Christianisme
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![]() Cet article fait partie d'une série sur le Christianisme |
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Le christianisme est une religion monothéiste qui s'est développé à partir du Ier siècle de notre ère dans le contexte des communautés juives du Moyen-Orient, et qui est fondée sur la vie et les enseignements de Jésus de Nazareth tel qu'ils sont présentés dans la Bible chrétienne. Les adhérents au christianisme sont les chrétiens pour lesquels Jésus est le fils de Dieu et est le Messie. Le mot christianisme est dérivé du titre de Christ attribué à Jésus, qui est aussi communément appelé Jésus-Christ.
Ayant profondément marqué la civilisation occidentale au fils des siècles, le christianisme est de nos jours la religion la plus répandue dans le monde[1]. Elle est présente sur tous les continents, et plus particulièrement en Europe, en Amérique, en Afrique sub-saharienne et en Océanie où elle est prédominente[réf. nécessaire].
En terme d'étude comparée des religions, le christianisme fait partie des religions abrahamiques au même titre que le judaïsme et l'islam.
Sommaire |
[modifier] Introduction
Le christianisme est soumis aux influences de la pensée hellénistique depuis Alexandre le Grand. Le nom « christianisme » vient du mot Christos, qui traduit l'hébreu Messie (« celui qui a reçu l'onction »). Ce mot, originellement appliqué à différents personnages de la Bible (prophètes et rois), désigne dans le judaïsme tardif un personnage qui viendra à la fin des temps restaurer la royauté de Dieu en Israël. Il est, depuis, quasi-exclusivement réservé à Jésus. Selon les Actes des apôtres (XI,26), c'est à Antioche, sur les rives orientales de la Méditerranée, que, pour la première fois, les disciples de Jésus-Christ furent appelés chrétiens.
Le christianisme emprunte au judaïsme des éléments fondamentaux :
- la croyance en un Dieu unique (monothéisme) qui se montre sur Terre de façon transcendante et immanente ;
- la croyance en la venue d'un Messie ;
- la croyance en la Résurrection des morts et dans le Jugement dernier.
Ils ont également en commun la plus grande part de la Bible, soit l´Ancien Testament, à l´exception des Livres deutérocanoniques.
Mais le christianisme se distingue du judaïsme sur différents points :
- En Jésus, Dieu se serait révélé de manière définitive. Jésus est considéré comme le Fils de Dieu ( expression qui ne signifie pas une filiation biologique, mais qui doit être entendue dans la continuité de la tradition biblique et à la lumière des connaissances de l'époque).
- De là découle le dogme de la Trinité : le Dieu unique se révèle en trois personnes, Père, Fils et Esprit Saint. Présent tel quel dans un seul passage biblique (à la fin de l'Evangile de Matthieu), le dogme de la Trinité va être conceptualisé lors des grands Conciles du IV° siècle.
- Jésus est considéré comme vrai Dieu et vrai homme : de là découle la christologie (Notons que certains groupes se déclarant chrétiens, comme les Témoins de Jéhovah et les Mormons, ne partagent pas cette conviction).
- Jésus serait le Messie (Christ en grec) attendu des Juifs.
- La résurrection de Jésus a déjà eu lieu ; elle est le début d'une nouvelle époque de l'histoire, l'accomplissement des temps, au terme de laquelle tous les humains connaîtront eux aussi la résurrection.
- Depuis Jésus, Dieu veut créer une Eglise, non limitée aux seuls Juifs. Alors que Jésus est Le Fils de Dieu, les autres hommes le sont par adoption.
- C'est la foi en Jésus-Christ et l´acceptation de l´œuvre de rédemption qu´il a accomplie qui définit cette famille, et non la pratique de la loi mosaïque ou des doctrines religieuses.
Vers la fin du IVe siècle, le catholicisme devient la religion officielle de l'Empire romain, remplaçant ainsi le culte romain antique. Cette date marque symboliquement le début de la chrétienté : période de l'histoire de l'Europe où le christianisme est la seule religion admise.
Cette victoire sur le Paganisme antique s'accompagna d'une récupération de la philosophie, notamment celle de Platon, au profit de la nouvelle foi, et de l'utilisation de nombreux motifs mythiques du monde ancien pour l'inculturation du christianisme tout en respectant la tradition apostolique.
[modifier] Les Écritures
[modifier] Le canon chrétien
Aux écritures issues du judaïsme, qui correspondent à ce que les chrétiens nomment l'Ancien Testament, la tradition des premiers siècles du christianisme a adjoint le Nouveau Testament. On emploie souvent l'appellation « Premier » Testament au lieu d'Ancien, pour signifier que le Nouveau Testament ne vient pas remplacer l' « Ancien » mais l'accomplir. L'Ancien et le Nouveau Testament sont réunis dans la Bible chrétienne. Et les versions de la Bible qui sont acceptées par la religion Catholique contiennent des livres historiques, jugés comme non- inspirés, par les autres groupes qui se disent chrétiens.
Le Nouveau Testament est composé de quatre évangiles (selon Matthieu, Marc, Luc et Jean), des Actes des Apôtres, des Epîtres et de l'Apocalypse. On considère que la rédaction de ces textes s'étend de la seconde moitié du Ier siècle jusqu'au début du deuxième. Les manuscrits les plus anciens remontent au IV° siècle de notre ère.
On appelle « évangiles synoptiques » les évangiles de Matthieu, Marc et Luc, qui sont construits sur le même plan ; l'évangile de Jean reste à part.
Les épîtres de Paul de Tarse semblent être les plus anciennes (on date la première d'entre elles, l'épître aux Thessaloniciens, de l'année 50 environ) ; cette antériorité donne à Paul une place particulière dans le christianisme, certains le considérant comme le véritable fondateur de la religion et mettant en exergue sa rivalité avec Pierre.
L'évangile de Marc est généralement considéré comme celui qui a été rédigé en premier (vers l'an 65 ?), et constituerait une des sources ayant servi à rédiger les deux autres synoptiques. Viendraient ensuite les autres évangiles (Mathieu, vers l'an 70 ; Luc peut-être dans les années 80 ; Jean après 90). Les évangiles ont été rédigés sur la base de traditions et de documents plus anciens, sans doute circulant sous forme orale. Leur rédaction est contemporaine de la disparition des témoins directs de la vie de Jésus, et manifeste la volonté de conserver l'essentiel de leur prédication.
Les Actes des Apôtres sont la deuxième partie de l'évangile de Luc. L'Apocalypse et la Lettre aux Hébreux semblent être les textes les plus récents (toute fin du I° siècle). D´après son style, on suppose que l´Apôtre Paul serait l´auteur de l´épitre aux hébreux.
Le canon ainsi constitué écarte les textes dits apocryphes. L'existence des apocryphes révèle que le Nouveau Testament, tel que nous le connaissons aujourd'hui, est le fruit d'un choix parmi une multiplicité de documents témoignant de la vie et de la prédication de Jésus, ainsi que de la vie de l'Église primitive. Ce choix a été effectué au cours de l'histoire, en fonction de ce qui a paru alors vraisemblable, en fonction de l'ancienneté de la tradition à laquelle ces textes étaient rattachés, mais aussi en fonction des convictions des communautés chrétiennes. Le Nouveau Testament, comme l'ensemble de la Bible, est donc un témoignage de la foi de ces communautés avant d'être un récit historique.
[modifier] Le problème de l'historicité
Il est donc difficile de faire une lecture historique de ces textes, et ce pour plusieurs raisons : ce sont avant tout des témoignages écrits par des croyants qui retranscrivent leur expérience, et non une relation de faits historiques (ce qui n'empêche pas de les considérer comme des témoignages historiques de première main). D'autre part, il faudrait pouvoir comparer ces textes à d'autres récits relatant les mêmes faits ; or, il y a très peu de sources écrites précises, en dehors des évangiles, sur la vie de Jésus. Des textes non bliliques font mention de la présence de Jésus et des controverses qu'il a provoqué au sein du peuple juif, mais rien d'assez complet pour permettre une réelle confrontation avec le contenu des évangiles.
On considère comme mineures les éventuelles modifications, volontaires ou involontaires, dues aux traductions. Le Premier Testament donne un bon exemple de ce respect des textes sacrés. On peut citer le cas du manuscrit d'Isaïe retrouvé à Qumran près de la Mer Morte, contemporain de Jésus, et qui montre que la retranscription ultérieure a été d'une grande fidélité. On trouve cependant des ajouts et des gloses, dont l'étude constitue une discipline de l'exégèse biblique : la critique textuelle.
L'historien a en tous les cas peu de matériel pour émettre un jugement dans un sens ou dans l'autre sur le contenu de beaucoup de récits bibliques. Très peu de traces historiques, et rien d'archéologique, de l'existence de Jésus ne sont connues. Cela n'empêche pas d'affirmer la réalité de l'existence historique de Jésus, les évangiles constituant en eux-mêmes des témoins irréfutables.
[modifier] Une foi issue du judaïsme
[modifier] Christianisme et judaïsme
Le christianisme voit en Jésus le Messie annoncé dans les Écritures. Pour la plupart des confessions chrétiennes, Jésus est Dieu lui-même qui s'incarne et libère l'humanité.
Il est admis aujourd'hui que la ligne de partage entre les chrétiens et les juifs passe par la reconnaissance ou non du Messie en la personne de Jésus-Christ. Cette divergence de vue trouve son origine dans des interprétations différentes de divers passages de l'Ancien Testament ou Tanakh. Il est important de remarquer que, pour les Évangiles, Jésus « n'est pas venu abolir, mais accomplir » les Écritures. La perspective jésuanienne est donc celle d'un accomplissement de la foi juive, dans une interprétation particulière à Jésus lui-même, et non la création d'une nouvelle religion. Cette perspective se retrouve dans de nombreuses phrases de Jésus rapportées par les évangiles ; ainsi, les consignes données aux disciples de s'adresser "aux brebis perdues d'Israël", et non aux païens. Par Jésus, l'Alliance passée entre Dieu et le peuple Juif est étendue à tous les autres peuples qui croient en Jésus.
[modifier] Les racines juives du christianisme aujourd'hui
Le christianisme a repris, de façon plus ou moins importante selon ses courants, plusieurs éléments présents dans le judaïsme de la période suivant la destruction du second Temple, tels que :
- l'adaptation de la forme du culte synagogal aux églises de paroisses, (le culte synagogal était déjà présent en Galilée) ;
- l'utilisation de l'ensemble des textes bibliques, au premier rang desquels les psaumes juifs, issus du livre des Louanges ; ces textes peuvent être lus sur des cycles variables, pouvant atteindre jusqu'à trois ans pour l'Église catholique ;
- un calendrier religieux, partiellement mobile, dans lequel certains évènements notables ou certains points de Foi donnent lieu à des célébrations annuelles ;
- l'utilisation de chants et d'hymnes dans la prière ;
- dans les célébrations et les réunions communautaires, l'utilisation de certains mots venant de l'hébreu biblique (par exemple : Amen, Hosanna, Alléluia).
[modifier] Le dialogue entre chrétiens et juifs
Dans la perspective catholique depuis Vatican II, qui s'appuie sur la littérature néo-testamentaire (ainsi la Lettre aux Romains), la première Alliance reste valable.
Cette attitude est celle de la plupart des Églises issues de la Réforme. Certaines dénominations protestantes envisagent encore la nécessité de convertir les juifs.
Articles connexes: Canon (Bible) pour un détail sur les différents canons chrétiens et leur formation.
[modifier] Les Églises chrétiennes
[modifier] Introduction
Pour comprendre la diversité du christianisme aujourd'hui, une introduction historique est nécessaire.
Le mot "chrétien" n'est pas le mot utilisé habituellement par le Nouveau Testament pour désigner les disciples de Jésus. Ceux-ci s'appellent "La Voie", "l'Église" ou "les Églises", "les Nazaréens" (du nom de la ville d'origine de Jésus)... Le livre des Actes nous apprend que c'est à Antioche, donc dans une ville de langue grecque, que l'on donna pour la première fois aux disciples le nom de "chrétiens". Sans doute ce nom n'a-t-il servi à l'origine que pour désigner ceux des disciples de Jésus qui étaient de langue grecque.
Dans le premier siècle du christianisme, la prédication de Jésus a été reçue de manière sensiblement différente selon les cultures et les communautés. Un écho de ces différences se perçoit dans les textes du Nouveau Testament et la diversité de leurs présentations de cette prédication. Les divergences sont plus importantes encore quand on prend en considération l'abondante littérature dite apocryphe, dans laquelle se reflètent les convictions d'Églises dont on a aujourd'hui perdu le souvenir.
Ces différences de compréhension de la prédication et de la personne de Jésus ont été à l'origine de conflits internes au christianisme, chaque Église considérant comme "hérésie" les traditions et les dogmes retenus par l'autre. Très tôt est apparue la nécessité de s'entendre sur un langage commun sur Dieu et sur Jésus : d'où la pratique des "lettres de communion", lettres délivrées par une Eglise pour assurer qu'un de ses membres en voyage est bien dans la communion de toute l'Église. D'où également l'apparition d'Églises en désaccord les unes avec les autres.
[modifier] Les Églises pré-chalcédoniennes
Avec la paix constantinienne et l'accès au culte chrétien parmi les cultes reconnus de l'Empire, le pouvoir politique a pris l'initiative de réunir des assemblées d'évêques (conciles) pour règler les différends. Lorsque la majorité des évêques s'accordait sur un point, les évêques minoritaires ne choisissaient pas forcément d'adopter la formulation retenue. C'est ainsi que sont nées, après le Concile de Chalcédoine (451) (voir l'article christologie), les Églises dites pré-chalcédoniennes ou monophysites ; parmi elles : les Chaldéens, les Syro-Malabars de l'Inde, les Nestoriens.
[modifier] La séparation de l'Orient et de l'Occident
La chute de l'Empire romain d'Occident, puis la conquête progressive de la partie orientale de l'Empire par les Musulmans, ont eu pour résultat de diviser les deux parties du bassin méditerranéen. On retient souvent la date de 1054 comme celle de la séparation des Églises ; la réalité a été plus nuancée, l'excommunication réciproque lancée alors par le pape de Rome et le patriarche de Constantinople s'inscrivant dans une longue suite de conflits. La rupture a en fait été consommée au XIII° siècle lorsque les Croisés "latins" ont pillé Constantinople et déposé le patriarche. Une tentative d'union au Concile de Florence au XV° siècle n'a pas eu de résultat. L'occupation de Constantinople par les Turcs a aggravé le fossé culturel qui s'était installé entre les Églises, Catholiques d'un côté, orthodoxes de l'autre.
La différence entre Église catholique et Églises orthodoxes est essentiellement d'ordre ecclésiologique, ces dernières ne reconnaissant pas l'autorité du pape sur l'ensemble de l'Église.
[modifier] Les Églises issues de la Réforme
Le courant protestant a son origine dans la Réforme instaurée par Martin Luther au début du XVI° siècle. Ce courant a donné naissance a de nombreuses Eglises : on se reportera à ce sujet aux schémas des branches du christianisme proposés en complément de ce chapitre.
[modifier] Le Rétablissement
Pour les saints des derniers jours, la Réforme fut une étape préparatoire au Rétablissement qui commença avec Joseph Smith.
[modifier] Le dialogue oecuménique
C'est d'abord la nécessité d'une meilleure coopération entre Eglises protestantes qui a amené, à la fin du XIX° siècle, les premières tentatives de dialogue inter-confessionnel. En 1948, ces dialogues ont donné naissance au Conseil oecuménique des Églises (COE).
Dès 1927, plusieurs Eglises orthodoxes ont participé au travail oecuménique de la conférence mondiale Foi et Constitution. Elles ont rejoint en 1961 le COE.
Avec le Concile Vatican II, en 1962, l'Eglise catholique s'est engagée dans le dialogue oecuménique. Elle ne participe pas toutefois pleinement aux travaux du COE.
[modifier] Tableaux récapitulatifs
- Voir les branches du christianisme et celles du christianisme ancien.
- Le christianisme ancien (avant le schisme de 1054).
- Le catholicisme romain, (après le schisme de 1054):
- Le catholicisme non-romain :
- L'Orthodoxie ou Christianisme orthodoxe :
- Église orthodoxe ;
- Églises des sept conciles, (après le schisme de 1054).
- Le christianisme oriental :
- Le protestantisme né de la Réforme du XVIe siècle :
- Le mormonisme, né du Rétablissement initié en 1820.
- Le mouvement apostolique, né au début du XIXe siècle :
- Les Étudiants de la Bible sous l'impulsion de Charles Taze Russell à la fin du XIXe siècle :
[modifier] Voir aussi
- Généralités :
- Quêtes du Jésus historique, Thèse mythiste (Jésus non historique),prophéties sur le Messie, Jésus de Nazareth, les douze apôtres.
- Nontrinitarisme
- Christianisme et homosexualité ;
- liste de convertis au Christianisme ;
- Charismes selon Saint-Paul
[modifier] Liens externes
- Radio francophones chrétiens :
- David Latapie, « Arbre des Églises chrétiennes » sur Empyrée, 2006-10-20. Consulté le 2007-03-07
[modifier] Portails chrétiens
- Protestantisme (courants historiques):
- Orthodoxie :
[modifier] Liens concernant l'apologétique
- Le texte complet de la Bible en français
- Citations de saints, théologiens, poètes et philosophes, notamment chrétiens.
- Documentations chrétiennes contenant des études bibliques, des réflexions, etc. Site œcuménique.
- Bibliothèque catholique en ligne : Bibles, Pères de l'Église, Conciles, Magistère, Protestant et Catholique.
[modifier] Bibliographie
- Hervé Pasqua, Qu'est-ce que le christianisme?, Editions du Cerf, Paris, 2004.
- Alain Duphil, Au pays de Jésus--Les chrétiens et ...la lignée d'Abraham, Ed. Amalthée
- Jean-Marc Rouvière, Brèves méditations sur la création du monde, Ed. L'Harmattan, Paris 2006
- C.S. Lewis, Les fondements du Christianisme, ISBN 2850313114
- Ernest Renan, La vie de Jésus, Schoenhofs Foreign Books, 1974
- Étienne Nodet et Justin Taylor, Essai sur les origines du Christianisme, Éditions du Cerf, Paris, 2002
- Jean-Pierre Lémonon, sous la direction de Philippe Abadie, Le Judaïsme à l'aube de l'ère chrétienne, XVIIIe Congrès de l'ACFEB, Paris, Éditions du Cerf, « Lectio Divina, 186 », 2001, 412 p.
- François Blanchetière, Enquête sur les racines juives du mouvement chrétien (30-135), Paris, Éditions du Cerf, « Initiations », 2001, 588 p.
- sous la direction de S.-C. Mimouni, Actes du Colloque de Jérusalem, 6-10 juillet 1998 - Le Judéo-christianisme dans tous ses états, Paris, Éditions du Cerf, 2001, 462 p.
- Jaroslav Pelikan À qui appartient la Bible ? Le livre des livres à travers les âges, La Table Ronde, coll. Religions, octobre 2005.
- Christianisme, article de Diderot sur Wikisource
[modifier] Notes et références
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