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Louis Pasteur - Wikipédia

Louis Pasteur

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Louis Pasteur en 1878
Louis Pasteur en 1878

Louis Pasteur (Dole le 27 décembre 1822 - Marnes-la-Coquette le 28 septembre 1895), scientifique français, est un pionnier de la microbiologie.

Sommaire

[modifier] Biographie

[modifier] Son enfance

Louis Pasteur est né en 1822 à Dole, petite ville du Jura. Son père, après avoir été sergent dans l’armée napoléonienne, reprit la profession familiale de tanneur. Pasteur, pas particulièrement brillant à l’école, travaillait dur. Tout jeune, il est connu pour ses talents de peintre, grâce auxquels d’ailleurs il a fait de nombreux portraits de sa famille, et des habitants du village. Pourtant, à 19 ans, il abandonne sa passion de la peinture : son désir est de poursuivre une carrière scientifique.

[modifier] Ses études

Élève doué, il intègre l'École normale de Paris. Afin de s'y préparer, il a déménagé pour Paris en octobre 1838. Cependant, déprimé par cette nouvelle vie, il abandonne cette idée, quitte Paris et poursuit ses études au collège royal de Besançon. En 1840, puis 1842, il obtient les Baccalauréats ès lettres et mathématiques. Conforté par ces réussites scolaires, Pasteur s'installe de nouveau à Paris et est finalement admis à l'École normale supérieure en 1843. Il y étudie la chimie et la physique, ainsi que la cristallographie. Il soutint d'ailleurs deux thèses en 1847, en chimie et en physique. Mais c'est en cristallographie qu'il fait ses premières découvertes. En étudiant la polarisation de la lumière par les cristaux, il découvre que des cristaux de structures pourtant identiques ne dévient pas la lumière de la même façon. Il met ainsi en évidence l'isomérie. Pour ces raisons, à l’âge de 27 ans, « il est reconnu internationalement en raison de ses travaux sur les cristaux, et a déjà derrière lui une prestigieuse carrière dans le monde universitaire français. » Ces travaux sur les cristaux lui vaudront la Médaille Rumford en 1856.

[modifier] Recherches sur les microbes

Après avoir été professeur à Dijon puis à Strasbourg de 1848 à 1853, il y épouse Marie Laurent, fille du recteur d'Académie. Pasteur est ensuite nommé professeur et doyen de la, nouvellement créée, faculté des sciences de Lille.

[modifier] Génération spontanée, et fermentation du vin

Avant Pasteur, on connaissait l’existence des microbes, et germes ; mais on ne connaissait pas bien leurs origines, ni leurs effets. Ce dernier montre que « les microbes ne prennent pas vie à partir d’une autre matière, mais qu’il représente une forme de vie intrasèque, tout en se trouvant dans d’autres matières. » En étudiant la fermentation du vin, il fait une importante découverte : les levures sont des êtres vivants responsables de la fermentation et non des produits de celle-ci. Depuis 1858, il mène une lutte contre les partisans de la « génération spontanée », en particulier contre Félix-Archimède Pouchet et un jeune journaliste, Georges Clemenceau; ce dernier, médecin, met en cause les compétences de Pasteur, qui ne l'est pas, et attribue son refus de la génération spontanée à un parti-pris idéologique (Pasteur est chrétien). Et ce fut finalement après six années de recherche qu'il démontra la fausseté de cette vielle théorie, selon laquelle « la vie pourrait apparaître à partir de rien, et les microbes être générés spontanément » En 1862, il est élu à l'Académie des sciences en remplacement de Henri de Senarment. Ses recherches sur la fermentation lui valurent la médaille Copley en 1874. En 1863, Napoléon III demande à Pasteur d'étudier les maladies affectant le vin. Il propose de chauffer le vin à 57°C afin de tuer les germes et résout ainsi le problème de sa conservation et du transport, c'est la pasteurisation.

[modifier] Bactérie des vers à soie

Malgré ses succès scientifiques, Pasteur jugé autoritaire, se heurte à de nombreuses contestations et son poste d'administrateur est finalement supprimé. En juin 1865, Pasteur s'installe à Alès pour y étudier une maladie qui décime les élevages de vers à soie. Après quatre années de recherche, il découvre comment identifier les papillons malades et permet ainsi leur éradication avant que tout l'élevage ne soit infesté. Il sauve ainsi pour beaucoup l'industrie de la soie dans les Cévennes, bien que certains, dont Antoine Béchamp, lui contestent le mérite de ce succés. La défaite de 1870 et la chute de Napoléon III sont un coup terrible pour Pasteur, grand patriote et très attaché à la dynastie impériale. Par ailleurs, il est malade. L'Assemblée nationale lui vote une récompense pour le remercier de ses travaux dont les conséquences économiques sont considérables. Ses amis croient qu'il va enfin s'arrêter et jouir de sa retraite, mais il reprend ses recherches et conclut ses études sur la fermentation de la bière par la publication d'un livre : Les Études sur la bière et les conseils aux brasseurs.

[modifier] Maladie du charbon, et choléra des poules

L'année suivante, Pasteur tente de se présenter aux élections Sénatoriales, mais c'est un échec. En 1885, il refusa de poser sa candidature aux élections législatives, alors que les paysans de la Beauce, dont il avait sauvé les troupeaux grâce au vaccin contre le charbon, l'auraient sans doute porté à la Chambre des Députés. Il poursuit donc ses recherches et met successivement au point le filtre Chamberland, l'autoclave et le flambage des vases. Suite aux études de Robert Koch, Pasteur découvre le staphylocoque. Pendant six ans, le Français et l'Allemand étudient les maladies et leurs microbes. Durant l'été 1879, Pasteur et ses collaborateurs, Roux et Duclaux, découvrent que non seulement les poules auxquelles on a inoculé des cultures vieillies du microbe du choléra des poules ne meurent pas mais qu'elles résistent à de nouvelles infections - c'est la découverte du vaccin. Le 5 mai 1881, pour la première fois, un troupeau de moutons est vacciné contre la maladie du charbon.

[modifier] La rage

En 1880, Pasteur entame ses recherches sur la rage. Il remarque que la moelle infectée et desséchée protège de la maladie. Le 6 juillet 1885, alors qu'il hésite toujours à tenter sur l'homme ce qui a réussi sur les chiens, on lui amène un petit berger Alsacien de Steige, Joseph Meister, mordu par un chien enragé. Il hésite, mais les plus grands médecins estiment que c'est la seule chance de survie pour l'enfant et, sous leur responsabilité, font procéder à la vaccination. Joseph Meister, alors âgé de 9 ans, est ainsi sauvé. L'Académie des sciences propose la création d'un établissement destiné à traiter la rage : l'Institut Pasteur naît en 1888.

[modifier] La gloire

La découverte du vaccin antirabique vaudra à Pasteur sa consécration dans le monde : il recevra de nombreuses distinctions. Louis Pasteur décède le 28 septembre 1895. Les Français auraient voulu qu'il fût enterré au Panthéon de Paris; finalement sa famille décida de l'enterrer dans une crypte de l'Institut Pasteur.

Que ce soit de la communauté scientifique, ou l’ensemble de la population : «  Pasteur bénéficie encore d'une reconnaissance universelle »[réf. nécessaire].

[modifier] Hommages

Il existe 2 020 rues « Pasteur » en France. C'est le nom propre le plus donné comme nom de rue [1]. Lors des grands mouvements de décolonisation, qui entraînèrent des renommages de rue, les rues Pasteur gardèrent souvent leur nom.

[modifier] Citations

  • « Guérir parfois, soulager souvent, écouter toujours. »
  • « Savoir s'étonner à propos de tout est le premier pas fait sur la route de la découverte. »
  • « La chance ne sourit qu'aux esprits bien préparés. »
  • « Ce sont les Grecs qui nous ont légué le plus beau mot de notre langue : le mot " enthousiasme" - du grec “en théo”, un Dieu intérieur. »
  • « Le microbe n'est rien. Le terrain est tout. »

[modifier] Polémiques autour des travaux de Pasteur : le problème des sources

Certains chercheurs en histoire des sciences [2] [3] [4] [5] [6] [7] [8] [9] soutiennent que Pasteur n'a pas prêté grande attention à la nécessité de citer ses sources; pour certaines découvertes, on pourrait même aller jusqu'au constat de plagiat.

Quelques précisions :

  • Pour ses travaux de cristallographie, son prédécesseur fut Auguste Laurent. Pasteur le connaissait… Auguste Laurent ne put se défendre de ce plagiat, puisqu’il mourut jeune, sans doute d’une tuberculose. Rappelons que Pasteur devint célèbre, au départ, pour ses travaux de cristallographie. Au départ, Louis Pasteur cita Auguste Laurent mais très vite il n'en fit plus allusion [10].
  • Pour la maladie des vers à soie (pébrine, flacherie), ce fut à nouveau Antoine Béchamp. Béchamp accusa Louis Pasteur de l’avoir plagié. Pendant cinq ans, Pasteur se trompa d’hypothèse étiologique : il croyait que la maladie était constitutionnelle, alors qu’Antoine Béchamp avait postulé d’emblée, en 1865, la théorie parasitaire des maladies des vers à soie. Signalons que Pasteur était le « referee » des travaux de Béchamp et était, forcément, au courant des travaux de ce dernier et aussi de l’hypothèse parasitaire des maladies des vers à soie, émise par Antoine Béchamp. Pasteur était têtu et mettait du temps à changer d’avis : il lui fallut des années (d’erreur) pour reconnaître, tardivement, qu'il avait tort [11]. Mais, entre-temps, il s'était attribué, en le proclamant urbi et orbi (auprès de l’Académie des Sciences, etc.), la découverte faite en réalité par Antoine Béchamp. L'historique de cette découverte le prouve [12].
  • Pour le vaccin contre le charbon (maladie) et l’expérience de Pouilly-le-Fort [13], Pasteur n’utilisa pas son vaccin mais celui mis au point par Henry Toussaint. Malade, Henry Toussaint ne sut jamais que Louis Pasteur utilisa le vaccin mis au point par lui-même. Dans l’expérience de Pouilly-le-Fort, la gloire fut pour Pasteur. Pasteur était bien conscient de la forfaiture et empêcha même ses collaborateurs de le dire au grand public. Il alla jusqu'à dire : « Moi vivant, vous ne publierez pas cela, avant d’avoir trouvé l’atténuation de la bactéridie par l’oxygène. Cherchez-la. » [14]. Dans cette histoire, apparemment, Pasteur aurait manqué de correction et de scrupules.
  • Pour le chauffage du lait (la « pasteurisation »), son prédécesseur fut Pierre Victor Galtier et, pour le chauffage du vin, ce fut Alfred de Vergnette de Lamotte. Pasteur avait rencontré Alfred de Vergnette de Lamotte qui se plaignit plus tard à l’Académie des Sciences du plagiat et du vol de ses travaux. Pasteur ne tint pas compte de l’antériorité de ses découvertes, cita Nicolas Appert, dont il disait par ailleurs - certains ont du mal à le croire - qu’il ne connaissait pas les travaux, pas plus que les publications d’Alfred de Vergnette de Lamotte.
  • Pour la rage, son prédécesseur fut Pierre Victor Galtier qui se plaignit du comportement de Louis Pasteur. Le plus proche collaborateur de Louis Pasteur, Emile Roux fut également choqué d'apprendre que Louis Pasteur s'était approprié d'une de ses idées sur la rage (sur le modus operandi d'atténuation du vaccin antirabique). Emile Roux, plus réservé que Pierre Victor Galtier, n’en dit mot mais il en fut profondément affecté [15] [16]. Lors des premiers essais en médecine humaine avec le vaccin de Louis Pasteur, des effets secondaires catastrophiques, avec la mort d'un enfant [17], avaient été passés sous silence. Le médecin qui fit l’autopsie de l’enfant fut le Dr Brouardel : il fit un rapport en faveur de Pasteur. Adrien Loir cite : « Brouardel ajouta : « Si je ne prends pas position en votre faveur, c’est un recul immérité de cinquante ans dans l’évolution des sciences. Il faut éviter cela. » [18]. Finalement, ce fut Emile Roux qui mit au point un deuxième vaccin contre la rage, en se fondant sur les travaux de Pierre Victor Galtier. Emile Roux, respectueux, lui, de son prédécesseur, le citait abondamment dans sa thèse sur la rage [19].

[modifier] Notes et références

  1. http://www.laposte.fr/sna/article.php3?id_article=285
  2. E. Douglas Hume, Béchamp ou Pasteur, un chapitre perdu de l'histoire de la biologie, Paris, éd. Librairie Le François, 1948 (traduit de l'anglais par Aurore Valérie)
  3. Marie Nonclercq, Antoine Béchamp, l'homme et le savant, éd. Maloine, 1982 (ISBN 2-224-00854-6)
  4. Philippe Decourt, Les vérités indésirables, 2de partie : Comment on falsifie l'histoire : le cas Pasteur, Paris, 1989.
  5. Louise L. Lambrichs, La vérité médicale, éd. Robert Laffont, 1993 (ISBN 2-221-06594-8)
  6. Gerald L. Geison, The private science of Louis Pasteur, éd. Princeton University Press, 1995 (ISBN 0-691-03442-7)
  7. Yves Robin, Lettre ouverte à Monsieur Louis Pasteur, éd. France Europe Editions, 2002 (ISBN 2-84825-014-3)
  8. Pierre-Yves Laurioz, Louis Pasteur, la réalité après la légende, éd. De Paris, 2003 (ISBN 2-85162-096-7)
  9. Antonio Cadeddu, Les vérités de la science. Pratique, récit, histoire : le cas Pasteur, éd. Léo S. Olschki, 2005 (ISBN 88-222-5464-3)
  10. Gerald L. Geison, The private science of Louis Pasteur, éd. Princeton university press, 1995, p 86-89.
  11. Selon Paul de Kruif (Paul de Kruif, The microbes hunters, éd. Harvest Books, 1959, p 87-88) ce serait Gernez, le collaborateur de Pasteur, qui lui aurait ouvert les yeux sur l'origine parasitaire de la pébrine et Pasteur aurait mis six mois pour en être convaincu
  12. Citons par exemple Antonio Cadeddu : "L'analyse comparée des textes aujourd'hui disponibles, y compris de la Correspondance des deux auteurs (NDLR : Antoine Béchamp et Louis Pasteur), nous conduit, concernant l'étiologie de ces maladies, à pencher vers une interprétation reconnaissant aux idées et aux théories de Béchamp la priorité sur celles de Pasteur. Notamment, l'analyse de la correspondance de Béchamp, significative et fructueuse, révèle l'image d'un savant occupé en permanence à se défendre des accusations de ses détracteurs, et en particulier des attaques répétées de Pasteur. De nombreuses lettres témoignent de sa volonté explicite de revendiquer pour lui-même l'attribution des découvertes relatives à l'étiologie des maladies des vers à soie (...). Les prétentions de Pasteur, qui avait complètement méconnu la vraie nature du corpuscule vibrant, semblent insoutenables à présent qu'il s'agit d'établir la paternité des théories relatives à la cause et au signe pathognomonique de la "maladie microzymateuse", la flacherie" (Antonio Cadeddu, Les vérités de la science. Pratique, récit, histoire : le cas Pasteur, éd. Leo S. Olschki, 2003, pp 44-45.
  13. Pour une lecture plus fouillée de l'expérience de Pouilly-le-fort, lire le livre de Gerald L. Geison, The private science of Louis Pasteur, éd. Princeton university press, 1995, p 146 à 176.
  14. Adrien Loir, A l’ombre de Pasteur, éd. Le mouvement sanitaire, 1938, p. 160
  15. Adrien Loir, A l’ombre de Pasteur, éd. Le mouvement sanitaire, 1938, p. 68
  16. A la page 152 de son livre "Les vérités de la science. Pratique, récit, histoire : le cas Pasteur", éd. Leo S. Olschki, 2003", Antonio Cadeddu dit que « Roux en effet s’aperçoit rapidement que Pasteur a simplement « imité » sa méthode d’atténuation et, après en avoir demandé confirmation au jeune Loir, sort du laboratoire en claquant la porte. A la suite de cet incident, Roux pendant près d’un an évitera de rencontrer Pasteur et se tiendra longtemps à l’écart des recherches sur la rage ».
  17. Adrien Loir, A l’ombre de Pasteur, éd. Le mouvement sanitaire, 1938, p. 83.
  18. Adrien Loir,A l’ombre de Pasteur, éd. Le mouvement sanitaire, 1938, p. 87.
  19. Jean Théodoridès, Histoire de la rage – cave canem, éd. Masson, 1986, p. 213.

[modifier] Œuvres

L’œuvre complète de Pasteur est téléchargeable sur le site de la Bibliothèque nationale de France, Gallica (cliquer sur le lien puis en haut et à droite à la rubrique « Télécharger »)

(fr)  [pdf] Pasteur Œuvre tome 1 – Dissymétrie moléculaire
(fr)  [pdf] Pasteur Œuvre tome 2 – Fermentations et générations dites spontanées
(fr)  [pdf] Pasteur Œuvre tome 3 – Etude sur le vinaigre et le vin
(fr)  [pdf] Pasteur Œuvre tome 4– Etude sur la maladie des vers à soie
(fr)  [pdf] Pasteur Œuvre tome 5 – Etude sur la bière
(fr)  [pdf] Pasteur Œuvre tome 6 - Maladie virulentes. Virus. Vaccins. Prophylaxie de la rage
(fr)  [pdf] Pasteur – Correspondances (1840-1895)

Les différents articles de Pasteur peuvent être également téléchargés gratuitement sur le site de la Bibliothèque nationale de France, Gallica dans les différents tomes des Comptes rendus de l’Académie des sciences Comptes rendus de l’Académie des sciences (téléchargeables gratuitement).

[modifier] Bibliographie

Tableau d'Albert Edelfelt représentant Louis Pasteur, une de ses représentations les plus célèbres
Tableau d'Albert Edelfelt représentant Louis Pasteur, une de ses représentations les plus célèbres

Les ouvrages ci dessous peuvent être lus pour approfondir le sujet. Ils n'ont pas forcément été utilisés pour la rédaction de cet article. Par ordre alphabétique d'auteurs :

  • Antonio Cadeddu, Les vérités de la science. Pratique, récit, histoire : le cas Pasteur, éd. Léo S. Olschki, 2005 (ISBN 88-222-5464-3)
  • Collectif CNRS, Pasteur, cahiers d'un savant, Zulma, 1995
  • Patrice Debré, Louis Pasteur, Flammarion, 1994
  • Philippe Decourt, Les vérités indésirables, 2de partie : Comment on falsifie l'histoire : le cas Pasteur, Paris, 1989.
  • René Dubos, Louis Pasteur - Franc-tireur de la science, PUF, 1955, réédité chez La Découverte, 1995, (ISBN 2707124109)
  • Emile Duclaux, Pasteur, histoire d'un esprit, Imprimerie Charaire, 1896 (téléchargeable gratuitement sur le site Bibliothèque nationale de France (BNF), Gallica)(fr)  [pdf]Emile Duclaux, Pasteur, histoire d’un esprit
  • Gerald L. Geison, The private science of Louis Pasteur, Princeton University Press, 1995. ("livre enfin publié du seul historien vraiment spécialisé dans l'histoire de Pasteur" Bruno Latour, Pasteur : guerre et paix des microbes, 2001, p. 10)
  • Douglas Hume, Béchamp ou Pasteur ?, 1948, traduit de l'anglais par Aurore Valérie.
  • Bruno Latour, Pasteur, une science, un style, un siècle, Perrin/Institut Pasteur, 1995
  • Bruno Latour, Jean-Marc Pau, Pasteur, bataille contre les microbes, éd. Nathan, 1995 (ISBN 2-09-204466-4) (livre facile à lire pour les enfants)
  • Pierre-Yves Laurioz, Louis Pasteur : La réalité après la légende, Éditions de Paris, 2003, (ISBN 2851620967)
  • Dr Adrien Loir, A l'ombre de Pasteur, éd. Le mouvement sanitaire, 1938 (écrit par le neveu de Pasteur)
  • Louis Pasteur (réunies et annotées par Louis Pasteur Vallery-Radot), Œuvres de Pasteur (7 tomes), Masson, 1939
  • Annick Perrot et Maxime Schwartz, Pasteur, des microbes au vaccin, Casterman/Institut Pasteur, 1999
  • Daniel Raichwarg, Louis Pasteur, l'empire des microbes, Découvertes Gallimard, 1995
  • René Vallery-Radot, La vie de Pasteur, Flammarion ou Hachette
  • Maurice Vallery-Radot, Pasteur, Perrin, 1994

[modifier] Voir aussi

[modifier] Liens internes

[modifier] Liens externes

commons:Accueil

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Précédé par
Émile Littré
Fauteuil 17 de l'Académie française
1881-1895
Suivi par
Gaston Paris
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