Démographie du Chili
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Sommaire |
[modifier] Données synthétiques
Structure de la population du Chili | |
Population | 16 134 219 habitants |
Densité de la population | 21,3 hab./km² |
Taux de croissance de la population | 0,94 % |
Âge médian (population totale) - Hommes - Femmes |
30,4 ans 29,5 ans 31,4 ans |
Structure par âge - 0-14 ans - 15-64 ans - 65 ans et plus |
24,7 % 67,1 % 8,2 % |
Rapport de masculinité (population totale) - À la naisssance - Moins de 15 ans - 15-64 ans - 65 ans et plus |
0,98 homme/femme 1,05 homme/femme 1,05 homme/femme 1,00 homme/femme 0,72 homme/femme |
Part de la population urbaine | 87,6 % |
Sources: The World Factbook, CIA[1]; ONU[2]; FAO |
[modifier] Natalité
Natalité au Chili | |
Taux brut de natalité | 15,23 ‰ |
Indice synthétique de fécondité | 2,00 enfant(s)/femme |
Source: The World Factbook, CIA[1] |
[modifier] Mortalité
Mortalité au Chili | |
Taux brut de mortalité | 5,81 ‰ |
Taux de mortalité infantile (population totale) - Hommes - Femmes |
8,58 ‰ 9,32 ‰ 7,80 ‰ |
Espérance de vie à la naissance (population totale) - Hommes - Femmes |
76,77 ans 73,49 ans 80,21 ans |
Source: The World Factbook, CIA[1] |
[modifier] Migration et composition culturelle
Migration et composition culturelle au Chili |
|
Taux de migration nette | 0 ‰ |
Composition ethnique - Blancs et métis - Amérindiens - Autres |
95 % 3 % 2 % |
Religions - Catholicisme - Protestant - Judaïsme |
89 % 11 % moins de 1 % |
Composition linguistique - Espagnol |
|
Source: The World Factbook, CIA[1] |
La plupart des citoyens sont d'origine espagnole. Un petit nombre, cependant influent, d'immigrants irlandais et anglais est arrivé au Chili pendant la période coloniale espagnole. L'immigration patronnée par le gouvernement allemand a commencé en 1848 et a peu à peu changé le paysage culturel des provinces du sud, Valdivia, Llanquihue et Osorno, qui montrent toujours une influence allemande forte. D'autres groupes d'immigrants historiquement significatifs incluent les Italiens, les Croates et les Français. Environ 700,000 Indiens d'Amérique, surtout Mapuche, résident dans le secteur du-sud-central du pays; un peuple de généalogie polynésienne vit sur l'île de Pâques (Rapanui), tandis qu'Aymara et des populations Quechua vivent le long de la frontière du nord avec le Pérou et la Bolivie.
[modifier] Principaux groupes ethniques
Au nord :
- Chongos
- Aymaras (78.000 personnes)
- Atacamenos (57.000 personnes)
Au centre :
- Diaguitas
- Pehuenches (7.000 personnes)
- Mapuches (350.000 personnes)
Au sud :
- Alakalufs (2 personnes)
- Onas (le dernier est mort en 1918 )
- Yamanas (le dernier est mort en 1957).
Outre d'évidents liens de parenté avec le monde hispanique (75%), le pays compte de nombreux immigrants français, allemands, britanniques, italiens, croates, palestiniens, chinois…
[modifier] Autres indicateurs sociaux
Autres indicateurs sociaux au Chili |
|
Taux d'alphabétisation (population totale) - Hommes - Femmes |
96,2 % 96,4 % 96,1 % |
Nombre moyen d'années passées à l'école | 14 ans |
Taux de séropositivité au VIH/SIDA (chez les adultes) |
0,3 % |
Taux d'accès à l'eau potable | 95 % |
Taux de chômage | 8,1 % |
Sources: The World Factbook, CIA[1]; ONU[3],[4] |
[modifier] Evolution de la population
Le Chili possède une population estimée à 16 134 219 d’habitants en 2006. Selon le dernier recensement complet effectué en 2002, les chiffres sont de 15 116 435 habitants, dont 7 447 695 sont des hommes et 7 668 740, des femmes [5].
Le taux de croissance démographique de la population chilienne a nettement diminué ces dernières années. Vers la fin du XIXe siècle, on comptait 2 695 625 habitants, puis 5 023 539 en 1940 et 13 348 341 en 1992. Même si la population du Chili a quintuplé durant le XXe siècle, le taux de croissance de la période 1992-2002 à été de seulement 1,24% par an [6]. Ainsi, son taux de croissance annuel devrait continuer de baisser ces prochaines années.
Du fait de l’amélioration des conditions de vie, l’espérance de vie des chiliens à la naissance (qui est la plus élevée de l’Amérique latine) est de 76,77 ans en moyenne [7], alors que le taux de mortalité infantile est descendu à 7,8‰. Le taux de natalité en 2003 est arrivé à son minimum historique en allant à 15,23‰ et celui du taux de mortalité à 5,1‰, avec un taux de croissance naturelle de 10‰ [8]. Ces chiffres permettent de constater un vieillissement de la population. Dans 20 ans la population des 40 ans et plus dépassera celle des moins de 40 ans. Ainsi, la pyramide des âges sera vers l’an 2025, avec un profil campaniforme qui représente la transition démographique que vit le pays.
[modifier] Ethnographie
Appartenance ethnique des peuples amérindiens (2002[9]) | |||||
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Alacalufes | 2.622 | 0,02% | Mapuches | 604.349 | 4,00% |
Atacama | 21.015 | 0,14% | Quechua | 6.175 | 0,04% |
Aymara | 48.501 | 0,32% | Rapa Nui | 4.647 | 0,03% |
Colla | 3.198 | 0,02% | Yamana | 1.685 | 0,01% |
La population chilienne est fortement métissée, en raison du mélange entre les colonisateurs espagnols et les peuples amérindiens. Cependant, il est important de constater que les traits de la population du pays sont plus proches des Européens que des locaux du fait de leur faible représentation démographique (moins de 5% du pays, voir tableau). Certains colons européens sont arrivés au Chili (principalement aux extrêmes nord et sud du pays) durant les XIXe et XXe siècles, incluant les Britanniques, les Irlandais, les Italiens,Yougoslaves et les Français.
Ces derniers possèdent beaucoup de descendants renommés dans le pays comme les Pinochet, famille commerçante de Saint-Malo ayant émigré à Concepción en 1718[10] et les Bachelet. Par ailleurs, la culture française a fortement influencé la culture chilienne, notamment en voyant les bâtiments de style haussmanien dans le centre de Santiago et le pain nommé marraqueta qui a été inventé par les frères Marraquet, des Français qui au début du XXè siècle ont inventé ce pain basé sur la baguette[11] .
En 1848 commence la colonisation allemande établie par le gouvernement chilien dans le but de peupler le territoire austral du pays. Avec au départ 7 000 personnes, cette immigration allemande a influencé la culture d’une grande partie du sud du pays, principalement dans les provinces de Valdivia, de Llanquihue et Osorno.De nos jours il y auraient 150 000 chiliens descendants d’allemands[12]. Les autres immigrants viennent surtout des pays voisins comme l’Argentine, la Bolivie et le Pérou. Lors de la dernière décennie, elle atteint 184 464 personnes en 2002. Il existe aussi une immigration coréenne et palestinienne qui est la plus importante dans le monde non arabe.[13]
La composition ethnique du Chili est relativement homogène, même si le degré de métissage est plus accentué dans les populations les plus pauvres.
Au sujet de l’émigration, cette dernière a diminué, mais on estime que 857 781 Chiliens et leurs descendants vivent à l’étranger dont 50,1% serait en Argentine, 13,3% aux États-Unis, 8,8% au Brésil, 4,9% en Suède, et un peu plus de 2% en Australie. Dans le pays, la migration est massive de la part des paysans vers les grandes villes du pays. Les régions du centre-sud du pays voient plus de 80% des habitants nés hors de la région : 86,11% pour la Région du Biobío, 71% pour la Métropole de Santiago et 55% pour la Région de Magallanes et de l’Antarctique chilien.
[modifier] L’évolution du nombre et du taux des immigrants par rapport à la population totale
Année du recensement[14] | Population totale | Naissances d’enfants d’immigrés | Pourcentage d’immigrés par rapport à la population totale | Pourcentage d’Européens par rapport au total des immigrés | Pourcentage des immigrés latino-américains par rapport au total des immigrés | Pourcentage des immigrés venant du Moyen Orient et les autres par rapport au total des immigrés. |
---|---|---|---|---|---|---|
1865 | 1 819 223 | 21 982 | 1,21% | 53,7% | 41,4% | 4,9% |
1875 | 2 075 971 | 25 199 | 1,21% | 62,3% | 33% | 4,7% |
1885 | 2 057 005 | 87 077 | 4,23% | 30,1% | 67,2% | 2,7% |
1907 | 3 231 496 | 132 312 | 4,2% | 53,3% | 42,7% | 4,0% |
1920 | 3 731 593 | 114 114 | 3,06% | 60% | 31,2% | 8,9% |
1930 | 4 287 445 | 105 463 | 2,46% | 60% | 24,6% | 15,4% |
1940 | 5 023 539 | 107 273 | 2,14% | 67,2% | 21,7% | 11,1% |
1952 | 5 932 995 | 103 878 | 1,75% | 55,9% | 23,4% | 20,7% |
1960 | 7 374 115 | 104,853 | 1,4% | 60,9% | 26,1% | 13,0% |
1970 | 8 884 768 | 90 441 | 1,02% | 53,3% | 34,4% | 12,3% |
1982 | 11 275 440 | 84 445 | 0,75% | 31,8% | 54,5% | 13,7% |
1992 | 13 348 401 | 114 597 | 0,86% | 20,1% | 65,1% | 14,8% |
2002 | 15 116 435 | 184 464 | 1,22% | 17,2% | 71,8% | 11,0% |
Ce tableau montre l’évolution du taux de l’immigration au Chili par rapport à la population totale. On peut remarquer que le pourcentage d’immigrés n’a jamais dépassé les 5% de la population totale. L’immigration européenne a été majoritaire jusque dans les années 1970. Il y a une exception notable lors du recensement de 1885. Les immigrés latino-américains sont plus nombreux que se venant d’Europe. Cela peut s’expliquer par le fait que le Chili a acquit une bonne partie du désert d’Atacama (ayant appartenu à la Bolivie et au Pérou) après la guerre du Pacifique.
Il faut noter que des personnalités chilienne ayant une ascendance croate comme Antonio Skarmeta et Andrónico Luksic ne renient pas leurs origines.
Il est important de remarquer que depuis le recensement de 1982, plus de 60% des immigrés sont des latino-américains venant surtout de l’Argentine et du Pérou. Ceci peut peut montrer et prouver que le Chili est un pays économiquement parlant stable par rapport à ses voisins. Il est aussi notable de voir une part non négligeable des immigrés (de l’ordre de 10%) venant du Moyen-Orient. Les années de recensement comprises entre 1907 et 1952 montre une augmentation notable des immigrants originaire du Moyen-Orient. Ces populations ont très certainement quittés la région en raison des conflits présents (ancien territoire de l’Empire ottoman et certainement des luttent entre locaux et coloniaux pour obtenir l’Indépendance)[15].
[modifier] Société
Depuis la fondation du pays, la population du Chili est divisée en classe sociale de divers degrés. Depuis le milieu du XXè siècle, le pays est constitué principalement par la classe moyenne. Cependant, Le niveau de vie de cette classe moyenne ne correspond pas aux ouvriers moyens de l’Amérique latine, entre autres par le PIB national assez élevé et l’accès aisé au système de crédit. Malgré de bons indicateurs économiques et la baisse sensible de la pauvreté, en passant de 38,6% de la population en 1990 à 18,8% en 2003 [16], le pays possède un grave défaut: l’inégalité de répartition des richesses. Ceci a pour effet de créer une grande brèche sociale nette entre riches et pauvres.
Selon des informations sur le développement humain de l’ONU en 2005, le Chili possède un coefficient de Gini de 0,57, le situant à la cent treizième place sur 128º de la liste des pays par égalité de revenus. Cette inégalité est difficilement rattrapable. Ce problème est attribué à l’économie venant des diverses entreprises pronant le néolibéralisme (en opposition à l’économie à tendance socialiste développée entre les années 1950 et les 1970). De nos jours, les 20% des plus riches du pays gagnent 14,3 fois ce que reçoivent les 20 % des plus pauvres.[17]
[modifier] Urbanisation
Selon le dernier recensement, 13 090 113 de chiliens vivent en zone urbaine, représentant 86,59% de la population nationale. Seulement 13,41% de la population vit en zone rurale. Ils vivent principalement de l’agriculture et de l’élevage, qui se concentrent dans les zones centre sud du pays, dans les régions Région du Maule (33,59%), la Région d’Araucanie
(32,33%) et la Région de los Lagos (31,56%). La Tarapacá voit 94,06% de sa population vivre en ville, dans la Tarapacá, 97,68% dans la Région d’Antofagasta, 92,6% dans la Région de Magallanes et de l’Antarctique chilien) et la Región Metropolitana ainsi que Valparaíso, avec respectivement 96,93% et 91,56%.
Depuis les années 1920, l’exode rural est intensif, du fait de la volonté de fuir la misère des campagnes et de trouver de meilleurs conditions de vie en ville. Ainsi, dès ce moment là, les agglomérations et conurbations voient leurs populations augmenter nettement. La capitale du pays, Santiago du Chili ou Grand Santiago possède 5 428 590 d’habitants en 2002, et représente 35,9% de la population nationale. En 1907, il y avait seulement 383 587 habitants, 549 292 en 1920 qui représentait 16% du pays. Cependant, durant les décennies suivantes, l’explosion démographique fait absorber les anciennes localités campagnardes, comme Puente Alto et Maipú, qui sont les deux communes chiliennes les plus peuplées du Chili. Santiago est une ville moderne, étant la sixième ville plus peuplée d’Amérique latine et la quarante cinquième du monde.
Valparaíso et Viña del Mar sont devenus une grande conurbation. Il faut aussi rajouter les villes de Concón, Quilpué et Villa Alemana qui forment le Grand Valparaíso, et dépassent les 800 000 habitants. Concepción, Talcahuano, Hualqui, Chiguayante et San Pedro de la Paz forment la troisième agglomération du pays avec plus de 600 000 habitants selon le dernier recensement (2002). Dans quelques années, le Grand Concepción intégrera les communes de Coronel, Lota et Tomé.
Les autres communes (comunas) par importance d’habitants sont Antofagasta (avec 285 255 habitants), Rancagua (avec 236 363), Iquique (avec 214 559), Arica (avec 203 804), Talca (avec 202 961), Chillán (avec 184 832), Puerto Montt (avec 175 938), Los Ángeles (avec 166 556), Coquimbo (avec 163 036), La Serena (avec 160 148), Osorno (avec 152 559) et Valdivia (avec 141 967 habitants). La majorité des villes du pays se situent soit sur la côte soit dans la vallée centrale du pays entre Santiago et Puerto Montt.
Selon le dernier recensement de 2002, le Chili compte actuellement plus de 15 millions d’habitants. Cependant, la zone centrale, située entre les villes de La Serena et Concepción, concentre 78 % de la population totale du pays, et Santiago et sa périphérie regroupe 40 % des Chiliens, soit six millions d’habitants. La densité moyenne (20 hab/km2) n’est donc pas représentative de l’occupation réelle du territoire. D’après le même recensement, entre 1992 et 2002, le rythme de croissance annuel moyen de la population a été de 1,24 %, un des plus bas en Amérique latine. Sur la même période, le taux de fécondité s’établit à 2,2 enfants par femme.
Malgré une baisse de la natalité, le Chili reste un pays relativement jeune : 34 % des Chiliens ont moins de 20 ans, et 15 % ont plus de 55. Toutefois, tout comme les pays développés, la population du Chili a tendance à vieillir rapidement : la couche la plus jeune de la population a diminué, tandis que la plus âgée va en augmentant, en partie grâce à une espérance de vie à la naissance plus longue : 77 ans (80 pour les femmes et 74 pour les hommes). En moyenne, la famille chilienne est composée de 3,6 personnes.
En 2002, 4,6 % de la population déclare appartenir à un groupe ethnique, dont la majorité (87 %) à l’ethnie mapuche. La plupart des Chiliens, plus de 60 %, sont métissés, ce qui fait de la population locale une des plus homogènes en Amérique latine.
Finalement, les immigrés, très majoritairement originaires des pays voisins, constituent moins de 2 % de la population nationale. Les plus nombreux actuellement sont les Argentins et les Péruviens.
[modifier] Religion
Sur le plan religieux, le dernier recensement de 2002 montre que 70 % des Chiliens se déclarent catholiques soit 7 853 428 personnes de plus de quatorze ans (dont moins de la moitié est pratiquante). Par rapport au recensement précédent en 1992, cela constitue une diminution de 10 % en 10 ans. Les 30 % restant sont protestants évangéliques (15,14 %), 1,06% sont témoins de Jehova, 0,92% sont mormons et 0,13% de confession juive. Les athées, agnostiques ou sans religion représentent 10 % du total. Selon l’état civil, 46 % des Chiliens de plus de 18 ans sont mariés, soit 5 % de moins qu’en 1992. En revanche, les couples en concubinage sont passés de 5 % en 1992 à 9 % en 2002. 34 % des Chiliens sont célibataires, 5 % divorcés. L’évolution de ces chiffres est à suivre, compte tenu de la nouvelle loi sur le divorce en vigueur depuis fin 2004.
L’Église catholique est séparée de l’État depuis 1925, année où le Président Arturo Alessandri Palma et l’archevêque Crescente Errázuriz sont arrivés à un accord sur cette question aboutissant dans la constitution de 1925 à la fin de la fin du statut de religion d’État du catholicisme, qui existait depuis l’Indépendance du pays en 1818. Depuis 1925, la liberté de culte est aussi reconnue. Cependant, même si le catholicisme perd de l’importance ces dernières années, il influence toujours la société actuelle sur des sujets comme le divorce et l’avortement en 2004-2005.
[modifier] Principales aires métropolitaines du Chili
Principales aires métropolitaines du Chili (2002) | |||||
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Dénomination | Région | Habitants | Superficie | Densité | |
1 | Grand Santiago | R. Metropolitana | 5 428 590 | 867,75 km² | 6255,9 |
2 | Grand Valparaíso | V Región | 803 683 | 229,98 km² | 3494,6 |
3 | Grand Concepción | VIII Región | 666 381 | 221,15 km² | 3013,3 |
4 | Grand La Serena | IV Región | 302 131 | 107,41 km² | 2758,2 |
5 | Antofagasta | II Región | 285 255 | 43,54 km² | 6551,6 |
6 | Grand Temuco | IX Región | 266 225 | 53,23 km² | 4901,0 |
80% de la population chilienne vit sur la zone centrale du pays. Cet espace s’étend sur plus de 1000 kilomètres et va de La Serena à Concepción. Les climats de cette zone vont du climat semi aride (à La Serena) au climat méditerranéen à influence océanique (Concepción). Grosso modo ce lieu correspond au climat méditerranéen de l’hémisphère sud.
[modifier] Sources
- ↑ 1,0 1,1 1,2 1,3 1,4 (en) The World Factbook, CIA (2006)
- ↑ (en) ONU (2005)
- ↑ (en) ONU (2004)
- ↑ (en) ONU (2002)
- ↑ (es)[1].
- ↑ (es)www.ine.clDocument de l’INE page 12.
- ↑ www.senama.cl (Fuente:INE de Chile) (document .pdf).
- ↑ (es)Segun Anuario Estadísticas Vitales 2003 del INE (zip, 2.79 Mb) Pág. 59.
- ↑ (es)4.6%Document de l’Instituto Nacional de Estasticas de chile Page 21
- ↑ (es)des Pinochet au Chili depuis l’arrivée de Guillermo (Guillaume) Pinochet en 1718 au Chili.
- ↑ Document montrant l’importance de la culture française dans la vie des chiliens.
- ↑ (de)http://www.fahrradtest.de/Reiseberichte/Reiseberichte%20Deutsch-Chilenen.html
- ↑ (en)Évolution du pourcentage des immigrants et leurs pays d’origine sur la population totale depuis le début du XXè siècle.
- ↑ Recensements effectué par l’État grâce à l’INE
- ↑ (en)Évolution du pourcentage des immigrants et leurs pays d’origine sur la population totale depuis le début du XXè siècle.
- ↑ (es)www.fundacionpobreza.cl (archivo .pdf)
- ↑ (es)Fundación Pobreza - Distribution des revenus
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