Castor (animal)
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Castor du Canada, Castor canadensis | |||||||||
Classification classique | |||||||||
Règne | Animalia | ||||||||
Embranchement | Chordata | ||||||||
Classe | Mammalia | ||||||||
Ordre | Rodentia | ||||||||
Famille | Castoridae | ||||||||
Genre | |||||||||
Castor Linnaeus, 1758 |
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Taxons de rang inférieur | |||||||||
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Carte (incomplète) de répartition | |||||||||
Classification classique | |||||||||
Règne | Animalia | ||||||||
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
Les castors sont des rongeurs semi-aquatiques vivant en Europe et en Amérique du Nord. Principalement connus pour les barrages et les huttes qu'ils construisent sur les rivières, ils ont été chassés depuis l'antiquité pour leur fourrure, leur chair et/ou pour le castoréum, une substance huileuse sécrétée par des glandes sexuelles situées en-dessous de la queue (assimilées à tort aux testicules). Cette chasse a failli les conduire à l'extinction. Depuis qu'ils sont protégés, quelques populations se reconstituent en Europe dans des pays où ils avaient disparu, souvent depuis la fin du moyen-âge.
Sommaire |
[modifier] Étymologie
Le latin désignait le castor avec trois mots :
- fiber ;
- beber (équivalent celtique de fiber), qui semble à l'origine de l'appellation de l'animal dans les langues germaniques, avec par exemple, beaver en anglais, bever en néerlandais ou Biber en allemand) ;
- castor, que le français a conservé ainsi que les autres langues romanes (italien castoro, castillan et portugais castor).
- L'ancien français utilisait le mot bievre (venant suppose-t-on de beber), qui est à l'origine du nom de très nombreuses rivières dans de nombreuses régions de France et de Belgique où l'animal aurait été présent : la Bièvre, le Beuvron, la Vèbre, le Vébron, la Beuvronne, etc. Il est aussi à l'origine de noms de villes telles que Beuvry, la Beuvrière, et pourrait peut-être avoir un lien avec le mot « bief » (cf. Barrage du Castor).
On a supposé à ce mot une racine indo-européenne signifiant sans doute brun, venant du sanskrit babhrúh, qui signifie à la fois brun et mangouste.
On ne connaît pas exactement l'origine du mot castor, qui a supplanté bievre en moyen français. Une hypothèse non démontrée attribue l'origine du mot castor au verbe latin castrare, castrer. Depuis l'Antiquité, le castor est chassé. Une fable d'Ésope raconte comment un castor, ne pouvant plus échapper aux chasseurs qui le poursuivait, se mutila pour éviter d'être pris[1].
D'autres ont avancé l'hypothèse que castor proviendrait du mot grec kastôr (qui brille), surtout utilisé comme nom de personne. Cela serait lié à Castor, frère jumeau mythologique de Pollux et protecteur des femmes, le castoréum passant pour guérir les maladies de l'utérus.
L'explication la plus probable fait descendre le mot castor du mot sanskrit kasturi qui signifie musc, l'utilisation du castoréum en parfumerie étant connue par les Indo-Européens depuis l'Antiquité[2].
[modifier] Taxonomie
Le genre Castor est le seul membre de la famille des castoridae, famille crée par le zoologiste allemand Wilhelm Hemprich (1796-1825) en 1820. Il existe actuellement deux espèces: le castor canadien Castor canadensis (selon Kuhl, 1820) et le castor européen Castor fiber (selon Linnaeus, 1758). Une troisième espèce, le castor géant Castoroides ohioensis a disparu lors de la dernière ère glaciaire.
[modifier] Description
Le castor est particulièrement bien adapté à la vie amphibie. Il possède des narines obturables, une épaisse fourrure imperméable, de grandes pattes postérieures palmées et une queue large et aplatie en forme de truelle, couverte d'écailles qui lui sert de gouvernail lors de la nage. Il n'existe pas de différences externes notables entre mâle et femelle.
Il est le plus grand rongeur d'Eurasie et d'Amérique du Nord; il peut atteindre un mètre de long pour un poids de 20 à 30 kg et vivre jusqu'à 26 ans. Il est le deuxième plus gros rongeur au monde après le capybara qui vit en Amérique du Sud et pèse 50 kg. Contrairement à une idée répandue, le castor européen est légèrement plus lourd que son cousin nord-américain.
La denture du castor est typique des rongeurs. Il ne possède pas de canines et ses incisives particulièrement développées, à croissance continue et taillées en biseau, lui permettant d'efficacement ronger le bois des arbres. Sa formule dentaire est:
1.0.1.3 |
1.0.1.3 |
Principalement actif la nuit, le castor est réputé pour avoir une mauvaise vue, mais un bon odorat et l'ouïe fine.
[modifier] Espèces
[modifier] Le castor canadien
Le castor canadien, Castor canadensis, est l'animal national du Canada. Son effigie est imprimé sur la pièce canadienne de cinq cents. Cependant, le castor est considéré comme un animal localement envahissant dans plusieurs régions du pays où après son retour ou sa réintroduction il peut à nouveau inonder des zones où l'on a entre temps construit des routes ou planté des champs. On contrôle alors le niveau d'eau au moyen de siphons autoamorcés silencieux (car le bruit de l'eau qui coule, est un stimulus qui lui fait construire ou colmater son barrage)
Bien que morphologiquement proche de son cousin européen dont il ne se distingue physiquement que par un moindre poids, un pelage plus foncé et un os nasal crânien aux bords plus convexes, le Castor canadien possède huit chromosomes de moins. Il est réputé pour ses barrages de bois colmatés par de la terre qu'il construit dans les rivières où il vit. Facile à capturer, il a pour sa fourrure et le castoreum été pourchassé par les trappeurs qui l'on fait disparaitre de plusieurs régions, où on l'a parfois depuis réintroduit, notamment pour qu'il reconstruise des barrages, là où l'eau commençait à manquer, entraînant sècheresses et incendies de forêts depuis la disparition de ses barrages.
[modifier] Le castor européen
Le castor européen (Castor fiber) a également été pourchassé par l'homme pour sa fourrure, son castoréum et sa chair (qu'il était autorisé de manger au moyen-âge le vendredi, alors que les catholiques ne devaient pas manger de viande ce jour. Il était en effet considéré comme assimilable à un poisson en raison de sa vie aquatique)[3] (Voir aussi carême). Pour ces raisons, il avait au milieu du XXème siècle presque disparu de toute l'Europe. Il a failli disparaître totalement, mais des mesures de protection de l'espèce et théoriquement de son habitat furent prises en France dès 1905, et dans divers pays, avec des réintroductions comme en Scandinavie (1925-1935), puis dans de nombreuses régions d'Europe, qui lui ont permis de recoloniser certains de ses habitats. Le castor européen est aujourd’hui une espèce protégée (Convention de Berne – Annexe 3) en cours de réintroduction ou de repeuplement dans plusieurs pays d'Europe, dont en Suisse, Allemagne, Belgique, Pays-Bas. Il a été réintroduit dans toutes les régions française métropolitaine, sauf la région parisienne et le Nord/Pas de Calais. Mais il pâtit de sa ressemblance avec le ragondin (aussi appelé myocastor) et avec le rat musqué, espèces invasives et considérées comme nuisible et dégradant fortement les berges, alors qu'il est lui un colmateur de brèches dans les berges et digues. Il peut aussi être empoisonnés par les appâts empoisonnés destinés à la lutte contre les rats musqués. Des protection permettant de protéger les castors de ces appâts sont expérimentées.
En France ; le castor est localisé dans le delta du Rhône où l'effectif frôlerait actuellement les 3 000 sujets. Cette population se répartit sur le fleuve lui-même mais également sur la plupart de ses affluents en aval de Lyon (dont le Gardon, le Tarn, l'Ardèche, la Cèze, le Chassezac, l'Isère, la Drôme, etc.). Dans ces régions à substrat rocheux, il fait peu de barrages. Certains individus se seraient également implantés récemment plus au nord jusqu'à la Saône et certains petits affluents du Jura français dont les conditions environnementales seraient plus favorables à leur habitat (notamment à cause de la pollution du Rhône, mais surtout de son artificialisation et de l'aménagement des berges et digues pour les besoins du trafic fluvial ou le contrôle des crues).
Des castors vivent également sur le Vidourle, un fleuve côtier qui rejoint directement la mer et non le Rhône. Dans son ouvrage « Au pays des castors », Paul-Henry Plantain mentionnait dans les années 1970 une colonie sur le Vidourle, réputée récemment disparue. On peut imaginer que des animaux ont été importés sur le Vidourle de manière officieuse, mais la colonie considérée comme éteinte dans le livre de Plantain pourrait aussi correspondre à un peuplement très ancien, distinct du rhodanien. Une étude génétique de ces animaux pourrait certainement lever le doute.
Depuis les années 1990, il reconstitue de petites populations sur le bassin versant de la Loire (Lignon de Haute-Loire, Loire en Forez et Roannais, Allier), et y est aujourd'hui bien présent jusqu'en Loire-Atlantique[4]. Les réintroductions n'expliquent qu'une faible partie de cette expansion, le dynamisme de l'espèce, sa capacité à franchir les obstacles topographiques (il semble avoir franchi seul la ligne de partage des eaux entre Rhône et Loire, en haute Ardèche), lui permettent de recoloniser et d'animer à nouveau des kilomètres de ripisylves alluviales, maintenant qu'il est complètement protégé.
En Belgique ; Après un retour "naturel" à partir de la France et de l'Allemagne, la population de castors est estimée à environ 400 individus. L'animal re-colonise progressivement tout le territoire, sans causer trop de problèmes dans les zones à forte population humaine, et on peut l'apercevoir jusqu'en ville, et dans des zones réputées polluées, du moment qu'il dispose d'une ripisylve de la qualité qui lui convienne.
Plusieurs centaines de castors vivent aussi dans le bassin de l'Elbe et en Scandinavie.
[modifier] Impacts écologiques positifs du castor
Ils sont incontestables et maintenant largement reconnus.
En "ouvrant" les ripisylves, les forêts galeries, et les fonds de vallées à la lumière, et en inondant certains terrains, les familles de castors recréent et entretiennent des chapelets de zones humides s'alimentant successivement. Ces milieux sont propice à l'épuration de l'eau, à la complexification des cours d'eau et de leurs écotones, au développement de la faune et de la flore (fleurs sauvage, insectes, batraciens, oiseaux, algues, poissons...), qui renforcent fortement l'alimentation des nappes phréatiques (Cf. Loi de Darcy) là où il fait des barrages importants. Quand les ressources en bois sont exploitées la famille de castors cherche un autre endroit où s'installer, laissant le temps aux arbres de repousser avant un nouveau retour. Quand une famille disparait (prédation, maladie..), le barrage cède, laissant un nouvel espace ouvert à la colonisation des plantes pionnières.
Ce faisant, en régulant le cours de l'eau, et en conservant des quantités importantes d'eau près du haut des bassins versants, il diminue également, et très efficacement, les risques de sécheresse en amont de ses barrages, et d'inondations en aval de ceux-ci, lors des crues, et ce gratuitement (le prix à payer étant de lui laisser quelques dizaines d'arbres, tiges et branches à ronger). Les peupleraies ou les arbres qu'on souhaite conserver en lisière de cours d'eau peuvent être préservées par un simple grillage bas posé autour de l'arbre, ou quelques fils électrifiés.
On a aussi noté qu'en Europe, là où il était revenu, les populations de rat musqué régressaient.
Pour toutes ces raisons, il est de plus en plus considéré comme un auxiliaire efficace de l'Homme dans ses opérations de renaturation, de génie écologique et de gestion différentiée des berges, ou de manière générale pour une bonne gestion des cours d'eau et la restauration quantitative et qualitative de cette ressource, quand les questions de coexistance ont été préparées et solutionnées.
[modifier] Le castor géant
Le castor géant, Castoroides ohioensis constitue l'un des plus grands rongeurs qui ait jamais existé.
Ses caractéristiques physionomiques étaient impressionnantes, jusqu'à 2,4 m et près de 217 kg, de quoi rivaliser avec certains ours présents dans ces régions. Morphologiquement, ils étaient pourvus d'incisives pointues et d'un crâne allongé contrairement aux castors contemporains, ils avaient également une queue arrondie tel le rat musqué.
Son extinction remonterait à près de 10 000 ans, lors de la dernière ère glaciaire, ils auraient accompagné les mammouths et autres chevaux ancestraux. D'autres théories semblent pencher pour une extinction commune de ces espèces due à l'arrivée de l'homme sur ces terres, n'ayant pu s'adapter assez rapidement à cette nouvelle espèce ambivalente, elles auraient disparu.
Les plus vieux fossiles datent de 70 000 ans et ont été retrouvés près de Toronto, d'autres ont été retrouvés dans le Yukon.
[modifier] Mode de vie
Les mœurs aquatiques du castor, sa queue écailleuse et ses pattes postérieures palmées ont longtemps fait penser que sa partie postérieure était apparentée aux poissons. En 1737, Georges Buffon disait alors que le castor est «le seul qui ressemble aux animaux terrestres par les parties antérieures de son corps, paroisse en même temps aquatique par les parties postérieures. Il fait la nuance des quadrupèdes aux poissons».
[modifier] Alimentation
Le castor est exclusivement herbivore. Il est caecotrophe, c'est à dire qu'il digère deux fois ses aliments en ravalant ses crottes molles. Selon les saisons, il se nourrit d'écorces tendres, de pousses, de fruits, d'herbe, de feuilles... Il abat les arbres pour accéder aux feuilles en utilisant ses incisives très puissantes. Il peut abattre des arbres ayant jusqu'à un mètre de diamètre. Ses incisives poussent en permanence et il les aiguise en frottant celles du haut contre celles du bas, comme tous les rongeurs.
En hiver, le castor se nourrit de branches qu'il a accumulées dans une réserve sous l'eau.
[modifier] Habitat
Son milieu de vie est principalement aquatique. Il ne s'éloigne jamais de plus de 30 mètres du rivage. Il peut rester sous l'eau 15 minutes sans respirer.
Afin de construire son habitat, le castor abat principalement les arbres à bois tendre tel le bouleau, le saule, le peuplier, le tremble... mais apprécie également des bois plus durs tel le chêne, le frêne... Il ne ronge que rarement les résineux, et quasi jamais les aulnes.
Le castor vit dans une hutte. Cette hutte est généralement appuyée à la berge. Elle est construite avec des branches de bois et de la terre. La hutte est en général composée d'une entrée et de deux chambres. L'accès s'y fait essentiellement sous l'eau, mais la chambre principale est sous terre. Afin de renouveler l'air et de sécher la litière qu'il y amène, le castor intègre à sa hutte des conduites d'aération.
Sur un même site, on trouve plusieurs huttes de tailles différentes et dont la fonction varie selon les périodes de l'année. En hiver, c'est la hutte la plus proche d'une zone d'abattage qui sera le plus souvent utilisée, tandis qu'au printemps, certaines huttes seront plus occupées lors de la reproduction, les jeunes de l'année précédente seront chassés de la hutte principale à la naissance des petits. Les castors vivent en famille sur un territoire bien déterminé. La famille est composée des parents et de deux générations. Chaque année, lors des naissances, les jeunes de deux ans sont chassés du territoire et partent alors à la recherche de nouvelles zones à coloniser, et d'un(e) partenaire pour fonder une nouvelle famille. Lorsqu'un territoire est épuisé, la famille se déplace pour chercher une nouvelle zone riche en nourriture. Les berges délaissées se reboiseront progressivement pour redonner après quelques années un nouveau territoire nourrissant.
Le castor fabrique des barrages qui peuvent atteindre de grandes dimensions (plus de 75 mètres de long et plus de 1 mètre de haut). Il construit ces barrages afin de retenir l'eau et créer ainsi des zones dans lesquelles il peut se déplacer en toute sécurité. Le castor n'apprécie pas de circuler sur terre mais il doit malgré tout s'y rendre afin d'y chercher sa nourriture. Ces retenues d'eau lui permettent donc de se rendre à la nage sur les divers sites de son territoire. Cela lui permet également de ramener vers sa hutte le bois qu'il mangera, ou, qui lui servira dans différents travaux de réparation, ou de construction, d'une de ses huttes ou barrages. Le castor se crée des réserves de nourriture, sous l'eau, à l'entrée de sa hutte en prévision des grands froids (gel). Il a besoin d'un minimum de 30 cm d'eau pour se déplacer aisément. Les barrages et les huttes sont construits avec du bois de différents diamètres, et le tout est colmaté avec de la terre qu'il tasse avec ses mains (et non pas avec la queue comme on l'a longtemps cru).
[modifier] Reproduction
Le castor est monogame et reste fidèle à sa partenaire tout au long de sa vie. La maturité sexuelle arrive vers l'âge de trois ans. Les jeunes castors sont alors chassés de leur cellule familiale. L'accouplement a lieu dans l'eau entre janvier et février/mars chez les deux espèces. La gestation dure un peu plus de cent jours. Une portée comporte généralement entre deux et quatre petits qui naissent avec une fourrure complète et les yeux ouverts, à l'intérieur de la hutte.
[modifier] Prédateurs
Le castor possède de nombreux prédateurs naturels tels que le loup, le coyote, l'ours brun et le lynx. En Europe, la plupart des prédateurs naturels ne sont pas présents ou ont pratiquement disparu comme l'ours.
[modifier] Pollution
Le castor semble bien résister aux polluants organiques. La qualité de l'eau ne constituerait pas un facteur limitant. Il semble cependant plus exposé à la pollution aux métaux lourds comme le cadmium car les saules qui constituent son alimentation de base l'accumulent[5].
[modifier] Modification de l'habitat
L'habitat du castor a fortement été modifié en Europe (rectification du tracé des rivières, barrage, culture,…). Les constructions des castors peut entraîner des dégats aux constructions humaines, d'où risque de conflits.
[modifier] Symbole
Le castor est l'emblème officiel du Canada et de l'État d'Orégon aux États-Unis.
Étant considéré comme « l'ingénieur de la nature » en raison de son ingéniosité, sa maîtrise des travaux hydrauliques, et ses constructions, il figure sur de nombreux blasons, et est la mascotte de plusieurs universités, comme le Massachusetts Institute of Technology, le California Institute of Technology ou l'Oregon State University.
C'est une espèces qui semble avoir la sympathie du public et des enfants. Il figure dans de nombreux dessins animés ou récents films d'animation, par exemple les castors Bell.
[modifier] Annexes
[modifier] Notes
- ↑ Fables d'Ésope.
- ↑ Bill Casselman's Word of the day: Castor.
- ↑ Manger au Moyen âge, Bruno Laurioux, éditions Hachette Pluriel, p 115
- ↑
[pdf] La répartition du castor sur le bassin versant de la Loire et en Bretagne, sur le site de l'ONCFS
- ↑ Système d'informations sur la biodiversité en Wallonie, Le Castor eurasiatique (Castor fiber Linnaeus, 1758)
[modifier] Références
- Castor dans Mammal Species of the World (MSW) (en)
- Référence Fauna Europaea : Castor (en)
- Référence ITIS : Castor Linnaeus, 1758 (fr)
- Référence AnimalDiversityWeb : Castor (en)
- Référence NCBI Taxonomy : Castor (en)
[modifier] Orientation bibliographique
- Maurice Blanchet, Jeanne Blanchet, Olivier Bodmer et Vincent Germond, Le castor et son royaume, Delachaux & Niestlé, 1994 : 311 p. (ISBN 2603008722)