |
- À noter que tous les palmarès français présentés par les différents guides du football hexagonal oublient les poules de la Zone interdite (extrême nord du pays) des saisons 1940-41 et 1941-42. Cette erreur vient d'un oubli des guides de L'Équipe des années 1950, depuis lors inlassablement recopiés par tous les autres guides, erreurs incluses...
[modifier] Après 1945
Saison | Champion | Dauphin | Écart 1er/2e |
Clubs | Affluence moyenne |
Meilleure affluence | Meilleurs buteurs | |
1945-46 | Lille OSC | AS Saint-Étienne | 1 pt | 18 | n.c. | inconnue | Bihel LOSC | 28 |
1946-47 | CO Roubaix-Tourcoing | Stade de Reims | 4 pts | 20 | n.c. | inconnue | Sinibaldi Reims | 33 |
1947-48 | O. Marseille | Lille OSC | 1 pt | 18 | 9 729 | inconnue | Baratte LOSC | 31 |
1948-49 | Stade de Reims | Lille OSC | 1 pt | 18 | 9 393 | Marseille - LOSC 40 264 spectateurs |
Baratte LOSC, Humpal Sochaux |
26 |
1949-50 | Gir. Bordeaux | Lille OSC | 6 pts | 18 | 9 538 | RC Paris - LOSC 33 812 spectateurs |
Grumellon Rennes | 25 |
1950-51 | OGC Nice | Lille OSC | 0 pt | 18 | 11 403 | RC Paris - Rennes 39 448 spectateurs |
Piantoni FC Nancy | 28 |
1951-52 | OGC Nice | Gir. Bordeaux | 1 pt | 18 | 11 038 | RC Paris - Nice 32 136 spectateurs |
Andersson OM | 31 |
1952-53 | Stade de Reims | FC Sochaux | 4 pts | 18 | 11 140 | RC Paris - Reims 37 990 spectateurs |
Andersson OM | 35 |
1953-54 | Lille OSC | Stade de Reims | 1 pt | 18 | 9 863 | Stade Français - Reims 37 925 spectateurs |
Kargu Bordeaux | 27 |
1954-55 | Stade de Reims | Toulouse FC | 4 pts | 18 | 10 734 | Marseille - Reims 37 607 spectateurs |
Bliard Reims | 30 |
1955-56 | OGC Nice | RC Lens | 1 pt | 18 | 10 510 | RC Paris - LOSC 36 247 spectateurs |
Cisowski RC Paris | 31 |
1956-57 | AS Saint-Étienne | RC Lens | 4 pts | 18 | 10 013 | RC Paris - ASSE 37 186 spectateurs |
Cisowski RC Paris | 33 |
1957-58 | Stade de Reims | Nîmes Olympique | 7 pts | 18 | 9 646 | RC Paris - Reims 38 562 spectateurs |
Fontaine Reims | 34 |
1958-59 | OGC Nice | Nîmes Olympique | 3 pts | 20 | 8 710 | RC Paris - Reims 39 396 spectateurs |
Cisowski RC Paris | 30 |
1959-60 | Stade de Reims | Nîmes Olympique | 7 pts | 20 | 8 637 | RC Paris - Reims 36 679 spectateurs |
Fontaine Reims | 28 |
1960-61 | AS Monaco | RC Paris | 1 pt | 20 | 8 244 | RC Paris - Reims 38 397 spectateurs |
Piantoni Reims | 28 |
1961-62 | Stade de Reims | RC Paris | 0 pt | 20 | 8 783 | RC Paris - Reims 37 872 spectateurs |
Touré SOM | 25 |
1962-63 | AS Monaco | Stade de Reims | 3 pts | 20 | 8 732 | RC Paris - Rennes 37 447 spectateurs |
Masnaghetti USVA | 35 |
1963-64 | AS Saint-Étienne | AS Monaco | 3 pts | 18 | 9 587 | RC Paris - Reims 34 597 spectateurs |
Oudjani Lens | 30 |
1964-65 | FC Nantes | Gir. Bordeaux | 2 pts | 18 | 8 729 | Strasbourg - Nantes 22 226 spectateurs |
Simon FCN | 24 |
1965-66 | FC Nantes | Gir. Bordeaux | 7 pts | 20 | 7 924 | Lyon - ASSE 26 386 spectateurs |
Gondet FCN | 36 |
1966-67 | AS Saint-Étienne | FC Nantes | 4 pts | 20 | 8 712 | ASSE - Nantes 28 175 spectateurs |
Revelli ASSE | 31 |
1967-68 | AS Saint-Étienne | OGC Nice | 11 pts | 20 | 7 758 | Lyon - ASSE 22 795 spectateurs |
Sansonetti ACA | 26 |
1968-69 | AS Saint-Étienne | Gir. Bordeaux | 2 pts | 18 | 6 955 | ASSE - Bordeaux 30 328 spectateurs |
Guy Lyon | 25 |
1969-70 | AS Saint-Étienne | Gir. Bordeaux | 11 pts | 18 | 7 657 | Marseille - ASSE 44 813 spectateurs |
Revelli ASSE | 28 |
1970-71 | O. Marseille | AS Saint-Étienne | 4 pts | 20 | 8 794 | Marseille - ASSE 40 138 spectateurs |
Skoblar OM | 44 |
1971-72 | O. Marseille | Nîmes Olympique | 5 pts | 20 | 9 127 | Marseille - ASSE 38 410 spectateurs |
Skoblar OM | 30 |
1972-73 | FC Nantes | OGC Nice | 5 pts | 20 | 9 445 | Marseille - ASSE 43 873 spectateurs |
Skoblar OM | 26 |
1973-74 | AS Saint-Étienne | FC Nantes | 8 pts | 20 | 10 435 | OM - ASSE 40 164 spectateurs |
Bianchi Reims | 30 |
1974-75 | AS Saint-Étienne | O. Marseille | 9 pts | 20 | 11 040 | Paris SG - Marseille 42 267 spectateurs |
Onnis ASM | 30 |
1975-76 | AS Saint-Étienne | OGC Nice | 3 pts | 20 | 10 575 | Paris SG - ASSE 43 229 spectateurs |
Bianchi Reims | 34 |
1976-77 | FC Nantes | RC Lens | 9 pts | 20 | 11 301 | Paris SG - ASSE 46 565 spectateurs |
Bianchi Reims | 28 |
1977-78 | AS Monaco | FC Nantes | 1 pt | 20 | 11 270 | ASSE - Marseille 41 176 spectateurs |
Bianchi PSG | 37 |
1978-79 | RC Strasbourg | FC Nantes | 2 pts | 20 | 11 140 | Paris SG - ASSE 45 833 spectateurs |
Bianchi PSG | 27 |
1979-80 | FC Nantes | FC Sochaux | 3 pts | 20 | 10 644 | Paris SG - ASSE 46 305 spectateurs |
Kostedde Laval Onnis ASM |
21 |
1980-81 | AS Saint-Étienne | FC Nantes | 2 pts | 20 | 9 823 | Lyon - ASSE 48 552 spectateurs |
Onnis Tours | 24 |
1981-82 | AS Monaco | AS Saint-Étienne | 1 pt | 20 | 10 152 | Paris SG - ASSE 46 760 spectateurs |
Onnis Tours | 29 |
1982-83 | FC Nantes | Gir. Bordeaux | 10 pts | 20 | 10 885 | Paris SG - Nantes 40 809 spectateurs |
Halilhodzic FCN | 27 |
1983-84 | Gir. Bordeaux | AS Monaco | 0 pt | 20 | 10 099 | Paris SG - Lens 41 774 spectateurs |
Garande AJA Onnis Toulon |
21 |
1984-85 | Gir. Bordeaux | FC Nantes | 3 pts | 20 | 9 778 | Nantes - Bordeaux 44 927 spectateurs |
Halilhodzic FCN | 28 |
1985-86 | Paris SG | FC Nantes | 3 pts | 20 | 10 034 | Paris SG - Nantes 45 138 spectateurs |
Bocandé Metz | 23 |
1986-87 | Gir. Bordeaux | O. Marseille | 4 pts | 20 | 11 397 | Marseille - Monaco 46 411 spectateurs |
Zénier Metz | 18 |
1987-88 | AS Monaco | Gir. Bordeaux | 6 pts | 20 | 11 420 | Paris SG - Monaco 40 545 spectateurs |
Papin OM | 19 |
1988-89 | O. Marseille | Paris SG | 3 pts¹ | 20 | 10 237 | Marseille - Bordeaux 40 292 spectateurs |
Papin OM | 22 |
1989-90 | O. Marseille | Gir. Bordeaux | 2 pts | 20 | 10 729 | ASSE - Marseille 44 633 spectateurs |
Papin OM | 30 |
1990-91 | O. Marseille | AS Monaco | 4 pts | 20 | 10 226 | Paris SG - Marseille 38 796 spectateurs |
Papin OM | 23 |
1991-92 | O. Marseille | AS Monaco | 6 pts | 20 | 11 100 | Lens - Marseille 48 912 spectateurs |
Papin OM | 27 |
1992-93 | non attribué² | Paris SG | annulé | 20 | 12 187 | Paris SG - Marseille 42 510 spectateurs |
Boksic OM | 22 |
1993-94 | Paris SG | O. Marseille | 8 pts | 20 | 13 025 | Paris SG - Lens 40 885 spectateurs |
Boli Lens, Djorkaeff ASM, Ouédec FCN |
20 |
1994-95 | FC Nantes | O. Lyonnais | 10 pts¹ | 20 | 13 256 | Paris SG - Nantes 45 266 spectateurs |
Loko FCN | 22 |
1995-96 | AJ Auxerre | Paris SG | 4 pts¹ | 20 | 13 249 | Paris SG - Lens 44 526 spectateurs |
Anderson ASM | 21 |
1996-97 | AS Monaco | Paris SG | 12 pts¹ | 20 | 14 207 | Paris SG- Marseille 44 804 spectateurs |
Guivarc'h Rennes | 22 |
1997-98 | RC Lens | FC Metz | 0 pt¹ | 18 | 16 571 | Marseille - Paris SG 57 603 spectateurs |
Guivarc'h AJA | 21 |
1998-99 | Gir. Bordeaux | O. Marseille | 1 pt¹ | 18 | 19 914 | Marseille - Lyon 57 714 spectateurs |
Wiltord Bordeaux | 22 |
1999-2000 | AS Monaco | Paris SG | 7 pts¹ | 18 | 22 314 | Marseille - ASSE 56 898 spectateurs |
Anderson Lyon | 23 |
2000-01 | FC Nantes | O. Lyonnais | 4 pts¹ | 18 | 23 154 | Marseille - Lens 56 806 spectateurs |
Anderson Lyon | 22 |
2001-02 | O. Lyonnais | RC Lens | 2 pts¹ | 18 | 21 737 | Marseille - Bordeaux 55 803 spectateurs |
Cissé AJA, Pauleta Bdx |
22 |
2002-03 | O. Lyonnais | AS Monaco | 1 pt¹ | 20 | 19 783 | Marseille - Lyon 56 529 spectateurs |
Nonda ASM | 26 |
2003-04 | O. Lyonnais | Paris SG | 3 pts¹ | 20 | 20 130 | Marseille - Lyon 56 207 spectateurs |
Cissé AJA | 26 |
2004-05 | O. Lyonnais | Lille OSC | 12 pts¹ | 20 | 21 337 | Marseille - Lyon 57 041 spectateurs |
Frei Rennes | 20 |
2005-06 | O. Lyonnais | Gir. Bordeaux | 15 pts¹ | 20 | 21 543 | Marseille - Lyon 57 609 spectateurs |
Pauleta PSG | 21 |
2006-07 | ,- |
- ¹ Championnat avec victoire à trois points
- ² Titre non attribué : L'Olympique de Marseille est déclassé le 22 septembre par le Conseil fédéral de la FFF suite à une affaire de corruption. À la demande de Canal+, le PSG, deuxième, n'est pas désigné champion.
[modifier] L'affiche
Depuis la mise en place d'un championnat en 1894, certaines rivalités ont généré des affiches focalisant l'intérêt des supporters et des médias. Depuis le début des années 1990, l'affiche PSG-OM se dégage ainsi clairement du reste du calendrier. La première affiche du championnat remonte à la fin du XIXe siècle et opposa, de 1894 aux premières années du XXe siècle, les clubs parisiens du Standard AC et du Club Français. L'effectif du Standard était principalement composé de joueurs britanniques tandis que les Clubistes étaient majoritairement français. Durant les dix années précédant la Première Guerre mondiale, c'est l'âge d'or des derbies avec la multiplication d'affiches mettant aux prises des clubs de la même ville. L'Olympique de Marseille avait ainsi fort à faire au niveau local face au Stade Helvétique de Marseille. De 1919 à 1932, la Coupe de France est la compétition de référence et initie les premières rivalités régionales. La création du championnat professionnel en 1932 accentue cette tendance. La politique un club, une ville, illustrée notamment par la fusion forcée des trois clubs professionnels de Bordeaux en 1937 élimine ainsi du calendrier les derbies interne à une même ville, et même Paris, ne dispose depuis 1990, date de la relégation du Matra Racing, que d'un seul club parmi l'élite, malgré des discours convenus sur l'intérêt de mettre en place un deuxième grand club à Paris.
Déjà initiés avant la Seconde Guerre mondiale, les derbies régionaux s'imposent comme des rendez-vous incontournables du calendrier après le conflit. Il est vrai que les rencontres entre Lyon et Saint-Etienne ou Lens et Lille avaient été rares au plus au niveau avant 1945. A l'image la rivalité entre le Standard et le Club Français de la fin du XIXe siècle, des chocs émergent également du calendrier. Ainsi, les rencontres entre le RC Paris et le Lille OSC entre 1945 et 1955, furent l'équivalent des PSG-OM d'aujourd'hui. Dans la même veine, le Stade de Reims remplace Lille comme rival du Racing du milieu des années 1950 au milieu des années 1960. Puis ces deux phares du football français se trouvent éclipsés par deux valeurs montantes : Nantes et Saint-Etienne. Du milieu des années 1960 au début des années 1980, le choc, c'était Nantes-Sainté. On signalera la micro-rivalité entre Saint-Etienne et Marseille entre 1969 et 1972, mais malgré une brillante mise en scène médiatique (Leclerc, président de l'OM était directeur du journal But!), l'opposition Nantes-Sainté restait l'affiche principale. Sous la direction de Claude Bez, les Girondins de Bordeaux s'impose comme la meilleure formation française des années 1980 et l'opposition face à l'OM de Bernard Tapie, dans la seconde moitié des années 1980, constituait un choc à la mesure des présidents des deux clubs. Depuis les déboires du président Bez, le PSG version canal+ est parvenu à se glisser dans la brêche, et en jouant sur la vieille rivalité Paris/Province, le choc PSG-OM fut mis au monde. Certains journalistes de la chaîne cryptée ont baptisé au debut des années 2000 ce choc du terme de "classico", avec deux S contrairement au modèle espagnol.
[modifier] Records
[modifier] Club
- Plus grand nombre de titres : Saint-Étienne, 10 fois
- Plus grand nombre de titres consécutifs : Lyon (2002-06), 5 titres
- Plus grand nombre de points sur une saison (3 pts pour une victoire) : Lyon (2005-06), 84 points
- Plus grand nombre de points sur une saison (2 pts pour une victoire) : Saint-Étienne (1973-74), 66 points
- Plus grand nombre de points d'écart établi avec le vice-champion (3 pts pour une victoire) : Lyon (2005-06), 15 points
- Plus grand nombre de points d'écart établi avec le vice-champion (2 pts pour une victoire) : Saint-Étienne (1967-68 et 1969-70), 11 points
- Plus grand nombre de points à la trève(3 pts pour une victoire) : Lyon (2006-07), 50 points
- Record d'invincibilité : Nantes, 32 matches sans défaite (de la 1re à la 32e journée) lors de la saison 1994-95
- Record d'invincibilité à domicile : Nantes, 92 matches sans défaite, du 15 mai 1976 au 7 avril 1981
- Plus grand nombre de victoires sur une saison : 26 pour Reims (1959-60), Monaco (1960-61), Nantes (1965-66, 1979-80) pour un championnat à 20 clubs ; 25 pour Saint-Étienne (1969-70) pour un championnat à 18 clubs
- Plus grand nombre de victoires à domicile : 19 pour Saint-Étienne (1974-75)
- Plus grand nombre de victoires à l'extérieur : 12 pour Saint-Étienne (1969-70), Marseille (1971-72), Lyon (2005-06), Lyon (2006-07)
- Plus petit nombre de défaites sur une saison : 1 pour Nantes (1994-95)
- Plus grand nombre de saisons disputées en L1 : Sochaux, 59 saisons (inclus la saison 2006-07)
- Plus grand nombre de saisons d'affilée en L1 : Nantes, 44 saisons, série en cours depuis 1963 (en comptant la saison 2006-07)
- Record de buts sur une saison : 1 344 lors de la saison 1946-47 (moyenne: 3,51 par match) pour un championnat à 20 clubs ; 1 138 lors de la saison 1948-49 (moyenne: 3,71 par match) pour un championnat à 18 clubs
- Meilleure attaque sur une saison : 118 buts : RC Paris lors de la saison 1959-60 pour un championnat à 20 clubs ; 102 buts : Lille OSC lors de la saison 1948-49 pour un championnat à 18 clubs
- Plus petit nombre de buts encaissés sur une saison : Marseille, 21 buts encaissés (1991-92)
- Meilleure différence de buts sur une saison : +63 pour Reims (1959-60) pour un championnat à 20 clubs ; +62 pour Lille OSC (1948-49) pour un championnat à 18 clubs
- Victoire la plus large : 12-1, Sochaux - Valenciennes en 1935-36
- Plus grand nombre de cartons jaunes : 1 654 lors de la saison 2002-03
- Plus grand nombre de cartons rouges : 131 lors de la saison 2002-03
- Plus grand nombre d'expulsions pour un club sur une saison : Bastia (1998-99), PSG (2002-03) et Lens (2003-04) : 13 expulsions
- Plus grand nombre de matches pour un entraîneur : Guy Roux, Auxerre (1980-2000, 2001-2005) 890 matches
- Plus grand nombre de spectateurs sur une saison : 8 186 311 spectateurs en 2005-06 (20 clubs)
- Meilleure moyenne sur une saison : 23 154 spectateurs par match en 2000-01 (18 clubs)
- Meilleure affluence sur une journée : 278 139 spectateurs lors de la 33e journée en 1997-1998 (9 matches, soit 30 904 de moyenne par match)
- Meilleure affluence sur un match : 57 714, pour Marseille - Lyon lors de la saison 1998-99.
[modifier] Joueurs
- Joueurs les plus titrés : Jean-Michel Larqué et Hervé Revelli de Saint-Étienne, 7 fois champions (1967, 1968, 1969, 1970, 1974, 1975, 1976)
- Joueurs les plus titrés consécutivement : Grégory Coupet, Juninho, Claudio Caçapa et Sidney Govou avec l'Olympique Lyonnais, 5 fois champions (2002, 2003, 2004, 2005, 2006)
- Record d'invincibilité pour un gardien : Gaëtan Huard, Bordeaux, 1 176 minutes lors de la saison 1992-1993
- Record d'invincibilité pour un gardien à domicile : Jérémie Janot de Saint-Étienne, 1534 minutes lors des saisons 2004-2005 et 2005-2006. Ce qui represente plus de vingt-cinq heures et plus de dix-sept matches
- Plus grand nombre de matches : Jean-Luc Ettori, Monaco, 602 matches pour un gardien ; Alain Giresse (Bordeaux, Marseille), 586 matches pour un joueur de champ
- Meilleur buteur : Delio Onnis (1972-1986), 299 buts
- Meilleur buteur français : Bernard Lacombe (1970-1987), 255 buts
- Meilleur buteur sur une saison : Josip Skoblar, Marseille, 44 buts (1970-1971)
- Meilleur buteur sur un match : 7 buts, Jean Nicolas, Rouen, le 1er mai 1938 contre Valenciennes ; André Abegglen (Sochaux) le 25 août 1935 contre Valenciennes
- Joueur ayant marqué pendant le plus grand nombre de journées d'affilée : Vahid Halilhodzic (Nantes) pendant 9 journées de la 10e à la 18e en 1984-1985
- Joueur le plus expulsé : Cyril Rool : 19 cartons rouges
- Plus jeune joueur à participer à un match : Laurent Paganelli, Saint-Étienne à 15 ans et 10 mois
- Plus jeune joueur à réaliser un hat-trick : Jérémy Menez, Sochaux le 22 janvier 2005 contre Bordeaux à 17 ans 8 mois et 15 jours
- Hat-trick le plus rapide : Matt Moussilou, Lille le 2 avril 2005 contre Istres en 5 minutes, de la 13e à la 18e minute
- Meilleur buteur de Ligue 1 encore en activité : Pedro Pauleta, Paris Saint-Germain, 125 Buts après la 17e journée de Ligue 1
[modifier] Clubs de Ligue 1 2006-2007
[modifier] Bilan par club (1932-2006)
Club | Saisons en D1/L1 |
Meilleur classement |
1ère saison en D1/L1 |
Dernière saison en D1/L1 |
Matches joués en D1/L1 |
|
1. | FC Sochaux-Montbéliard | 58 +06/07 | 2 titres | 1932-33 | 2005-06 | 2064 |
2. | Olympique de Marseille | 56 +06/07 | 8 titres | 1932-33 | 2005-06 | 1980 |
3. | FC Metz | 56 | 2e | 1932-33 | 2005-06 | 2004 |
4. | RC Strasbourg | 55 | 1 titre | 1935-36 | 2005-06 | 1978 |
5. | AS Saint-Étienne | 53 +06/07 | 10 titres | 1938-39 | 2005-06 | 1934 |
- | Girondins de Bordeaux | 53 +06/07 | 5 titres | 1945-46 | 2005-06 | 1946 |
- | Lille OSC | 53 +06/07 | 2 titres | 1932-33 | 2005-06 | 1887 |
- | RC Lens | 53 +06/07 | 1 titre | 1937-38 | 2005-06 | 1930 |
9. | AS Monaco | 49 +06/07 | 7 titres | 1953-54 | 2005-06 | 1810 |
- | Stade rennais | 49 +06/07 | 4e | 1932-33 | 2005-06 | 1738 |
11. | Olympique Lyonnais | 48 +06/07 | 5 titres | 1945-46 | 2005-06 | 1764 |
12. | OGC Nice | 47 +06/07 | 4 titres | 1932-33 | 2005-06 | 1706 |
13. | FC Nantes | 43 +06/07 | 8 titres | 1963-64 | 2005-06 | 1598 |
14. | Paris SG | 33 +06/07 | 2 titres | 1971-72 | 2005-06 | 1234 |
16. | RC Paris | 30 | 1 titre | 1932-33 | 1989-90 | 1020 |
17. | Stade de Reims | 29 | 6 titres | 1945-46 | 1978-79 | 1050 |
- | SC Bastia | 29 | 3e | 1968-69 | 2004-05 | 1074 |
19. | Montpellier HSC | 27 | 3e | 1932-33 | 2003-04 | 954 |
20. | AJ Auxerre | 26 +06/07 | 1 titre | 1980-81 | 2005-06 | 968 |
21. | Valenciennes FC | 25 +06/07 | 3e | 1935-36 | 1992-93 | 910 |
22. | SCO Angers | 23 | 3e | 1956-57 | 1993-94 | 854 |
- | Le Havre AC | 23 | 3e | 1938-39 | 2002-03 | 834 |
24. | CS Sedan-Ardennes | 22 +06/07 | 3e | 1955-56 | 2002-03 | 796 |
- | AS Nancy-Lorraine | 22 +06/07 | 4e | 1970-71 | 2005-06 | 828 |
. | AS Cannes | 22 | 2e | 1932-33 | 1997-98 | 749 |
27. | Toulouse FC (1937) | 19 | 2e | 1946-47 | 1966-67 | 678 |
- | FC Rouen | 19 | 4e | 1936-37 | 1984-85 | 678 |
29. | Toulouse FC | 18 +06/07 | 3e | 1982-83 | 2005-06 | 675 |
30. | FC Sète | 16 | 2 titres | 1932-33 | 1953-54 | 504 |
- | Red Star | 16 | 7e | 1932-33 | 1974-75 | 540 |
32. | FC Nancy | 15 | 4e | 1946-47 | 1962-63 | 530 |
- | Stade français | 15 | 5e | 1946-47 | 1966-67 | 538 |
34. | ES Troyes AC | 13 +06/07 | 7e | 1954-55 | 2005-06 | 474 |
. | Stade Lavallois | 13 | 5e | 1976-77 | 1988-89 | 494 |
36. | Sporting Toulon Var | 12 | 5e | 1958-59 | 1992-93 | 452 |
37. | CO Roubaix-Tourcoing | 10 | 1 titre | 1945-46 | 1954-55 | 344 |
- | AC Ajaccio | 10 | 6e | 1967-68 | 2005-06 | 372 |
- | Stade Brestois | 10 | 8e | 1979-80 | 1990-91 | 380 |
40. | SM Caen | 9 | 5e | 1988-89 | 2004-05 | 342 |
41. | SC Fives | 7 | 2e | 1932-33 | 1938-39 | 194 |
- | Excelsior AC Roubaix | 7 | 5e | 1932-33 | 1938-39 | 194 |
- | FC Antibes | 7 | 7e | 1932-33 | 1938-39 | 194 |
- | En Avant de Guingamp | 7 | 7e | 1995-96 | 2003-04 | 254 |
45. | FC Mulhouse | 6 | 6e | 1932-33 | 1989-90 | 184 |
- | Olympique Alès | 6 | 10e | 1932-33 | 1958-59 | 184 |
47. | Tours FC | 4 | 11e | 1980-81 | 1984-85 | 152 |
48. | AS Angoulême | 3 | 4e | 1969-70 | 1971-72 | 110 |
- | RC Roubaix | 3 | 8e | 1936-37 | 1938-39 | 90 |
- | Limoges FC | 3 | 10e | 1958-59 | 1960-61 | 114 |
- | FC Martigues | 3 | 11e | 1993-94 | 1995-96 | 114 |
- | Paris FC | 3 | 12e | 1972-73 | 1978-79 | 114 |
- | SC Nîmes | 3 | 5e | 1932-33 | 1934-35 | 74 |
54. | Le Mans UC | 2 +06/07 | 11e | 2003-04 | 2005-06 | 76 |
- | FC Lorient | 2 +06/07 | 16e | 1998-99 | 2001-02 | 68 |
. | CA Paris | 2 | 5e | 1932-33 | 1933-34 | 44 |
- | Grenoble foot | 2 | 17e | 1960-61 | 1962-63 | 76 |
58 | Club Français | 1 | 8e | 1932-33 | 1932-33 | 18 |
- | Hyères FC | 1 | 9e | 1932-33 | 1932-33 | 18 |
- | SR Colmar | 1 | 11e | 1948-49 | 1948-49 | 34 |
- | LB Châteauroux | 1 | 17e | 1997-98 | 1997-98 | 34 |
- | AS Béziers (football) | 1 | 18e | 1957-58 | 1957-58 | 34 |
- | FC Gueugnon | 1 | 18e | 1995-96 | 1995-96 | 38 |
- | Chamois Niortais FC | 1 | 18e | 1987-88 | 1987-88 | 38 |
- | AS Aix | 1 | 20e | 1967-68 | 1967-68 | 38 |
- | Avignon Football 84 | 1 | 20e | 1975-76 | 1975-76 | 38 |
- | FC Istres | 1 | 20e | 2004-05 | 2004-05 | 38 |
[modifier] Liens externes
- Site officiel de la Ligue de football professionnel
- Site officiel de la Fédération française de football
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