Brigitte Bardot
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Brigitte Bardot née Brigitte Anne-Marie Bardot est une actrice de cinéma et une chanteuse française. Elle est une militante de la défense des animaux, fondatrice et présidente de la Fondation Brigitte Bardot.
Mythe et sex-symbol des années 60, elle fut une star mondiale, égérie et muse des plus grands artistes de l'époque. Emblème de l'émancipation des femmes et de la liberté sexuelle, elle a révolutionné les moeurs, passant de la femme enfant à la femme fatale, libre et provocatrice, ingénue et impudique, dans une époque d'après-guerre très conservatrice. Avec 48 films à son actif et plus de 80 chansons en 21 ans de carrière, Brigitte Bardot, tout aussi connue sous les initiales de BB, est une des artistes françaises les plus célèbre sur la planète.
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[modifier] Biographie
[modifier] Enfance et adolescence
Brigitte Bardot naît à Paris le 28 septembre 1934, au 5 place Violet dans le 15ème arrondissement. Issue d'un milieu bourgeois, d'un père industriel, propriétaire des Usines Bardot et d'une mère au foyer, la jeune Brigitte reçoit une éducation très stricte avec sa sœur Marie-Jeanne (dite Mijanou), sous la responsabilité de leur gouvernante. Très jeune, elle se passionne pour la danse classique et fait ses premiers pas, à 7 ans, au cours Bourgat. En 1949 elle entrera d'ailleurs au Conservatoire de Paris et y obtiendra un premier accessit. Son père (qui a été couronné par l'Académie française), était un passionné de cinéma et adorait filmer, de ce fait, de nombreux films de Bardot étant enfant existent (ce qui était assez rare pour l'époque). Sa mère, dite Toty, quand à elle, aimait particulièrement la mode et la danse. Ainsi, la famille Bardot faisait partie de la haute société et fréquentait le tout-Paris. Ils cotoyaient notamment beaucoup de directeurs de presse, de théâtre mais aussi des gens de la mode.
En 1949, à l'âge de 15 ans, elle est engagée par la directrice de Elle et du Jardin des Modes, Hélène Lazareff, qui était une grande amie de sa mère (elle ne s'est pas fait remarquer dans un train en marche ou dans la rue par cette dernière comme le veut la légende). Très vite, Brigitte est promue « mascotte » du magazine Elle dont elle fait la couverture. Et c'est grâce à cette couverture que le réalisateur Marc Allégret la remarque et lui propose un rôle dans son prochain film Les lauriers sont coupés. Un film qu'elle ne fera jamais, mais elle venait de rencontrer un jeune assistant : Roger Vadim.
Dès lors, elle n'a que 15 ans et lui près de 22, mais les deux amoureux ne se quittent déjà plus. Ses parents n'approuveront jamais leur idylle et tenteront, en vain, de les séparer. Brigitte Bardot devra attendre tout de même ses 18 ans pour se marier.
[modifier] Premiers pas au cinéma
En 1952, Jean Boyer lui offre un petit rôle, son premier, dans Le Trou normand avec Bourvil. Elle l'accepte sans savoir qu'elle entrait dans un monde qu'elle détesterait plus tard et dont elle aurait du mal à sortir. Très vite, elle enchaîne avec Willy Rozier qui lui offre un autre rôle dans Manina la fille sans voiles. Côté vie privée, ayant enfin atteint l'âge de ses 18 ans, son père lui donne l'autorisation pour qu'elle se marie avec Roger Vadim. Mariage qui sera célébré à l'église de Passy le 21 décembre 1952.
À cette époque, Roger Vadim était encore journaliste à Paris Match, il y travailla d'ailleurs de nombreuses années, de ce fait Brigitte a toujours tenu une place un peu spéciale dans le coeur du magazine. Une place qu'elle garde encore aujourd'hui, elle en détient de plus le record de couverture en en totalisant 39.
En 1953, elle connait sa première et unique expérience au théâtre en jouant L'Invitation au château de Jean Anouilh, dans une mise en scène d'André Barsacq. Des planches qu'elle ne chevaucha que quelques mois. Cette même année, elle rencontre celle qui fut son impresario tout au long de sa carrière, Olga Horstig. Brigitte Bardot poursuit ainsi ses rôles dans de petits films, comme en 1953, à 19 ans, où elle joue dans Un acte d'amour. Mais c'est au Festival de Cannes où un premier tournant dans sa carrière s'effectue. Car la simple starlette qu'elle est éclipse déjà les stars de l'époque. Elle déclenche les flashs des photographes et son sex-appeal ébranle la Croisette, dont l'acteur Kirk Douglas qui aurait même tenté de l'emmener aux États-Unis.
Dès lors, elle enchaine avec des dizaines d'autres films, tels que Futures Vedettes de Marc Allégret, Les week-ends de Néron de Steno, Les Grandes Manœuvres de René Clair où elle tient un second rôle aux côtés de Gérard Philippe et Michèle Morgan, mais aussi Cette sacrée gamine ou encore En effeuillant la marguerite.
[modifier] La consécration
Mais c'est en 1956, à 22 ans, qu'elle entre dans la légende du cinéma mondial, devenant un mythe vivant, un modèle social et un sex-symbol international, grâce au film de Roger Vadim, Et Dieu… créa la femme. Elle y joue le rôle de Juliette Hardy face à Curd Jürgens, Christian Marquand et Jean-Louis Trintignant. Vadim définissait ainsi le personnage que tenait Brigitte Bardot : « Je voulais, à travers Brigitte, restituer le climat d'une époque, Juliette est une fille de son temps, qui s'est affranchie de tout sentiment de culpabilité, de tout tabou imposé par la société et dont la sexualité est entièrement libre. Dans la littérature et les films d'avant-guerre, on l'aurait assimilée à une prostituée. C'est dans ce film, une très jeune femme, généreuse, parfois désaxée et finalement insaisissable, qui n'a d'autre excuse que sa générosité. » À sa sortie en France, le film eut un succès modéré, mais en 1957, Et Dieu créa...la femme sortit aux États-Unis et là, le film fit sensation et déchaîna passions et attaques (notamment par la censure). Le film fut interdit dans certains Etats. Il eut un grand succès. Et c'est par le biais de ce succès américain qu'il ressortit en France et y connut un triomphe retentissant. Ce film fut le cadeau d'adieu de Roger Vadim à Brigitte Bardot comme il se plaira à le dire par la suite. Ils divorcèrent quelques mois plus tard, Bardot s'en allant aux côtés de Jean-Louis Trintignant.
Dès lors, le mythe B.B. se créa : cheveux blonds clairs, très longs, en cascade de boucles et de crans ou encore la célèbre "coiffure choucroute". Des yeux fardés d'un eye-liner noir s'étirant, la bouche rouge ou rose vif entourée d'un tracé de crayon assorti. Des vêtements sexys et moulants, tailleurs, jupes princes-de-galle, taille entourée d'une grosse ceinture, robes vichy rose et blanc, jupes amples vichy noir et blanc, ballerines, jean's, tee-shirts, etc. Mais aussi, de grandes personnalités telles que François Nourissier, Marguerite Duras, Jean Cocteau ou encore Simone de Beauvoir s'intéressaient à elle et lui consacraient des articles. La « Bardolâtrie » était née.
Devant ce succés planetaire, Hollywood lui fait miroiter de fabuleuses propositions, mais elle refusera toujours, désirant rester une valeur française. Entre temps, elle fait l'acquisition de la Madrague, sur la route des Canebiers à Saint-Tropez en 1958, et contribue ainsi à faire de ce village déjà connu dans les années 20 et 30 par des artistes et écrivains tels que Colette, un endroit de légende par sa seule présence et par les folles nuits de fêtes tropéziennes qu’elle anime. On lui prête une vie dissolue et pleine d'amants, comme à cette époque où elle a une liaison avec Sacha Distel. Dès lors, ses moindres faits et gestes sont traqués, épiés et déformés, les papparazzi ne la lâchent plus. S'en suivra d'ailleurs un film documentaire en 1963, Paparazzi, sur ces photographes qui la harcelent. Elle sera adulée et détestée comme peu d'actrices de son vivant. Des millions de journaux feront de sa photo leur couverture à travers le monde et elle fera l'objet d'un nombre incalculable d'articles la mettant en vedette ou la dénigrant parfois violemment.
B.B. enchaîne les films à succès avec les plus grands acteurs du moment, comme en 1957 où elle tourne dans Une Parisienne, une comédie avec Henri Vidal. Le duo se retrouva deux ans plus tard, dans un film de Michel Boisrond, Voulez-vous danser avec moi? marqué tragiquement par la mort de Henri Vidal peu après la fin du tournage.
En 1958, elle joue dans En cas de malheur, de Claude Autant-Lara, avec Jean Gabin et Edwige Feuillère, l'histoire d'un avocat parisien compromettant sa carrière et son ménage par amour d'une jeune cambrioleuse, un des grands classiques du cinéma français. Gabin, qui se demandait au départ au sujet de Bardot, quelle était cette chose qui se balladait toute nue, et qui dira par la suite qu'il la considérait comme une vraie comédienne.
Puis en 1959, elle tourne dans Babette s'en va-t-en guerre de Christian-Jaque avec Francis Blanche et un acteur qu'elle impose, Jacques Charrier. Ce dernier la séduit et il l'épouse le 11 juin de la même année sous le feu des médias du monde entier. Le 11 janvier 1960, elle accouche, à son domicile, d'un garçon, Nicolas Charrier, dont la naissance fut un événement mondial.
[modifier] Le sex-symbol des années 60
En 1960, sort sur les écrans La Vérité, avec Charles Vanel, Sami Frey et Marie-José Nat, le récit d'un crime passionnel. Son meilleur film dira-t-elle. Néanmoins, Henri-Georges Clouzot, le réalisateur, lui aura fait vivre un éprouvant tournage. De plus, son incapacité à s'occuper de son enfant, son ménage mis à mal par les pressions de toutes parts, la trahison de son secretaire personnel qui dévoila nombre de ses secrets à la presse, la pression inouïe des journalistes et les agressions perpétuelles des « fans » la poussent à bout. Brigitte Bardot fait une tentative de suicide le jour de son anniversaire, le 28 septembre 1960. Plongée dans le coma, elle s'en sortira par miracle.
En octobre 1961, l'argentin Jorge Vieira débarque sur les ondes radiophoniques avec un titre qui fut un succés planetaire : Brigitte Bardot Bejo. La chanson fera le tour du monde et Dario Moreno reprendra le titre plus tard.
En 1962, elle entame ce qui sera alors son premier combat pour la cause animale, en militant pour le pistolet d'abattage indolore dans les abattoirs. Elle fut reçut à l'Elysée et obtint, quelques années plus tard des pouvoirs publics, « l'étourdissement préalable à l'abbatage ».
La même année, Brigitte Bardot fait son entrée dans le dictionnaire le Petit Larousse.
En 1963, à 27 ans, elle tourne dans le chef-d'œuvre cinématographique, Le Mépris, de Jean-Luc Godard, avec Michel Piccoli et Jack Palance à Capri, dans la célèbre Villa Malaparte, conçue par l'architecte Adalberto Libera. Le film fut accueillit à l'époque de façon mitigée. Elle dira plus tard qu'elle n'a jamais vraiment bien compris "l'esprit Godard" mais qu'elle s'était bien amusée sur le tournage du film. Par ailleurs, Michel Piccoli disait d'elle : « Brigitte Bardot fut, au début de l'entreprise, ravie qu'un cineaste comme Godard lui demande de travailler avec lui. Bien qu'intimidée, elle était parfaitement consciente de ce qui l'attendait. Mais en même temps, il y avait quelque chose d'assez bouleversant dans sa manière d'être, sa doleance, son non-besoin d'effort ».
Puis en 1965, elle joue aux côtés de Jeanne Moreau dans Viva Maria! de Louis Malle, réalisateur qu'elle retrouvait trois ans après Vie Privée. L'histoire de deux chanteuses de cabaret, au Mexique, embrassant une cause révolutionnaire. Le film eu un très gros succés, notamment aux Etats-Unis, où B.B. y partit faire la promotion. Elle fut reçut par la presse et le public comme les plus grandes stars hollywoodiennes. À cette periode, Bardot était au sommet de sa beauté et de sa gloire.
En 1966, le milliardaire allemand Gunter Sachs envoie une pluie de pétales de roses sur la Madrague depuis son hélicoptère pour lui déclarer son amour et la demander en mariage. Elle l'épouse en troisième noce le 14 juillet 1966 à Las Vegas. Leur union durera deux ans. Elle devra affronter l'année d'après une foule hysterique au Festival de Cannes 1967 avec son mari alors qu'elle présentait le film hors-compétition de ce dernier. Ce fut sa dernière apparation officielle.
Toujours en 1967, un coup de foudre réciproque amoureux et musical se créé entre Brigitte Bardot et Serge Gainsbourg. Elle devient sa muse et il lui écrit ainsi une dizaine de chansons parmi lesquelles ses plus grands succès : Harley Davidson, Bonnie & Clyde, Contact, Comic Strip (duo dont une version existe également en anglais), Bubble Gum, Je t'aime… moi non plus (titre qui ne sortira qu'en 1985), L'Appareil à sous, Je me donne à qui me plaît ou encore La Bise aux hippies (où BB chante en duo avec Sacha Distel, Gainsbourg apparaissant en guitariste hippie dans le show télévisé). À leur rupture, quelques mois plus tard, il lui dédiera une chanson-hommage : Initials BB.
La même année, elle participe au Sacha Show où elle chante avec Sacha Distel, puis au Show Bardot, à l'occasion des fêtes de fin d'année, qui lui est entièrement consacré et qui connaît un succès télévisuel mondial, notamment aux États-Unis.
Parallèlement, Claude Bolling, Jean-Max Rivière, Gérard Bourgeois et tant d'autres compositeurs lui écrivent des chansons telles que C'est Rigolo, Invitango, La Madrague, Les Amis de la musique, Everybody loves my baby, Moi je joue, La Fille de paille, Le Soleil, Oh ! Qu'il est vilain, etc.
En 1968, Charles de Gaulle déclare que Brigitte Bardot rapporte autant que les devises Renault à la France. Le président l'apprecie egalement pour sa simplicité, son franc parlé et sa bonne humeur, il lui propose ainsi d’être le modèle du buste de Marianne exposé dans toutes les mairies de France. Ella accepte et devient ainsi la première femme à incarner les traits du symbole français. Le buste sera réalisé par le sculpteur Aslan. Elle sera suivie plus tard par Mireille Mathieu, Catherine Deneuve, Sophie Marceau, Laetitia Casta et Evelyne Thomas.
[modifier] La fin du vedettariat
En 1970, Michel Deville la montre joyeuse et mutine dans L'ours et la poupée. En 1971, elle joue dans Boulevard du Rhum, de Robert Enrico avec Lino Ventura, l'histoire du film se déroule au temps de la prohibition. La même année, c'est aux côtés de Claudia Cardinale qu'elle tourne Les Pétroleuses, de Christian-Jaque, une comédie-western. Ces trois films furent ses derniers succés cinematographiques.
En 1973, après avoir tourné son dernier film, L'Histoire très bonne et très joyeuse de Colinot trousse-chemise, de Nina Companeez, après 21 ans de carrière, soit près de 50 films et 80 chansons, n'en pouvant plus de toute sa surmédiatisation et du cinéma, anticipant ainsi sa retraite artistique, elle se retire définitivement du 7ème art. Décidant de se consacrer désormais à une autre passion qui lui tient depuis longtemps à coeur : la défense des animaux. Elle qui déclarait quelques années auparavent : « Je ne suis qu'une femme comme les autres, j'ai un nez et une bouche, j'ai des sentiments et des pensées, mais ma vie devient impossible. Mon âme ne m'appartient plus. Pour moi, le vedettariat est un monstre. Je ne peux pas vivre comme je l'entends. Mon existence est tout simplement souterraine. Si je veux sentir de l'air frais chez moi, je ne peux pas ouvrir la fenêtre, parce qu'il y aura un photographe assis sur le toît d'en face. Il y a bien des choses dans ma vie dont je ne puisse pas dire c'est à moi ».
[modifier] La défense animale
En 1977, elle déclenche une vaste campagne médiatique en partant sur les glaces polaires du Canada, à Blanc-Sablon, afin d'y dénoncer le massacre des bébés phoques. Son périple va durer cinq jours et à son retour en France, elle réussira à faire voter l'interdiction du commerce de leur fourrure, grace notamment au soutient du président de l'époque, Valéry Giscard d'Estaing.
En 1982, Brigitte Bardot reprend exceptionellement les studios d'enregistrements pour une dernière chanson, en hommage aux animaux : Toutes les bêtes sont à aimer. Une chanson qui connaitra un petit succès.
Puis en 1985, elle est faite Chevalier de la Légion d'honneur par le président François Mitterrand, mais brigitte Bardot ne viendra jamais se faire remettre sa décoration.
L'année d'après, elle crée la Fondation Brigitte Bardot, organisme voué à la protection des animaux, qu'elle finance par une vente aux enchères d'objets, bijoux et effets personnels afin d'obtenir les 3 millions de francs nécessaires, et auquel elle lègue la Madrague pour assurer sa pérennité. En 1992, la fondation est déclarée d'utilité publique par le Conseil d'Etat.
À connaitre, les grands combats de la Fondation Brigitte Bardot sont : la lutte contre la captivité des animaux sauvages (telle que dans les cirques ou les zoos), le transport des animaux de boucherie, l'hippophagie, la fourrure, les experimentations animales, les abus de la chasse, les combats d'animaux (tels que les corridas ou combats de coq), la chasse aux bébés phoques, le braconnage ou encore les abandons d'animaux de compagnie. Sa Fondation a egalement crée un refuge "paradisiaque" en Normandie, la Mare Auzou.
Brigitte Bardot présente egalement de 1989 à 1992, les émissions SOS Animaux, produites par Roland Coutas et Jean-Louis Remilleux, elles servent à sensibiliser l'opinion publique sur les souffrances affligées aux animaux. Il s'en suivra 13 émissions qui connaitront un grand succés d'audimat.
Le 16 août 1992, elle épouse en quatrième noces, en Norvège, Bernard d'Ormale, un industriel et sympathisant du Front National avec qui elle vit depuis à Saint-Tropez.
En 1993, est créé à Hollywood, le Brigitte Bardot International Award, recompensant chaque année le meilleur reportage animalier. Brigitte Bardot, très touchée du geste des américains, n'assistera toutefois jamais à la cérémonie.
En 1995, le Dalaï lama devient membre d'honneur de la Fondation Brigitte Bardot.
Puis, en 1996, elle publie le tome 1 de ses mémoires : Initiales BB, retraçant son enfance et toute sa période de star. Ce livre a été traduit en 23 langues et vendu à plus d'un million d'exemplaires dans le monde. Elle aura, dit-elle, mis 21 ans à l'écrire. Le Carré de Pluton, le tome 2, sort en 1999, il commence en 1973, à son arrêt du cinéma, jusqu'en 1996, où elle décrit notament toutes ses batailles pour les animaux. Elle le qualifie comme étant son testament.
Le 11 février 2000, une triste épreuve l'attend, la mort de Roger Vadim. Elle assistera à son enterrement quelques jours plus tard, à Saint Tropez, en présence notamment des quatre anciennes femmes du réalisateur (Catherine Deneuve, Jane Fonda, Annette Stroyberg et Catherine Schneider), ainsi que de Marie-Christine Barrault, sa dernière épouse.
En 2002, à l'occasion de la coupe du monde de football, Brigitte Bardot appele à un boycott des produits sud-coréens afin de protester contre la consommation de viande de chiens et de chats en Corée du sud. Suite à cet appel, elle recevra, dira-t-elle, plusieurs milliers de lettres de mort.
Puis en 2003, elle crée de nouveau le scandale, mais bien differement cette fois-ci, en publiant Un cri dans le silence, où elle exprime l'ensemble de ses idées personnelles sur la vie et dévoile certains points de vue ouvertement en faveur de l'extrême droite. Les médias la traînent dans la boue et elle est condamnée en juin 2004 pour propos racistes.
En 2006, elle continue sa croisade contre la chasse aux bébés phoques, en repartant près de trente ans après au Canada, où pour une seconde fois elle réussit à alerter le monde. Un combat gagné en Europe puisque grace à son intervenion entre autre, le Parlement Européen vote une loi le 15 septembre 2006, interdisant l'importation de produits dérivés de la chasse aux phoques.
La même année, le 28 septembre, elle fête ses 72 ans, mais aussi les 20 ans de sa Fondation. A cette occasion, elle a sortit son dernier livre, Pourquoi? , retraçant les 20 années d'existence de sa Fondation. Une Fondation qui compte aujourd'hui plus de 57.000 donateurs répartis dans plus de 20 pays.
[modifier] Citations
[modifier] De Brigitte Bardot
- En 1985, lors de la vente aux enchères qu'elle effectua, elle déclara : « J'ai donné ma jeunesse et ma beauté aux hommes, aujourd'hui, je donne mon expérience et le meilleur de moi-même aux animaux ».
- Lors d'une émission télévisée en 1991, elle déclare : « Un chien, un chat, c'est un coeur avec du poil autour. »
- Dans Le Figaro (daté du 26 avril 1996), elle déclare « Et puis voilà que mon pays, la France, ma patrie, ma terre est de nouveau envahie, avec la bénédiction de nos gouvernements successifs, par une surpopulation étrangère, notamment musulmane, à laquelle nous faisons allégeance. De ce débordement islamique, nous devons subir à nos corps défendant, toutes les traditions. D'année en année, nous voyons fleurir les mosquées un peu partout en France alors que nos clochers d'églises se taisent faute de curés. »
- En avril 1996, dans Minute, Brigitte Bardot commentait son interview au Figaro. Selon elle, ce journal aurait censuré ses propos relatifs au « mépris de l’ordre public » manifesté par des groupes musulmans installés en France, groupes auxquels « nos dirigeants se soumettent avec une lâcheté qui n’a d’égale que leur trouille ».
- Lors d'une interview, elle déclara : « Ayez le courage de vos opinions, visitez les abattoirs et continuez de manger de la viande si vous n'avez pas le coeur soulevé par ce que vous avez vu ! »
- En 1999, dans le tome 2 de ses mémoires, elle écrit : « Evoluer, c'est atteindre un certain degré de transformations et de culture, c'est parfaire, non détruire ».
- Dans son livre, Un cri dans le silence, sortit en 2003, Brigitte Bardot déplore la guerre en Irak, s'en prend à la débauche sexuelle de la société, déplore les Gay Pride, méprise certains enseignants qu'elle qualifie de « SDF de l'enseignement », condamne egalement la liberté française qui s'amenuise, s'en prend aux sans papiers qui, d'après elle, « transforment nos églises en de véritables porcheries », et qualifie aussi certains chômeurs de « profiteurs paresseux planqués ».
- En 2004, elle déclarait : « Je ne suis pas quelqu'un qui fait semblant. Je ne compose pas. Jamais. Lorsque j'ai quelque chose à dire, je le balance. Et je n'y vais pas par quatre chemins. Avec moi, il n'y a pas de surprises, on sait d'emblée qui j'aime et qui je n'aime pas. »
[modifier] À son propos
- Roger Vadim : (S'adressant à Brigitte Bardot) « Tu seras un jour le rêve impossible des hommes mariés. »
- Cinémonde : « Le sex-appeal, c'est Marlène Dietrich, le glamour, c'est Ava Gardner, le oomph, c'est Jane Russell, le t'ça, c'est Suzy Delair, le pep, c'est Marilyn Monroe, Brigitte Bardot mélange tous ces ingredients explosifs, y ajoute un zest de fantaisie personelle, elle sera le pschitt! »
- François Truffaut : « On reproche à Brigitte Bardot sa diction, mais il n'y a plus que Louis Chauvet (critique au Figaro) pour croire qu'une actrice est une dame qui articule mieux que les autres, un peu comme chez les peuplades primitives qui croient que pour être écrivain, il faut avoir une écriture lisible. »
- Jean Cocteau : « Elle vit comme tout le monde en étant comme personne. »
[modifier] Oeuvres
[modifier] Filmographie
- 1952 : Le Trou normand de Jean Boyer avec Bourvil
- 1952 : Manina la fille sans voiles de Willy Rozier avec Jean François Calvé
- 1952 : Les Dents longues de Daniel Gélin avec Danièle Delorme
- 1953 : Le Portrait de son père d'André Berthomieu avec Jean Richard
- 1953 : Un acte d'amour ((en) Act of Love) d'Anatole Litvak avec Kirk Douglas
- 1953 : Si Versailles m'était conté de Sacha Guitry avec Jean Marais
- 1954 : Haine, amour et trahison ((it) Tradita) de Mario Bonnard avec Pierre Cressoy
- 1954 : Hélène de Troie ((en) Helen of Troy) de Robert Wise
- 1954 : Le Fils de Caroline Chérie de Jean Devaivre avec Jean Claude Pascal
- 1955 : Futures Vedettes de Marc Allégret avec Jean Marais
- 1955 : Rendez-vous à Rio ((en) Doctor at Sea) de Ralph Thomas avec Dirk Bogarde
- 1955 : Les Grandes Manœuvres de René Clair avec Gérard Philipe
- 1955 : La Lumière d'en face avec Raymond Pellegrin avec Raymond Pellegrin
- 1955 : Cette sacrée gamine de Michel Boisrond avec Jean Bretonnière
- 1956 : Les Week-ends de Néron ((it) Mio figlio Nerone) de Steno avec Alberto Sordi
- 1956 : En effeuillant la marguerite de Marc Allégret avec Daniel Gélin
- 1956 : Et Dieu… créa la femme de Roger Vadim avec Jean-Louis Trintignant
- 1956 : La Mariée est trop belle de Pierre Gaspard-Huit avec Micheline Presle
- 1957 : Une Parisienne de Michel Boisrond avec Charles Boyer
- 1958 : Les Bijoutiers du clair de lune de Roger Vadim avec Stephen Boyd
- 1958 : En cas de malheur de Claude Autant-Lara avec Jean Gabin
- 1958 : La Femme et le pantin de Julien Duvivier avec Antonio Vilar
- 1959 : Babette s'en va-t-en guerre de Christian-Jaque avec Jacques Charrier
- 1959 : Voulez-vous danser avec moi ? de Michel Boisrond avec Henri Vidal
- 1960 : L'affaire d'une nuit d'Henri Verneuil avec Pascale Petit
- 1960 : La Vérité d'Henri-Georges Clouzot avec Sami Frey
- 1961 : La Bride sur le cou de Roger Vadim avec Michel Subor
- 1961 : Les Amours célèbres, sketch Agnès Bernauer avec Alain Delon
- 1962 : Vie privée de Louis Malle avec Marcello Mastroianni
- 1962 : Le Repos du guerrier de Roger Vadim avec Robert Hossein
- 1963 : Paparazzi, documentaire filmé pendant le tournage du Mépris en Italie
- 1963 : Le Mépris (Il disprezzo) de Jean-Luc Godard avec Michel Piccoli
- 1963 : Une ravissante idiote d'Edouard Molinaro avec Anthony Perkins
- 1964 : Marie Soleil d'Antoine Bourseiller avec Danièle Delorme
- 1964 : Dear Brigitte d'Henry Koster avec James Stewart
- 1965 : Viva Maria de Louis Malle avec Jeanne Moreau
- 1966 : Masculin, féminin de Jean-Luc Godard avec Jean-Pierre Léaud
- 1967 : À Cœur joie avec Laurent Terzieff avec Laurent Terzieff
- 1968 : Histoires extraordinaires, sketch William Wilson avec Alain Delon
- 1968 : Shalako d'Edward Dmytryk avec Sean Connery
- 1969 : Les Femmes de Jean Aurel avec Maurice Ronet
- 1970 : L'Ours et la poupée de Michel Deville avec Jean-Pierre Cassel
- 1970 : Les Novices de Guy Casaril avec Annie Girardot
- 1971 : Boulevard du rhum de Robert Enrico avec Lino Ventura
- 1971 : Les Pétroleuses de Christian-Jaque avec Claudia Cardinale
- 1972 : Don Juan 73 ou si Don Juan était une femme de Roger Vadim avec Robert Hossein
- 1973 : L'Histoire très bonne et très joyeuse de Colinot trousse-chemise de Nina Companeez avec Francis Huster
[modifier] Théâtre
[modifier] Discographie
- 1962 : Sidonie (Super 45T) : Bande originale du film Vie Privée
- 1962 : Tiens, c'est toi ! (Inédit) : La Leçon de guitare
- 1963 : Brigitte Bardot (33 T) : L'Appareil à sous, Les Amis de la musique, El Cuchipe, Je me donne à qui me plait, L'Invitango, C'est rigolo, La Madrague, Pas d'avantagee, Everybody loves my baby, Rose d'eau, Noir et blanc, Faite pour dormir
- 1963 : L'Appareil à sous (Super 45 T) : El cuchipe, La Madrague, Les Amis de la musique
- 1964 : Invitango (Super 45 T) : Noir et blanc, Everybody loves my baby, C'est rigolo
- 1964 : Ça pourrait changer (Super 45 T) : À la fin de l'été, Je danse donc je suis, jamais trois sans quatre
- 1964 : B.B. (33 T) : Moi je joue, Une histoire de plage, Ça pourrait changer, À la fin de l'été, Ne me laisse pas l'aimer, Maria Nimguem, Je danse donc je suis, Mélanie, Ciel de lit, un jour comme un autre, Les Cheveux dans le vent, Jamais trois sans quatre
- 1964 : Une histoire de plage (45 T) : Les Cheveux dans le vent, Ne me laisse pas l'aimer, Mélanie
- 1965 : Bubble Gum (Super 45 T) : Je manque d'adjectif, Les Hommes endormis, Les Omnibus
- 1965 : Viva Maria! (33 T) Bande originale du film : Paris, Paris, Paris - Maria, Maria - Ah ! Les p'tites femmes de Paris (Duo avec Jeanne Moreau)
- 1966 : Le Soleil (Super 45 T) : On déménage, Gang Gang, Je reviendrai toujours vers toi
- 1967 : Je t'aime… moi non plus (Inédit) : En duo avec Serge Gainsbourg
- 1967 : Harley Davidson (45 T) : Contact
- 1968 : Bonnie and Clyde (33 T / Special Show) : Bonnie and Clyde, Bubble Gum, Comic Strip, Un jour comme un autre, Pauvre Lola (S.G), La Madrague, Intoxicated man (S.G), Everybody loves my baby, Baudelaire (S.G), Docteur Jeckill et Mister Hyde (S.G)
- 1968 : Bonnie and Clyde (45 T) Version anglaise : Comic strip
- 1968 : Brigitte Bardot Show (33 T) : Harley Davidson, Marseillaise générique, Mister sun, Ay ! Que viva la sangria, Ce n'est pas vrai, Gang gang, Saint Tropez, Port Grimaud, Oh ! Qu'il est vilain, Paris, Je reviendrai toujours vers toi, On déménage, Le diable est anglais, David B, Contact
- 1969 : La Fille de paille (45 T) : Je voudrais perdre la mémoire
- 1970 : Tu veux ou tu veux pas (Super 45 T) : Mon léopard et moi, John et Michael, Depuis que tu m'as quittée
- 1970 : Nue au soleil (45 T) : C'est une bossa nova
- 1970 : Les Novices (45 T) Bande originale du film : Chacun son homme (Duo avec Annie Girardot)
- 1971 : Boulevard du rhum (45 T) Bande originale du film : Sur le Boulevard du rhum, Plaisir d'amour (duo avec Guy Marchand)
- 1973 : Vous ma lady (45 T) : En duo avec Laurent Vergez, Tu es venu mon amour
- 1973 : Le Soleil de ma vie (45 T) : En duo avec Sacha Distel
- 1982 : Toutes les bêtes sont à aimer (45 T) : La Chasse
[modifier] Bibliographie
- 1978 : Noonoah, le petit phoque blanc, Editions Grasset jeunesse.
- 1996 : Initiales B.B., Editions Grasset. Mémoires.
- 1999 : Le Carré de Pluton, Editions Grasset. Mémoires.
- 2003 : Un cri dans le silence, Éditions du Rocher. Brigitte Bardot y exprime l'ensemble de ses idées personnelles.
- 2006 : Pourquoi ?, Editions du Rocher. Retrace les 20 ans de sa fondation ainsi que de nombreuses photos de la star.
- 2006 : Vies privées, entretien de BB avec Henry-Jean Servat.
[modifier] Télévision
- 1959 : Au cours de cette interview en studio par France Roche pour Cinq colonnes à la une sont évoqués son enfance sous les caméras familiales, son sentiment à l'égard du cinéma "qui souvent l'éloigne de la vision première de son personnage", de la danse qu'elle adore et où elle a "ses propres responsabilités" et de la presse internationale et nationale, qui ne l'intéresse pas. Elle évoque son image sexy du film Et Dieu... créa la femme "qui lui colle à la peau" et le mythe Bardot. Elle est très contente de son statut de star mondiale.
- 1962, 1963 : Pour les fêtes de fin d'année, Brigitte offre à deux reprises aux téléspectateurs français un show de variétés : Bardot à la télé, c'est l'événement.
- 1967 : Spécial Bardot, un show mythique avec Serge Gainsbourg, Sacha Distel Claude Brasseur, où Bardot chante, entre autres, Harley Davidson
- 1972 : Actuel 2, Brigitte fait face à quatre journalistes chevronnés dans un débat animé par Jean-Pierre Elkabbach.
- Au pied du mur, BB anime une série d'émissions consacrées à la défense animale ou à l'adoption.
- 1989-1992 : SOS Animaux, série uniquement centrée sur la souffrance animale, dans le cadre du travail de la Fondation BB.
- 1990 : Telle quelle, biographie télévisuelle de BB réalisée par Allain Bougrain-Dubourg
- 1996 : Sacrée Brigitte, une émission spéciale de Jean-Pierre Foucaut à l'occasion de la sortie-événement des mémoires de BB.
- 1996 : Bouillon de culture spécial Bardot, pour la sortie de ses mémoires (Plus d' 1 million exemplaires vendus). Bernard Pivot reçoit BB en face à face et lui offre du champagne dans des coupes ayant appartenu à la vedette et qu'il a achetées lors d'une vente aux enchères destinée à financer la Fondation.
- 2003 : On ne peut pas plaire à tout le monde Spéciale BB, Marc-Olivier Fogiel crée la polémique quand, après avoir rendu hommage à Brigitte Bardot, il lui demande des comptes sur les propos parfois extrêmes qu'elle tient dans Un cri dans le silence (Plus de 300 000 exemplaires vendus)
- 2006 : Spécial Vivement Dimanche, Michel Drucker s'entretient avec Brigitte Bardot à Saint-Tropez.
- 2006 : Spécial Vie privée, Vie publique, Mireille Dumas s'entretient longuement avec Brigitte Bardot chez elle, à la Madrague, à l'occasion de ses 72 ans, des vingt ans de la Fondation BB, de la sortie du livre où elle évoque son combat pour les animaux Pourquoi ? et également de la sortie de l'ouvrage de Henry-Jean Servat, Vies Privées, à la fois album de photos et entretien avec l'actrice. Au cours de cette même semaine de la fin septembre, Brigitte Bardot accorde une interview radiophonique exclusive à Philippe Bouvard.
[modifier] Les hommes de sa vie
[modifier] Mariages
- 21 décembre 1952 : Roger Vadim
- 11 juin 1959 : Jacques Charrier
- 14 juillet 1966 : Gunter Sachs
- 16 août 1992 : Bernard d'Ormale
[modifier] Vie amoureuse
Ces personnes sont celles que Brigitte Bardot cite et relate à travers ses mémoires :
- Jean-Louis Trintignant
- Gilbert Bécaud
- Raf Vallone
- Sacha Distel
- Sami Frey
- Bob Zagury
- Serge Gainsbourg
- Mirko Brozek
- Allain Bougrain-Dubourg
[modifier] Récompenses
- 1957 : Victoires du cinéma Français.
- 1958 : 1er prix de popularité.
- 1959 : 1er prix de popularité.
- 1960 : 1er prix de popularité.
- 1960 : Grand prix Europe (Meilleure actrice pour le film la Vérité).
- 1961 : 1er prix de popularité.
- 1967 : Triomphe du cinéma français.
- 1969 : Triomphe du cinéma français.
- 1980 : Etoile de la Paix (grade de chevalier).
- 1980 : Médaille de la ville de Trieste (Italie).
- 1985 : Médaille de la ville de Lille.
- 1985 : Chevalier de la Légion d'honneur.
- 1989 : Prix de la paix au mérite humanitaire.
- 1992 : Global 500 (Prix du programme des Nations unies pour l'environnement).
- 1994 : Grande médaille de la ville de Paris.
- 1994 : Love of Animals Award (Espagne).
- 1995 : Grande médaille de la ville de Saint Tropez.
- 1996 : Médaille de la ville de la Baule.
- 1996 : Prix Paul Léautaud pour son livre Initiales BB.
- 1997 : Prix Chianciano (Italie) pour son livre Initiales BB.
- 1997 : Prix de l'écologie / Club Unesco du Dodécanèse (Grèce).
- 1997 : Médaille de la ville d'Athènes.
- 2001 : Peta humanitarian Award (U.S.A.).
- 2002 : Prix My Way (Autriche).
- 2003 : Prix des Intellectuels indépendants pour son livre Un cri dans le silence.
[modifier] Résidences
Par ordre d'acquisition :
- 5 place violet, Paris 15e arrondissement (enfance)
- 76 avenue de la Bourdonnais, Paris 7e arrondissement (enfance)
- 1 rue de la Pompe, Paris 16e arrodissement (enfance)
- 79 rue Chardon-Lagache, Paris 16e (n'y habite plus)
- 71 avenue Paul Doumer, Paris 16e (n'y habite plus)
- La Madrague, route des Canebiers, Saint-Tropez (y vit encore)
- Bazoches-sur-Guyonne, Yvelines (y vit encore)
- boulevard Lannes, Paris 16e (n'y habite plus)
- rue de la Tour, Paris 16e (y vit encore)
- La Garrigue, Saint-Tropez (y vit encore)
[modifier] Liens externes
- Fondation Brigitte Bardot
- Zoom sur Brigitte Bardot par Serge Gainsbourg
- Radioscopie de Brigitte Bardot (1976) : interview par Jacques Chancel (Ina Archives Télé)
- Brigitte Bardot à Cinq colonnes à la une (1959) : interview par France Roche (Ina Archives Télé)
- 6 Brigitte Bardot Video
- Classic Movies (1939 - 1969): Brigitte Bardot
[modifier] Notes
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