Pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle
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Le pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle est un pèlerinage chrétien, dont le but est le tombeau présumé de l'apôtre dans la crypte de la cathédrale la ville de Saint-Jacques-de-Compostelle en Galice (Espagne). En effet, depuis le IXe siècle, l'Eglise locale prétend posséder le corps (les reliques) de Saint Jacques, apôtre du Christ, à la cathédrale de Saint-Jacques-de-Compostelle. Au Moyen Âge, il comptait parmi les trois grands pèlerinages de la Chrétienté, avec :
- Le Pèlerinage de Rome, ( dont un exemple est celui effectué à partir de Canterbury par la via Francigena), et le recueillement sur les tombeaux de Saint Pierre et Saint Paul
- Le Pèlerinage de Jérusalem, avec le recueillement sur le Saint-Sépulcre.
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[modifier] Origines
Le pèlerinage est né de la découverte vers l'an 800 du sépulcre de Saint Jacques, frère de Saint Jean l'évangéliste et premier apôtre martyr de la chrétienté. Les premiers écrits mentionnant la prédication de Jacques en Espagne remontent au VIIe siècle. Ils ont été repris au XIIe siècle et incorporés au Codex Calixtinus. Saint Jacques aurait quitté le Proche-Orient au Ier siècle avec pour mission de prêcher la parole du Christ en occident jusque dans la péninsule ibérique. Rentré en Palestine, il fut décapité sur ordre du roi Hérode Agrippa. Recueillie par ses compagnons, sa dépouille fut portée dans une embarcation. Guidée par un ange, l'esquif franchit le détroit de Gibraltar avant de s'échouer sur les côtes de Galice.
Son tombeau aurait été retrouvé quelques centaines d'années plus tard, au début du IXe siècle, par l'ermite Pelayo (ou Pelagius) qui déclara avoir eu une révélation dans son sommeil. Il aurait été guidé par une étoile dans le ciel, d'où une des étymologies avancées pour Compostelle : Campus Stellae ou champ de l'étoile.
Théodomire, évêque d'Ira-Flavia (aujourd'hui Padrón), reconnut ce tombeau comme étant celui de Saint Jacques en 835 et le roi Alphonse II des Asturies y fit édifier une église. Il faudra toutefois attendre l'année 1884 pour que le pape Léon XIII officialise la reconnaissance du tombeau de Saint Jacques par l'Église.
[modifier] Histoire
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En 1121, en pleine pèriode de croisade (dont la première est lancée en 1095 par le Pape Urbain II) et 3 ans après la fondation de l'ordre des Templiers en 1118 à Jérusalem par le pape Pascal II pour protéger le pèlerinage de Jérusalem, le pape Calixte II (dont le frère Raymond de Bourgogne est roi de León et de Galice par mariage avec Urraque Ire de Castille, fille du roi de Castille Alphonse VI de Castille) fait de Saint-Jacques-de-Compostelle une ville sainte du même ordre que Jérusalem et Rome et fait construire la cathédrale de Saint-Jacques-de-Compostelle pour y recuellir les reliques sacré.
Il suscite l’écriture du Codex Calixtinus pour assurer la dévotion à l'Apôtre du Christ et assure la promotion du pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle dans toute l'Europe.
Au cours des Xe et XIe siècle, le culte de Saint Jacques étroitement lié en Espagne à la Reconquista commençe de se répandre pour devenir l'un des plus importants du Moyen Âge.
Des quatre coins de l'Europe, les pèlerins de Saint Jacques, qu'on finit par surnommer "jacquets", quittaient leur foyer et traçaient leur route vers la Galice. Pour des raisons pratiques, ils finirent par converger sur des voies précises et des lieux de rassemblement se constituèrent à Paris, Vézelay, Le Puy-en-Velay et Arles. Quatre voies principales se mirent en place sous l'impulsion des grandes abbayes avec un système d'aide aux pèlerins reposant sur des hospices, des chapelles et des étapes. Les rois de Navarre et de Léon améliorèrent de leur côté les routes et construisirent des ponts afin de faciliter les pérégrinations.
Un moine poitevin, Aimery Picaud, rédige le dernier livre incorporé au [[Codex Calixtinus]]. Il y décrit les quatre routes principales en France, qui fusionnent pour trois d'entre elles à Ostabat dans les Pyrénées-Atlantiques, puis à Puente la Reina en Espagne, pour former le camino francés. Il y détaille les étapes mais donne aussi des renseignements sur les régions traversées et leurs populations. Ce Livre n'a pratiquement pas été connu en Europe avant son édition (en latin) en 1882. C'est Jeanne Vielliard qui lui a donné le titre de Guide du pèlerin dans sa traduction de 1938. Depuis il est considéré, à tort, comme l'ancêtre des guides des pèlerins contemporains.
Le pèlerinage n'en restait pas moins semé d'embûches et il n'était pas rare que des pèlerins périssent avant d'arriver à destination (cela arrive encore en 2007). Aux intempéries succédaient des brigands surnommés coquillards, bien heureux de profiter de l'aubaine que représentaient ces braves gens en les détroussant lors de péages imaginaires, quand ce n'était pas tout simplement pour les laisser pour morts.
Les pèlerins avaient pour coutume de rapporter puis de se voir remettre comme témoignage de leur voyage des coquilles de pectens, qu'ils fixaient à leur manteau ou à leur chapeau, d'où le nom de coquilles Saint-Jacques donné par la suite à ces mollusques. La coquille Saint-Jacques était le signe à l'issue du voyage que c'était un homme nouveau qui rentrait au pays. Elle deviendra l'un des attributs reconnaissables du pèlerin, avec le bourdon, la besace et le chapeau à larges bords. La coquille fut même gravée dans la pierre sur les frontons ou les chapiteaux des églises qui servaient d'étape aux pèlerins[1].
[modifier] Le pèlerinage contemporain
Cent mille pèlerins vers Saint-Jacques ont été recensés à Compostelle pour l'année sainte 1999 et près de deux cent mille en 2004. Ils se rendent à Saint-Jacques-de-Compostelle à pied ou à vélo, parfois à cheval.
Par ailleurs, s'il est parcouru depuis le IXe siècle par des chrétiens faisant étape dans des monastères, le pèlerinage de Saint-Jacques est également devenu une randonnée célèbre, où les marcheurs croisent les amateurs d'art roman.
Un chemin de Compostelle est bien identifié en Espagne, le Camino francés qui a été la voie de communication du Nord de l'Espagne très fréquentée après la Reconquista pour favoriser le repeuplement des royaumes du Nord. Cette voie conduisait à Compostelle mais tous ceux qui l'ont empruntée ne sont sans doute pas allés jusqu'en Galice. Il n'y a pas d'équivalent en France. Des chemins de Saint-Jacques ont été tracés par la FFRP (Fédération de Randonnée Pédestre) à partir du début des années 1970. Le premier exemplaire ronéoté du topo-guide du GR 65 pour le tronçon Le Puy - Aubrac date de 1972. Ce chemin de Saint-Jacques est devenu le GR 65 sentiers de grande randonnée.
Sous réserve de la présentation d'un « carnet de pèlerin » (ou credential) délivré par les services du pèlerinage de la Cathédrale de Saint-Jacques-de-Compostelle, par des associations ou, en France par les évêchés ou les paroisses, les pèlerins peuvent faire étape dans des gîtes et des monastères jalonnant le parcours.
À l'arrivée à destination, les pèlerins en possession d'une credential obtiennent un certificat attestant qu'ils ont bien effectué le pèlerinage, la 'compostela', rédigé en latin s'ils ont parcouru les 100 derniers kilomètres à pied (ou 200 en vélo). Le pèlerin venu de Berne ou Helsinki qui s'arrête, fatigué, à 120 kilomètres de Santiago et termine en autocar n'a pas droit à la compostela
[modifier] Les chemins
Quatre chemins, nommés et très sommairement décrits par le dernier Livre du Codex Calixtinus sont désignés par les noms latins de ce manuscrit. L'habitude a ensuite été prise de donner des noms à consonance latine aux chemins contemporains. Ceci peut être justifié quand ils suivent d'anciennes voies romaines. C'est plus folklorique quand il s'agit de créations contemporaines.
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France
En France, ils sont au nombre de quatre :
- la via Podiensis (1530 km), qui tire son nom du Puy-en-Velay ; lieu de rassemblement et lieu de pèlerinage marial ; ce chemin est balisé comme "GR 65", dès Genève ; le trajet Genève-Le Puy est appelé via Gebennensis.
- la via Lemovicensis, qui passe par Limoges, d'où son nom ; le lieu de rassemblement était à Vézelay.
- la via Turonensis (1460 km), qui passe par Tours, et le lieu de rassemblement était l'église Saint-Jacques-de-la-Boucherie à Paris (l'actuelle Tour Saint-Jacques) d'où les pèlerins quittaient Paris par les rues Saint-Jacques, du Faubourg Saint-Jacques et de la Tombe Issoire.
Ces trois chemins se rencontrent dans les Pyrénées-Atlantiques à Ostabat, au niveau du « Carrefour de Gibraltar ». Ce dernier ne doit rien à Tariq ibn Ziyad, c’est simplement une déformation phonétique du sanctuaire de Saint-Sauveur, sur la colline. Chabaltore en basque, est devenu Chibaltare, Chibraltare et enfin Gibraltar. La traversée de la frontière se fait par le col de Roncevaux et la suite du chemin prend le nom de camino navarro.
- la via Tolosane, qui passe par Toulouse, d'où son nom ; mais elle s'est aussi appelée via Arletanensis, du lieu de rassemblement des pèlerins, Arles. Elle a eu aussi comme nom via Eagidia, ou route de Saint-Gilles, en honneur à la famille des comtes de Toulouse (les Saint-Gilles). Ce chemin rejoint l'Espagne par le col du Somport. Mais elle était précédée par la via Domitia – Chemin de Compostelle, qui va du col de Montgenèvre à Arles, appelé aussi la via Francigena ainsi nommée par les italiens puisqu'elle passe en France. Il y avait un chemin parallèle, le Chemin du Piedmont ou « el cami deu pé de la coste », qui recevait les pèlerins de la via Tolosane au niveau de Narbonne. Ces chemins rejoignaient l'Espagne par le camino aragones, ainsi nommé puisqu'il rejoint l'Aragon.
Camino navarro et camino aragones se rencontrent à Puente la Reina, finissant la jonction des quatre chemins français. La poursuite du chemin prend à partir de là le nom de camino francés.
Il existe aussi des chemins de traverse qui permettent aux pèlerins de se rendre dans des lieux de pèlerinages, comme celui qui va de Conques à Toulouse, ou bien encore la voie de Soulac.
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Espagne
En Espagne le chemin prend le nom de « camino francés » puisqu'il est emprunté par les « Francos », sans distinction de nationalité. En Espagne ce chemin est aussi appelé la "ruta interior" par opposition à la "ruta de la costa" ou "camino del norte", premier chemin de Compostelle. D'autres voies traversent le pays au départ de Barcelone, Madrid ou Séville.
[modifier] Unesco
Le camino francés d'Espagne a été inscrit au patrimoine mondial de l'UNESCO en 1993.
Sous le titre «Les chemins de Saint-Jacques-de-Compostelle en France », 70 édifices et 7 tronçons de chemin ont été inscrits quant à eux au patrimoine mondial de l'UNESCO le 5 décembre 1998. Il est donc faux de faire croire que "les chemins de Compostelle en France" sont inscrits au patrimoine mondial. La situation de la France n'est pas comparable à celle de l'Espagne.
- Amiens : la cathédrale Notre-Dame •
- Arc-et-Senans : la saline royale •
- Arles : les monuments romains et romans •
- Avignon : le centre historique (le palais des papes, l’ensemble épiscopal) et le Pont d’Avignon •
- Bordeaux : prévu pour juin 2007 •
- Bourges : la cathédrale Saint-Étienne •
- Carcassonne : la ville fortifiée historique •
- Chartres : la cathédrale Notre-Dame •
- Golfe de Porto (Corse-du-Sud) : la calanche de Piana, Le golfe de Girolata et La réserve de Scandola
- Dordogne : les sites préhistoriques et les grottes ornées de la vallée de la Vézère •
- France : les chemins de Saint-Jacques-de-Compostelle •
- France et Belgique : les beffrois •
- Fontainebleau : le palais et son parc •
- Hautes-Pyrénées et Aragon : le Mont-Perdu •
- Le Havre : centre-ville du Havre reconstruit par l'atelier Auguste Perret •
- Loiret, Loir-et-Cher, Indre-et-Loire et Maine-et-Loire : le Val de Loire, de Sully-sur-Loire à Chalonnes •
- Lyon : le site historique du Vieux Lyon •
- Marmagne : l’abbaye cistercienne de Fontenay •
- Midi-Pyrénées et Languedoc-Roussillon : le canal du Midi •
- Le Mont-Saint-Michel : le mont, son abbaye et sa baie •
- Nancy : les places Stanislas, de la Carrière, et d’Alliance •
- Orange : le théâtre antique, ses abords et l'arc de triomphe.
- Paris : les rives de la Seine •
- Provins : la ville de foire médiévale •
- Reims : la cathédrale Notre-Dame, la basilique et l’ancienne abbaye Saint-Remi et le palais de Tau •
- Remoulins : le Pont du Gard •
- Rouen : prévu pour 2009 dont la cathédrale, l'abbatiale saint-ouen, le gros horloge, le parlement de normandie •
- Saint-Émilion : sa Juridiction •
- Saint-Savin (Vienne) : l’abbatiale de Saint-Savin sur Gartempe •
- Strasbourg : Grande île •
- Vernon : prévu pour 2010 avec le vieux Moulins (unique au monde, le château de Bizy, le village des peintres de Giverny •
- Versailles : le palais et son parc •
- Vézelay : la basilique et sa colline
[modifier] Villes et monuments traversés
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Suivant leurs vœux et leurs possibilités, les pèlerins adaptaient leur itinéraire pour aller prier des corps saints, sans toujours suivre les itinéraires les plus directs.
[modifier] De Conques à Toulouse
- Aubin, où les pèlerins trouvaient un hôpital et deux églises, l’église du Gua et l'église Notre-Dame d'Aubin.
- Villeneuve d'Aveyron, l’église Saint-Sauveur et ses fresques représentant saint Jacques pélerin
- Villefranche-de-Rouergue, la collégiale Notre-Dame, l'ancienne chartreuse Saint-Sauveur, la chapelle des Pénitents-Noirs et l'hôpital Saint-Jacques
- Najac, L'église gothique Saint-Jean
- Laguépie
- Cordes-sur-Ciel
- Gaillac, l’église abbatiale Saint-Michel et l’église Saint-Pierre
- Lisle-sur-Tarn
- Rabastens, l'église Notre-Dame du Bourg de Rabastens et ses fresques, qui illustrent différents épisodes de la vie, réelle ou légendaire, de Jacques le Majeur.
- Saint-Sulpice, L’église qui est une ancienne chapelle Saint-Jacques
- Montastruc-la-Conseillère
- Castelmaurou, qui signifierait le "castel des Maures".
- L'Union
De là les pèlerins rejoignaient la via Tolosane à Toulouse.
[modifier] Autres lieux pour un chemin Auvergnat
Une variante de la via Lemovicensis partait de Nevers en direction de Clermont.
Les pèlerins pouvaient ainsi rejoindre la via Podiensis ou la via Tolosane, en fonction des lieux de pèlerinages qu’ils voulaient honorer.
Cheminant le long de l'Allier, les jacquets étaient accueillis par les bénédictins de l'abbaye de Souvigny, qui était l'une des cinq «filles» de l'ordre de Cluny.
- Souvigny, prieuré célèbre du Bourbonnais fondé par les moines de Cluny.
- Anzy-le-Duc, prieuré dépendant de Saint-Martin d'Autun.
- Ébreuil, l'église Saint Léger.
- Clermont-Ferrand : l'église Notre-Dame du Port
- Orcival, la basilique Notre Dame
- Saint-Nectaire-le-Haut, l’église Saint-Nectaire, et ses fromages.
- Saint-Floret
- Issoire, l’abbatiale saint Austremoine.
- Saint-Saturnin, son monastère de bénédictins.
- Brioude, La basilique Saint-Julien.
- Lavaudieu, dont le nom signifie la vallée de Dieu, et l'église Saint-André, de là ils pouvaient aussi rejoindre la via Podiensis au Puy-en-Velay.
- Saint-Flour, la cathédrale Saint Pierre.
- Murat-le-Quaire, l’église Notre-Dame-des-Oliviers
- Aurillac, l’abbaye d’Aurillac, l’église Saint Géraud, et l’église Notre-Dame-aux-Neiges sans oublier Gerbert d’Aurillac, (938 – 1003), premier pape français.
- Souillac, l’église Sainte-Marie, ancienne abbatiale romane à coupoles
- Collonges-la-Rouge, l'église Saint-Pierre
- Aubazine, l’abbaye Saint-Étienne
- Beaulieu-sur-Dordogne, l'abbatiale Saint-Pierre
- Rocamadour, l’église Saint-Sauveur et la crypte Saint-Amadour
- Domme, l' « acropole du Périgord » et la maison du Gouverneur
- Bonaguil, et son château de Bonaguil.
- Villeneuve-sur-Lot, l'église Sainte-Catherine
- Agen, la cathédrale Saint-Caprais
- Nérac, le château d'Henri IV, et l’église Saint Nicolas
- Andiran, le château d’Hordosse.
De là ils pouvaient rejoindre la via Podiensis à Condom.
[modifier] Quelques sites inscrits sur la Liste du patrimoine mondial de l'Unesco au titre du bien «Les chemins de Saint-Jacques de Compostelle» en France
- Aire-sur-l'Adour : église Sainte-Quitterie d'Aire
- Amiens : cathédrale Notre-Dame
- Châlons-en-Champagne : collégiale Notre-Dame-en-Vaux
- Compiègne : église paroissiale Saint-Jacques
- Folleville : église paroissiale Saint-Jean-Baptiste
- Jézeau : église Saint-Laurent
- L'Épine : basilique Notre-Dame
- Le Mont-Saint-Michel
- Mimizan : clocher porche de Mimizan
- Ourdis-Cotdoussan : église de Cotdussan
- Pons : hospice des pélerins
- Rabastens : église Notre Dame du Bourg
- Saint-Avit-Sénieur : église de Saint-Avit-Sénieur
- Saint-Sever : abbaye de Saint-Sever
- Sorde-l'Abbaye : ancien monastère bénédictin
- Saint-Léonard-de-Noblat : collégiale Saint-Léonard
[modifier] Notes
- ↑ Voir par exemple l'église paroissiale Saint-Jacques à Perros-Guirec
[modifier] Voir aussi
[modifier] Bibliographie
- Denise Péricard-Méa, Compostelle et cultes de saint Jacques au Moyen Age, Paris, PUF, 2002, 9 782130 510826
- Bernard Gicquel, La Légende de Compostelle, Le Livre de Jacques, Paris, Tallandier, 2003, 9 782847 340297
- Denise Péricard-Méa, Brève histoire du pèlerinage de Saint-Jacques de Compostelle, Gavaudun, PUF, 2003, 9 782910 685331
- Denise Péricard-Méa, Les Routes de Compostelle, Paris, Gisserot, 2002,réd. 2006, 9 782877 476720
- Louis Mollaret et Denise Péricard-Méa Dictionnaire de saint Jacques et Compostelle, Paris, Gisserot, 2006, 9 782877 478847
- Ferdinand Soler, Guide pratique du Chemin de Saint-Jacques de Compostelle (camino francés) ISBN 2-84454-334-0
- Christian Champion, manger et dormir sur le camino francés 2007 ISBN 2-9528559-0-0
[modifier] Liens internes
- Année Sainte Compostellane
- Jacques Chocheyras, Saint-Jacques à Compostelle, Ouest-France, 1985 et 1997.
- Ferdinand Soler, auteur d'un guide sur le pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle, hospitalier bénévole et conférencier.
- Christian Champion, auteur de guides pratiques sur les services utiles au pèlerin de Compostelle en Espagne (camino Francés et vallée d'Aspe-Aragonés)
[modifier] Liens externes
Le corps de saint Jacques à Compostelle
- Cartographie complète des différents chemins du pèlerinage
- Association de Coopération Interrégionale
- Compostela2010.free.fr à l'usage des pèlerins
- Chemin du pélerin, le wiki des services sur le camino francés
- Conseils pratiques et informations sur les accueils
- Chemins de St Jacques de CompostelleLeur HISTOIRE dans le Sud-Ouest
[modifier] Guides, Livres, Films et DVD
- Photothèque de Léonnard Leroux
- Film Saint Jacques... La Mecque
- Guide du Chemin de Saint-Jacques en Catalogne
- Guide pratique du Chemin de Saint-Jacques de Compostelle ISBN 2-84454-334-0
- Guide des services "manger et dormir sur le camino francés 2007" ISBN 2-9528559-0-0
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Voies principales : Via Turonensis | Via Lemovicensis | Via Podiensis | Via Tolosane | Camino Navarro | Camino Aragonés | Camino Francés Voies secondaires : Voie de Soulac | Chemin du Piedmont | Camino del Norte | Voie du Baztan | Via Domitia | Via Gebennensis | Via de la Plata Pèlerin de Saint-Jacques | Saint Jacques apôtre | Saint-Jacques-de-Compostelle | Codex Calixtinus | Aimery Picaud | Miracle du pendu-dépendu |
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