Langage
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Le langage est la faculté de mettre en œuvre un système de signes linguistiques (qui constituent la langue) permettant la communication et l'expression de la pensée. La linguistique est l'étude scientifique du langage.
[modifier] Définition
Le langage peut être défini selon trois caractéristiques :
- La première est la fonction symbolique. En effet, le langage est l'utilisation de signes chez des individus qui sont capables de manier des représentations mentales associées.
- La deuxième est la conjugaison, c'est à dire la perspective du temps prise en compte dans le discours.
- La troisième est la grammaire. Elle permet d'intervertir les symboles afin de changer le sens de ce qui est dit.
[modifier] Quelques questions sur le langage
On considère souvent le langage comme le moyen d'exprimer une idée ; il serait donc un instrument de la pensée. Il y a pourtant des cas où le langage semble nous dépasser : dans le cas du lapsus, nous disons autre chose que ce que nous voulons dire ; et dans le cas, s'il existe, où l'on parle pour ne rien dire.
Le langage n'est-il qu'un instrument de communication et d'expression ? Ne fait-il qu'exprimer une pensée ?
Cette problématique philosophique du langage concerne le statut métaphysique de la pensée : si la pensée préexiste au langage, il est possible de se passer de cette forme matérielle ; mais si la pensée ne peut se réduire au langage, alors ce dernier a un pouvoir spécifique, indépendant des autres facultés.
Ce problème de la liaison du langage et de la raison est lié également à la question de savoir si le langage révèle la nature spirituelle de l'Homme, si le langage est le propre de l'Homme.
[modifier] Le langage humain
Les travaux de Karl von Frisch, ethologue autrichien (1886-1982) ont permis de découvrir le « langage » des abeilles qui s'expriment par l'orientation de leur danse en 8. Ces travaux furent ensuite relayés par Émile Benveniste, linguiste, qui a établi que le langage animal était un « code de signaux ». Le langage humain présente des capacités qui le distinguent du langage animal.
[modifier] Spécificités du langage humain
- La capacité à l'alternance : c'est ce qui permet un aller-retour entre les interlocuteurs dans une véritable communication à double sens. La différence est à soigneusement établir avec le langage animal dont les signaux émis unilatéralement déclenchent une réaction et non d'entrer en relation sur le mode du langage.
- La capacité à exprimer le possible et non seulement le réel présent. C'est la condition sine qua non de la capacité d'abstraction.
- La capacité à exprimer des liens logiques : elle permet que naisse l'argumentation.
- La capacité à exprimer la mémoire du passé : l'aboutissement le plus achevé de cette capacité est l'écriture, mais la transmission orale existait antérieurement, usant de cette même capacité.
- Chez les animaux, il s'agit d'un besoin : chez les humains « l'art de communiquer nos idées dépend moins des organes qui nous servent que d'une faculté propre à l'Homme, qui fait employer ses organes à cet usage » (Essai sur l'origine des langues, Jean-Jacques Rousseau). Ce n'est pas spécialement une aptitude physique qui donne aux Hommes le langage.
- L'Homme est « capable d'arranger ensemble diverses paroles et d'en composer un discours ». (René Descartes). C'est ce que le linguiste Martinet a nommé la double articulation. Avec un nombre fini de moyens (les phonèmes ou à l'écrit les graphèmes), l'Homme est capable de composer une infinité de discours.
- Le langage humain est acquis. Tandis que le langage animal est inné. En effet, l'Homme doit apprendre à parler : à 4-5 mois, il gazouille, à 10 mois, il connaît 3 ou 4 mots pour maîtriser l'usage de plus de 3000 mots vers 3 ans.
- La capacité d'abstraction des mots est ce qui nous différencie assurément des animaux .Car oui l'abstraction est le principe même du fonctionnement du dire c'est ainsi que la polysémie et la synonymie ne sont pas des accidents du langage, ce sont des caractéristiques permanentes du fonctionnement du langage. C'est cette capacité abstraite du mot qui nous permet de décrire avec une infinité de nuances une réalité.
- Ce n'est donc pas grâce au langage à proprement parler que nous pouvons communiquer mais par le biais de notre capacité de logique à mettre en forme nos idées de manière sémantique structurée.
[modifier] La question de l'origine : une langue mère?
Les savants de la langue, en huis clos avec le langage conscient, ont recherché, jusqu’ici vainement, une langue originelle. La quête de la langue perdue, oubliée, a inspiré depuis deux millénaires maints théologiens avant de passionner philologues et linguistes. De nombreux textes anciens révèlent ce désir de connaître la « Langue du Paradis », mais aboutissent souvent à des dérives nationalistes, chacun voulant considérer la langue de ses ancêtres comme plus proche de La Langue Divine de la Genèse. Beaucoup ont succombé à leurs fantasmes en identifiant ainsi leur propre langue maternelle au Verbe divin, parlé par la mère de tous les mortels.
L’orthodoxie cléricale des Pères de l’Église a ainsi longtemps tenu l’hébreu pour la langue mère universelle. En 1995 encore, pour Annick de Souzenelle, dans Le symbolisme du corps humain, «l’hébreu reste, avec le sanscrit, une des langues les plus proches d’une source antérieure unique et inconnue, gardant une empreinte originelle toujours intacte». Si les éléments constitutifs de cette langue première, ces bribes de Verbe, ont donné naissance à de multiples langues, ne peut-on penser que nos langues modernes gardent toujours les éléments, voire la structure du modèle original ? Mais sous quelle forme ?
En publiant L’origine des langues en 1994, Meritt Ruhlen a relancé le débat que les linguistes avaient enterré au début du siècle dernier avec Ferdinand de Saussure. La communauté linguistique estimait en effet jusqu’alors, que ce problème de l’origine ne pouvait pas être abordé de manière scientifique par leur discipline. Toutes les spéculations originelles furent traitées avec la même sorte de dédain qu’éprouverait un cancérologue, à qui on viendrait annoncer le remède miracle. D’ailleurs la société linguistique de Paris en 1866 avait inscrit dans ses statuts l’interdiction de toute communication sur l’origine du langage ! Malgré ces réticences, il faut saluer la réussite de la recherche linguistique historique qui découvre au XIXe siècle la famille indo-européenne et tente de reconstruire une langue « proto-indo-européenne », qui aurait pu être parlée il y a 6000 ans, langue dont dérivent le sanskrit, le grec, l’arménien, les langues romanes, celtiques, germaniques et slaves. Certains linguistes sont allés encore plus loin en tentant de regrouper des familles de langues entre elles, mais avec des résultats controversés. Le plus audacieux d’entre eux, Ruhlen, disciple d’un des plus grands linguistes nord-américains, Joseph Greenberg, n’hésite pas à affirmer qu’il apporte la preuve que toutes les langues dérivent d’une même langue mère en présentant une trentaine de mots, qu’il qualifie de « racines mondiales », issues de cette langue originelle de nos ancêtres d’il y a quelques 50.000 ans ! Il se dit sûr qu’à long terme « la masse des données témoignant de la monogenèse des langues existantes deviendra si contraignante que la question ne sera plus de savoir si toutes les langues du monde sont apparentées, mais pourquoi il a fallu si longtemps à la communauté linguistique pour s’en apercevoir » ! Hélas pour lui, sa démonstration n’a pas convaincu grand monde, tant il est difficile de prendre au sérieux sa liste de racines. Si l’on prend quelques uns de ces mots tel aja qui aurait signifié mère ou pal qui correspondrait à deux, on ne voit vraiment pas ce qu’il en reste dans nos langues européennes actuelles, sinon en français pour le dernier mot quelque pieu supplice dans le fondement du condamné !
Bref, les scientifiques admettent plutôt que la reconstruction du vocabulaire de la langue mère reste aujourd’hui inaccessible. Cela n’implique pas que les recherches linguistiques abandonnent désormais la question de l’origine des langues, mais elles s’orientent vers la compréhension interdisciplinaire (allant des neurosciences à la psychologie du développement en passant par l’anthropologie, l’éthologie jusqu’à la modélisation informatique) des processus de son émergence au cours de l’hominisation : quel type de langage est apparu en premier, est-il apparu fortuitement ou comme la conséquence d’autres acquisitions, telle la fabrication d’outils ? Pourquoi l’homme est-il le seul animal qui parle ? Voilà les nouveaux défis à résoudre pour la science.
Depuis Darwin, la science a démontré que l’humanité est le produit d’une évolution, d’un continuum, et il est probable que les moyens d’expression de nos ancêtres hominidés se sont développés progressivement. Le langage devient donc un produit de l’hominisation, tout en restant comme l’écrit Emile Benvéniste, « l’essence de l’homme ». Les recherches actuelles font l’hypothèse de l’apparition d’un prélangage sans syntaxe, appelé protolangage, quand le genre Homo est devenu erectus. Cette acquisition de la position debout a libéré la main permettant la fabrication d’outils primitifs ; cette main a permis une préhension tactile plus adroite améliorant l’appréhension matérielle et intellectuelle. Ce qui fut pris dans la main primitive fut mieux compris et appris, imprimant dans le cortex cérébral de nouvelles associations entre tact, vue et odorat. Homo devenait vraiment hume-main. La pince manuelle perfectionne la saisie tactile, améliore l’adresse et permet des premiers gestes signifiants, relayés par les cris surtout dans des situations de forte émotion. Ainsi la véritable hominisation, qui différencie l’homme du primate, s’est opérée par la conquête de ce statut de bipède, qui, s’il signifie étymologiquement, dans notre langage conscient, sa progression sur deux pieds (bi-pedes), annonce avec un B majuscule une toute autre destinée selon le code inconscient dévoilé dans ce livre, puisqu’il se transcrit [en direction de la saisie du Verbe], définition qui, pour le primate humain que nous sommes, annonce bien une autre Vocation !
[modifier] La question de la motivation des mots
Né primitivement du cri douloureux ou émotif, le mot, fruit de la parole, s'est ensuite dédoublé entre sa vibration sonore signifiante émotive et le concept sensé signifié qu’il désigne. L'humus sonore des cris a été fertile pour le développement lexical puisqu’il aboutit à l'édification du gratte-ciel verbal humain, porteur d'une richesse informative croissante par la diversification des mots et leurs jeux sémantiques. Mais l'intelligence de l’homme, qui a construit cette tour de Babel informative, n’a t-elle pas elle-même désincarné le Verbe en le remplaçant par des mots devenus creux ? Cette désincarnation est confirmée par le fondateur de la Linguistique moderne, Ferdinand de Saussure, connu pour son Cours des années 1906-1911, qui affirme que le mot n’est qu’un « signe arbitraire, conventionnel et immotivé », définition enseignée encore dans les Facultés de Lettres. S’il existe bien pour chaque mot au sein d’une langue un lien indissoluble entre ce qu’il signifie et les sons qui le composent, en revanche ce lien, pour les linguistes classiques n’est que pure convention ; il n’y aurait aucune liaison motivée entre les sons d’un mot, le signifiant et l’objet qu’il désigne, le référent.
Cette définition du mot comme signe verbal, caractérisé par sa dualité signifié/signifiant, reliés de façon arbitraire, met fin à une vieille polémique entre partisans et adversaires de la motivation des mots. Il y a environ 2400 ans, Platon déjà avait exposé, dans son discours socratique du Cratyle, ces deux thèses opposées sur le caractère conventionnel ou naturel du langage. Socrate renvoie dos à dos les deux thèses, il souligne avec Hermogène que les mots subissent, au fil du temps, une évolution physique conventionnelle qui les dénature, tandis qu’avec Cratyle, il cherche à reconnaître l’origine véritable des mots, d’abord en décomposant les noms en noms élémentaires non réductibles, puis eux-mêmes en éléments pour lesquels il faut nécessairement faire l’hypothèse d’une certaine ressemblance avec les choses à imiter, ressemblance qui appartient à la langue originelle des dieux, par opposition aux langues des hommes. Cette langue divine est admise aussi par Homère, révélant que le monde grec polythéiste est proche du concept de la genèse biblique du langage !
Il faut attendre le XXème siècle pour qu’un certain Freud nous révèle l’existence de l’inconscient et ose affirmer que «c’est par la langue que l’essentiel se révèle. Comprendre, c’est zurückführen, littéralement conduire en arrière, ramener la langue vers son fondement, la Grundsprache, langue des profondeurs », une langue dont Freud parle avec justesse sans soupçonner qu’elle put avoir un code précis. Prisonniers avec Saussure du raisonnement conscient, les linguistes n’entrent quasiment jamais dans le domaine de l’inconscient. Mais comme Victor Henry ou P. Guiraud, certains sont ouverts à cette nouvelle approche linguistique hors du champ conscient. Comme l’affirme P Guiraud et le souligne la linguiste Françoise Dumas (Université de Bourgogne Franche-Comté), qui s’intéresse à l’acte de langage dans l’expression du goût, « de proche en proche, l’étymologie renvoie chaque mot à des expériences de plus en plus archaïques qui ne peuvent être que celles de nos sens et des relations de notre corps au monde ».
La conclusion en est que, pour l’origine inconsciente des langues, mieux vaut relire le Cratyle de Platon ou les écrits du sophiste Protagoras que les livres de nos linguistes modernes enfermés dans les champs conscients du langage. Si les mouvements de l’appareil phonatoire semblent imiter le sens d’un radical onomatopéique, il ne s’agit pas d’une onomatopée articulatoire, qui n’est que la conséquence de l’imitation. Les bruits sur terre obéissent aux lois de propagation de l’onde acoustique dans l’atmosphère, et quand on veut les imiter vocalement, il faut souvent reproduire le même genre de mouvement que celui qui a généré le bruit à imiter ; ainsi l’onomatopée clac se prononce avec un claquement de la langue qui ferme le conduit buccal de la même manière qu’il est produit par des objets qui se ferment. Les onomatopées « articulatoires » démontrent que notre langue présente des groupes de phonèmes, motivés par des référents géométriques dynamiques inconscients.
[modifier] Les troubles du langage
Parmi les troubles répertoriés concernant le langage et la parole (rééduqués par l'orthophoniste), nous pouvons relever entre autres :
[modifier] Les rapports entre langage et pensée
La fonction du langage, dit-on, est d'exprimer la pensée en la manifestant extérieurement. Il faut pourtant apporter à cette formule une précision importante, et même en souligner l'insuffisance. En effet :
- La pensée doit ici être entendue au sens conceptuel, voire rationnel : l'expérience a montré que les singes anthropoïdes peuvent accéder à une expression symbolique abstraite (utilisation de la langue des signes des personnes sourdes, manipulation de symboles abstraits), mais il n'a jamais pu être établi qu'un animal soit capable d'exprimer une idée, ni même un concept. En d'autres termes, certains animaux sont capables d'exprimer leurs besoins (la faim, la soif), leurs émotions (désirs ou craintes, tristesse ou joie...), mais aucun ne semble capable de porter un jugement liant des concepts. Cette précision rejoint la remarque déjà formulée par des philosophes. Par exemple, remarque Aristote, les animaux peuvent exprimer le plaisir ou la douleur, qui sont des sensations, non le juste et l'injuste, qui sont des idées (et c'est pourquoi l'Homme, et l'Homme seulement, est « un animal politique »). Selon Descartes, seul le langage (sous la forme de paroles articulées ou de tout autre système de signes équivalent) est capable de formuler des idées et de les communiquer à d'autres.
- La raison de ce lien privilégié entre pensée et langage est elle aussi exposée par des philosophes (Hobbes, Rousseau...) : le langage n'est pas simplement l'expression de la pensée ; il en est le point de départ et l'instrument : penser, c'est « se parler », se dire en quelque sorte des choses à soi-même. La pensée, disait déjà Platon, est « le dialogue de l'âme avec elle-même ». Et s'il est vrai que le langage, par lui-même, ne pense pas, il est néanmoins indispensable à la pensée et à son déploiement : s'il est vrai que le langage est l'expression de la pensée, il faut ajouter que la pensée est une parole intérieure.
[modifier] Limites du langage
Une caractéristique importante du langage humain réside dans ce que de Saussure a nommé l'« arbitraire du signe » : il n'y a aucun lien motivé intrinsèquement entre le concept et la forme. Par exemple, la forme chien ne ressemble en rien à l'animal en question. L'arbitraire du signe permet donc une très grande économie dans le système lexical : une même forme peut être associée à différents concepts (homophonie ou homonymie) et à l'inverse un même concept peut être associé à différentes formes (synonymie).
Cependant, cette même caractéristique de l'arbitraire du signe qui confère une grande puissance au langage des humains introduit en même temps la possibilité d'énoncés ambigus dans le système. En effet, il faudra souvent se reférer au contexte de la situation de communication pour interpréter des formes comme bureau dans l'expression « le bureau de Paul », par exemple. S'agit-il ici d'un meuble, d'une pièce dans un immeuble ou d'une entreprise ?
[modifier] contexte de raisonnement
Chaque langage est l'émanation de la nature du raisonnement utilisé, les unités de raisonnement se différenciant entre les espèces, leurs environnements, et leurs adaptations. quelques exemples: le raisonnement olfatique ( ex: les chiens), le raisonnement phonique (cétacés, oiseaux ? ), le raisonnement visuel spatio-temporel (humain), Certaines espèces comme l'homme peuvent mélanger les différents types de raisonnements ( ex: la musique). il est donc important de se rappeler que le langage est la transmission des dynamiques environnementales assimilées dans les systèmes de gestion centrale (cerveau ou autre), et qu'ils peuvent prendre la même forme sans être issus d'une même unité de raisonement ex: chien et humain peuvent s'exprimer d'une même manière (phonique), tandis que les raisonements sont distincts il est induit également que l'utilisation d'une forme d'expression engendre l'adaptation aux raisonnements y correspondant ( ex: l'homme, le langage, et les dynamiques sonores acquises comme la musique ). de plus les différents processus cérébraux induits par le langage diffèrent même entre espèces et individus rendant la compréhension de chacun unique par l'ensemble des structures neuronales mises en jeu, celles-ci étant issues des acquis et du développement de chacun.
processus decrit dans l'œuvre de Alfred Korzybski sur la sémantique générale.
[modifier] Fonctions du langage
- Fonction phatique
- Fonction de subsistance
- Fonction d'intégrité de l'identité
Selon Bühler :
- Fonction émotive
- Fonction conative
- Fonction représentative
Selon Jakobson :
- Fonction émotive
- Fonction conative
- Fonction représentative
- Fonction phatique
- Fonction métalinguistique
- Fonction poétique
Selon Britton :
- Fonctions transactionnelles, impliquant des interlocuteurs, parmis lesquelles la fonction conative
- Fonction expressive
- Fonction poétique
[modifier] Bibliographie
- Platon, Cratyle
- Aristote, De L'Interprétation
- Aristote, Les Politiques, Livre I
- Hobbes, Leviathan, I
- René Descartes, Discours de la méthode, V
- Rousseau, Discours sur l'origine et les fondements de l'inégalité parmi les Hommes
- Benvéniste, Problèmes de linguistique générale
- Jean Métellus, Voyage à travers le langage, 1996 Ortho-Edition Isbergues(Nord), France.
- Jean-Marc Rouvière, Brèves méditations sur la création du monde, L'Harmattan Paris, 2006.
- Wittgenstein, Tractatus logico-philosophicus
- Dr Christian Dufour, Entendre les mots qui disent les maux, Edition du Dauphin, Paris juin 2006.
- Wittgenstein, Carnets 1914 - 1916
- Wittgenstein, Le Cahier bleu et le cahier brun
- Wittgenstein, Investigations philosophiques
- S.I.Hayakawa, On pense avec les mots
[modifier] Langages mathématiques et informatiques
On emploie également le mot langage pour désigner des systèmes d'instructions et de règles syntaxiques servant en particulier à la programmation informatique (voir langage informatique).
[modifier] Langages de spécialités
Voir par exemple le langage de l'aéronautique.
[modifier] Voir aussi
- Linguistique
- Ferdinand de Saussure, fondateur ou rénovateur de la linguistique.
- Sémiologie
- Pensée
- Raison
- Enfants sauvages
- Orthophoniste
- Langage formel
- Technesthésie
- Traduction
- Langage animal
[modifier] Liens externes
- (fr) Peut-on penser sans langage ?
- (fr) David PAVON CUELLAR, Le révolutio-m'être, notions lacaniennes appliquées à l'analyse de discours en psychologie sociale, Paris, Psychophores, 2006 (l'ouvrage en pdf). Critique de l'approche cognitiviste au langage.
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