Thomas d'Aquin
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Philosophe occidental Philosophie médiévale |
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![]() Thomas d'Aquin Retable de Carlo Crivelli (1494) |
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Naissance : | v. 1225 (château de Roccasecca, près d'Aquino en Italie) |
Décès : | 7 mars, 1274 (abbaye de Fossanova dans le Latium) |
École/tradition : | Scolastique, fondateur du thomisme |
Principaux intérêts : | Métaphysique (comprenant la théologie) Logique, Esprit, Épistémologie, Éthique, Politique |
Idées remarquables : | Quinquae viae, biopolitique |
Influencé par : | Aristote, Boèce, Jean Scot Erigène, Anselme de Cantorbéry, Averroès, Maïmonide, Augustin d'Hippone |
A influencé : | Gilles de Rome, Godfroy de Fontaines, Jacques Maritain, G E M Anscombe, John Locke, Dante |
Saint Thomas d'Aquin (né vers 1225 à Aquin, près de Naples, en Italie du Sud, mort le 7 mars 1274 à l'abbaye de Fossanova près de Priverno) était un théologien et philosophe italien, membre de l'ordre dominicain. Considéré comme l'un des principaux maîtres de la scolastique et de la théologie catholique, il a été proclamé docteur de l'Église en 1568. Il est aussi appelé "Docteur Angélique" par le clergé.
Dans sa Divine Comédie, Dante donne à Thomas d'Aquin la première place parmi les philosophes théologiens. Après saint Augustin (354-430) - et en filiale continuité avec la pensée de l'évêque d'Hippone - Thomas d'Aquin a réalisé au XIIIe siècle la grande synthèse de la raison et de la foi, tentant de concilier la philosophie d'Aristote et la pensée chrétienne.
Pour concilier les contradictions entre la philosophie aristotélicienne et la doctrine chrétienne, il sépare les vérités de la raison de celles de la foi, définie comme une adhésion inconditionnelle à la parole de Dieu. La philosophie doit cependant demeurer la servante de la théologie.
En disciple d'Aristote, saint Thomas affirme que la connaissance intellectuelle est acquise à travers l'expérience sensible. Il n'y a pour l'intelligence humaine aucun accès direct aux principes abstraits et aux réalités spirituelles. Si les hommes disposant de sens et de raison peuvent avancer progressivement sur le chemin des connaissances, ils finissent par rencontrer un obstacle insurmontable, car la connaissance de Dieu surpasse l'exercice naturel de la raison ; c'est pourquoi, pour rencontrer Dieu, l'homme a besoin de la foi.
De son nom dérivent thomisme et thomiste, qualifiant, entre autres, sa philosophie. Le thomisme est devenu la doctrine officielle de l'Église.
[modifier] Biographie
Fils du comte Landulphe et de la comtesse Théadora d'Inverno, il est né en 1224 ou 1225 au château de Roccasecca, dans le royaume des Deux-Siciles (ce château se trouve aujourd'hui dans la province de Frosinone) ; de 1230 à 1235, il est oblat à l’abbaye bénédictine du Mont-Cassin. À partir de 1239, il étudie à l'université de Naples où il découvre sans doute Aristote avec des traductions à partir de l'arabe fournies par Frédéric II. Il entre dans l’ordre des dominicains (ordre alors jeune et suscitant l'enthousiasme religieux et intellectuel) en 1244, contre l’avis de sa famille qui voulait en faire l'abbé du Mont-Cassin.
Sa mère le fait alors enlever et l’assigne à résidence. Retenu pendant un an à Roccasecca, il lit la Bible et le Livre des Sentences de Pierre Lombard. Thomas ne changeant pas d’avis, et peut-être grâce à l'intervention du pape Innocent IV, sa famille finit par accepter son choix. Il est ensuite étudiant à Paris de 1245 à 1248, où il est surnommé par les autres étudiants "le bœuf muet" en raison de sa stature et de son goût pour la contemplation. Puis il suit son maître Albert le Grand (dominicain commentateur d'Aristote) à Cologne jusqu'en 1252. De retour à Paris, il est bachelier biblique (lectures commentées des Écritures) de 1252 à 1254, puis bachelier sententiaire (i.e. commentateur du Livre des Sentences de Lombard) de 1254 à 1256. Il enseigne l'Écriture sainte, rédige le de Ente et Essentia, reçoit sa maîtrise en théologie, est nommé Maître-Régent, défend et rédige les Questions Disputées : de Veritate, les Quodlibet (7 à 11) ; commente le de Trinitate de Boèce… Après d'âpres luttes avec les séculiers de l'Université, il sera enfin admis - avec Bonaventure - dans le Consortium Magistrorum, non sans quelque pression pontificale en leur faveur, et de 1256 à 1259, il est maître en théologie (il est choisi avant l’âge requis). En 1259, Thomas a trente-quatre ans lorsqu'il part pour l'Italie, où il restera dix ans. Il y enseigne la théologie jusqu'en 1268.
Thomas revient à Paris de 1269 à 1272. Il a quarante-quatre ans lorsqu'il rédige la seconde partie (IIa Pars) de la Somme théologique et la plus grande partie des Commentaires des œuvres d'Aristote. Il doit faire face à des attaques contre les Ordres Mendiants, mais aussi à des rivalités avec les franciscains et à des disputes avec certains maîtres ès arts (en particulier Siger de Brabant, dont la mort mystérieuse est racontée par Dante, qui évoque également de manière énigmatique la rivalité entre Thomas et Siger dans le Paradis de la Divine Comédie).
Le travail incroyable accompli à la fois pour l'enseignement et la rédaction de son œuvre, les luttes continuelles qu'il doit mener au sein même de l'Université, le départ de quelques-uns de ses amis (Robert de Sorbon, Eudes de Saint-Denys…), tout cela a contribué à miner la santé de Thomas, qui, à quarante-sept ans (1272) repart à Naples, où il est nommé maître Régent en théologie de l’école dominicaine. Il y termine la troisième partie (IIIa Pars) de la Somme, la lectio de l’Épître aux Romains, les commentaires des Psaumes, du Credo, du Pater, de l'Ave Maria…
À partir du 6 décembre 1273, après avoir eu une vision pendant la messe, il cesse d’écrire, peut-être parce qu’il tient désormais ses œuvres pour vaines ; sa santé décline et, aphasique, en se rendant au concile de Lyon, convoqué par le pape Grégoire X, qui devait se tenir en mai, il meurt le 7 mars 1274, au monastère cistercien de Fossa Nova, où il reposera jusqu'à la translation de sa dépouille mortelle en 1369 à Toulouse, aux Jacobins, où il repose toujours aujourd'hui.
Pour suivre l'enseignement d’Aristote au XIIIe siècle, il va discuter et le plus souvent réfuter les commentaires d’Avicenne et d’Averroès, théologiens musulmans qui l'ont précédé dans la lecture d'Aristote. Averroès, par exemple, doutait de l'unicité de l'âme et de l'intellect, ce qu'entendait réfuter Thomas. Curieusement, Platon et Aristote avaient en leur temps exprimé un désaccord du même ordre.
La philosophie thomiste essaie de concilier l’autonomie humaine, l’immortalité de l’âme et la croyance en Dieu comme Cause Unique de tout bien. Sa certitude est que l’étude philosophique, aussi poussée soit-elle, ne contredira en aucun cas l’enseignement de la religion, puisque - écrit-il - les deux ont un même objet, qui est la vérité.
Après avoir été brièvement condamné en 1277, puis réhabilité, il est canonisé en 1323 par le pape Jean XXII.
[modifier] Théologie et philosophie
Selon Thomas, la philosophie étudie d'abord les êtres créés, pour s'élever ensuite à la connaissance de Dieu ; dans l'ordre de la théologie, au contraire, on commence par l'étude de Dieu, et c'est précisément cet ordre qui est suivi dans les Sommes. Dès lors, l'ordre de la théologie peut être ainsi spécifié : « l'objet principal de la doctrine sacrée est de transmettre la connaissance de Dieu, non pas seulement selon ce qu'il est en lui-même, mais aussi selon qu'il est le principe et la fin des choses, spécialement de la créature raisonnable ». Philosophie et théologie diffèrent donc par l'objet premier de la connaissance humaine, et elles différeront aussi en conséquence par leur méthode : il y a un statut épistémologique propre à chacun de ces deux discours, ce qui pose la question de savoir si l'on aboutit dans les deux domaines à des vérités qui s'accordent ou non et de quelle manière. La thèse de Thomas est que foi et raison ne peuvent se contredire car elles émanent toutes deux de Dieu ; la théologie et la philosophie ne peuvent donc pas parvenir à des vérités divergentes.
Évoquant l'importance de la notion de vérité dans la philosophie thomiste, on pourrait citer une phrase demeurée célèbre :
« L'homme préfère un mensonge qui console à une vérité qui éclaire. »
[modifier] Dieu selon Thomas
Selon Thomas, qui s'oppose à Bonaventure, l'existence de Dieu n'est pas une évidence : ce n'est pas une idée innée que tout homme a en lui et que la simple réflexion (pour écarter les préjugés, comme, plus tard, chez Descartes) lui fait découvrir. Thomas est aristotélicien : nous n'avons pas de notion naturelle d'un être infini.
Nous pouvons cependant connaître que Dieu est par la lumière naturelle, c'est-à-dire par la raison. Nous ne sommes pas encore ici dans la véritable théologie ; que Dieu est, c'est ce que montre la philosophie naturelle. Thomas reprend ainsi pour le montrer cinq voies de raisonnement pour saisir le réel existant.
[modifier] La création
[modifier] L'homme et sa destination
[modifier] Anecdotes
- Deux novices voulant plaisanter lui dirent de regarder à la fenêtre, car on voyait, disaient-ils, un bœuf en train de voler. Thomas se déplaça à la fenêtre, et leur répondit : « J'aurais été moins étonné de voir un bœuf voler qu'un religieux mentir » (la nomenclature des péchés en répertoriait alors un véniel qui se nommait le mensonge joyeux).
- Alors qu'on lui posait la question « Que faisait Dieu avant de créer le monde ? », il répondit : « Il créait un enfer pour y mettre ceux qui posent de telles questions ! »
- Il ne se privait pourtant pas lui-même de ce genre d'interrogations : l'un des paragraphes de la Somme théologique demande « Puisque Dieu est tout-puissant, peut-il faire un rocher si lourd qu'il n'arriverait pas à le soulever ? », et la réponse thomiste n'est pas sans rappeler ce que l'on nommera plus tard les définitions autoréférentielles.
- Environ un mois avant sa mort, il affirma avoir une vision de Dieu lui disant : "Tu as bien écrit de moi, Thomas". Cette vision de Dieu face à face lui fit paraître tout à coup son œuvre comme dérisoire. De ce jour, il cessa d'y travailler.
[modifier] Une phrase qui résume l'œuvre
« En matière de foi et de mœurs, il faut croire saint Augustin plus que les philosophes, s'ils sont en désaccord ; mais si nous parlons médecine, je m'en remets à Galien et à Hippocrate, et s'il s'agit de la nature des choses, c'est à Aristote que je m'adresse, ou à quelque autre expert en la matière. »
[modifier] L'usage des richesses selon Thomas d'Aquin
« Deux choses conviennent à l'homme à l'endroit des biens extérieurs et c'est d'abord le pouvoir de les gérer et d'en disposer. Sous ce rapport il est permis de posséder les biens en propre, c'est même nécessaire à la vie humaine et cela pour trois raisons..
1 - Chacun donne des soins plus attentifs à la gestion de ce qui lui appartient en propre qu'il n'en donnerait à un bien commun à tous ou à plusieurs. En ce cas, en effet, on évite l'effort et on laisse aux autres le soin de pourvoir à l'œuvre commune.
2 - Il y a plus d'ordre dans l'administration des biens quand le soin de chaque chose est confié à une personne, tandis que ce serait la confusion si tout le monde s'occupait indistinctement de tout.
3 - La paix entre les hommes est mieux garantie si chacun est satisfait de ce qui lui appartient; l'on constate en effet de fréquentes querelles entre ceux qui possèdent des choses en commun et dans l'indivision.
Une seconde chose qui convient à l'homme, vis-à-vis des biens extérieurs, c'est l'usage qu'il en fait, la jouissance qu'il en prend. Sous ce rapport, l'homme ne doit pas posséder des biens comme s'ils lui étaient propres, mais comme étant à tous, en ce sens qu'il doit être tout disposé à en faire part aux autres dans leurs besoins, dans leurs nécessités. »
- (Somme théologique, IIa, qu.66, art II,par 3)
[modifier] La liberté selon Thomas d'Aquin
« L'homme est libre : sans quoi conseils, exhortations, préceptes, interdictions, récompenses et châtiments seraient vains. Pour mettre en évidence cette liberté, on doit remarquer que certains êtres agissent sans discernement, comme la pierre qui tombe, et il en est ainsi de tous les êtres privés du pouvoir de connaître. D'autres, comme les animaux, agissent par un discernement, mais qui n'est pas libre. En voyant le loup, la brebis juge bon de fuir, mais par un discernement naturel et non libre, car ce discernement est l'expression d'un instinct naturel (…). Il en va de même pour tout discernement chez les animaux. Mais l'homme agit par jugement, car c'est par le pouvoir de connaître qu'il estime devoir fuir ou poursuivre une chose. Et comme un tel jugement n'est pas l'effet d'un instinct naturel, mais un acte qui procède de la raison, l'homme agit par un jugement libre qui le rend capable de diversifier son action. »
- (Somme théologique, I, q. 83, a. 1)
La rédaction de la Somme théologique montre cependant que même en matière de foi et de mœurs, il préféra apporter sa propre compilation d'arguments et ses propres conclusions que de s'en remettre à Augustin. On sait aussi par ailleurs qu'il avait toujours critiqué le point de vue d'Augustin qui se gaussait qu'on pût croire à la théorie des antipodes, conséquence de la rotondité de la Terre adoptée par Aristote.
[modifier] Quelques avis
[modifier] Léon XIII, pape
« Les Pères du concile de Trente voulurent que, au milieu de leur assemblée, avec le livre des divines Écritures et les décrets des pontifes suprêmes, sur l'autel même, la Somme de Thomas d'Aquin fut déposée ouverte, pour pouvoir y puiser des conseils, des raisons, des oracles. »
- ( dans l'Encyclique Aeterni Patris, 4 août 1879)
[modifier] Jean-Paul II, pape
« À juste titre, saint Thomas peut être appelé « Apôtre de la vérité ». En effet, l'intuition du Docteur angélique consiste en la certitude qu'il existe une harmonie fondamentale entre la foi et la raison : « Il est donc nécessaire que la raison du croyant ait une connaissance naturelle, vraie et cohérente, des choses créées du monde et de l'homme, qui sont aussi l'objet de la révélation divine ; plus encore, la raison doit être en mesure d'articuler cette connaissance de manière conceptuelle et sous forme d'argumentation. »
- ( dans la Lettre apostolique Inter Munera Academiarum, 28 janvier 1999)
[modifier] G.K. Chesterton
« Thomas d'Aquin fut l'un des grands libérateurs de l'esprit humain, en réconciliant raison et religion. Il lui ouvrit les voies de l'expérimentation scientifique, il rendit aux impressions sensorielles leur dignité de fenêtres de l'âme, et à l'intellect son droit divin à se nourrir de faits vérifiés. Il permit à la Foi de s'assimiler la substantifique moelle de la plus dense et la plus trapue des philosophies antiques. »
[modifier] Jean-François Revel
« Ce que la scolastique nous a légué de plus utile, c'est peut-être cette précision […]. Tout l'enseignement occidental, avec ses Premièrement, Deuxièmement, grand A, petit a, petit b, en a été imprégné. La subordination et l'emboîtement, la vision et la division, pas seulement additives, mais par hiérarchie d'importance et lien de dépendance, la logique des idées, le plan presque architectural dans l'exposé de la pensée ou des faits s'incorporent alors définitivement aux habitudes mentales de l'Occident. »
- ( in Histoire de la philosophie occidentale)
[modifier] Œuvres
- De ente et essentia
- De principiis naturae
- Contre ceux qui attaquent le culte de Dieu et la religion
- De veritate
- Commentaire des Sentences,
- Somme contre les gentils (Summa contra gentiles) (commencée en 1258).
- Contre les erreurs des Grecs
- Catena Aurea (collection de citations patristiques sur les quatre Évangiles)
- Somme théologique (Summa theologica) (1273).
- De potentia
- De malo
- Compendium de théologie
- De l'unité de l'intellect contre les averroïstes
- Lectura super Ioannem.
- Sermons., Editions du Sandre
[modifier] Bibliographie
- Jean-Pierre Torrell O.P., Initiation à saint Thomas d'Aquin. Sa personne et son œuvre, Initiation 1. (Pensée antique et médiévale, Vestigia 13), Paris-Fribourg, Les Editions du Cerf - Editions Universitaires, 1993, 2e éd. 2002, XVIII-650 p.
- Jean-Pierre Torrell O.P., Saint Thomas d'Aquin, maître spirituel. Initiation 2. (Pensée antique et médiévale, Vestigia 19). Editions universitaires, Fribourg - Editions du Cerf, Paris, 1996, 2e éd. 2002, VIII-600 p.
- Ivan Gobry, Saint Thomas d'Aquin : biographie. Éditions Salvator, Paris, 2005. 254 p., 21 cm. ISBN 2-7067-0399-7. Inclut une bibliographie détaillée des œuvres de saint Thomas d'Aquin p. 217-223.
- Guillaume de Tocco, l'Histoire de saint Thomas d'Aquin (traduction française du dernier état du texte (1323) avec introduction et notes par Claire Le Brun-Gouanvic). – Paris : les Éditions du Cerf, coll. « Sagesses chrétiennes », 2005. – 223 p., 20 cm. – ISBN 2-204-07729-1. – Titre original : Ystoria sancti Thomae de Aquino.
[modifier] Liens internes
- Histoire de la philosophie
- Histoire de la philosophie chrétienne
- Questions théologiques
- Encyclique
- Fides et Ratio, Jean-Paul II, 14 septembre 1998, sur les relations entre foi et raison,
- Æterni Patris, sur les relations entre foi et raison, Léon XIII, 4 août 1879, sur Thomas d'Aquin et la théologie scolastique
- Les thèses de 1914.
[modifier] Lien externes
- Les oeuvres complètes de saint Thomas d’Aquin en français : Projet Docteur Angélique. L'ensemble de ce site, sauf quatre œuvres, est sous la licence GFDL (Free Documentation License). Autre site : jesusmarie.com.
- Les œuvres complètes de saint Thomas d'Aquin en latin (site de l'Université de Navarre)
- Les œuvres de saint Thomas d'Aquin : texte avec concordances et liste de fréquence (Bibliotheca Thomistica IntraText)
- Portail d'Aquin
- Revue thomiste (Dominicains de Toulouse, Ecole de théologie)
- Textes de Thomas d'Aquin sur le site de l'Académie Nancy-Metz
- Vie et Oeuvre de Thomas d'Aquin Oeuvres - Chronologie des oeuvres - Editions -Traductions
- Saint Thomas vu par Ecrivains - Philosophes - Théologiens - Magistère - Artistes
- Jean-Pierre Torrell O.P., Le "vrai" portrait de saint Thomas d'Aquin. Sources
[modifier] Voir aussi
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