Hockey sur glace
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Le hockey sur glace, appelé le plus souvent hockey au Canada, est un sport d'équipe joué généralement sur une patinoire recouverte de glace. D'origine canadienne, il est particulièrement populaire en Amérique du Nord (au Canada et dans certains états du nord des États-Unis comme le Minnesota et le Massachusetts), dans les pays nordiques (Finlande, Norvège, Suède), dans les pays d'Europe de l'Est (Russie, Lettonie) et d'Europe centrale (République tchèque, Slovaquie), en Suisse ou encore dans la région du Tyrol du Sud en Italie.
C’est un des quatre sports professionnels majeur en Amérique du Nord, et est représenté par la Ligue National de Hockey (NHL) au plus au niveau, et la Ligue nationale de hockey Féminine, le plus haut niveau du hockey féminin dans le monde. C’est le sport d’hiver national au Canada, ou le jeu a une immense popularité, et est aussi le sport le plus populaire en Finlande. Seulement six des trente franchises de la LNH sont basés au Canada, mais les joueurs canadiens sont plus nombreux que les Américains dans une proportion de 4 contre un. A peu près trente pourcent des joueurs de la ligue ne viennent pas d’Amérique du Nord.
La popularité du sport aux États-unis est concentrée dans certaines régions, notamment dans le Nord-Est, le Midwest, et l’Alaska. Cette concentration aide à faire que le hockey sur glace est le sport majeur le moins regardé aux États-unis, bien qu’il soit le sport le plus regardé au Canada. Néanmoins, dans certaines villes américaines majeures (notamment Buffalo, Détroit, Pittsburgh, Minneapolis, Chicago, Boston, New York, Philadelphie, Tampa Bay et Denver) il a une popularité semblable ou plus grande que le basket-ball pour les sports d’hiver.
Le hockey sur glace est un sport physiquement exigent, en raison du haut tempo et les changements rapides de possession choisie pendant une partie typique. Sur une patinoire pleinement calibrée, un joueur qui glisse simplement ou qui est relativement à l’arrêt aura un petit usage pour lui et son équipe. Les joueurs peuvent quitter et revenir plus tard, dans une partie compétitive, ils jouent typiquement dans des changements de une minute et une minute trente secondes pour maintenir un rythme rapide.
Parmi les 64 membres de la Fédération Internationale de hockey sur glace (IIHF), le Canada, la République tchèque, la Finlande, la Russie, la Slovaquie, la Suède et les États-unis ont fini dans la plupart du 1er, deuxième et troisième rang aux championnats du monde de l’IIHF. Des 63 médailles attribuées dans la compétition des jeux olympiques depuis 1920, seulement six ne sont pas allés à l’un de ces pays, ou une entité d’eux, comme la Tchécoslovaquie ou l’Union soviétique. Seulement une de ces six médailles a été plus haut que celle de bronze. Ces sept nations ont aussi capturé 162 des 177 médailles attribués aux 59 championnats du monde de l’IIHF, et toutes les médailles depuis 1954. De la même manière, toutes les neuf médailles des jeux olympiques et les 27 médailles du championnat du monde de hockey féminin sont allées à un de ces sept pays. Il faut donner une mention à la Suisse, qui a gagné deux médailles de bronze aux jeux olympiques et fini au moins troisième sept fois au championnat du monde. La Suisse maintient aussi une des plus vielle et une des meilleur ligue de hockey sur glace (La ligue Nationale A) à l’extérieur de la LNH.
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[modifier] Le jeu
Le hockey sur glace professionnel se joue sur une patinoire. Pendant le jeu, chaque équipe aligne six joueurs sur la glace (cinq joueurs de champ et un gardien de but), chacun d'eux étant équipé de patins à glace. L'objectif du jeu est de marquer des buts en envoyant un disque de caoutchouc vulcanisé, la rondelle (ou palet), dans le filet adverse, placé à l'autre extrémité de la patinoire. Les joueurs dirigent la rondelle à l'aide d'un bâton de hockey (ou crosse).
Les cinq joueurs de champ sont trois attaquants (un centre, un ailier gauche et un ailier droit) et deux défenseurs. Un groupe de trois attaquants forme une ligne d'attaque et une paire de défenseurs forme une ligne de défense. Il existe également des lignes spécifiques aux situations d'infériorité numérique ou de supériorité numérique. Les changements de ligne peuvent intervenir lors des arrêts de jeu, mais également au cours du jeu (on parle alors de changement volant). Une équipe de hockey compte au minimum une vingtaine de joueurs (quatre lignes d'attaquants, trois de défenseurs et deux gardiens de buts).
Certaines charges, certains contacts sont autorisés (à partir des minimes pour la France). Il s'agit, avant tout, de gêner l'adversaire, de le déstabiliser lors de prochains contacts, de le fatiguer et de lui faire perdre le palet. C'est une technique de base au hockey. On parle alors de mise en échec.
La bande (ou la balustrade) entourant la glace permet de garder la rondelle à l'intérieur du terrain, le jeu pouvant ainsi durer plusieurs minutes sans interruption. Quand l'action s'arrête, le jeu reprend toujours par une mise au jeu (ou engagement). Les deux règles majeures limitant les mouvements deu palet sont le hors-jeu et le dégagement interdit.
Un match dure trois périodes de 20 minutes chacune, l'horloge étant arrêtée à chaque arrêt de jeu. En cas d'égalité à la fin du temps réglementaire, la procédure varie suivant le contexte (saison régulière ou séries éliminatoires) et le championnat, mais on a souvent recours à une prolongation en mort subite pour déterminer un vainqueur, suivie tirs de fusillade en cas d'égalité.
[modifier] Équipement
Outre les patins à glace pour se déplacer sur la patinoire et le bâton (ou crosse) pour diriger la rondelle, un joueur de hockey porte un certain nombre de protections (en raison des charges, des palets qui filent à toute vitesse et de la dureté de la glace).
Ces protections se composent :
- d'une culotte, appelée également cuissette (gros short rembourré),
- d'une coquille (dans le jargon québécois : jock-strap),
- des épaulières (ou plastron),
- des coudières,
- des jambières (qui protègent les genoux et les tibias),
- des gants
- un maillot (chandail), des bas aux couleurs de l'équipe (pour cacher les jambières) et un porte-jarretelles,
- un casque.
[modifier] Règlement
Les règles internationales du hockey sur glace sont édictées par la Fédération internationale (IIHF). La LNH, ligue nord-américaine, possède son propre règlement qui diffère quelque peu de celui de l'IIHF.
Le règlement est appliqué par les arbitres et par les autres officiels. Ils sont au nombre de deux ou trois (voire quatre en LNH) suivant les catégories et veillent au bon déroulement du match, et entre autres, au signalement des pénalités. Deux arbitres de ligne indiquent notamment les hors-jeu et dégagements interdits.
[modifier] Les compétitions
Le championnat le plus connu et le plus relevé est celui de la Ligue nationale de hockey, joué en Amérique du Nord. Les équipes aspirent à gagner la Coupe Stanley. Les plus grands joueurs participent à ce championnat. Les championnats européens les plus relevés sont ceux de Suède (Elitserien), de Russie (Superliga), de Finlande (SM-liiga), de République tchèque (Extraliga), de Suisse (Ligue Nationale A) et d'Allemagne (Deutsche Eishockey-Liga). Il existe également un championnat en France, la Ligue Magnus en étant la division d'élite.
Au niveau international, les compétitions les plus importantes sont le tournoi de hockey des Jeux olympiques, le championnat du monde de Hockey organisée par l'IIHF (International Ice Hockey Federation) et la coupe du monde de Hockey (anciennement Coupe Canada) organisée par la LNH.
[modifier] Hockey féminin
Bien qu'il n'existe pas autant de ligues pour les femmes que pour les hommes, il existe des ligues de tous niveaux, telles que la Ligue nationale féminine de hockey (National Women's Hockey League, ligue nord-américaine) et beaucoup de championnats européens, ainsi que des équipes nationales, olympiques, universitaires et de loisirs. Il y a déjà eu neuf championnats du monde féminins.
La grande différence entre le hockey sur glace masculin et féminin est l'interdiction des charges chez les femmes. Après les championnats du monde 1990, les charges furent interdites à cause de la trop grande différence physique entre les joueuses nord-américaines et celles des autres pays. Beaucoup estiment que le manque de jeu physique limite l'attrait du hockey féminin parmi les fans de hockey.
Toutefois, il existe de nombreux cas de femmes jouant dans des championnats masculins. Ainsi, en LNH, Manon Rhéaume fut gardienne de but pour le Lightning de Tampa Bay en présaison contre les Blues de Saint-Louis et les Bruins de Boston. En 2003, Hayley Wickenheiser signa avec le Kirkkonummi Salamat, équipe de Suomi-sarja, troisième division du championnat finlandais masculin. Beaucoup de femmes ont joué dans les ligues masculines nord-américaines mineures, par exemple les gardiennes Charline Labonté, Kelly Dyer, Erin Whitten et Manon Rhéaume ou l'attaquante Angela Ruggiero.
[modifier] Historique
Depuis la préhistoire, l'homme a joué à des jeux où un objet était frappé avec un bâton incurvé.
Le mot « hockey » a été utilisé pour désigner de tels jeux depuis le XVIe siècle mais son étymologie est incertaine. Il dérive peut-être du vieux français hoquet (bâton de berger), ou du hokkie hollandais, diminutif de hok (chenil ou cabane et désignant dans ce cas les cages de but). Beaucoup de ces jeux furent développés pour les champs mais furent joués également sur la glace, comme on le voit sur certaines peintures hollandaises du XVIe siècle.
Les immigrants européens ont apporté une multitude de jeux similaires au hockey en Amérique du Nord, tels que le shinty écossais, le hurling irlandais et le hockey sur gazon, joué en Angleterre. Ces jeux semblent avoir été adaptés pour être joués sur la glace, et avoir importé certains aspects du jeu de la crosse (comme la dureté physique) joué par les amérindiens Micmacs.
En 1825, Sir John Franklin a écrit ceci : « Le jeu de hockey joué sur la glace était le sport du matin » sur le Lac de Grande Ourse durant un de ses expéditions arctiques. En 1843, un officier de l’armée britannique à Kingston, Ontario, écrit « J’ai commencé à patiner cette année, m’améliorant et j’ai eu rapidement un grand plaisir à jouer au hockey ». La Society for Internationale Hockey Research, basé sur un article du Boston Evening Gazette de 1859 indique que la première partie de hockey sur glace est arrivée à Halifax cette année-là. La première partie à utiliser une rondelle au lieu d’une balle a eu lieu en 1860 sur le Port de Kingston, impliquant d’ancien vétéran de la guerre crimant.
- 1855 : match de hockey à Kingston mettant aux prises des soldats d'une garnison britannique.
- 1875 (3 mars) : premier match codifié au Victoria skating rink de Montréal.
- 1877 : rédaction des règles par des étudiants de l'Université McGill.
- 1880 : création du premier club, le McGill University Hockey Club
- 1885 : introduction du jeu à Ottawa et création d'un second club à l'Université d'Oxford.
- 1893 : attribution de la Coupe Stanley, créée par Lord Stanley, au champion amateur du Canada, l'équipe de hockey de l'Association athlétique amateur de Montréal. Premier match aux États-unis entre l'Université Yale et l'Université Johns Hopkins.
- 1896 : fondation de la ligue américaine amateur de hockey à New York
- 1903 : création de la première équipe professionnelle, les Portage Lakers, à Houghton (Michigan).
- 1905 : création de la FFH (fédération française de hockey).
- 1908 : le patineur français Louis Magnus fonde la Fédération internationale de hockey sur glace.
- 1909 : fondation du Club de Hockey Canadien.
- 1910 : premier Championnat d'Europe de hockey, remporté par la Grande-Bretagne, aux Avants dans les Alpes suisses.
- 1910 : premières ligues professionnelles en Amérique du Nord, la National Hockey Association et la Pacific Coast League.
- 1917 : création de la LNH.
- 1920 : les États-Unis et le Canada rejoignent l'IIHF et premier titre olympique pour le Canada.
- 1924 : première apparition du hockey aux Jeux olympiques d'hiver, à Chamonix
- 1926 : la LNH, comptant alors 10 équipes, se divise en une division canadienne et une américaine.
- 1930 : premiers Championnats du monde de hockey.
- 1936 : première défaite olympique pour la Canada, le titre revenant à la Grande-Bretagne.
- 1942 : la Fédération de hockey sur glace intègre la Fédération française des sports de glace.
- 1943 : fondation du Temple de la renommée du hockey.
- 1967 : la LNH passe de 6 à 12 équipes.
- 1972 : affrontement du Canada et de l'Union soviétique lors de la Série du siècle.
- 1990 : premiers championnats du monde féminins.
- 1993 : Le Club de Hockey Canadien remporte sa 24e coupe Stanley, un record.
- 1998 : première participation des joueurs de la LNH au tournoi olympique, à Nagano. Premiers Jeux olympiques pour le hockey féminin.
- 2005 : la LNH est la première ligue professionnelle du sport nord-américain à annuler une saison entière.
- 2006 : création de la Fédération française de hockey sur glace et séparation du hockey français de la FFSG.
Voir la Chronologie du hockey.
[modifier] Palmarès
- Ligue nationale de hockey
- Jeux Olympiques d'hiver
- Coupe du monde de hockey
- Championnat du monde de hockey
[modifier] Anecdote
- En 1920, le hockey sur glace devient un sport olympique, lors des Jeux olympiques d'été !
[modifier] Pénalités
Une partie typique de hockey sur glace à deux ou quatre officiels sur la glace, inculpés d’appliquer les règles du jeu. Il y a typiquement deux juges de lignes qui sont responsables de seulement appeler les hors-jeu et les violations de glace, et un ou deux arbitres, qui appellent des buts ou toute autres pénalités. Les juges de ligne peuvent, cependant, rapporter aux arbitres qu’une pénalité plus sévère qu’une pénalité mineur de deux minutes devrait être évalué contre un joueur offensant.
Au hockey masculin, mais pas féminin, un joueur peut utiliser sa hanche ou son épaule pour frapper un autre joueur si le joueur a la rondelle ou est le dernier a l’avoir touché (Dans la LNH, vous pouvez frapper un joueur adverse seulement pour un bref moment après qu’il a perdu le contrôle du disque – d’habitude moins de 3 secondes – sans être pénalisé). Cet usage de la hanche ou des épaules est appelés mises en échec. Ce n’est pas tout les contact physique qui sont légal – en particulier, les coups de derrière et la plupart des types de coup avec le bâton au corps sont illégal.
Il y a beaucoup d’infractions pour lesquelles un joueur peut être pénalisé. Le conseil d’établissement pour le hockey amateur des États-unis a appliqué beaucoup de nouvelles règles pour réduire les coups de bâton, de même que les gestes nuisibles et illégales du jeu (« Tolérance Zéro »).
Pour la plupart des pénalités, un joueur offensant est envoyé au box des pénalités et son équipe doit jouer sans lui et un patineur en moins pour une courte quantité de temps. La plupart des pénalités durent deux minutes à moins qu’une pénalité majeure soit évaluée. Ceci donne à l’autre équipe ce qu’on nomme généralement un avantage numérique ou jeu de puissance. Une pénalité mineure de deux minute est souvent appelée d’infractions moindre telles que faire trébucher, coup d’épaules, robustesse, bâton élevé, trop de joueurs sur la glace, équipement illégal, assaut (sauter sur un adversaire ou l’intercepter après avoir pris plus de deux pas), retenu, interférence, retarder le jeu, accrocher, ou échec avec le bâton. Plus flagrante la faute pourrait être pénalisé d’une double mineur de quatre minutes, particulièrement ceux-là qui (par inadvertance) cause la blessure du joueur victime. Ces pénalités se terminent soit quand le temps est écoulé ou quand l’autre équipe marque un but. Dans le cas d’un but marqué pendant les premières deux minutes d’une double mineur, l’horloge des pénalités passe à deux minutes (ramenant à une mineure). Les pénalités majeures de cinq minutes sont appelées surtout en raison de la plupart des infractions mineures qui ont résultat la blessure intentionnelle à un adversaire, de même que pour un combat. Les pénalités majeures sont toujours servies au maximum; ils ne se terminent pas sur un but marqué par l’autre équipe.
Quelques variétés de punitions n’exigent pas que l’équipe offensée ne joue à court d’un homme. Les pénalités majeures de cinq minutes dans la LNH résultant d’un combat. Dans le cas, les deux joueurs sont pénalisés de cinq minutes et les deux sert les cinq minutes sans que leur équipe ne perde un joueur. Ceci diffère avec deux joueurs adverses obtenant des peines mineures, en même temps, résultant des infractions plus communes. Dans ce cas, les deux équipes auront seulement quatre joueurs qui patinent (ne comptant pas le gardien de but) jusqu’à ce qu’une ou les deux pénalités expirent (si l’une expire avant l’autre, l’équipe obtient l’avantage numérique pour le reste); ceci s’applique sans tenir compte des pénalités en attente actuelles, bien que dans la LNH, une équipe doit toujours avoirs au moins trois patineurs sur la glace. Les pénalités de dix minutes de mauvaise conduite sont servies par le joueur pénalisé, mais son équipe peut substituer tout de suite un autre joueur sur la glace à moins qu’un mineur ou un majeur soit conjointement évalué avec la mauvaise conduite (un deux et dix ou cinq et dix). Dans ce cas, l’équipe désigne un autre joueur pour servir la mineur ou la majeur; les deux joueurs vont au box des pénalités, mais seulement le joueur désigné ne pourra être remplacé, et il est relâché après l’expiration du deux ou cinq minutes, à lequel indique la mauvaise conduite de dix minutes. En plus, les mauvaises conduites de partie sont évaluées pour l’intention intentionnelle pour infliger une blessure sévère à un adversaire (à la discrétion des officiels) ou pour une peine majeur pour une infraction de bâton ou des majeures répétés. Le joueur offensé est éjecté du jeu et doit partir tout de suite de la surface du jeu (il ne s’assied pas au banc des joueurs); pendant ce temps, si une mineur ou une majeur est évalué en plus, un joueur désigné doit servir ce segment dans le box de pénalité.
Un joueur qui est trébuché, ou est encombré illégalement à certains égards, par un adversaire sur une échappée (quand il n’y a pas de défenseur sauf le gardien de but entre lui et le but adverse) se voit attribué un tir de pénalité, une tentative de marquer sans opposition de n’importe quel défenseurs sauf le gardien de but. Un tir de pénalité est aussi attribué pour un défenseur autrement que le gardien de but couvrant le disque dans le but, ou un gardien de but déplaçant intentionnellement son propre but pour éviter un but, un défenseur déplaçant intentionnellement son but quand il y a moins de deux minutes à jouer au temps réglementaire ou a n’importe quel point durant les prolongations, ou un joueur ou une entraîneur lance un bâton ou un autre objet intentionnellement sur le transporteur de la rondelle interrompant l’action d’un tir ou d’une passe ou la rondelle.
Les officiers peuvent aussi arrêter le jeu pour des violations de mouvement de la rondelle, telles que l’utilisation d’une main pour passer la rondelle dans la zone offensive, mais aucun joueur n’est pénalisée pour ces infractions. Les seuls exceptions sont quand il tombent délibérément et couvrant la rondelle, portant la rondelle avec la main, et lançant la rondelle hors de la glace (pénalité de deux minutes pour avoir retardé la partie). Dans la LNH, il y a un secteur derrière la ligne de but ou les gardiens de but sont permis de jouer. S’il sort il auront une pénalité mineur pour avoir retardé le jeu.
Les parties sont surveillées par les officiels qui sont choisis par la ligue pour laquelle ils travaillent. L’organisation officiant la plus souvent est Hockey Canada, ou les arbitres sont choisis pour les parties dépendant de leur niveau d’expérience (I à VI). Les officiels sont divisés en officiels sur la patinoire et en officiel en chef.
[modifier] Le hockey sur glace dans la culture populaire
[modifier] Au cinéma
Comme tous les sports majeurs, le hockey joue une partie majeure dans la culture populaire américaine. Bien que c’est le sport le moins populaire des quatre sports professionnels aux États-unis (le football américain, le baseball, le basket-ball et le hockey), plusieurs fils notables de Hollywood ont été fait sur le hockey.
Les films notables de hockey incluent Slap Shot (1977), The Mighty Ducks (1992, qui a été assez réussi pour engranger deux suites et une équipe de la NHL nommé les Mighty Ducks d’Anaheim), et Miracle (2004). Les deux premiers sont des comédies fictives ; le dernier est un drame qui est basé sur la vraie histoire de 1980, « Le miracle sur glace » quand l’équipe américaine a remporté la médaille d’or Olympique. Les autres films de hockey incluent Youngblood, Hockey Night, H.-E Double Hockey Sticks, Mystery, Alaska, The Rocket: The Maurice Richard Story, The Sweater et le film de John Wayne en 1937, Idol of the Crowds.
Beaucoup de films moins orientés sur le hockey ont néanmoins impliqué le sport. Happy Gilmore et The Cutting Edge centre des joueurs de hockey raté utilisant leur talent pour d’autres sport (le golf et le patinage artistique), pendant que Wayne’s World contient plusieurs références éminentes au sport pendant le film. Jean-Claude Van Damme tient la vedette dans Sudden Death (1995) qui a été entièrement filmé au Civic Arena de Pittsburgh et qui a lui pendant le septième match de la Coupe Stanley.
Bien que National Laapoon’s Christmas Vacation n’a jamais été un film de hockey, le personnage de Chevy Chase, Clark Griswold, a été célèbre pour porter le chandail des Blackhawks avec « Griswold » et les numéros « 00 » pendant plusieurs scènes. Il a aussi joué dans un film original de Disney Channel Go Figure et une comédie romantique Just Friends.
Au Québec, le film Les Boys est un classique de plusieurs amateurs de hockey, qui a engendré 3 suites. Dans le quatrième, les Boys affrontent les Légendes du hockey tel que Guy Lafleur, Pierre Bouchard, Martin Brodeur, Yvon Lambert et plus.
[modifier] À la télévision américaine
Le hockey se montre fréquemment dans la télévision américaine, particulièrement dans les séries réglé dans les régions les plus froides des États-unis tel que le Nord-Est.
Un des personnages de Cheers de Eddie LeBec (joué par Jay Thomas, ses tentatives pour parler français dans l’épisode de la noce, avec son accent épais new-yorkais, étaient pénible à entendre) est un gardien de but canadien français des Bruins de Boston qui a épousé la régulière de la distribution Carla Tortelli. LeBec a été coupé plus tard de l’équipe et a joint un spectacle de glace; le personnage a finalement été éliminé.
Un épisode mémorable de Seinfeld, « The face Painter », implique les pitreries de Puddy, le petit ami peintre de Elaine, et un fan enragé des Devils du New Jersey, et refuse les billets de Jerry pour une partie des Rangers de New York en séries éliminatoires.
Dans NYPD Blues, le personnage de PA Donna Abandando, joué par Gail O’Grady et est une amoureuse du Détective Greg Medavoy dans la saison 3, était une fan des Rangers de New York, qui avait sorti précédemment avec un des joueurs. Sa banderole des Rangers était mise en évidence dans son bureau.
Beaucoup d’épisodes d’Home Improvement fait des références aux Red Wings de Détroit et dans un épisode, Tim et son voisin Wilson ont une partie que Wilson gagne.
L’acteur Richard Dean Anderson a incorporé son amour personnel au hockey dans deux de ses personnages : MacGyver et O’Neil dans SG-1.
Dans un épisode des Simpson, « Lisa on Ice »; Bart est l’étoile de son équipe de hockey pee-wee, les Mighty Pigs, entraînés par le Chef Wiggum. Lisa est finalement forcée de devenir gardienne de but dans une équipe adverse, les Kwik-E-Mart Cougars entraîné par Apu pour avoir un meilleur note en éducation physique. Finalement les deux équipes s’affrontent. Vers la fin de la partie, Bart obtient un tir de pénalité, mais avant qu’il tire, il pense à toutes ses mémoires avec Lisa. Lisa fait aussi cela, et les deux s’étreints.
Plus récemment, la série de science fiction, Rescue Me, mettant en vedette Denis Leary, a présenté les parties de hockey comme une partie intégrale de plusieurs épisodes : les membres du temple de la renommée et anciens Bruins de Boston Cam Neely et Phil Esposito ont des caméo. Le personnage de Leary joue dans une partie opposant le FDNY contre le NYPD.
Beaucoup d’épisodes de Friends impliquent aussi Joey, Chandler et Ross assistant à des parties des Rangers de New York. À la fin d’un épisode de Who’s The Boss? Tony et Angela assitent à une partie de hockey. Angela demande à Tony demande avec quoi le cercle rouge est fait, et Tony indique que c’est avec le sang (humorisme le stéréotype de la violence du hockey).
Dans Scrubs, le Dr. Cox porte fréquemment un chandail des Red Wings de Détroit quand il n’est pas à l’hôpital.
[modifier] À la télévision canadienne
À cause de la popularité énorme du hockey au Canada, il est considéré comme un des éléments des cultures les plus importantes. Il est souvent présenté à la télévision et dans des films; comme la série de CBC Television Hockey : A People’s History et Hockeyville, la téléréalité de Global TV Making The Cut : Last Man Standing, de même que les séries scénariscé de CTV Power Play (1998-2000) et de Showcase Rent-A-Goalie (2006-)
[modifier] Musique
Parmi les références les plus célèbres du hockey dans la musique est The Hockey Song par le chanteur folklorique canadien Stompin’ Tom Connors. Warren Zevon est connu pour sa chanson « Hit Somebody! (The Hockey Song) » de l’album « My Ride’s Here » de 2002. Le titre de la chanson est une référence aux combats qui ont tendance à avoir lui Durant les parties et l’histoire de Buddy, un fermer canadien qui est devenu un goon.
Il y a plusieurs autres chansons connus qui ont directement ou indirectement un lien avec les caractéristiques du hockey ou les équipes comme « Zamboni » (une référence de la machine utilisée pour refaire la glace entre les périodes et les parties) par les Gear Daddies; et « Time to Go » par les Dropkick Murphys qui fait référence au hockey directement, de même que les couleurs d’équipe de l’équipe de la LNH de Boston, les Bruins (noir et or).
Le groupe canadien The Tragically Hip a un nombre de chansons avec comme référence le hockey, incluant « Fifty Mission Cap » à propos de n’ancien Maple Leaf de Toronto Bill Barilko et « Fireworks ». Leur chanson « Wheat Kings » n’est pas à propos du hockey, mais Wheat Kings est le home de l’équipe de hockey de Brandon, au Manitoba). En addition, « Heaven Is a Better Place Today » est un hommage au joueur de hockey Dan Snyder.
Aussi, le groupe rock américain Five for Fighting, dont le nom est une référence à la pénalité du hockey a été choisi par le chanteur John Ondrasik, qui est un fan majeur de hockey sur glace. Aussi le groupe hardcore de LA Donnybrook a pris son nom d’un terme d’argot se référant à un combat entre les joueurs pendant une partie de hockey.
Le nom du groupe hardcore de Boston Slapshot est une référence de hockey, et ils ont pris ce concept pour plusieurs titres d’Album avec Sudden Death Overtime et Greatest Hits, Slashes and Crosschecks.
[modifier] Voir aussi
- Hockey | Hockey sur luge | Roller in line hockey | Rink hockey
- Dans le Wikilivre de Tribologie, des données concernant le Frottement sur la glace
[modifier] Liens externes
- (fr) Origines du hockey et de la LNH
- (fr) Hockey Archives, le site d'information sur le hockey sur glace français et européen
- (en) IIHF (Fédération internationale)
- (fr) Fédération française de hockey sur glace
- (en) Site anglophone de la Ligue nationale de hockey (États-Unis et Canada)
- (fr) Site francophone de la Ligue nationale de hockey (Canada)
- (fi) SM-liiga (Finlande)
- (fr) Ligue suisse de hockey sur glace (SEHV/LSHG)
- (en) Ligue élite britannique (Royaume-Uni)
- (en) Ligue américaine de hockey (LAH)
- (en) Ligue de hockey de la Côte-Est (ECHL) (États-Unis)
- (en) United Hockey League (UHL) (États-Unis)
- (fr) Ligue de hockey junior majeur du Québec (LHJMQ)
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