Avignon
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- Pour les articles homonymes, voir Avignon (homonymie).
Avignon | |
Pays | France |
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Région | Provence-Alpes-Côte d’Azur |
Département | Vaucluse (préfecture) |
Arrondissement | Avignon (chef-lieu) |
Canton | Chef-lieu de 4 cantons |
Code INSEE | 84007 |
Code postal | 84000 |
Maire Mandat en cours |
Marie-Josée Roig 2001-2008 |
Intercommunalité | Communauté d’agglomération du Grand Avignon |
Latitude | |
Longitude | |
Altitude | 10 m (mini) – 122 m (maxi) |
Superficie | 64,78 km2 |
Population sans doubles comptes |
90 800 - 175 000 (agglomération) hab. (2005) |
Densité | 1 326,6 hab./km2 |
Avignon[1] est une ville du sud de la France, plus grande ville et chef-lieu du département de Vaucluse. Avignon d'étend sur la rive gauche du Rhône. Sur les 90.800 habitants que compte la ville, 12.000 demeurent intra-muros.
Ses habitants sont appelés les Avignonnais (gentilé ).
[modifier] Devise et blason
La devise d'Avignon est « Unguibus et rostro » (bec et ongles)
Le blason est de gueules, à trois clefs d’or, posées en fasces. L’écu soutenu par deux gerfauts.
[modifier] Géographie
- Plans et vues satellite : 43° 56’ 58’’ N, 4° 48’ 32’’ E.
Avignon est au confluent du Rhône et de la Durance. Elle est limitrophe des départements du Gard et des Bouches-du-Rhône.
La ville se situe à proximité d’Orange (au Nord), de Nîmes (au Sud-Ouest), d’Arles (au Sud), et de Salon de Provence (au Sud-Est).
[modifier] Histoire
Le nom de la ville remonte aux environs du VIe siècle av. J.-C. Aouen(n)ion, mais qui a deux interprétations : ville du vent violent ou encore seigneur du fleuve. D’autres sources font remonter son origine au gaulois mignon (marais) et de l’article celtique défini.
[modifier] Antiquité
Avenio, fondée par les Phocéens de Marseille vers 539 av. J.-C., fut longtemps la capitale des Cavares. Sous les Romains, elle fit partie de la Gaule Narbonnaise, puis de la 2e Viennaise.
[modifier] Moyen Âge
Gondebaud, roi des Bourguignons, s’en empara au Ve siècle et s’y défendit contre Clovis Ier. Par la suite, elle fut la proie des Goths, et enfin des Francs sous Thierry Ier, roi d’Austrasie, en 612. En 730 et 737, les Sarrasins s’en emparèrent, mais ils en furent chassés par Charles Martel.
Après le partage de l’empire de Charlemagne, Avignon fut comprise dans le royaume d’Arles ou royaume des deux-Bourgogne et possédée en commun par les comtes de Provence et de Forcalquier, puis par ceux de Toulouse et de Provence. Sous la suzeraineté de ces comtes, elle s’érigea en une espèce de république (création d’un consulat en 1129), deux ans avant sa voisine Arles; mais, lors de la guerre des Albigeois, la ville ayant pris parti pour Raymond VII de Toulouse, comte de Toulouse, elle fut assiégée et prise par le roi de France Louis VIII (1226). En 1251, elle fut forcée de se soumettre aux deux frères de Saint Louis, Alphonse de Poitiers et Charles d’Anjou, héritiers par les femmes des comtés de Toulouse et de Provence, qui la possédèrent par moitié. Après la mort d’Alphonse, 1271, Philippe III de France hérita de sa part d’Avignon, et il la transmit en 1285 à son fils Philippe le Bel. Celui-ci la céda en 1290 à Charles II d’Anjou, qui dès lors resta seul propriétaire de toute la ville.
[modifier] La papauté d’Avignon
- Voir l’article détaillé : Papauté d’Avignon
Transfigurée par les papes au XIVème siècle, la cité rhodanienne a résisté aux assauts du temps. Eglises, palais et couvents composent un décor médiéval spectaculaire et parfaitement conservé.
Avignon est connue comme ancienne cité papale. En 1309, sous le pape Clément V, Avignon devint la résidence des papes, déjà possesseurs du comtat Venaissin ; elle fut vendue le 9 juin 1348 à Clément VI par Jeanne Ire de Naples, reine de Naples et comtesse de Provence. Au total ce sont neuf papes — dont deux schismatiques — qui vont se succéder dans le Palais des Papes et enrichir celui-ci au fil des pontificats. A la fois forteresse et palais, la résidence papale est construite entre 1334 et 1363. Elle sera pendant près d'un siècle le siège de la chrétienté d'Occident. Sept papes et deux anti-papes s'y succédèrent. Après le retour définitif des souverains pontifes à Rome, au début du XVème siècle, elle devient la résidence des légats envoyés par le Vatican. La ville resta à l'Eglise jusqu'en 1791, date à laquelle elle fut, avec le Comtat Venaissin, réunie à la France. Au XIXème siècle, le palais accueille successivement des soldats, des prisonniers, puis les archives départementales. Sa restauration débute en 1906.
La cour bouillonne et attire un grand nombre d'immigrants : marchands, peintres, sculpteurs, musiciens ...
- 1309–1316 Clément V
- 1316–1334 Jean XXII
- 1334–1342 Benoît XII
- 1342–1352 Clément VI
- 1352–1362 Innocent VI
- 1362–1370 Bienheureux Urbain V
- 1370–1378 Grégoire XI
- 1378–1394 L’antipape Clément VII
- 1394–1423 L’antipape Benoît XIII
En 1355, Innocent VI fait élever de nouveaux remparts, afin d'englober les nouveaux faubourgs et de tenir les grandes compagnies à distance. Ces bandes de pillards épargnent la ville après avoir reçu une très dissuasive compensation financière. Puis les saints pères s'en retournent à Rome, les siècles passent... Et Avignon conserve sa muraille. Une muraille pas bien haute, finalement, que l'on pourrait presque enjamber et qu'un certain missionnaire, le père Labat, raillait ainsi en 1731 : "Si les boulets de canon n'étaient remplis que de vent, (les remparts) pourraient résister quelques temps." Il a même été question un moment de les démolir. On les avait déjà percés : ils comptaient en effet 7 portes à l'origine, fermées la nuit et réduites à 4 vers le XVIème siècle. On en compte aujourd'hui 29, étroites poternes et brèches incluses. Les murs actuels (4.330 mètres de longueur) datent de 1356. Ils furent édifiés à la demande du pape Innocent VI pour englober les nouveaux quartiers d'une ville en pleine expansion et la protéger des bandes de pillards qui écumaient la région. Au XIXème siècle, l'architecte Viollet-le-Duc redessina l'ensemble. Parfaitement conservée, cette muraille basse à mâchicoulis ensère le coeur administratif et culturel de la ville. Un Avignonnais sur sept y a élu domicile.
Lorsque Grégoire XI ramena le siège de la papauté à Rome, en 1377, la ville d’Avignon fut administrée par un légat. Les papes revinrent l’habiter pendant le grand schisme (1379–1411). Puis, de nouveau, la cité fut administrée par un légat, assisté, de manière permanente à partir de 1542, par un vice-légat.
[modifier] Temps moderne
En 1562, la ville est assiégée par le baron des Adrets, qui voulait venger le massacre d’Orange[2].
Charles IX passe dans la ville lors de son tour de France royal (1564-1566), accompagné de la Cour et des Grands du royaume : son frère le duc d’Anjou, Henri de Navarre, les cardinaux de Bourbon et de Lorraine[3]. La Cour y séjourne trois semaines.
La ville reçut la visite de saint Vincent de Paul en 1607 et celle de saint François de Sales en 1622.
En 1691, la fonction de légat fut supprimée et le vice-légat gouverna désormais seul la cité.
À la mort de l’archevêque d’Arles Philippe de Lévis (1475), le pape Sixte IV de Rome réduisit le diocèse d’Arles : il détacha le diocèse d’Avignon de la province d’Arles, l’ériga en archevêché et lui attribua comme suffragants les évêchés comtadins de Carpentras, Cavaillon et Vaison-la-Romaine.
Ultérieurement, Avignon, comme capitale du Comtat-Venaissin, est donc restée possession pontificale jusqu’au 12 septembre 1791, date à laquelle l’Assemblée nationale constituante vota l’annexion d’Avignon et la réunion du Comtat-Venaissin à la République française, suite à un référendum soumis aux habitants dudit Comtat.
Les 16 et 17 octobre 1791, Avignon a été impliquée dans les massacres dits de la Glacière.
À la création du département du Vaucluse le 12 août 1793, la ville en devient le chef-lieu. Cette réunion fut confirmée en 1797 par le traité de Tolentino. Pendant la Révolution et en 1815, Avignon fut le théâtre de déplorables excès : le maréchal Brune y fut assassiné.
Anecdote fiscale : c’est le Rhône qui faisait la frontière entre les terres pontificales et le royaume de France. Mais le fleuve était considéré comme territoire français. Lorsque les crues inondaient les bas-quartiers d’Avignon, les collecteurs d’impôts royaux venait donc en barque prélever les impôts dûs à la couronne.
[modifier] Blasonnement
- De gueules, à trois clefs d’or posées en fasce, avec deux gerfauts pour supports.
Et la devise : UNGUIBUS ET ROSTRO. (Malte-Brun, dans la France illustrée, tome V, 1884).
- Note : unguibus et rostro signifie littéralement « à bec et à griffe », équivalent à l’expression « bec et ongles » en français.
[modifier] « à Avignon » ou « en Avignon » ?
Utilisation lexico-syntaxique, deux explications peuvent être données :
- Historique : une convention dans la langue française veut que l’on désigne une localisation dans la ville en utilisant la préposition “en” au lieu de “à” : Mireille Mathieu est née en Avignon. Cet usage est communément attribué au fait qu’Avignon était le chef-lieu d’un territoire qui n’est devenu français qu’en 1791 et qu’on y faisait référence comme un pays étranger. Par exemple, on dit « en Anjou » mais « à Angers ». L’usage a perduré après le rattachement d’Avignon à la France.
- Linguistique : en provençal, il existe l’expression en Avinhon / en Avignoun (à Avignon, dans Avignon) mais aussi anar a(n) Avinhon / ana à-n-Avignoun (aller à Avignon) (selon le dictionnaire de Frédéric Mistral, Lou Tresor dóu Felibrige). Cette particularité d’usage s’applique également à la ville d’Arles, sans la raison historique évoquée pour Avignon, mais à cause de la langue provençale. Par exemple : Mai, per lo saussissòt... a(n) Arle lo pompon ! / Mai, pèr lou saussissot... à-n-Arle lou poumpoum ! (extrait d’un poème sur le saucisson d’Arles).
Il est à noter que cet usage du “en”, en français, est jugé pédant par certains et grammaticalement incorrect.
Certains habitants d’Avignon et d’Arles utilisent la préposition “à” suivant en cela la formule appropriée lorsqu’on parle de la ville stricto sensu, comme l’on fait pour « à Aix », « à Albi » ou « à Amboise ».
Explications complémentaires à ce sujet sur le site de la ville d’Avignon et dans la vidéo de TV5.
[modifier] Démographie
1962 | 1968 | 1975 | 1982 | 1990 | 1999 | 2005 |
---|---|---|---|---|---|---|
72 717 | 86 096 | 90 786 | 89 132 | 86 939 | 85 929 | 90 800 |
Nombre retenu à partir de 1962 : Population sans doubles comptes |
[modifier] Administration
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Autre dénomination : "La Cité des Papes" Depuis quelques années, la physionomie générale de la ville a considérablement évolué. Selon certaines estimations, 20 à 25 % de la population avignonnaise s'est renouvelée en ces quelques années. Première illustration concrète, le dernier recensement fait état d'un gain de population évalué à plusieurs milliers de personnes, alors que le nombre de résidents n'avait cessé de décliner depuis 1975. Dans le centre historique, ceinturé par les imposants remparts médiévaux laissés en l'état, la hausse démographique s'élève à plus d'un millier de personnes, pour un secteur comptabilisant 12 000 à 13 000 habitants. Economiquement, Avignon s'est toujours fait valoir comme le poumon économique de son département, le Vaucluse. Mais la réalité des chiffres, sans vraiment contredire ce constat économique, vient rappeler une réalité moins reluisante. Avignon est une ville "pauvre", dans tous les sens du terme. Concentrant une part prépondérante des Rmistes et du parc de logement social d'un département déjà très mal classé pour ses statistiques sociales, la Cité des Papes aligne tout logiquement un palmarès bien peu flatteur, celui d'être l'une des communes les plus pauvres de France, en terme de revenus moyens, de chômage, ou encore de minimas sociaux. Seuls 42 % des foyers avignonnais sont imposables, pour une moyenne nationale de l'ordre de 50 %. Le logement social représente près de 35 % du total (45 % il y a une dizaine d'années). Avignon concentre plus de 80 % du logement social de son agglomération.
Avignon est chef-lieu du département de Vaucluse, de l’arrondissement d’Avignon et de quatre cantons :
- le canton d’Avignon-Est est formé d’une partie d’Avignon (incluant Montfavet) et la commune de Morières-lès-Avignon (32 228 habitants) – conseiller général : André Castelli PCF (conseiller municipal d’Avignon) ;
- le canton d’Avignon-Nord est formé d’une partie d’Avignon et de la commune du Pontet (33 028 habitants) – conseiller général : Christian Bouillot UMP (1er adjoint au maire d’Avignon) ;
- le canton d’Avignon-Ouest est formé d’une partie d’Avignon (23 118 habitants) – conseiller général : Alain Dufaut UMP (sénateur, conseiller municipal d’Avignon) ;
- le canton d’Avignon-Sud est formé d’une partie d’Avignon (19 690 habitants) – conseillère générale : Michèle Fournier-Armand PS (conseillère municipale d’Avignon).
Par ailleurs, Avignon est le siège de la Communauté d’agglomération du Grand Avignon.
[modifier] Economie
Avignon est le siège de la Chambre de commerce et d'industrie de Vaucluse. Elle gère l’aéroport et le port de commerce du Pontet.
[modifier] Personnages célèbres
Naissance à Avignon : Artistes
Sportifs
Philosophes, poètes, écrivains
Divers
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Autres personnes en rapport avec Avignon :
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[modifier] Monuments, Musées, et lieux touristiques
Avignon est classée Ville d’Art et d’Histoire.
La ville est entourée de remparts et ses maisons anciennes ont beaucoup de charme.
[modifier] Le pont d’Avignon
Construit au XIIème siècle, le pont Saint-Bénezet reliait Avignon à Villeneuve. Mais les crues et les conflits ont progressivemnt ruiné l'ouvrage. Des 22 arches initiales, il n'en reste que 4 ... et la chapelle Saint-Nicolas, dédiée au patron des mariniers du Rhône.
[modifier] Palais des Papes
Le Palais des Papes du XIVe siècle et le pont Saint-Bénezet (il s’agit du fameux pont d’Avignon) du VIIe siècle, sont classés au patrimoine de l’humanité par l’UNESCO.
[modifier] Musées
- L'hôtel de Caumont habritant la collection Lambert
- la maison Jean Vilar
- Musée Angladon
- Musée Calvet
- Musée de l’Œuvre
- Musée du Mont-de-piété
- Musée du Petit Palais
- Musée lapidaire
- Musée Louis-Vouland
- Musée Requien
- Palais du Roure
[modifier] Églises
- Ccathédrale des Doms
- Saint Agricol
- Saint Didier
- Saint Pierre
- Saint Symphorien les Carmes
[modifier] Bibliothèque
Sa bibliothèque municipale est classée.
[modifier] Une ville de culture
Chaque année depuis 1947, Avignon accueille le Festival d'Avignon où de nombreux acteurs de théâtre, danseurs et chanteurs viennent se produire pendant le mois de juillet.
Mais réduire la vie culturelle d'Avignon au simple festival serait particulièrement inexact. La ville accueille de nombreuses manifestations durant l'année,
On peut citer:
- Les Hivernales d’Avignon, festival de danse contemporaine;
- Avignon/New York & Avignon Film Festivals, (rencontres cinématographiques euro-américaines, festival des cinémas indépendants);
- Avignon-Jazz Festival.
Avignon possède deux cinémas Utopia, des cinémas indépendants classés Art et essai et Cinéma de recherche. Le premier, composé de quatre salles, est situé à La Manutention, le second, d'une seule salle, est situé à République.
[modifier] L’Université d’Avignon
L’Université d’Avignon et des Pays de Vaucluse accueille 7 642 étudiants. Elle propose des formations universitaires allant du DU au Doctorat, dans tous les principaux domaines disciplinaires, notamment dans les domaines de la Culture et du Patrimoine et des Agrosciences.
Fondée en 1303 par le pape Boniface VIII et Charles II, roi de Sicile et comte de Provence, l’Université sera supprimée, par le décret du 15 septembre 1793. Elle attendra le 17 juillet 1984 pour retrouver sa vocation universitaire en redevenant une université de plein exercice.
[modifier] Le Centre international des congrès
Le Palais des Papes accueille depuis 1976 un grand nombre de manifestations dans le Centre international des congrès. Ce dernier occupe deux ailes du Palais et dispose de 10 salles d’accueil et de travail.
Les grandes salles de prestige du Grand Tinel et de la Grande Audience, situées sur le circuit de visite du monument, sont utilisées en complément des salles de réunion pour l’organisation des cocktails, dîners de gala, expositions...
[modifier] Jumelages
Avignon est jumelée avec les villes de :
- Colchester, Royaume-Uni
- Diourbel, Sénégal
- Guanajuato, Mexique
- New Haven (Connecticut), États-Unis d'Amérique
- Sienne, Italie
- Tarragone, Espagne
- Tortosa, Espagne
- Wetzlar, Allemagne
[modifier] Notes
- ↑ en occitan provençal Avinhon selon la norme classique ou Avignoun selon la norme mistralienne
- ↑ Pierre Miquel. Les Guerres de religion. Club France Loisirs, 1980. ISBN 27274207858, p 233
- ↑ Pierre Miquel. Les Guerres de religion. Club France Loisirs, 1980. ISBN 27274207858, p 254
[modifier] Voir aussi
[modifier] Liens internes
- Liste des évêques et archevêques d’Avignon
- Liste des légats pontificaux en Avignon
- Liste des vice-légats pontificaux en Avignon
- Les Illuminés d’Avignon
- Aéroport d'Avignon - Caumont
- Festival d'Avignon
[modifier] Bibliographie
- Les Papes d'Avignon, Jean Favier, Éditions Fayard, Paris, 2006.
[modifier] Liens externes
- Catégorie Avignon de l'annuaire dmoz.
- Site officiel de la ville
- Site Officiel de l'Office de Tourisme
- Avignon & Provence
- Avignon/New York & Avignon film festivals
- les Hivernales d’Avignon
- Centre international des Congrès
- Amiens : la cathédrale Notre-Dame •
- Arc-et-Senans : la saline royale •
- Arles : les monuments romains et romans •
- Avignon : le centre historique (le palais des papes, l’ensemble épiscopal) et le Pont d’Avignon •
- Bordeaux : prévu pour juin 2007 •
- Bourges : la cathédrale Saint-Étienne •
- Carcassonne : la ville fortifiée historique •
- Chartres : la cathédrale Notre-Dame •
- Golfe de Porto (Corse-du-Sud) : la calanche de Piana, Le golfe de Girolata et La réserve de Scandola
- Dordogne : les sites préhistoriques et les grottes ornées de la vallée de la Vézère •
- France : les chemins de Saint-Jacques-de-Compostelle •
- France et Belgique : les beffrois •
- Fontainebleau : le palais et son parc •
- Hautes-Pyrénées et Aragon : le Mont-Perdu •
- Le Havre : centre-ville du Havre reconstruit par l'atelier Auguste Perret •
- Loiret, Loir-et-Cher, Indre-et-Loire et Maine-et-Loire : le Val de Loire, de Sully-sur-Loire à Chalonnes •
- Lyon : le site historique du Vieux Lyon •
- Marmagne : l’abbaye cistercienne de Fontenay •
- Midi-Pyrénées et Languedoc-Roussillon : le canal du Midi •
- Le Mont-Saint-Michel : le mont, son abbaye et sa baie •
- Nancy : les places Stanislas, de la Carrière, et d’Alliance •
- Orange : le théâtre antique, ses abords et l'arc de triomphe.
- Paris : les rives de la Seine •
- Provins : la ville de foire médiévale •
- Reims : la cathédrale Notre-Dame, la basilique et l’ancienne abbaye Saint-Remi et le palais de Tau •
- Remoulins : le Pont du Gard •
- Rouen : prévu pour 2009 dont la cathédrale, l'abbatiale saint-ouen, le gros horloge, le parlement de normandie •
- Saint-Émilion : sa Juridiction •
- Saint-Savin (Vienne) : l’abbatiale de Saint-Savin sur Gartempe •
- Strasbourg : Grande île •
- Vernon : prévu pour 2010 avec le vieux Moulins (unique au monde, le château de Bizy, le village des peintres de Giverny •
- Versailles : le palais et son parc •
- Vézelay : la basilique et sa colline
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