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Diacétylmorphine - Wikipédia

Diacétylmorphine

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Diacétylmorphine
Structure de la diacétylmorphine
Général
Formule brute C21H23NO5
Nom IUPAC (5α,6α)-7,8-didehydro-
4,5-epoxy-17-methylmorphinan
-3,6-diol diacetate (ester)
Numéro CAS 561-27-3
Code ATC N02AA09
Apparence poudre blanche (sel acide)

poudre marron (sel basique)

Pharmacologie
Voie d'administration IV, respiratoire, orale
Métabolisme Désacéthylation rapide
en 6-monoacéthylmorphine
Demi-vie 3 minutes
Excrétion
Caractère psychotrope
Catégorie Dépresseur
Mode(s) de
consommation
  • Inhalation : prisée ou fumée
  • Injection intraveineuse
  • Ingestion
Autres noms
  • Dope, Came
  • Meumeu
  • Rabla
  • Blanche
  • Smack, Jazz, Slow
  • Poudre, Drepou
  • Cassonade, Brown Sugar, Brown
Unités du SI & CNTP,
sauf indication contraire.

L'héroïne ou diacétylmorphine (DCI) est une drogue semi-synthétique obtenue par modification chimique de la morphine, le principal alcaloïde issu du pavot.

Cette drogue provoque une forte dépendance physique et psychique, poussant à la toxicomanie.

Sommaire

[modifier] Historique

Bouteille d'héroïne de Bayer
Bouteille d'héroïne de Bayer

Elle a été synthétisée pour la première fois depuis la morphine en 1874 par le chimiste anglais C.R.Alder Wright[1] mais son potentiel ne sera pas reconnu. Elle est de nouveau synthétisée en 1898 par Heinrich Dreser, un chimiste allemand de l'entreprise pharmaceutique Bayer qui l'exploitera comme médicament pour différentes affections respiratoires dont la tuberculose.[1] On lui donna le nom d'héroïne, du terme allemand heroisch (« héroïque ») car on pensait qu'elle permettrait de soigner l'addiction à la morphine sans induire d'accoutumance[1], très répandue à l'époque notamment chez les soldats de la guerre de Sécession ou ceux de la guerre de 1870. Ironie du sort, car la morphine elle-même avait été préconisée comme substitut à l'opium. On n'a donc pas prévu que l'héroïne allait devenir l'un des fléaux du XXe siècle. En effet, elle était vendue librement en pharmacie comme pilule antitussive, contre l'asthme, la diarrhée et même comme somnifère pour enfants. À cette époque, on n'avait pas pris conscience du danger de nombreuses drogues, la plupart des substances connues (opiacés, cocaïne, etc.) étaient alors en vente libre en pharmacie dans la plupart des pays [2].

L'héroïne devient vite un problème de santé publique et dès 1918, la Société des Nations s'engage dans une campagne contre l'héroïne avançant qu'un produit aussi dangereux doit être supprimé par une action internationale. En 1920, c'est le corps médical américain lui-même qui en demande la prohibition. En 1923, un premier texte international réglemente l'usage d'héroïne même si dès 1925 un sociologue américain L. Kolb souligne que l'héroïne n'est pas criminogène en elle-même mais est consommée majoritairement par des populations appartenant à ces milieux.[1]

L'Europe attendra 1931 pour reconnaître à son tour que le peu d'intéret thérapeutique du produit ne compense pas son coût social.[1]

En 1956, son usage médical est totalement interdit aux États-Unis ce qui ouvrira la voie à la Convention unique sur les stupéfiants de 1961.[1]

La Convention unique sur les stupéfiants de 1961 porte principalement sur la coca, l'opium, le cannabis et leurs dérivés. L'héroïne sera progressivement interdite dans la plupart des pays à mesure qu'ils adaptent leur législation propre et classée comme stupéfiant même si elle reste très exceptionnellement et sous surveillance médicale stricte utilisé dans certains traitements de substitution.[1]

[modifier] Chimie

« Héroïne » est son nom usuel, son nom scientifique étant diamorphine ou encore diacétylmorphine.

Elle est liposoluble.

[modifier] Synthèse

L'héroïne (diacétylmorphine) est un opiacé semi-synthétique obtenu à partir de la morphine, elle-même tirée du latex du pavot (Papaver somniferum). Elle est obtenue par acétylation de la morphine. La morphine est d'abord transformée en héroïne brune puis blanche.

[modifier] Pharmacologie

C'est un dépresseur du système nerveux central.[3] Elle a une action analgésique et sédative comme les opiacés ainsi qu'une puissante action anxiolytique et antidépressive.[1]

[modifier] Métabolisme

Dans l'organisme elle est métabolisée en monoacétylmorphine puis en morphine par le foie.[1]

[modifier] Usage détourné et récréatif

[modifier] Formes

Héroïne brune, brown-sugar, brown, cassonade, héroïne n°3[4]

Elle se présente comme une poudre granuleuse de couleur brune à grise. Elle est obtenue à partir de l'héroïne acétylée. Elle est traditionnellement produite - afin d'être fumée - et consommée en Asie du sud-est, même si en Occident, les usagers l'injecte.

Héroïne blanche, blanche, héroïne n°4[4]

Elle se présente comme une poudre blanche à beige trés fine et légère. Elle est obtenue en poussant plus loin de raffinage de la morphine. Elle est traditionnellement produite dans le triangle d'or mais aussi au Liban, en Syrie, au Pakistan.

[modifier] Habitudes de consommation

L'héroïne se présente sous forme de poudre brune, rarement blanche. Elle est toujours coupée (de 90 à 95%[1]) avec d'autres produits psychoactifs ou non, voire toxiques (caféine pour 86 % des échantillons, paracétamol pour 79 %[5]). La composition comme le degré de pureté sont variables.

L'héroïne peut se consommer par :

  • injection intraveineuse, l'effet apparaît au bout de 3 à 10 minutes et s'estompe au bout de 5 heures[6] ;
  • inhalation (fumée ou prisée), l'effet analgésique est alors dominant.[6]

L'injection présente des risques accrus de surdose ou d'infections cutanées graves. L'héroïne a longtemps été associée à l'injection intraveineuse du fait des ravages sanitaires qu'avait provoqué ce mode de consommation dans les années 1970. Mais les campagnes de prévention et d'information sur cet usage qui permettait la transmission d'un certain nombre d'infections via les échanges de seringues (sida, hépatites B et C) ont fait considérablement baisser ce mode de consommation, au point qu'il est considéré comme minoritaire dans les pays occidentaux.[7]

Si les risques de transmission infectieuse sont considérablement réduits par la consommation en inhalation prisée, ils restent présents du fait de l'échange des pailles qui transportent le même type d'infection, dont la tuberculose en plus.

Elle est parfois consommée avec de la cocaïne (speed-ball) afin de compenser les effets dépresseurs de l'héroïne par les effets stimulants de la cocaïne.[8]

[modifier] Effets et conséquences

Elle agit sur la production d'endorphines en la réduisant - voire en la stoppant - en se liant sur les récepteurs spécifiques de la cellule. C'est ce processus qui est impliqué dans la dépendance physique où le corps ayant réduit sa production d'endorphine présente des symptômes physiques de manque de cette substance.

Du fait, de son fort caractère analgésique, elle peut masquer les douleurs dues aux infections.

En cas d'overdose, l'héroïne peut entraîner la mort par dépression respiratoire. Le surdosage étant généralement accidentel et imputé à une dose trop concentrée.[3]

[modifier] Effets recherchés

  • Relaxation, apaisement[6] ;
  • euphorie[6] ;
  • aide à la redescente des utilisateurs de substances à base de MDMA[1].

Ces effets sont suivi d'un état de somnolence.

[modifier] Effets à court terme

  • Problèmes gastro-intestinaux[6] ;
  • Ralentissement du rythme cardiaque ;
  • Baisse de l'amplitude respiratoire[6] ;
  • Contractations importantes de la pupille (Myosis)[3];
  • Action antitussive[3] ;
  • Hypothermie.

[modifier] Effets à moyen terme

[modifier] Effets à long terme

  • Forte dépendance physique et psychique[6] ;
  • accoutumance acquise aux opiacés ;
  • infections opportunistes du fait de l'état d'affaiblissement général[6] ;
  • troubles de l'humeur ;
  • apathie ;
  • problèmes cutanés.

[modifier] Dépendance

L'heroïne entraîne une forte accoutumance.

L'arrêt brutal d'héroïne peut provoquer un syndrome de sevrage autrement appelé manque.

La dépendance à l'héroïne peut, de nos jours, être traitée par des médicaments de substitution : méthadone ou buprénorphine (Subutex). Ces substituts sont des opiacés synthétiques. Ils ralentissent l'apparition des symptômes de sevrage, les repoussant sans pour autant les supprimer. Les effets euphoriques de ces substances sont moindres et leur demi-vie (durée d'action) est plus grande que celle de l'héroïne, permettant ainsi une prise quotidienne unique. La substitution permet également de couper les patients toxicomanes du milieu de la drogue.

La finalité étant le sevrage définitif à court ou long terme en baissant les doses afin d'atténuer graduellement les symptômes de manque.

La prise d'héroïne par voies intraveineuses est considéré comme un mode d'administration addictogène : cela induit une alternance cyclique entre un effet euphorisant rapide et intense, et un état de manque.

L'addiction à l'héroïne est décrite par un processus en trois étapes[9] :

  • La lune de miel : L'usager consomme pour le plaisir. Sa consommation est considérée comme contrôlée. Une tolérance s'installe ainsi qu'une dépendance psychique.
  • La gestion du manque : La dépendance physique apparaît. L'usager consomme pour éviter l'état de manque. Il développe souvent une polyconsommation de gestion du manque (consommation de benzodiazépines, alcool, etc.).
  • La galère : Le manque est omniprésent. La dépendance est majeure avec des comportements de perte de contrôle. L'héroïnomane sera alors capable de tout pour financer sa consommation.

[modifier] Traitements de l'héroïnomanie

Voir les articles addiction, toxicomanie et sevrage (toxicologie).

Le traitement de la dépendance à l'héroïne est long et vise à obtenir l'abstinence. Il nécessite souvent une aide extérieure.[9]

La première phase de ce traitement passe par un sevrage où un traitement médical aide l'usager à supporter les symptômes du manque.

Cette aide extérieure peut se manifester de différentes façons obligation de soins, début de prise en charge sanitaire via une structure de premier plan type site d'injection supervisée, mise en place d'un traitement de substitution, hospitalisation en cure de désintoxication voire post-cure.

[modifier] Statistiques

En 2002, en France, on estime le nombre d’expérimentateurs d’héroïne parmi les 18-75 ans à 0,7%[10]. En France, en 2005, on comptait 160 000 héroïnomanes dont la moitié suivait un traitement substitutif aux opiacés (buprénorphine, méthadone, etc.).

Selon le rapport de l'OICS du 1er mars 2006 :

  • L'abus d'héroïne est peu répandu en Afrique avec un taux annuel de prévalence de l'abus d'opiacés de 0,2% (pour la période 2002-2004, chez les individus agés de 15 à 64 ans), chiffre inférieur à la moyenne mondiale de 0,3%.
  • En Europe, la prévalence annuelle de l'abus d'opiacés est de 0,8 % (et atteint même 1,7 % en Lettonie).
  • Aux États-Unis, les héroïnomanes représenteraient 0,1% de la population.
  • L'abus d'héroïne ne pose pas de problème majeur en Amérique du Sud ou en Océanie.
  • En Asie de l'est et en Asie du sud-est, les opiacés restent les principales drogues consommées.
  • Dans les pays d'Asie centrale, la principale drogue donnant lieu à des abus est désormais l'héroïne.

[modifier] Jargon

[modifier] Vocabulaire

  • Accrocher, être accro : le fait d'être dépendant.
  • Alu, taper un alu : voir Chasser le dragon : méthode consistant à inhaler les vapeurs d'héroïne chauffée, la plupart du temps, sur une feuille d'aluminium (d'où le nom) par le dessous.
  • Fixer, shooter, se faire (ou se mettre) un taquet  : synonyme d'injecter.
  • Flash : sentiment d'euphorie intense immédiatement provoqué par la prise d'héroïne et plus ou moins intense en fonction du mode de consommation.
  • Héroïnomane : usager d'héroïne.
  • Paille : petit tube creux permettant l'inhalation de la substance.
  • Pompe, shooteuse, fix, flute : seringue.
  • Rails, traces, lignes, gouttes : disposition en petits tas filiformes en vue d'inhalation à l'aide d'une paille.
  • Nourrir le singe : sentiment d'avoir une autre personne à nourrir en héroine, effet du manque.
  • Kepa, kep's, bonbonne, meug : petits paquets dans lesquels sont conditionnées les doses destinées au commerce au détail. Ces termes ne sont pas spécifiques à l'héroïne.
  • Shoot, fix, flush : injection.

[modifier] Termes apparentés

  • Héroïnomanie : terme composé de héroïne et de manie, du grec mania pour « folie, passion ». Il désigne une toxicomanie à l'héroïne, une consommation régulière et non-contrôlée d'héroïne, amenant un état de dépendance.
  • Héroïnomane : dérivé du précédent, désigne les personnes atteintes d'héroïnomanie.

[modifier] Production et trafic

Voir l’article Trafic de stupéfiant.

Jusqu'au milieu des années 1970, les filières d'acheminement d'héroïne sont tenues par les français de la « French connection » qui s'approvisionne en Turquie[11] et la mafia américaine héritière de Lucky Luciano. Après l'élimination de la « French connection » c'est la filière asiatique qui reprend le marché avec la Turquie ou l'Albanie comme pays de transit.[11]

En France, elle est remplacée dans les années 1980 par la filière nigérienne changeant ainsi de pays de transit mais pas de pays producteurs.[12]

D'après, l'OICS dans son rapport du 1er mars 2006, l'Afghanistan est le premier producteur mondial de pavot à opium (87% de la production mondiale), 60% du produit transite par l'Asie occidentale et 20% par l'Asie centrale pour rejoindre ensuite essentiellement l'Europe mais aussi l'Amérique du Nord.
Mais c'est en Amérique du sud notamment en Colombie qu'est produite et transformée près de 60% de l'héroïne disponible sur le marché américain où elle entrerait en passant par le Mexique.
Une partie de la production licite de pavot à opium des indes est détournée pour le marché clandestin et transformée et consommée sur place.

[modifier] Notes

  1. 1,00 1,01 1,02 1,03 1,04 1,05 1,06 1,07 1,08 1,09 1,10 Denis Richard, Jean-Louis Senon, Marc Valleur, Dictionnaire des drogues et des dépendances, Larousse, 2004 (ISBN 2-03-505431-1)
  2. (fr) L'aspirine : propriétés générales, applications. La somatose. L'héroïne, plaquette publicitaire de l'entreprise Bayer du début des années 1900 ventant les mérités de l'héroïne
  3. 3,0 3,1 3,2 3,3 Yasmina Salmandjee, Les drogues, Tout savoir sur leurs effets, leurs risques et la législation, Eyrolles, coll. « Eyrolles Pratique », 2003 (ISBN 2-7081-3532-5)
  4. 4,0 4,1 Michel Hautefeuille, Dan Véléa, Les drogues de synthèse, Presses Universitaires de France, coll. « Que sais-je ? », 2002 (ISBN 2-13-052059-6)
  5. http://www.drogues.gouv.fr/fr/pdf/pro/etudes/Trend2003.pdf, Cinquième rapport national du dispositif TREND, Phénomènes émergents liés aux drogues en 2003.
  6. 6,0 6,1 6,2 6,3 6,4 6,5 6,6 6,7 6,8 6,9 Amine Benyamina, Le cannabis et les autres drogues, Solar, 2005 (ISBN 2-263-03904-X)
  7. Drogues, savoir plus risquer moins, comité français d'éducation pour la santé et de la mildt, juillet 2000 (ISBN 2-908444-65-8)
  8. Michel Hautefeuille, Dan Véléa, Les drogues de synthèse, Presses Universitaires de France, coll. « Que sais-je ? », 2002 (ISBN 2-13-052059-6)
  9. 9,0 9,1 Marie-José Auderset, Jean-Blaise Held, Jean-François Bloch-Lainé, Héroïne, cocaïne... voyage interdit, De La Martinière, coll. « Hydrogène », 2004 (ISBN 2-7324-2712-8)
  10. http://www.ofdt.fr/BDD/publications/docs/eftxfbj6.pdf « Les adultes et les drogues en France : niveaux d’usage et évolutions récentes », OFDT, Tendances n° 30, juin 2003.
  11. 11,0 11,1 Alain Labrousse, Géopolitique des drogues, Presses Universitaires de France, coll. « Que sais-je ? », 2004 (ISBN 2-13-054186-0)
  12. Michèle Diaz, Marc-Eden Afework, La Drogue, Hachette, coll. « qui, quand, où ? », 1995 (ISBN 2-01-291469-1)

[modifier] Voir aussi

commons:Accueil

Wikimedia Commons propose des documents multimédia libres sur l'heroïne.

[modifier] Articles connexes

Sur le trafic de l'héroïne

[modifier] Liens externes

[modifier] Bibliographie

Sur le trafic de l'héroïne et les services spéciaux
  • Agency of fear: opiates and political power in America, by Edward J. Epstein. G.P. Putman and sons, New York, 1977.
  • The politics of heroin in southeast Asia, by Alfred W. McCoy. The Washington Monthly Company, 1972. ISBN 0061319422
  • The Great Heroin Coup: Drugs, Intelligence, and International Fascism, par Henrik Krüger. Boston: South End Press, 1980. 240 pages. (D'abord publié au Danemark sous le titre "Smukke Serge og Heroinen" en 1976.) ISBN 0896080315


Analgésiques modifier

{Paracétamol} {tétrahydrocannabinol} {cannabinoïdes} {kétamine}

AINS modifier

Salicylés : {Aspirine} - {Salicylate de méthyle} - {Diflunisal} ; Acides arylalkanoïques : {Indométacine} - {Sulindac} - {Diclofénac} ; Acides 2-arylpropioniques (profènes) : {Ibuprofène} - {Kétoprofène} - {Naproxène} - {Kétorolac} ; Acides N-arylanthraniliques (acides phénamiques) : {Acide méfénamique} ; Oxicams : {Piroxicam} - {Méloxicam} ; Coxibs : {Célécoxib} - {Rofécoxib} (retiré du marché) - {Valdécoxib} - {Parécoxib} - {Étoricoxib} ; Sulfonanilides : {Nimésulide}

Opiacés modifier

{Alfentanil} {Buprénorphine} {Carfentanil} {Codéine} {Codéinone} {Dextropropoxyphène} {Dihydrocodéine} {Endorphine} {Fentanyl} {Héroïne} {Hydrocodone} {Hydromorphone} {Méthadone} {Morphine} {Morphinone} {Oxycodone} {Oxymorphone} {Péthidine} {Rémifentanil} {Sulfentanil} {Tramadol}

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