Réacteur pressurisé européen
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Le réacteur pressurisé européen (EPR, de l'anglais European Pressurized Reactor) est un concept de réacteur nucléaire. Il a été conçu et développé par Areva NP (ex Framatome-ANP), société commune de Areva et Siemens AG, au cours des années 1990 et 2000. En 2005 a débuté en Finlande le premier chantier d'un réacteur de type EPR.
Les objectifs affichés de l'EPR sont d'améliorer la sûreté et la rentabilité économique par rapport à celles des précédents réacteurs à eau pressurisée. Ce concept est développé pour les pays disposant d'un réseau électrique de forte capacité capable de distribuer une puissance électrique de l'ordre de 1 600 mégawatts. Le réacteur EPR est conçu pour utiliser de l'uranium enrichi à 5% et du combustible nucléaire MOX (avec l'objectif d'un coeur 100% MOX, alors que les réacteurs de ce type sont chargés avec environ 33% de MOX en 2006).
Sommaire |
[modifier] Caractéristiques techniques
L'EPR est une évolution de la technologie des réacteurs à eau pressurisée (REP). Il a été conçu pour répondre aux normes de sûreté édictées par les Autorités de Sûreté allemande et française au cours des années 1990, notamment l'absence de relâchemement de matières radioactives dans l'atmosphère au cours d'un accident grave. Techniquement, il s'appuie sur les concepts de type N4 (réacteur nucléaire français de 1450 MWé) et KONVOI (allemand).
Les caractéristiques principales du projet de l'EPR sont résumées dans le tableau suivant :
Puissance thermique | 4250 à 4500 MW |
Puissance électrique | 1500 à 1600 MW |
Rendement | 36% |
Nombre de boucles primaires | 4 |
Nombre d'assemblages de combustible | 241 |
Taux de combustion (du combustible) |
> 60 GW·j/t |
Durée de vie technique | 60 ans |
Les évolutions par rapport à la filière précédente, demandées par les autorités de sûreté nucléaire (française et allemande) qui l'ont certifié, visent à limiter les risques d'accidents et notamment le risque de fusion du cœur du réacteur qui contient l'uranium enrichi, à réduire les doses de radiations susceptibles d'affecter le personnel, et à diminuer les émissions radioactives dans le milieu environnant. Selon ses concepteurs, la probabilité d'accident serait réduite d'un facteur 10, le niveau d'exposition du personnel aux radiations, d'un facteur 2, et le niveau d'activité des rejets, d'un facteur 10, par rapport aux installations les plus récentes en service.
Sur le plan de la compétitivité, l'accroissement de puissance et un meilleur taux d'utilisation du combustible, de l'oxyde d'uranium enrichi à 5 % d'235U, ou un oxyde mixte uranium-plutonium (MOX), devraient, selon les promoteurs de l'EPR, conduire à une diminution sensible du coût du kWh nucléaire.
La combustion plus complète de l'uranium conduirait aussi à réduire de 15 à 30 % la production de déchets radioactifs à vie longue, «sachant que ces progrès associés à l'augmentation des taux d'irradiation concerneront aussi pour une large partie le parc actuel»[1].
Sur le plan technique, l'EPR se distingue notamment par son enceinte de confinement étanche composée de deux parois de béton de 1,3 m d'épaisseur et par un nouveau dispositif appelé « récupérateur de corium » destiné à recueillir la partie du cœur fondu qui traverserait la cuve, en situation de fusion du cœur (accident exceptionnellement grave) ; autrement, dans cette situation, les matériaux du cœur en fusion pourraient traverser le radier (le syndrome chinois) et contaminer l'environnement.
Le réacteur EPR possède plusieurs protections actives et passives contre les accidents nucléaires :
- 4 systèmes de refroidissement d'urgence indépendants, chacun étant capable de refroidir le réacteur après son arrêt.
- Conteneur de fuite radioactive autour du réacteur.
- Enceinte de confinement en cas de fusion du coeur.
- Mur de deux épaisseurs.
[modifier] Perspectives de construction de l'EPR
La Finlande a opté pour la construction d'un réacteur de la technologie EPR sur le site d'Olkiluoto qui accueille déjà des réacteurs nucléaires. Le chantier a débuté en 2005 pour une mise en service initialement prévue mi-2009. Suite à des problèmes sur le chantier (liés notamment à la mise en oeuvre du béton et à la certification administrative du réacteur), la mise en service prévisionnelle est retardée jusqu'à début 2011 (soit une durée de construction prévisionnelle de 5 ans et demi). Selon un article de La Tribune du 10 novembre 2006, « en Finlande, il se murmure que le retard serait plutôt deux à trois ans[2] ». Par ailleurs, Areva annonce la constitution de provisions financières dans son bilan 2006 pour couvrir ce retard. Ces provisions sont évaluées entre 200 et 300 millions d'euros[3]. Selon « des sources concordantes de l'industrie nucléaire » citées par Capital.fr[4], le 20 octobre 2006, « Areva pourrait perdre "plus de un milliard d'euros en Finlande" ». Dans ce même article, Anne Lauvergeon affirme qu'en aucun cas « les pertes du contrat finlandais pourraient atteindre le milliard d'euros ». Malgré ces difficultés, Pertti Simola, Président de TVO (consortium client de l'EPR finlandais), affirme le 19 décembre 2006 que « c'est le meilleur réacteur au monde qui est en construction à Olkiluoto[5] ».
EDF a prévu de construire un exemplaire de ce réacteur sur le site de la centrale de Flamanville (Manche). Le projet a été soumis au débat public au niveau national[6] dans des conditions controversées[7]. La centrale de Flamanville avait été prévue pour accueillir 4 tranches, il y a donc la possibilité de construire un nouveau réacteur avec des travaux de terrassement réduits. Le choix de la localisation en bord de mer permet de minimiser l'impact d'une éventuelle nouvelle canicule qui mettrait en difficulté les réacteurs situés en bord de rivière comme ce fut le cas lors de la canicule de 2003. La société italienne ENEL a passé un accord avec EDF pour l'achat de 25% de la production du réacteur EPR prévu à Flamanville et une option sur le quart de chacun des cinq réacteurs suivants. Le président de ENEL, Fulvio Conti, a déclaré que par sa participation à l'EPR, ENEL retrouvait les capacités nucléaires perdues après le référendum de 1987 en Italie[8].
D'autre part, le quotidien belge Le Soir annonce le 15 février 2007 que le groupe Suez a l'intention de construire un réacteur nucleaire EPR sur le site de Tricastin pour une mise en service en 2015 et a déjà acquis des terrains à cet effet.
En Chine, Areva a participé, en proposant l'EPR, à un appel d'offre pour la construction de quatre réacteurs de génération III. Cet appel d'offre a été remporté par l'AP1000, un projet du groupe Westinghouse[9]. Début 2007, un autre accord avec la compagnie d'électricité chinoise CGNPC a abouti à la commande de deux tranches d'EPR[10].
Aux États-Unis, l'électricien Constellation Energy et Areva se sont associés au sein du consortium UniStar Nuclear pour promouvoir l'EPR. Le nom du réacteur a été changé en US-EPR (US-Evolutionnary Power Reactor). Le dépôt de la demande de licence aux autorités de sûreté américaines est prévu pour fin 2006 et une première construction pourrait s'envisager pour 2010-2011[11].
[modifier] EPR en construction ou en projet
Finlande
- Olkiluoto 3 (Client: TVO, Mise en service prévue en 2010)
- La construction d'un deuxième EPR, sur le site de Loviisa, serait à l'étude.
France
- Flamanville 3 (Client: EDF, mise en service prévue en 2012)
- La construction d'un EPR sur le site du Tricastin, par Suez/Electrabel, serait à l'étude.
Chine
- Des discussions sont en cours pour la construction de deux EPR sur le site de Yang Jang.
Etats-Unis
- Le premier EPR américain devrait être construit sur le site de Calvert Cliffs.
[modifier] Débat lié à l'EPR en France
Voir aussi débat sur l'énergie nucléaire.
[modifier] Débat sur le besoin de nouvelles capacités de production électro-nucléaire
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En France, l'exploitant du parc nucléaire (EDF) anticipe un éventuel renouvellement des centrales à l'horizon 2020, en remplacement des tranches qui arriveront en fin de vie. Les opposants à l'EPR affirment en revanche qu'il existe une surcapacité en France et que la construction de l'EPR de Flamanville ne serait donc pas nécessaire.
La Finlande a mis sur pied un projet de réacteur EPR. Étant donné qu'aucun réacteur n'a été construit récemment, il n'y a pas eu d'investissements d'Areva NP sur sa chaîne de fabrication de cuve autres que ceux nécessaires à la maintenance des réacteurs en exploitation (remplacement des couvercles de cuve par exemple).
Areva NP sous-traite la fabrication de la cuve à une entreprise japonaise, permettant par là-même à un concurrent d'accéder à ses technologies. Areva NP affirme que cette sous traitance est due aux délais imposés par la Finlande pour la mise en service de l'EPR et aux délais de réalisation d'investissements productifs dans la chaîne de fabrication. En revanche, Areva NP prévoit de fabriquer la cuve de l'EPR français sur ses chaînes de production. Les opposants au nucléaire estiment que l'industrie nucléaire française n'est plus en 2006 en capacité de répondre à de telles commandes.
Les EPR sont conçus pour fonctionner avec du combustible MOX dans une plus grande proportion que les REP 900. Alors que le chargement MOX est actuellement limité à un tiers du cœur dans les réacteurs français disposant de l'autorisation (20 REP 900), l'EPR est conçu pour charger 50 % (parité MOX), voire 100 % de combustible mixte.
Les promoteurs de l'EPR revendiquent une évolution bénéfique de la construction à court terme, tandis que ses opposants affirment que la décision de la construction est très contestable. Un débat public[12] a pris fin le 18 février 2006. Les opposants ont dénoncé le fait que ce débat ait été organisé après la décision par les parlementaires - le 13 juillet 2005, publication au Journal officiel du 14 juillet 2005 - de la construction de l'EPR dans le cadre de la loi d'orientation sur l'énergie, ainsi que la période estivale (du 15 juin au 30 juillet 2006) de l'enquête publique[13] grâce à laquelle le préfet de la Manche délivrera un avis qui, avec celui de l'Autorité de sûreté nucléaire, déterminera si le décret de création de l'EPR sera ou non promulgué[14]. AREVA a commandé le 18 mai des produits destinés à la construction[15].
[modifier] Débat sur la sûreté
Diverses études, dont celle de l'Association internationale des médecins pour la prévention de la guerre nucléaire (IPPNW), intitulée «Les défauts techniques sur la sûreté du réacteur européen à eau pressurisée (EPR)»[16], estiment que ce système pourrait occasionner de puissantes explosions de vapeur, à même d'aboutir à la rupture de l'enceinte de confinement. Ce problème a été identifié par l'Autorité de sûreté française (ASN) [17] "La quantité d’eau qui pourrait être présente dans le puits de cuve et dans la chambre d’étalement au moment de la percée de la cuve doit être limitée par conception. La possibilité d’une explosion de vapeur importante pendant le noyage du corium doit être évitée et les chargements résultant d’interactions eau-cœur fondu doivent être pris en compte dans la conception.".
Une telle explosion nécessite cependant une fonte du cœur et la percée de la cuve du réacteur, qui est un des accidents les plus graves pour un réacteur à eau pressurisé. Un tel évènement ne s'est jamais produit sur l'ensemble de la flotte actuelle de REP (durant l'accident de Three Mile Island, il y a bien eu fonte partielle du cœur, mais la cuve a tenu). Areva, constructeur de l'EPR, affirme avoir mené des études probabilistes montrant que la fréquence de cet évènement est limitée à 10 − 6 / an (un accident de ce type tous les millions d'années de fonctionnement d'EPR)[18]. Cette fréquence est annoncée comme étant 10 fois plus importante chez les réacteurs actuellement en service.
L'enceinte de confinement du réacteur EPR a été dimensionnée pour résister aux dégâts provoqués par la chute d'un avion de chasse. Mme Lauvergeon, P.D-G. d'Areva (constructeur de l'EPR), affirma le 10 juillet 2005 que le réacteur EPR est "conçu pour résister à tout, y compris les chutes d’avions"[19].
Le Réseau "Sortir du nucléaire" a rendu public en 2003 un document Confidentiel défense issu d'EDF. Ce document détaille la capacité de résistance de l'enceinte de l'EPR et conclut que "le cas de chargement proposé/retenu couvre une large gamme de types/masses/vitesses. Il couvre raisonnablement les chargements induits par des avions moyens/gros porteurs". Pour les antinucléaires, la formulation "couverture raisonnable du risque" est l'aveu que le réacteur EPR ne résisterait pas à un crash réalisé avec un gros porteur.
John Large, un scientifique britannique « bien connu du mouvement antinucléaire »[20], mandaté par Greenpeace, a étudié le document classé "confidentiel défense" émanant d'EDF ; en mai 2006, il déclare que "L'analyse d'EDF semble être technique et solide, mais quand on regarde en détail, elle ne tient pas", et affirme que la quantité de carburant embarquée dans un avion commercial pourrait provoquer une explosion et que les locaux abritant le combustible pourraient ne pas résister au choc causé par la chute de l'appareil[21].
La classification secret défense des informations techniques fait l'objet d'une polémique[22] ; Stéphane Lhomme, porte-parole du Réseau "Sortir du nucléaire", a été placé en garde-à-vue le 16 mai 2006 par la Direction de surveillance du territoire (DST), sur réquisition de la section antiterroriste du Parquet de Paris, pour possession d'un document classé « secret défense » sur la sécurité du réacteur EPR en cas de crash suicide avec un avion, ce qui a suscité diverses protestations. [23] Le lendemain, pour protester contre cette garde à vue, diverses organisations (Réseau "Sortir du nucléaire" [24], Greenpeace, Les Amis de la Terre, etc) ont publié sur leur site web une copie du document confidentiel défense.
[modifier] Débat sur l'emploi
Selon EDF, le futur chantier de l'EPR comptera jusqu'à 2000 personnes en phase de construction. L'effectif permanent sera d'environ 300 personnes [25].
Lors d'une opération de recrutement initiée par la filiale BTP Bouygues, un Bus de l'emploi sillonne les villes du département de la Manche dans le but de recruter 400 personnes pour le futur chantier de l'EPR.[26]
Une étude du cabinet d'experts "les 7 vents du Cotentin" commandée par le Réseau Sortir du Nucléaire montre que l'investissement de 3 milliards d'euros pour l'EPR suffirait à produire ou économiser près de 2 fois plus d'énergie grâce aux économies d'énergie et aux énergies renouvelables. Cette étude conclue qu'il existe des alternatives à l'EPR, qui peuvent satisfaire les mêmes besoins énergétiques avec le même investissement que pour l'EPR, tout en créant plus de 10 000 emplois pérennes répartis sur l'ensemble du Grand Ouest. [27]
[modifier] Forme de l'opposition en France
En 2006, le mouvement antinucléaire en France s'est opposé au développement de l'EPR. C'est ainsi qu'à l'initiative du Réseau Sortir du nucléaire plusieurs dizaines de milliers de manifestants (près de 30 000 personnes selon les organisateurs, 12 500 selon la police et plus de 20 000 selon les renseignements généraux locaux.[28][29]) se sont rassemblés le 15 avril 2006 à Flamanville. L'association Greenpeace France a lancé une campagne intitulée "EDF, demain j'arrête", qui vise à s'opposer au projet EPR en faisant pression sur EDF[30].
Des associations, personnalités, groupes, syndicats et partis politiques se sont opposés à la construction de tout nouveau réacteur nucléaire de type EPR (voir la liste des signataires de l'appel international contre l'EPR).
Au cours de la campagne pour l'élection présidentielle française de 2007, les candidats des Verts, de la Ligue communiste révolutionnaire, l'altermondialiste José Bové et Corinne Lepage(Cap 21) se sont prononcés contre sa construction, ceux du Front national et du Mouvement pour la France n'y sont pas opposés, le candidat de l'Union pour un mouvement populaire (UMP) est favorable à ce projet[31]. Les candidats du Parti socialiste et de l'UDF "ont déploré l'absence de véritable débat sur le projet et souhaité une remise à plat de la réflexion, comme Nicolas Hulot qui souhaite un moratoire."[32] Quant au Parti communiste français, il est favorable au projet mais demande à ce qu'il y ait un débat et un référendum sur le nucléaire.
Suite à la délivrance en août 2006 du permis de construire l'EPR à Flamanville, le réseau Sortir du nucléaire a déposé un recours en annulation contre ce permis de construire, qui est accusé de violer le code de l'urbanisme et la loi relative à la protection du littoral. Le réseau Sortir du nucléaire dénonce "« un empressement » motivé par l'élection présidentielle de 2007 en France.
Dans une lettre adressée au Collectif International Stop EPR le 12 mars 2007, Nicolas Hulot demande un moratoire suspensif sur le réacteur nucléaire EPR.
Le samedi 17 mars 2007, des manifestations réunissent dans 5 villes de France entre 20000 personnes selon la police et 62000 personnes selon les organisateurs du Collectif Stop EPR.
[modifier] Voir aussi
[modifier] Liens connexes
- Politique énergétique de l'Union européenne
- Centrale nucléaire
- Liste des centrales nucléaires en France
- Energie nucléaire
[modifier] Liens externes
- Dossier du e-journal Internationalist Review sur le future site de l'EPR à Cherbourg
- La Page d'EDF - Maître d'œuvre de l'EPR en France
- Le projet de réacteur EPR en France sur le site internet du Ministère de l'Économie, des Finances et de l'Industrie
- Devons nous dire oui à l'EPR ? - Texte publié dans "Le Nouvel Economiste" du 24 octobre 2003 par Jean-Marc Jancovici, consultant en Énergie
- STOP-EPR : Mobilisation et Appel international contre l'EPR
- Campagne contre l'EPR du Réseau Sortir du Nucléaire
- www.edfdemainjarrete.org Campagne contre l'EPR de Greenpeace
- Campagne contre l'EPR de Agir Pour l'Environnement
- Campagne contre l'EPR du Réseau Action Climat France
[pdf] Les technologies de l'EPR, brochure technique détaillée sur l'EPR (source AREVA)
[modifier] Notes et références
- ↑ Le projet EPR permet de réduire de 15 à 30% la production de déchets - DEGMP, 2004
- ↑ http://www.unsa-energie-civaux.com/article-4493590-6.html
- ↑ http://fr.biz.yahoo.com/04122006/155/areva-repousse-pour-la-troisieme-fois-le-chantier-de-l.html
- ↑ http://www.capital.fr/actualite/Default.asp?source=FI&numero=60021&Cat=BEH&numpage=1
- ↑ Communiqué de presse d'Areva du 20 décembre 2006
- ↑ Sur http://www.debatpublic-epr.org/
- ↑ http://www.humanite.presse.fr/journal/2005-10-20/2005-10-20-816320
- ↑ [1]
- ↑ http://fr.news.yahoo.com/16122006/5/areva-perd-la-course-la-construction-de-quatre-reacteurs-nucleaires.html
- ↑ http://www.latribune.fr/info/Areva-va-livrer-deux-reacteurs-EPR-a-son-partenaire-chinois-~-ID19D677A1B0E1E9F2C12572750020186D-$Db=Tribune/Articles.nsf-$Channel=Entreprises%20&%20secteurs
- ↑
[pdf] Document du consortium UniStar Nuclear
- ↑ Site de la commission du débat public sur l'EPR
- ↑ EPR : enquête publique du 15 juin au 31 juillet - Libération
- ↑ L’ASN débute l’examen de la demande d’autorisation de création d'un réacteur EPR à Flamanville (Manche) - ASN, 23 mai 2006
- ↑ Dépêche de l'AFP intitulée "Vallourec va fournir des tubes pour le reacteur EPR de Flamanville" ([2])
- ↑ (fr)
[pdf] Les défauts techniques sur la sûreté du réacteur européen à eau pressurisée (EPR) - IPPNW, 2003
- ↑ (fr) Directives techniques pour la conception et la construction de la prochaine génération de réacteurs nucléaires EPR - ASN, 2004
- ↑ (en) EPR committed to the future - AREVA NP
- ↑ Déclaration receuillie par la presse en marge des Rencontres Économiques d’Aix-en-Provence consacrées au risque terroriste>
- ↑ Les Verts en campagne contre l’EPR - Nucléaire : un rapport de Greenpeace France critique le nouveau réacteur d’Areva par Marie-Thérèse Ferracci du magazine Valeurs actuelles no 3667 paru le 9 Mars 2007 : « John Large et son cabinet Large & Associates sont bien connus du mouvement antinucléaire, dont les associations constituent l’essentiel de sa clientèle. John Large a notamment publié des études en partenariat avec le World information service on energy (Wise), un organisme clairement opposé au nucléaire. Une étude commandée en 2001 par le conseil scientifique et technique du Parlement européen (Scientific and technological options assessment) n’a jamais été publiée en raison de son parti pris, de « son manque de sérieux et de qualité scientifique » (rapport Wise de 2001 relatif aux sites de retraitement de déchets nucléaires de La Hague et de Sellafield). » [lire en ligne]
- ↑ (fr) Un expert britannique conteste la résistance de l'EPR en cas d'attaque terroriste - Yahoo! Actualités, 19/05/2006
- ↑ Le Monde du 22 mai 2006: ...une dizaine de personnalités, parmi lesquelles Jean-Luc Mathieu, président de la Commission particulière du débat public EPR, par ailleurs membre de la Cour des comptes, et Annie Sugier, directrice de la division Ouverture à la société civile, à l'IRSN, jugent "regrettable" que "le pouvoir politique (...) ignore les conclusions d'un très sérieux groupe de travail mis en place par la Commission nationale du débat public, sur les obstacles à l'accès à l'information dans le domaine du nucléaire". Les signataires estiment que ce travail a démontré "la nécessité de pouvoir accéder aux documents d'expertise pour permettre une véritable démocratie participative en accord avec la Convention d'Aarhus
- ↑ Réactions à la garde à vue, de la LCR, de France nature environnement, de Cap 21, des Verts, de la Ligue des droits de l'homme et du PS
- ↑ [http://www.sortirdunucleaire.org/sinformer/themas/epr-confidentiel/DGSNR-EDF.pdf
- ↑ http://www.debatpublic-epr.org/docs/pdf/dossier_mo/synthese_dossier_mo.pdf Projet Flamanville 3 - Construction d’une centrale électronucléaire “tête de série EPR” sur le site de Flamanville - Dossier du Maître d'Ouvrage]
- ↑ http://www.granville.maville.com/actu/re/actudet/actu_dep-385788----Le-bus-de-l-EPR-transporte-les-offres-d-emploi_.html Ouest France - samedi 17 mars 2007 - Le bus de l'EPR transporte les offres d'emploi
- ↑ Etude Un courant alternatif pour le Grand Ouest (pdf)
- ↑ http://www.stop-epr.org
- ↑ http://www.liberation.fr/page.php?Article=375376
- ↑ http://www.greenpeace.fr/EPR/
- ↑ Le Monde du 5 octobre 2006, en ligne
- ↑ France 2 article publié le 18/03 à 10:12 , [3]
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