Provence
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La Provence (en occitan provençal : [pʀuˈvɛⁿsɔ], Provença selon la norme classique ou Prouvènço selon la norme mistralienne) est une dénomination géographique qui désigne un ancien comté (devenu en 1481 une province royale française) et qui correspond aujourd'hui, au sens large, à une grande partie de la région administrative Provence-Alpes-Côte d'Azur. Elle se situe au sud-est de la France, s'étendant de la rive gauche du Rhône (rive est) jusqu'à la rive droite du Var où elle borde l'ancien comté de Nice situé sur la rive gauche.
Plus largement, dans un sens culturel et touristique, la Provence s'étend jusqu'à l'est et jusqu'au sud du Gard (au-delà du Rhône jusqu'à Nîmes et jusqu'au Vidourle) et jusqu'au sud de l'Ardèche et de la Drôme.
Mais au Moyen Âge, la Provence était plus étendue, elle englobait notamment les Alpes du Sud et le Pays niçois. Les découpages historiques en ont détaché une partie des Alpes (englobées dans la province du Dauphiné) et le Pays niçois (rattaché au duché de Savoie en 1388, au sein duquel il a fini par constituer le Comté de Nice). Depuis la seconde moitié du XXe siècle, la création de la région administrative Provence-Alpes-Côte d'Azur a rétabli plus ou moins l'espace initial de la grande Provence médiévale, avec les Hautes-Alpes et le Pays niçois.
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[modifier] Géographie
[modifier] Divisions administratives
Les départements issus de l'ancien comté (annexé à la France par Louis XI) et ancienne province royale française furent inclus dans la région administrative de Provence-Alpes-Côte d'Azur qui recouvre les départements des Alpes-de-Haute-Provence (04), des Hautes-Alpes (05), des Alpes-Maritimes (06), des Bouches-du-Rhône (13), du Var (83) et du Vaucluse (84).
Région PACA
- Superficie : 31 400 km²
- Population : 4 506 151 habitants
- Préfecture régionale : Marseille
- Préfectures : Digne, Gap, Nice, Toulon et Avignon
- Densité : 143,5 hab/km²
- Population active : 1 892 000 habitants
- PIB régional : 105,826 millions d'euros (7 % du PIB national)
- Spécialités industrielles : chimie, construction navale, armement
- Agriculture : vin, fruits, légumes, fleurs et plantes
Alpes Maritimes
- Superficie : 4 299 km²
- Population : 1 011 326 habitants (1999)
- Préfecture : Nice
- Sous-préfectures : Grasse
- Densité : 235 hab/km²
Hautes-Alpes
- Superficie : 5 549 km²
- Population : 121 419 habitants (1999)
- Préfecture : Gap
- Sous-préfectures : Briançon
- Densité : 22 hab/km²
Alpes de Haute-Provence
- Superficie : 6 944 km²
- Population : 140 000 habitants
- Préfecture : Digne-les-Bains
- Sous-préfectures : Barcelonnette, Castellane et Forcalquier
- Densité : 19,5 hab/km²
Vaucluse
- Superficie : 3 566 km²
- Population : 501 925 habitants
- Préfecture : Avignon
- Sous-préfectures : Apt et Carpentras
- Densité : 140 hab/km²
Bouches-du-Rhône
- Superficie : 5 112 km²
- Population : 1 835 000 habitants
- Préfecture : Marseille
- Sous-préfectures : Aix-en-Provence, Arles et Istres
- Densité : 357 hab/km²
Culturellement et historiquement, on peut aussi considérer que la partie sud des départements de l'Ardèche (07) et de la Drôme (26), ainsi que la partie est et sud du Gard (30) sont provençaux.
Gard
- Superficie : 5 853 km²
- Population : 623 125 hab.
- Préfecture : Nîmes
- Sous-préfectures : Alès, Le Vigan
- Densité : 106 hab./km²
Drôme
- Superficie : 6 561 km²
- Population : 437 800 habitants
- Préfecture : Valence
- Sous-préfectures : Die et Nyons
- Densité : 67 hab./km²
Ardèche
- Superficie : 5 529 km²
- Population : 286 023 habitants
- Préfecture : Privas
- Sous-préfectures : Largentière et Largentière
- Densité : 52 hab./km²
Var
- Superficie : 5 973 Km²
- Population : 898 441 habitants
- Préfecture : Toulon
- Sous-préfectures : Brignoles et Draguignan
- Densité : 152 hab./Km²
[modifier] Climat et topographie
La Provence est une région au climat privilégié, bénéficiant de l'influence de la Méditerranée, avec des étés chauds et secs. Les hivers y sont doux près de la côte, généralement humides à l'est, mais sont plus rudes dans le nord et le nord-est où il devient alpin. Dans sa partie centrale et méditerranéenne la végétation de la Provence est du type garrigue, la sécheresse d'été la rendant particulièrement vulnérable aux incendies. En revanche dans sa partie la plus orientale et la plus alpine, elle devient plus verdoyante et humide.
Le relief est globalement vallonné avec des Pré-Alpes impressionnantes dans sa partie centrale et la chaîne des Alpes du Sud à l´Est et au nord-Est (culminant à 4.101m à la Barre des Ecrins - Hautes-Alpes). Ses côtes de Marseille à Menton sont plutôt escarpées (Calanques - Maures - Estérel). L'érosion due aux orages violents d'été pouvant constituer des ravines assez creusées. L´ouest de la région est marqué par la plaine de la Crau et la Camargue qui constituent les seuls véritables espaces plats de la région provençale.
[modifier] Histoire
[modifier] Antiquité
Elle doit son nom à l'époque romaine qui la connaissait comme Provincia (une des nombreuses provinces romaines). La Provence fit partie de la Gaule Transalpine (c'est-à-dire au-delà des Alpes, pour les Romains), rebaptisée Gaule Narbonnaise (du nom de la capitale de la province romaine, Narbonne) au Ier siècle av. J.-C.
- La Provence indépendante
Le littoral provençal a été colonisé par les Grecs : vers 600 av. J.-C., les Phocéens s'installent à Marseille (en grec, Massalia; en latin, Massilia). Ils essaiment à Nice, Arles, Agde, Cannes et au sud de Nîmes. Antérieurement la région était peuplée de Celtes appelés aussi Ligures ou Celto-Ligures (cf. Dominique Garcia, La Celtique méditerranéenne. Paris, Errance, 2004, 206 p.)
- La conquête romaine au IIe siècle av. J.-C.
- Chronologie sommaire
- -181 : Marseille appelle Rome au secours contre les pirates Ligures
- -154 : Nice et Antibes assiégées par les Ligures des Alpes Maritimes, expédition d'Opimius
- -125/-124 : coalition de tribus celto-ligures (les Salyens) soutenus par les Voconces, Allobroges et Arvernes : le consul Marcus Fulvius Flaccus franchit les Alpes et les vainc. En -123, nouvelle campagne qui se termine par la destruction de l’oppidum d’Entremont.
- En -123/-122 : fondation d’Aix-en-Provence pour contrôler les Salyens.
- -122 : le proconsul Cn. Domitius Ahenobarbus écrase les Allobroges
- -121 : les Volques, à la tête d'un vaste territoire de 24 oppidums accueillent sans résistance les légions de Rome. Nemausa (Nîmes), la ville gallo-romaine est sur le point de naître.
- -120 : Ahenobarbus en campagne ; on lui attribue la fondation et l’organisation de la Provincia
- -117 : début de la construction de la Via Domitia (en l’honneur de Cn. Domitius Ahenobarbus) en direction des Pyrénées. Elle emprunte le tracé d’une ancienne route grecque (la voie héracléenne). Son aménagement est le symbole de la romanisation et apporte un développement des échanges commerciaux.
- -109/-105 : incursions des peuples germaniques (Cimbres, Teutons, Tigurins, Ambrons) : Marius écrase les Teutons à Aix-en-Provence (-102) et les Cimbres à Verceil (-101).
- Chronologie sommaire
[modifier] Moyen Âge
Au Moyen Âge, ce fut un marquisat, un comté et un royaume.
En 843, le traité de Verdun donna la Provence à Lothaire Ier. Son fils Charles de Provence en fit le royaume de Provence-Viennois ou de Bourgogne cisjurane, à l'existence éphémère (855-863). Après une période trouble, la Provence fut de nouveau incluse dans le domaine impérial par le traité de Meerssen, pour une brève durée, puisqu'elle échut à la mort de l'empereur Louis II, en 875, au roi de France Charles le Chauve, là aussi pour une courte période. Boson V de Provence, son beau-frère, se fit proclamer roi du deuxième royaume de Provence en 879. Boson fut en lutte avec les Carolingiens. Le fils de Boson, Louis, empereur, confia le gouvernement de la Provence à Hugues d'Arles, qui le donna à son tour en 934 à Rodolphe II, roi de Bourgogne transjurane. Le nouvel ensemble sera le deuxième royaume de Bourgogne-Provence, aussi appelé Royaume d'Arles. Il subsistera jusqu'en 1032.
Dans les années 880, quelques Sarrasins provenant du califat de Cordoue échouèrent par hasard sur le rivage varois et établirent une base au Fraxinet ou Freinet que l'on situe traditionnellement dans le région de La Garde-Freinet, d'où ils lancèrent des raids, notamment dans la basse Provence orientale. Hugues d'Arles mena deux attaques victorieuses contre eux en 931 et 942 avec l'aide de navires byzantins mais sans pousser l'avantage jusqu'à leur expulsion.
En 947, le bosonide Boson, comte d'Arles fut investi de la Provence. À sa mort, ses deux fils, Guilhem dit le Libérateur (Guillaume Ier) et Roubaud, se partagèrent en indivis le comté, indivision que maintinrent leurs descendants. La branche issue de Guilhem donnera celle des comtes de Provence, celle issue de Roubaud donnera les comtes de Forcalquier, qui se détachera en 1054 (ces derniers sont également appelés marquis de Provence). En 972, à la suite de l'enlèvement de Mayeul, abbé de Cluny, Guillaume Ier et Roubaud, avec l'aide de seigneurs provençaux et du marquis de Turin, libéra la Provence des Sarrasins qui depuis le massif des Maures (au-dessus de Saint-Tropez) pillaient la région. Nommé marquis en 975, Guillaume fait d'Arles sa capitale.
En 1037, Emma, marquise de Provence, se marie à Guillaume III Taillefer, comte de Toulouse, transmettant les droits de la lignée de Roubaud à la maison de Toulouse. En 1112, Douce de Provence, héritière des droits de la ligne de Guilhem, épouse Raimond-Bérenger III, comte de Barcelone, qui devient Raimond-Bérenger Ier de Provence. Les maisons de Toulouse et de Barcelone entrent alors en conflit pour le marquisat. Pour aboutir à un traité en 1125 entre Raymond-Bérenger et Alphonse-Jourdain de Toulouse, qui partagea le comté entre un marquisat au nord de la Durance, donné aux Toulouse, et le comté au sud, donné aux Barcelone qui s'opposent entre 1144 et 1162 à la maison des Baux au cours des guerres Baussenques. En 1193, Alphonse II de Provence épouse Gersande de Forcalquier, ce qui donne naissance au comté de Provence-Forcalquier.
Pendant cette période, le comté d'Orange, vassal de Provence, fut érigé en 1181 en principauté.
En 1245, meurt Raymond-Bérenger V de Provence, dont les quatre filles sont mariées respectivement : Marguerite à Saint-Louis, Sance à Richard de Cornouailles, Éléonore à Henri III, roi d'Angleterre et Béatrix à Charles, comte d'Anjou et du Maine, frère de Saint Louis. C'est cette dernière qui reçoit en héritage les deux comtés de Provence et Forcalquier, les transmettant à la première maison capétienne d'Anjou.C'est pourquoi Forcalquier est surnommé "la cité des 4 reines".
Accumulant les titres royaux (Naples-Sicile, Jérusalem, Chypre, Acre, Thessalonique, etc.), les comtes se font appeler roi, dont le célèbre roi René, de la seconde maison capétienne d'Anjou.
Mais entre-temps, le comté de Provence-Forcalquier avait été démembré. Conformément au traité de Meaux-Paris (1229) qui marqua la fin de la croisade des Albigeois, à la mort d'Alphonse de Poitiers, en 1271, le marquisat passe au roi de France Philippe III qui le cède dès 1274 au pape Grégoire X pour devenir le Comtat Venaissin.
En 1388, la ville de Nice et sa viguerie — la division administrative correspondante — la cité de Puget-Théniers et les vallées de la Tinée et de la Vésubie se constituent en terres neuves de Provence et se mettent sous la protection de la maison de Savoie, c'est la dédition de Nice à la Savoie. Ces terres prendront le nom de comté de Nice en 1526.
En 1382, à la mort de la reine Jeanne, s'achève la première maison capétienne d'Anjou. Elle adopta le frère du roi Louis Ier, fait comte puis duc d'Anjou, fondant la seconde maison capétienne d'Anjou. Cette dynastie s'achèvera avec la mort de Charles III du Maine en 1481, léguant la Provence au roi de France Louis XI lequel la rattache au domaine royal.
[modifier] Renaissance
À l'époque classique, la sagesse populaire clamait que les trois maux de la Provence étaient la Durance, le mistral et le parlement d'Aix.
Elle est néanmoins touchée précocement par les guerres de religion, dont le prélude est le massacre de Mérindol (1545), et qui ont lieu de 1562 à 1598. Au moment du massacre de la Saint-Barthélemy (août-octobre 1572), le gouverneur Sommerive, pourtant catholique intransigeant y empêche le massacre des protestants[1].
1720-1722 : la grande peste, partie de Marseille, envahit la Provence et la dévaste ainsi que les États pontificaux (Comtat Venaissin)
[modifier] Époque moderne
Lors de la révolution française, la Provence fut divisée en trois départements : Bouches-du-Rhône, Var et Basses-Alpes. Elle retrouve le Comté de Nice en 1793 qui donne naissance au département des Alpes-Maritimes avant de repasser sous le contrôle piémontais et sarde. En 1860, suite à un référendum populaire, le rattachement définitif du Comté de Nice à la France ramène Nice à la Provence. Quelques territoires alpins du Comté restent cependant italiens jusqu´en 1947 où un nouveau référendum plébiscite leur rattachement à la France, mettant un terme à près de 7 siècles de schisme de la Provence.
[modifier] Époque contemporaine
- La Provence et l'histoire du cinéma
- 15 août 1944 : Débarquement en Provence (Opération Dragoon)
[modifier] Souverains de Provence
- Charles de Provence (845-† 863), roi de Provence (855-863), fils de Lothaire Ier et Ermengarde de Tours.
- Boson V de Provence (?-† 887), roi de Provence (863-887), fils de Bivin de Vienne.
- Louis III l'Aveugle (v.880-† 928), roi de Provence (887-928), roi d'Italie (900), empereur d'Occident (901-905), fils de Boson V de Provence et Ermengarde. Son surnom provient du fait qu'il a été aveuglé par Bérenger Ier, son rival à la tête de l'empire.
- Voir aussi : Liste des rois, comtes et marquis de Provence
[modifier] Langue
La langue propre de la Provence est le provençal, qui fait partie de la langue occitane ou langue d'oc. C'est une langue polynomique dont les variétés parlées en Provence sont : le vivaro-alpin dans les Alpes et le provençal stricto sensu au Sud (composé du maritime, du rhodanien et du niçois). Le niçois est souvent revendiqué comme une variété littéraire distincte du provençal général. Parlé par près de 500 000 personnes et compris par plusieurs millions, le provençal vit actuellement un renouveau culturel, malgré la domination du français.
Jusqu'au milieu du XXe siècle, le terme provençal, associé aux troubadours, désignait l'ensemble de la langue d'oc. En 1854, autour de Frédéric Mistral se forme le Félibrige, association littéraire qui se donne pour objectif la renaissance nationale du Midi par la littérature et particulièrement la poésie. En 1904, F. Mistral obtient le prix Nobel de littérature pour l'ensemble de son œuvre littéraire et philologique. Au XXe siècle, la littérature provençale s'est renouvelée et a été plus productive que jamais, grâce à l'œuvre d'écrivains de génie parmi lesquels nous citerons Joseph D'Arbaud, Max-Philippe Delavouet, Henriette Dibon, Robert Lafont, Florian Vernet, Philippe Gardy, Danielle Julien, René Toscano, Michel Miniussi, Claude Barsotti, Pierre Pessemesse, Alain Peillon…
La musique en provençal est très créative, aussi bien dans les genres traditionnels que dans les genres plus modernes, avec une vague folk depuis les années 1970 (Miquèla e lei Chapacans, Jan Nouvè Mabelly, Daumas...) et une seconde vague renouvelée depuis les années 1990 avec des genres nouveaux (comme les groupes Massilia Sound System, Nux Vomica, Gacha-Empega, Dupain, Crous e Pielo, Terro de Sau, lo Còrou de Berra, D'Aquí Dub, lo Còr de la Plana par exemple).
Les principales associations qui œuvrent pour le développement de la langue provençale sont : l'Institut d'Études Occitanes (avec sa section régionale, le Centre régional d'études occitanes / CREO), Leis Amics de Mesclum, la maintenance de Provence du Félibrige (la plus ancienne de toutes les associations actuelles), la fédération des associations Parlaren, l'Unioun Prouvençalo, le Couleitiéu Prouvènço, l'Astrado Prouvençalo, l'Association des enseignants de langue d'Oc, les écoles Calandretas, Lou Prouvençau à l'Escolo, la Fédération des Associations du Comté de Nice, l'Acadèmia Nissarda, le Centre Culturau Occitan-País Niçard.
[modifier] Voir aussi
[modifier] Œuvres littéraires évoquant la Provence
De nombreuses œuvres littéraires évoquent la Provence :
- les romans de Jean Giono se déroulent souvent en Provence.
- les nouvelles qui composent les Lettres de mon moulin d'Alphonse Daudet se situent pour la plupart dans les environs de Beaucaire (20 km à l'est de Nîmes et en face de Tarascon), et reprennent parfois des récits tirés du folklore provençal.
- l'œuvre littéraire (mais aussi théâtrale et cinématographique) de Marcel Pagnol doit beaucoup à la Provence. Ses Souvenirs d'enfance, par exemple (La Gloire de mon père, Le Château de ma mère, etc.), se déroulent principalement à Marseille et dans les collines environnantes, de même que le diptyque L'Eau des collines.
- Les livres de Frédéric Mistral, Henri Bosco, Marie Mauron, Yvan Audouard
[modifier] Wikisource
[modifier] Bibliographie
- Gabriel Cassin, Histoire de la Provence comtale et papale, qu'on trouvera résumé sur Provence comtale et Provence papale
- Dominique Garcia, "La Celtique méditerranéenne, éditions Errance, Paris, 2004. ISBN 2877722864.: étude de l'occupation Celtique et Celto-Ligure de la région durant le premier millénaire avant J.-C.
[modifier] Liens externes
- Photos de la Provence libres de droits
- Comité départemental du Tourisme du Vaucluse, www.provenceguide.com
- Comité départemental du Tourisme des Bouches-du-Rhône, www.visitprovence.com
- Maison du Tourisme de la Provence d'Azur
- Carte linguistique de la Provence, de l'Institut d'Études Occitanes
- [1]
- [2] http://www.provence-littoral-musees.com
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