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Terrorisme

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Le terrorisme est une méthode qui consiste à mener des actions violentes (attentats, assassinats, enlèvements, sabotages...) contre un adversaire, en particulier un gouvernement et la population qui assure sa légitimité, de telle sorte que leur retentissement psychologique dépasse largement le cercle des victimes directes pour inclure le groupe qu'elles sont censées représenter.

Si un accord existe sur le concept, la délimitation du phénomène terroriste reste complexe. D'un point de vue historique, on peut faire remonter ses usages connus à la secte des Zélotes puis à celle des Assassins. La conceptualisation de la Terreur sera l'œuvre de la Révolution française mais sera aussi revendiquée par Lénine en Russie. Aujourd'hui le terme terrorisme est péjoratif. Ses nombreuses définitions trahissent souvent les intérêts de ceux qui les écrivent.

Voir l’article Définition du terrorisme.

Pour certains le terrorisme ne pourrait être que l'œuvre des opposants à l'ordre établi, pour d'autres (Noam Chomsky par exemple) les états et institutions sont aussi concernés par le recours à cette méthode. Si l'on suit Gérard Chaliand, les actions de terrorisme se confondent parfois à la guerre, la guérilla ou au banditisme.

Les tentatives pour élaborer une typologie du recours au terrorisme butent sur l'hétérogénéité des terroristes. Des classifications (action individuelle ou organisée, type de doctrine, moralité du choix des cibles...) existent mais ne suffisent pas à rendre compte du phénomène.

Au final, le terrorisme à montré qu'il pouvait parvenir à ses fins dans le cadre des luttes anti-coloniales (Indépendance de l'Irlande) et qu'il pouvait médiatiser des causes méconnues (Palestine). En revanche, a moins d'être couplé à un programme politique cohérent, il n'a jamais permis à un quelconque mouvement terroriste de parvenir au pouvoir.

Le Pentagone après l'attaque terroriste du 11 septembre 2001.
Le Pentagone après l'attaque terroriste du 11 septembre 2001.

Sommaire

[modifier] Étymologie et origines

Le mot terrorisme (ainsi que terroriste et terroriser) exprime l'idée d'une terreur imposée à un groupe d'individus. Le mot terreur est apparu pour la première fois au XVIIIe siècle, durant la Révolution française, pendant la régime de la Terreur, lorsque le Comité de Salut Public dirigé par Robespierre exécutait ou emprisonnait toutes les personnes qui étaient considérées comme contre-révolutionnaires.

Le mot a plus tard évolué pour désigner, au moins depuis la Seconde Guerre mondiale, les actions violentes contre les civils pour répandre la terreur et ainsi faire pression sur un État. Elles visent spécifiquement les populations civiles, faites dans le but de détruire, tuer et de mutiler. Ces attaques ont pour but de promouvoir des messages à caractère politique ou religieux par la peur.

Si le mot date du XVIIIe siècle, les méthodes violentes ont toujours existé. Sous l'empire romain, par exemple, des groupements assassinaient les légionnaires aux postes frontières (Mur d'Hadrien et Limes).

La résistance se justifie d'une guerre pour mettre fin à une domination étrangère, et se revendique du droit à l'autodétermination des peuples et à sa résistance à l'oppression, tandis que le terrorisme relève du crime. La résistance ou guerre de partisans est utilisé comme un moyen de pression en vue de mettre fin à une occupation ou a une soumission violente. On peut citer quelques exemples de guerre de partisans ou résistance : les différents courants durant la Seconde Guerre mondiale comme les Francs-tireurs et partisans (FTP) qui se regrouperont pour former les Forces françaises de l'intérieur (FFI) que de Gaulle organise en un front uni de résistance à l'occupant nazi et à la France de Vichy, la guerre d'Algérie comme une guerre d'indépendance contre la France (qui connut en son sein des actes de terrorisme des deux parts du conflit (OAS et gouvernement/FLN)), ou plus récemment en Grande-Bretagne avec la lutte de l'Irlande du Nord.

Jacques Derrida encore rappelle de manière précise que la définition du terrorisme dépend de la possibilité de distinguer différents types de guerres, d'actions armées et de combattants, conformément aux analyses de Carl Schmitt qui font référence en la matière. Il précise :

« Une lecture critique de Carl Schmitt, par exemple, serait fort utile [...] pour prendre en compte, aussi loin qu’il est possible, la différence entre la guerre classique (confrontation directe et déclarée entre deux États ennemis, dans la grande tradition du droit européen), la « guerre civile » et la « guerre des partisans » (dans ses formes modernes, encore qu’elle apparaisse, Schmitt le reconnaît, dès le début du XIXe siècle). »

Il est parfois difficile de distinguer entre des actes de résistance et des actes de terrorisme car les différents termes renvoient à une forme de légitimité supposée des objectifs politiques qui justifierait en partie les actes de violence commis. La perception de cette légitimité varie largement selon les protagonistes et observateurs ce qui complique grandement l'établissement d'une définition objective et acceptée universellement de la notion de terrorisme. Un cas d'autant plus complexe qu'il fait partie de l'actualité est celui de l'Irak, où diverses tendances de l'Islam sont en guerre larvée et certains groupuscules armés recourent à des actes violents contre des civils irakiens ou étrangers. Se considérant résistants à l'occupation de leur pays par les États-Unis d'Amérique les auteurs de ses actes prétendent trouver dans ce statut la justification de leurs actions. Si par contre on refuse d'accorder ce statut de résistant, soit par déni de l'objectif politique (ne considérant pas que l'Irak soit occupé) soit parce qu'on considère que la violence extrême utilisée dépasse toute forme de justification, on parlera alors de ces actes de violence comme d'actes de terrorisme. Ainsi, l'appellation de terroriste sous-entend une complète illégitimité de ces actions alors que la définition de résistant sous-entend une légitimité à résister à l'envahisseur. Cette idée serait plus intelligible dans la globalité de la relation entre "terrorisme et propagande".

[modifier] Selon le Droit

Plusieurs tentatives de définition du terrorisme ont été faites à l'ONU, mais aucune n'a abouti [2]. La France soutient la définition proposée par le Groupe de personnalités de haut niveau et le Secrétaire général de l'ONU en 2004, selon laquelle le terrorisme serait « toute action […] qui a pour intention de causer la mort ou de graves blessures corporelles à des civils ou à des non-combattants, lorsque le but d'un tel acte est, de par sa nature ou son contexte, d'intimider une population, ou de forcer un gouvernement ou une organisation internationale à prendre une quelconque mesure ou à s'en abstenir ».

Cependant, le terme de terrorisme, même s’il ne donne pas lieu à une définition unique et universelle est très fréquemment employé [1] en droit international et par les institutions internationales.

Le philosophe Jacques Derrida rappelle la base qui fait selon lui consensus: [3]

"Si on se réfère aux définitions courantes ou explicitement légales du terrorisme, qu’y trouve-t-on ? La référence à un crime contre la vie humaine en violation des lois (nationales ou internationales) y implique à la fois la distinction entre civil et militaire (les victimes du terrorisme sont supposées être civiles) et une finalité politique (influencer ou changer la politique d’un pays en terrorisant sa population civile)".

Il souligne également le caractère confus de la notion de « terrorisme international » qui sert davantage à des intérêts politiques qu'elle ne correspond à une définition juridiquement acceptable. C'est sur cette expression que plusieurs Etats, à l'ONU, émettent des réserves. Soit des "réserves sur la clarté de ce concept de terrorisme international et des critères qui permettent de l’identifier". Non sur la notion de terrorisme proprement dit.

Dans le cadre d'une guerre conventionnelle un cadre juridique clair existe, où la guerre est régie par le droit de la guerre. Les actes violant le droit de la guerre sont alors qualifiés de crimes de guerre. Les notions de terrorisme et d'acte terroriste servent donc à qualifier des actes en dehors du cadre bien défini de guerre conventionnelle et du droit de la guerre, même si leur définition précise n'est pas bien établie d'un point de vue strictement juridique, ou plus exactement, même si un usage peut en être fait à des fins d'intérêts politiques.

Les actes de terrorisme sont contraires au droit de la guerre et aux Droits de l'homme et de ce fait hors la loi. Tout ceci implique et renvoie à une définition de la guerre, et au droit de la guerre qui impose d’épargner les civils (voir les textes du Comité international de la Croix-Rouge (CICR) qui exposent les principes du droit humanitaire, eux-mêmes dépendant du droit de la guerre qu'ils complètent[2] [3] L'article 33 de la quatrième Convention de Genève relative à la protection des personnes civiles en temps de guerre du 12 août 1949 précise que « Les peines collectives, de même que toute mesure d'intimidation ou de terrorisme, sont interdites. [ainsi que] le pillage... et les mesures de représailles ».

ces textes de droit L’article 13 des deux Protocoles additionnels aux Conventions de Genève concernant la Protection de la population civile stipule que :

  1. « La population civile et les personnes civiles jouissent d'une protection générale contre les dangers résultant d'opérations militaires. En vue de rendre cette protection effective, les règles suivantes seront observées en toutes circonstances. »
  2. « Ni la population civile en tant que telle ni les personnes civiles ne devront être l'objet l'attaques. Sont interdits les actes ou menaces de violence dont le but principal est de répandre la terreur parmi la population civile. »
  3. « Les personnes civiles jouissent de la protection accordée par le présent Titre, sauf si elles participent directement aux hostilités et pendant la durée de cette participation »

Les conventions de l'ONU pour la répression du terrorisme [4] donnent un cadre précis pour réprimer certains cates communément considérés comme des actes de terrorisme, tels que les détournement d'avions, la prise d'otage, ou les attentats à l'explosif, sans toutefois qualifier explicitement aucune de ces actions d'"acte de terrorisme" dans les textes.

La revue d'analyse juridique du droit international "Actualité et Droit International" commente ces textes ainsi que d'autres [5].

[modifier] Les différents types de terrorisme

Il existe quatre grands types de terrorisme :

[modifier] Le terrorisme individuel

Le terrorisme individuel est une pratique qui se développera à la fin du XIXe siècle et au début du XXe siècle. Ce terrorisme sera pratiqué par quelques anarchistes, comme Ravachol vengeant la Répression de Fourmies en 1891 et Santo Geronimo Caserio, vengeant la répression exercée sur les anarchistes en assassinant en 1894 le Président Sadi Carnot) ou autrement par des nihilistes dans divers pays (Russie, France, Espagne, Italie, etc.).

Les attentats des nihilistes ou des anarchistes visaient (souvent pour venger la mort d'un de leurs anciens camarades due à la répression) des personnalités de la sphère politique ou proche (le riche, le militaire, le prêtre, le policier, l'homme politique, etc.) ayant participé à réprimer la population ou d'un de leurs camarades. L'idée étant qu'une fois supprimés les acteurs de cette répression, celle-ci s'estomperait dû à la peur des autres acteurs de la sphère politique répressive. Ce terrorisme avait un caractère spontané, et une base sociale.

[modifier] Le terrorisme organisé

Lorsqu'il est pratiqué par un groupe de personnes ne représentant pas un gouvernement, on le nomme simplement terrorisme. Dans les années 1960 et 1970, le terrorisme d'extrême gauche et d'extrême droite était le plus important, ayant des buts politiques différents, menant à une lutte directe ou indirecte avec l'État, dans le but (pour l'extrême gauche) de radicaliser politiquement la société vers des questions sociales, ou (pour l'extrême droite) d'imposer le débat nationaliste et/ou, dans une stratégie de tension, de créer une situation amenant l'État à faire descendre la police ou l'armée dans les rues.

Le type de terrorisme d'extrême gauche est souvent appelé lutte armée par ceux qui le pratiquent. Les membres des groupes terroristes s'appellent eux-mêmes généralement des résistants — ou des combattants —, car ils considèrent qu'ils résistent à l'oppression du pouvoir politique en place, où qu'ils mènent des actions de libération, qu'ils comparent à celles menées par les Résistants à l'occupation nazie en Europe durant la Seconde Guerre mondiale ou plus généralement aux nombreuses invasions de pays royalistes ou plus généralement d'extrême droite depuis les premières révolutions républicaines et démocratiques du siècle des Lumières.

Les terroristes se réclamant de l'islamisme se considèrent quant à eux plutôt comme des combattants de Dieu, menant une guerre sainte (traduction littérale qui ne fait référence qu'à la lutte physique incluse dans le terme Djihad, terme possédant d'autres significations). Depuis les années 1990, le terrorisme islamiste a pris une place croissante sur la scène internationale. Ses auteurs le justifie notamment comme une réponse apportée à la situation politique en Israël-Palestine et en Irak suite à l'intervention américaine.[réf. nécessaire].

Les terrorisme d'extrême droite, comme l'OAS en France ou le Ku Klux Klan et le Wasp aux États-Unis d'Amérique, menant un terrorisme constant contre la population noire, ou bien d'autres groupements comme les auteurs des attentats des jeux d'Atlanta.

Le terrorisme d'État est pratiqué par des services secrets à des fins politiques. Dans les années 1930, les services secrets soviétiques et italiens ont ainsi éliminé plusieurs de leurs opposants réfugiés en France. Pendant la guerre d'Algérie, les services français ont mené plusieurs centaines d'"actions homicides" contre des responsables du FLN et de l'OAS. Après les indépendances, des dictatures comme celle de Saddam Hussein ont aussi pratiqué la liquidation de leurs opposants à l'étranger. Les démocraties modernes peuvent être accusées de terrorisme pour des actes comme le dynamitage du bateau de l'organisation Greenpeace nommé Rainbow Warrior en Nouvelle-Zélande par les services secrets Français en 1984, ou bien l'avion civil cubain transportant des athlètes olympiques dynamité par la CIA dans les années 1970.

Le terrorisme pacifiste, comme les "attentats pâtissiers" par exemple, qui consistent à jeter une tarte à la crème sur des personnalités que les "terroristes" veulent dénoncer.

Ce sont les adversaires de ces groupes ou factions qui utilisent le terme terrorisme pour désigner ces actions souvent meutrières. Il faut donc être prudent car aucun groupe ne s'est abstenu de taxer ses adversaires de terroristes.

[modifier] Le terrorisme d'État

Voir l’article Terrorisme d'État.

On parle de terrorisme d'État dans le cas où des actions terroristes ont été mises en œuvre, commanditées, manipulées ou complaisamment ignorées par un État (i.e. pas de mesure pour le stopper). Les méthodes employées sont strictement les méthodes du terrorisme (enlevement, sequestration et assassinat) mais, sous couvert d'une raison d'Etat "supérieure", les agents de l'Etat impliqués beneficient de la part de ses autorités de l'assentiment necessaire à outrepasser le droit et du support logistique et/ou financier nécessaire à leurs actions. Cette absence de cadre légal représente donc une menace même aux fondements de la démocratie, quels que soient les objectifs recherchés.

Un exemple de terrorisme d'Etat est la "guerre sale" conduite par des services de l'Etat Espagnol à l'encontre du groupe armé nationaliste basque ETA. Le GAL - Groupe Antiterroriste de Libération - fut impliqué dans l'élimination physique de 37 personnes considérées comme appartenant ou soutenant l'ETA. L'affaire impliqua le gouvernement socialiste de Felipe Gonzalez dont le ministre de l'intérieur José Barrionuevo Peña et d'autres responsables furent finalement jugés et reconnus coupables dans le cadre de l'affaire "Marey" (du nom d'un citoyen franco-espagnol séquestré par erreur par le GAL). En dépit de cette décision initiale, ces commanditaires d'actions terroristes beneficièrent d'une relative clémence de l'appareil judiciaire, comparativement aux membres de l'ETA qui arrivent en fin de peine initiale et dont la justice espagnole cherche actuellement à prolonger les condamnations.

L'expression « terrorisme d'État » est parfois utilisée pour décrire des agressions ouvertement commises par un État contre un groupe particulier. La terreur à la source du « terrorisme d'État » (des faits) peut aussi relever du « crime contre l'humanité » (un jugement).

Une certaine attention doit être de mise pour différencier les actes de violences conduites par des agents de l'état, et qui ne sont pas commandités par l'état. Ainsi, un meurtre commis par un policier ou un militaire lorsqu'il n'est pas commandité par l'état, ne peut pas, par exemple, être considéré comme du terrorisme d'état.

[modifier] Le terrorisme économique

Voir l’article Terrorisme économique.

Le concept de terrorisme économique est controversé et le plus souvent utilisé de façon polémique ou démagogique pour associer le terme « terrorisme » à un pays, une entreprise ou un groupe accusé de pratiques abusives.

Il est néanmoins également utilisé de façon plus strictement définie pour désigner une tentative de déstabilisation économique par un groupe. Plus précisément, le Centre de politique de sécurité de Genève a défini en 2005 le terrorisme économique de la façon suivante :

« Contrairement à la "guerre économique", qui est menée par des États contre d'autres États, le "terrorisme économique" serait mené par des entités transnationales ou non-gouvernementales. Elle supposerait des actions variées, coordonnées et sophistiquées, ou des actes massifs de déstabilisation pour désorganiser la stabilité économique et financière d'un État, d'un groupe d'États ou d'une société (telle une société occidentale à l'économie de marché) pour des motifs idéologiques ou religieux. Ces actions, si menées, pourraient être violentes ou non. Elles pourraient avoir des effets immédiats ou infliger des effets psychologiques qui à leur tour peuvent avoir des conséquences économiques. »

[modifier] Les buts recherchés

Beaucoup de grandes idées politiques ont été, à un moment ou un autre, instrumentalisées par des groupes terroristes afin de justifier leurs actions. C'est ainsi qu'il existe des groupes terroristes dans toutes sortes d'idéologies...

[modifier] Exemples de terrorisme

Voici une liste non-exhaustive d'actes terroristes :

[modifier] Terrorisme d'État

[modifier] Terrorisme politique

[modifier] Autres appellations:

Al-Jama'a al-Islamiya al-Mousallah, Groupement Islamique Armé, Groupes Islamiques Armés.

===Terrorisme religieux ou raciste===

Voir l’article Terrorisme islamiste.

===Terrorisme séparatiste ou d'indépendance===

[modifier] Méthodes terroristes

Désarmement d'une voiture piégée à Mossoul en Irak.
Désarmement d'une voiture piégée à Mossoul en Irak.
Voir les articles Attentat et Guerre asymétrique.

Si le terrorisme se définit par sa finalité, il peut aussi se caractériser par des modes opératoires qui lui sont propres. C'est ainsi que les objectifs d'un attentat est avant tout de marquer les esprits et non d'offrir un avantage stratégique comme lors d'opérations militaires dans une guerre conventionnelle.

Voici quelques exemples d'attentats revenants assez souvent :

  • destruction d'avions ou de monuments ;
  • attentats-suicides ;
  • prises d'otages, comme lors de détournements d'avions

[modifier] Psychologie du terroriste

Il existe plusieurs pistes qui permettant d'expliquer pourquoi une personne est prête à adopter une existence clandestine, à affronter les organes de sécurité, voire à donner sa vie :

  • facteurs personnels (complexes, violence, échecs...)
  • environnement social et culturel
  • manipulation (propagande, technique de recrutement...)
  • effets de groupe (autarcie, repli sectaire...)

[modifier] Références

  1. (fr) Résolution 1377 du Conseil de Sécurité de l'ONU sur le terrorisme [pdf]
  2. (fr) La pertinence du droit international humanitaire dans le contexte du terrorisme, sur le site du CICR
  3. (fr) [1] Droit international humanitaire et terrorisme : questions et réponses, sur le site du CICR]

[modifier] Voir aussi

wikt:

Le Wiktionnaire possède une entrée pour « terrorisme ».

[modifier] Bibliographie

  • Histoire du terrorisme : De l'Antiquité à al-Qaida ouvrage collectif sous la direction de Gérard Chaliand et Arnaud Blin;
  • Encyclopédie des terrorismes et Violences politiques de Jacques Baud;
  • La Guerre asymétrique ou la Défaite du vainqueur de Jacques Baud.
  • Histoire du Terrorisme, de Dominique Venner, 2002, ISBN 2-85704-749-5
  • La guerre sans visage, de Waddi Haddad à Oussama Ben Laden, de Claude Moniquet, 2002
  • La scène terroriste, Cahiers de médiologie n°13,Gallimard 2002
  • La défense européenne contre le terrorisme, Raphaël Mathieu, Courrier hebdomadaire du CRISP, Bruxelles, 2005
  • Écran/ennemi. Terrorismes et guerres de l'information, François-Bernard Huyghe, Editions 00H00.com
  • Terrorisme et communisme, Trotsky Léon, Paris, 10/18, 1963, 315 p.

[modifier] Liens externes

commons:Accueil

Wikimedia Commons propose des documents multimédia libres sur Le terrorisme.

[pdf] Quelques textes pour comprendre le terrorisme Ce document a été écrit et réalisé par François-Bernard Huyghe, Docteur d’État en Sciences Politiques. Il est composé de textes déjà publiés. [pdf] Terrorisme : Histoire et enjeux européens Dossier d'étude du CEREMS, Ministère de la Défense.

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