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Économie du Mali

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L’indicateur de pauvreté humaine (47,3%) le classe 73e sur 88 pays en développement alors que l’indice de développement humain (IDH) positionne le Mali en 175e sur 177 en 2006[1]. Le revenu par habitant au Mali, estimé à 240 dollars en 1998 est très inférieur à la moyenne pour l’Afrique subsaharienne (510 dollars). En 2001, 63,8% de la population vit dans la pauvreté et 21% dans l’extrême pauvreté.

La croissance économique est repartie à la hausse en 2005 avec un taux de 5,5%. Pour les années 2006 et 2007, les économistes tablent sur des taux de croissance de 5,5 et 5,4%[2].

Sommaire

[modifier] Agriculture et pêche

L’économie du Mali est avant tout agricole. 80% de la population active travaille dans ce secteur qui représentait 44% du PIB en 1995 (16% pour le secteur secondaire et 40% pour le secteur tertiaire). Mais la production agricole est faible, souffrant à la fois d’un manque d’infrastructure en milieu rural, de rendements faibles trop liés aux variations climatiques. En dehors de la région de Sikasso, l’autosuffisance alimentaire n’est pas assurée.

La superficie des terres effectivement cultivées est estimée à 3 millions d’hectares soit 10% des terres arables. Le potentiel des terres irriguées est estimé à environ 1 millions d’hectares. Seul 130 000 ha sont actuellement complètement exploité[3].

L’agriculture est pratiquée par 630 000 petites exploitations familiales. La superficie moyenne est de 4,5 ha mais 40% des exploitations ont une superficie inférieure à 3 Ha[3].


Productions des principales cultures en 2001[4]
Culture Production

(en tonnes)

Mil 722226
Sorgho 532572
Riz paddy 670590
Coton graine 250059
Maïs 204921
Fonio 12569
Patate 15627
Igname 5982
Manioc 1426
Haricot 23703
Arachide 166270
Tabac 691


[modifier] Céréales

Les céréales constituent la base de l’alimentation des maliens, notamment en milieu rural (220,13 Kg/an/habitant contre 154,51 Kg/an/habitant en ville)[3].

Face à la pénurie alimentaire observée en 2005 suite à l’invasion acridienne et à la sécheresse, le Mali a connu une flambée des prix de denrées agricoles. Entre Octobre 2004 et juin 2005, le kilogramme de mil, base de l'alimentation est passé de 105 à 161 francs CFA, celui du maïs de 103 à 167 francs CFA et celui du riz de 272 289 francs CFA. Pour maîtriser cette inflation des prix des denrées de bases, le gouvernement à décider d’exonérer de Taxe sur la valeur ajoutée (TVA) 600 000 tonnes de riz et 100 000 tonnes de maïs importés, ainsi que la distribution gratuite de 8 500 tonnes de céréales dans les zones menacées de famine du Sahel[5]. Pour la campagne 2005/2006, grâce à une bonne pluviométrie lors de la saison des pluies, la production céréalière est estimée à 3 136 592 tonnes, en hausse de 10,3% par rapport à la campagne précédente[6]. La culture du riz contribue à hauteur de 44 milliards de francs CFA au PIB, soit 5%. La principale zone de production est celle de l’Office du Niger qui représente 40% de la production totale malienne estimée entre 700 000 et 900 000 tonnes selon les années.

La productivité de la filière riz au Mali, l’une des plus importante en Afrique, ne permet pas d’assurer la protection des producteurs locaux face aux importations. L’application des politiques d’ajustements structurels rend la production nationale vulnérable face aux importations de riz subvention par les pays développés[3].

[modifier] Coton

Récolte du coton
Récolte du coton

La filière coton, avec une production de 580 000 tonnes en 2004, représente 15% du Produit intérieur brut (PIB). Environ trois millions de maliens vivent directement ou indirectement de la culture du coton. [7].

Le coton est, après l’or, la deuxième source d’exportation avec 187 milliards de francs CFA en 2004[8]. Pour la campagne 2005/2006, la production de coton graine est estimé à 600 100 tonnes contre 585 000 pour la campagne précédente[6]. Premier pays africain producteur de coton, le Mali est vulnérable aux fluctuation des cours de l’ « or blanc » et est menacé par les subventions européenne mais surtout américaine accordés aux producteurs occidentaux qui rend le coton africain non compétitif. Le Mali, avec d’autres pays comme le Burkina Faso ou le Tchad demandent la suppression de ces subventions. La production et la transformation du Coton sont organisées par la Compagnie malienne pour le développement du textile (CMDT). Cette entreprise d’État créée en 1974 connaît des difficultés importantes dues aux fluctuations du cours du coton sur le marché mondiale mais aussi à une mauvaise gestion. Son déficit pour l’année 2004/2005 est évalué à 50 milliards de francs CFA. Sa privatisation, exigée par le Fonds monétaire international, est prévue pour 2008. Le gouvernement malien a décidé de créer des filières couvrant l’ensemble des régions productrices. Ces filières seront vendues avec la possibilité pour les producteurs d’entrer dans leur capital social[7].

Les paysans producteurs de coton sont majoritairement opposés à cette privatisation. Réuni à Fana en juillet 2005, le Forum des peuples a, à travers une pétition, réclamé l’abandon de la privatisation de la CMDT.

La production de coton « biologique et équitable », cultivé depuis 1998 dans les cercles de Kolondièba, Yanfolila et Bougouni, a atteint 386 tonnes en 2005 et concerne 1700 producteurs de coton[9].

[modifier] L’élevage

Marché au bestiaux de Fanafiè, commune de Kambila
Marché au bestiaux de Fanafiè, commune de Kambila

L’élevage représente 10% du PIB. Elle est la principale ressource de 30% de la population[10].


Composition du cheptel malien en 2003[11]
Animal Nombre de tête
Bovins 7 630 180
Moutons 6 825 500
Chèvres 9 324 000
Cheval 213 190
Anes 788 000
Chameau 300 000
Porcs 100 400
Volailles 23 000 000

75% du bétail malien est constitué de troupeaux transhumants. L’élevage est l’activité principale des peuls et des touaregs.

Le bétail est le troisième produit exporté par le Mali, après l’or et le coton. Cependant, ce secteur a pâti de la crise ivoirienne. La Côte d’Ivoire était le premier importateur de bétail malien, devant le Sénégal, la Mauritanie, la Guinée, le Ghana, le Burkina Faso et le Niger[10].

[modifier] Pêche et pisciculture

Pêcheurs sur le Lac Sélingué
Pêcheurs sur le Lac Sélingué

La pêche représente 90 milliards de francs CFA, soit 4,2% du Produit intérieur brut[12].

La production halieutique se situe autour de 100 000 tonnes par an dans les années de pluviométrie normale. La pêche est pratiquée par environ 71 000 pêcheurs (essentiellement des bozos) permettant de faire vivre de 256 400 personnes. La filière pêche dans son ensemble emploie environ 8% de la population active. Christophe Breuil, Revue du secteur des pêches et de l’aquaculture : Mali pour l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture, septembre 1996</ref>.

Les principales zones de pêches sont situées dans le delta central du Niger (80% de la production totale) et les lacs des barrages de Sélingué et Manantali.

La baisse des niveaux de cours d’eau due au déficit de pluviométrie, entraînant une stagnation des captures halieutiques depuis 3 décennies, ainsi que l’augmentation de la population fait que la demande croissante en poissons, une des principales sources de protéines pour la population a du mal à être satisfaite. Le Mali attend développer la pisciculture qui est encore à l’état embryonnaire[13].

[modifier] Concertations paysannes sur la Loi d'Orientation Agricole du Mali

En 2005, d'importantes concertations paysannes ont eu lieu dans le cadre du processus d'élaboration de la Loi d'orientation agricole (LOA) du Mali afin que les préoccupations, points de vue et propositions des paysans constituent le cœur des orientations politiques maliennes[14].

Vous pouvez également consulter le mémorandum paysan remis au gouvernement du Mali accordant une place méritée à tous les acteurs des concertations paysannes ainsi qu'aux méthodes mises en œuvre pour que le point de vue des paysans et paysannes soit respecté dans la transparence et la démocratie. [2] et [3]

La Loi d'Orientation Agricole a été adoptée le 16 août 2006. De nombreuses réformes doivent suivre son adoption. Plusieurs actions de communication auront lieu pour faire connaître la LOA aux populations et aux partenaires du Mali. [15]

[modifier] Matières premières et énergies

[modifier] Or

La première société de production d’or de Kalena a été mis en service en 1984. L’exploitation de nouveaux gisements à Loulo, Faboula, misséni, Morila et Yatela a permis à l’industrie aurifère de prendre son essor dans les années 1990 [16].

Le Mali est devenu le troisième producteur d’or en Afrique (derrière l’Afrique du Sud et le Ghana) avec une production de 63 tonne en 2002, production qui a doublé entre 2000 et 2002. Cette production représente 12% du produit intérieur brut du Mali et 67% des produits d'exportation (300 milliards de francs CFA). Entre 1997 et 2005, la production d’or a rapporté au Mali plus de 600 milliards de francs CFA. [17] L’or est la première exportation avec 270 milliards de francs CFA en 2004[8].

[modifier] Pétrole

Des recherches pour l’exploitation pétrolière sont actuellement en cours au Mali. Un premier forage pourrait être installé en 2008[18].

[modifier] Énergie

La consommation énergétique provient en grande partie (81%) du bois et du charbon de bois, largement devant les produits pétroliers (16%) et l’électricité (3%). Cette surconsommation des produits du bois (6 millions de tonnes en 2002) créé une pression trop forte sur les forêts et accélère la désertification.

Un projet de politique énergétique nationale a été approuvé par le Conseil des ministres le 29 mars 2006. Il doit notamment permettre :

  • de réduire la part des combustibles ligneux dans la consommation globale de 81% actuellement à 70% en 2010 et 60% en 2015.
  • de sécuriser et accroître la couverture électrique du pays de 14% en 2004 à 45% en 2010 et 55% en 2015.
  • d'accroître la part des énergies renouvelables dans la production nationale d'électricité de moins de 1% en 2004 à 6% en 2010 et 10% en 2015[19].

Seul 13% de la population a accès à l’électricité, mais dans les zones rurales ce taux n’est que de 1%. Pour favoriser l’électrification des zones rurales, le ministère de l’énergie et des mines a créé l’Agence malienne pour le développement de l’énergie domestique et de l’électrification rurale (Amader)[20]. Selon l’OCDE, l’électricité malienne est fournie à 80 % par les centrales hydrauliques et à 20 % par les centrales thermiques[21].

[modifier] Industrie

Le recensement industriel réalisé en 2006 dénombre 406 entreprises industrielles dont 343 en activité. La plupart, 70 %, sont installée dans le district de Bamako. Les entreprises industrielles employaient 17593 personnes en 2006, contre 13127 personnes en 2002, soit une augmentation de 34% en quatre ans. En 2005, ces entreprises ont réalisé un chiffre d’affaire de 897 milliards de francs CFA[22].

Il s’agit essentiellement d’industrie de transformation de la production agricole : biscuiterie, pâtes alimentaires, confiseries, conserverie, brasserie, boulangerie, huilerie, sucrerie, laiterie, usine textile et de tabac. La plus grande partie de la population travaille dans le secteur informel.

[modifier] Tourisme

Voir l’article Tourisme au Mali.

Avec 80 milliards de francs CFA générés en 2005, le tourisme est devenu un secteur important de l’économie malienne, avec la création de 17 000 emplois dans cette filière[23]. Le nombre d’hôtel est passé de 53 en 1990 à 242 en 2005. Le tourisme devrait connaître un nouvel essor dans les prochaines années. Il est envisagé d’accueillir 300 000 touristes en 2009 contre 112 654 enregistrés en 2004[24].

Le tourisme est concentré actuellement dans trois régions : le pays dogon, Djenné - Mopti et Tombouctou. La volonté des autorités est de développer des nouvelles régions touristiques autour du pays mandingue, la boucle du Baoulé, et le Gourma[25]. Mais le manque d’infrastructures hôtelières et l’état des routes restent des freins au développement du tourisme.

[modifier] Politique économique

Les politiques d’ajustement structurel imposées par le Fonds monétaire international (FMI) depuis les années 1970 a conduit les gouvernements à réduire les budgets sociaux consacrés aux dépenses d’éducation et de santé. La dévaluation du franc CFA en janvier 1994 a plongé un nombre important de famille dans des situations d’extrême précarité. Ces politiques, tout comme la démocratisation du pays, ont cependant rassuré les investisseurs étrangers.

[modifier] Dette

La dette, qui n’était que de 55 milliards de francs CFA en 1968 a atteint 1 700 milliards de francs CFA en 2001, ce qui représente quasiment son PIB annuel (99%) et six fois le budget de l’État et 1766 milliards de francs CFA en 2003. En 2005, le service de la dette s’élève à 90,69 milliards de francs CFA. Selon une étude réalisée par la Coalition des alternatives africaines dettes et développement (CAD-Mali), il faudrait le sacrifice 4 génération, soit 106 années, pour rembourser intégralement cette dette[26].

Le Mali a bénéficié en 2000 d’une réduction de 158 milliards du service de la dette au titre de la première phase de l’initiative pays pauvres très endettés (PPTE)[27]. Cette réduction de dettes a été accordées suite à l’engagement de l’État malien de privatiser de large secteur de l’économie et de réduire les dépenses publiques.

En 2005, le G8 a pris la décision d’annuler la dette multilatérale du Mali s’élevant à 1 060 milliards de francs CFA.

[modifier] Privatisation et libéralisation de l’économie

Sur la pression d’organisations internationales comme la Banque mondiale et le Fonds monétaire international, le Mali a mis en place une politique d’ajustements structurels qui consiste à libéraliser l’économie (liberté des prix, fin du monopole pour l’importation et l’exportation, privatisations).

Pour le CAD-Mali, cette politique d’ajustement structurelle n’a pas permis au pays de sortir de l’étau de la dette toute en appauvrissant une partie de la population, les privatisations entraînant une nombre élevé de licenciement.

La société Énergie du Mali (EDM) chargé de la production et la distribution d’électricité et d’eau potable avait été privatisé et racheté pour 60% par la société SAUR, filiale du groupe français Bouygues. Pourtant, en 2005, le gouvernement malien a décider de racheter EDM contestant les choix de gestion du groupe Saur, basés sur une augmentation du prix de vente de l’électricité et de l’eau.

Au niveau des télécommunications, une licence globale a été accordée à un opérateur privé, Ikatel, venant ainsi faire concurrence à la société publique Sotelma et sa filiale de téléphonie mobile Malitel. La privatisation de la Sotelma est prévue vers 2007.

La régie des Chemins de fer du Mali qui exploitait la partie malienne de l’unique ligne de chemin de fer entre Bamako et Dakar, a été privatisé en 2003 et vendu à Transrail, un consortium canadien. Transrail a donné la priorité au fret au détriment trafic voyageur. Les deux tiers des gares ont été fermés (26 sur 36) entraînant une pertes de ressources pour les habitants des localités concernées. En effet, l’arrêt des trains dans ces localités permettait le commerce. 612 salariés de l’ancienne régie ont été licenciés[28].

[modifier] Désenclavement du Mali

Le Mali souffre de son enclavement. Ne possédant aucune façade maritime, il est dépendant des ports des pays de la sous-région, Abidjan était le principal port utilisé jusqu’au déclenchement de la Guerre civile de Côte d'Ivoire. Depuis, les ports de Lomé au Togo et Nouakchott en Mauritanie, ainsi que Dakar au Sénégal ont pris la relève. Mais les infrastructures routières insuffisantes sont un frein et le gouvernement malien a décidé de faire du désenclavement une priorité: des travaux sont en cours ou prévus sur les liaisons routières entre Bamako et Dakar, Nouakchott et Conakry. Un pont sur le fleuve Niger a été construit à Gao.

[modifier] Commerces extérieurs

Les exportations maliennes ont totalisées en 2004 près de 513 milliards de francs CFA, avec deux grands secteurs qui sont l’or (270 milliards de francs CFA) et le coton (187 milliards de francs CFA). Les exportations sont en recul par rapport à 2003 (577 milliards). Les importations s’élèvent à 716 milliards de francs CFA. La balance commerciale accuse un déficit d’environ 203 milliards de francs CFA[8].

[modifier] Intégration régionale

Le Mali est membre de

[modifier] Aide étrangère

Le Mali bénéficie de l’aide internationale, qu’elle soit fourni par des organisations internationales (FMI, Banque mondiale, Banque africaine de développement) ou par des programmes bilatéraux (Union européenne, Luxembourg, France, Allemagne, Pays-Bas, Canada, États-Unis).

Jusqu’en 1991, L’union soviétique était un partenaire important du Mali. De plus en plus, les pays arabes comme l’Arabie saoudite ou la Libye ainsi que la Chine aident le Mali.

L’argent envoyé par les émigrés en Europe et particulièrement en France, originaire principalement de la région de Kayes, est une source de revenus essentielle, dépassant l’aide au développement octroyée par les « pays riches ».Le ministre des Maliens de l’extérieur et de l’intégration africaine estime à 4 millions les Maliens vivant et travaillant à l’étranger, dont 3,5 millions en Afrique, 200 000 en Europe dont plus de la moitié en France. [29].

[modifier] Quelques indicateurs

  • Pib par habitants : 357,9 dollars (2004).
  • Croissance du PIB  :6,1%(2005); 2,3%(2004)

[modifier] Notes

  1. Classement IDH sur le site du PNUD consacré au développement humain (en anglais). Voir également les différents indicateurs servant à calculer l'IDH
  2. Perspectives économiques du Mali : voici les indices de la croissance, Le républicain du 8 novembre 2006
  3. 3,0 3,1 3,2 3,3 Mamadou Lamine Coulibaly, Le contexte agricole du Mali, forces et faiblesses de la filière riz, perspective de la souveraineté alimentaire
  4. Source : Direction nationale des statistiques et de l’informatique
  5. Système d’information du marché céréalier cité par Xinhuanet le 18 juin 2005
  6. 6,0 6,1 Altervision 7 mars 2006
  7. 7,0 7,1 Sory Ibrahim Guindo, Privatisation de la CMDT à l’horizon 2008: Pas de vente des actifs, mais plutôt création de sociétés filiales. L’Indépendant, 30 décembre 2005
  8. 8,0 8,1 8,2 Direction nationale de la statistique et de l’informatique, cité par Malikounda 23 janvier 2006
  9. Be Coulibaly, Coton biologique : Le Mali donne le ton, L’Essor du 11 décembre 2006
  10. 10,0 10,1 « L’élevage au Mali » réalisé par la Mission économique de Bamako, octobre 2004
  11. Sources DNAMR, cité dans «L’élevage au Mali » réalisé par la Mission économique de Bamako, octobre 2004
  12. L’Essor du 18 avril 2006
  13. L’Essor du 18 avril 2006
  14. Les contributions collectées lors de ces concertations "paroles de paysans" sont disponibles sur un site internet dédié aux concertations paysannes et peuvent être consultées en référence au thème de LOA, à la zone d'origine ou au type de contribution. On y trouve aussi d'autres contributions au débat, des guides d'animation et des références sur l'agriculture. Ces informations sont des références utiles pour tout acteur intervenant en développement rural au Mali.
  15. Le quotidien national Essor rapporte l'adoption de la LOA [1]
  16. Site des Nations unies au Mali
  17. Direction nationale de la géologie et des mines (DNGM) cité par Malikounda 18/05/2005
  18. Valentine Lescot, Le Mali producteur de pétrole en 2008 ? sur Akrik.com
  19. Communiqué du Conseil des Ministre du 29 mars 2006.
  20. Panapress 23 janvier 2006
  21. Jeune Afrique du 11 juin 2006.
  22. Communiqué du Conseil des ministres du 20 décembre 2006
  23. L’Essor du 19 décembre 2005
  24. Ministère malien de l’Artisanat et du Tourisme cité par Panapress le 23 mars 2006.
  25. Jeune Afrique du 11 juin 2006
  26. Sources :dettes publiques cité par le Site des Nations unies au Mali et CAD-Mali cité par Xinhua le 3 janvier 2006.
  27. Site des Nations unies au Mali
  28. Comité international pour l’annulation de la dette, Le néolibéralisme à l’assaut du Mali, janvier 2006
  29. Afribone 28 septembre 2006


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