Partis et mouvements politiques français

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France

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Cette liste présente les partis et mouvements politiques existant actuellement en France. Cette liste est scindés en deux groupes, les partis parlementaires et les partis non parlementaires. Les partis politiques ayant disparu sont listés sur cette page.

Remarque : le classement de certaines formations politiques à droite, au centre, à gauche, pourra paraître quelque peu arbitraire : d'aucuns courants se veulent au-dessus des partis, des clivages politiques traditionnels. Certains tenants du centrisme, du gaullisme, de l'écologie politique, du royalisme, du républicanisme, du régionalisme, voire du libéralisme, et l'on en passe, entendent "transcender" les factions. De plus, certaines doctrines et idéologies peuvent difficilement être enfermées dans telle ou telle case. Néanmoins, dans un souci de clarté, cette classification, avec tous les défauts qu'elle comporte, sera reprise.

[modifier] Les formations parlementaires

On appelle partis « parlementaires » les partis ayant des élus à la représentation nationale (Assemblée Nationale et Sénat) .

[modifier] Gauche parlementaire

Parti communiste français (PCF), parti dirigé par Marie-George Buffet (députée de la Seine-Saint-Denis), partagée entre un courant "refondateur" (dont Patrick Braouezec, député de Saint-Denis), un courant "orthodoxe" (André Gerin, député-maire de Vénissieux, Jean-Claude Danglot, secrétaire fédéral du Nord), un courant « hueiste » prônant une alliance avec le PS et le courant de la direction qui pousse à l'ouverture vers le mouvement social et les autres forces de gauche. Compte 22 députés et 21 sénateurs.
Mouvement républicain et citoyen (MRC), républicain socialiste, ancien Mouvement des citoyens (MDC) fondé par Jean-Pierre Chevènement (maire, et ancien député, de Belfort) et Georges Sarre (ancien député de Paris et maire du XIe arrondissement), dissidents du PS, élargi en 2002 en un Pôle républicain, à l'occasion des élections présidentielle et législatives de 2002. Compte actuellement 2 sénateurs (dont un apparenté).
Parti socialiste (PS), principal parti de la gauche et principal parti de l'opposition à l'Assemblée nationale. Le PS est partagé entre une "aile droite", que l'on pourrait qualifier de sociale-démocrate, voire de sociale-libérale (l'ancien premier ministre Lionel Jospin, le premier secrétaire du parti François Hollande, Dominique Strauss-Kahn ou encore Jack Lang sont de cette tendance), et une "aile gauche", beaucoup plus à gauche sur les questions économiques et sociales, voire anticapitaliste (on y trouve Arnaud Montebourg et son mouvement Rénover maintenant ou encore Laurent Fabius et ses partisans, qui sont passés de l'aile droite à l'aile gauche de par leur rejet de la constitution européenne, ainsi que Jean-Luc Mélenchon et Henri Emmanuelli). Compte 142 députés et 97 sénateurs.
Parti radical de gauche (PRG), dissidence du Parti radical, divisé entre les partisans d'un lien fort ("satellisation", d'après ses détracteurs) avec le PS (Jean-Michel Baylet, sénateur du Tarn-et-Garonne et patron de la Dépêche du Midi), et d'autres plus autonomistes, plus républicains et plus à gauche (Émile Zuccarelli, député-maire de Bastia). Compte 9 députés et 7 sénateurs.
Les Verts, formation écologiste, partagée entre une aile "libertaire" proche de la gauche parlementaire (elle comprend Dominique Voynet, sénatrice, ou encore Noël Mamère, député-maire de Bègles), une aile plus proche de la gauche mouvementiste, voire de l'extrême gauche, dite "radicale" et une aile purement "écologiste" (Yves Cochet, député de Paris, est de cette tendance). Compte 3 députés et 4 sénateurs.

[modifier] Centre-droit parlementaire

Union pour la démocratie française (UDF), formation centriste, menée par François Bayrou. Regroupe des libéraux modérés, des démocrates-chrétiens et des radicaux (cf. le club Convergences fondé par Thierry Cornillet, ancien président du Parti radical valoisien, de 1997 à 1999). Compte 28 députés et 33 sénateurs (Union centriste).

Parti associé à l'UDF

Énergies démocrates, formation fondée par Christian Blanc, ancien collaborateur de Michel Rocard et ancien patron d'Air France, élu apparenté UDF .

Parti associé à l'UMP

Parti radical (dit parti radical valoisien), parti le plus ancien de France (fondé en 1901). Il s'est divisé dans les années 1950 entre son aile gauche qui alla fonder le MRG et son aile droite qui garda le contrôle du parti.

[modifier] Droite parlementaire

Union pour un mouvement populaire (UMP)

Rassemblement pour la France (RPF-IE), indépendant (mais dont certains députés et sénateurs se firent élire avec l'étiquette UMP), mouvement gaulliste et souverainiste présidé par Charles Pasqua, ancien membre du RPR. Compte 7 députés et 1 sénateur.

Mouvement pour la France (MPF), souverainiste, islamophobe, conservateur, d'inspiration nationaliste et catholique, fondé et dirigé par Philippe de Villiers, compte 2 députés (dont un apparenté) et 3 sénateurs.

Parti associé à l'UMP

Forum des républicains sociaux (FRS), d'inspiration catholique et sociale, fondé par Christine Boutin. Compte 2 députés.
Centre national des indépendants et paysans (CNIP), libéral et conservateur. Compte 3 députés et 1 sénateur.

[modifier] Autres partis parlementaires (régionaux)

Corse social-démocrate, formation socialiste corse menée par le député Simon Renucci.
Mouvement indépendantiste martiniquais, dirigé par le député Alfred Marie-Jeanne.
Bâtir le Pays Martinique, formation de gauche autonomiste représentée à l'Assemblée nationale par Philippe Edmond-Mariette.
Objectif Guadeloupe, mouvement proche de l'UMP.
Rassemblement pour la Calédonie dans la République ou Rassemblement-UMP, parti calédonien proche de l'UMP, fondé par le député Jacques Lafleur, présidé aujourd'hui par l'autre député Pierre Frogier.
Tahoeraa huiraatira, parti tahitien proche de l'UMP (Gaston Flosse).
Walwari, formation guyanaise (Christiane Taubira), député apparentée socialiste, candidate PRG aux présidentielles de 2002.
Forces démocratiques de Guyane, parti guyanais de gauche, compte un sénateur (Georges Othily) inscrit au groupe RDSE.
Guadeloupe unie, socialisme et réalités, parti guadeloupéen de gauche, compte un sénateur (Daniel Marsin) inscrit au groupe RDSE.
Parti communiste réunionnais, parti communiste de Réunion, associé au groupe communiste.

[modifier] Partis non-parlementaires

On appelle partis « non-parlementaires » les partis n'ayant pas de représentants au niveau national. Ils peuvent avoir des représentants locaux et/ou européens.

[modifier] Gauche

Les Alternatifs, fondé en 1998 à partir notamment de l'Alternative rouge et verte (AREV), formée en 1988 par les comités soutenant le communiste rénovateur Pierre Juquin à l'élection présidentielle de 1988 et par d'anciens membres du PSU.
Pôle de renaissance communiste en France (PRCF) : issu d'une scission du PCF, ex-FNARC, fondé en 2004. Georges Hage, député PCF du Nord, et doyen de l'Assemblée Nationale, est président d'honneur de cette formation.
Alternative Citoyenne, CCAG et Appel pour des candidatures unitaires 2007-2008 : ces collectifs et associations regroupent des militants de gauche issus du mouvement social (Agir contre le Chômage, APEIS, Attac), des membres de tendances minoritaires du PCF et des Verts, des Alternatifs et des personnes sans appartenance politique, mais de sensibilité altermondialiste. Certains élus régionaux en font partie, notamment en Île-de France. Ils sont souvent alliés avec le PCF.
Union gaulliste pour une France républicaine (UGFR) : gaulliste de gauche, membre du Pôle républicain.
Union des Républicains Radicaux (U2R) : fondé en 2002, membre du Pôle Républicain, ancienne Antenne radicale du Pôle républicain.
Mouvement pour une alternative républicaine et sociale (MARS) : fondé en 2003-2004 par une dissidence du MRC et souvent allié avec le PCF.
Initiative républicaine. Liée à la Coordination Nationale de la Gauche Républicaine (CNGR).
Association pour une gauche républicaine (AGR) : fondé en 2002 par des « déçus du chevènementisme », présente localement. Liée à la CNGR.
Union sociale démocratique (USD) : parti fondé en 2004 pour soutenir le non au référendum sur le TCE, il fait partie du mouvement antilibéral. L'USD est très active en Midi-Pyrénées et en Lozère.

[modifier] Centre

Citoyenneté, action, participation pour le XXI^e siècle (Cap 21), mouvement écologiste fondé (en 1996) et dirigé par Corinne Lepage (ancienne ministre de l'environnement du premier gouvernement d'Alain Juppé).
Mouvement des écologistes indépendants (MEI), mouvement écologiste encore influent dans l'est de la France, fondé et dirigé par Antoine Waechter, ancien membre des Verts hostile au rapprochement avec la gauche.
Parti fédéraliste, créé en 1995 pour promouvoir le fédéralisme en France et en Europe.
Rassemblement démocrate (RD), confédération de formation récente, regroupant diverses tendances modérées et démocrates de la mouvance royaliste.
Initiative Européenne et Sociale (IES), mouvement social-libéral et européen fondé en 2006 et dirigé par Marc d'Héré.
Union du Peuple Français (UPF), mouvement républicain et gaulliste visant l'union du peuple français au delà des clivages politiques, fondé en 2006.
Europe Résistance
Union citoyenne (UC), parti politique fondé en 2005 et dirrigé par Jérôme Aguillon.

[modifier] Droite

Alternative libérale (AL), fondée le 1^er mars 2006 pour promouvoir le libéralisme.
Chasse, pêche, nature, traditions (CPNT), fondé en 1989, ruraliste, agrarien, a des élus au niveau local.
Génération écologie (GE), fondée (en 1990) et présidée par Brice Lalonde, compte encore quelques élus au niveau local.
Rassemblement pour l'indépendance et la souveraineté de la France (RIF), de formation récente, conservateur souverainiste, compte un député européen.
Debout la République, parti gaulliste et républicain fondé par Nicolas Dupont-Aignan pour marquer son opposition à l'UMP devenue selon lui un parti uniquement libéral et non gaulliste.

[modifier] Royalistes

Alliance royale (AR), créé en 2001, dirigé par Yves-Marie Adeline, conservateur et royaliste.
Action française (AF), formation royaliste fondée en 1899 par Charles Maurras. Il s'agit plus d'un mouvement politique que d'un parti à part entière, car l'AF refuse de participer au jeu démocratique.
Nouvelle Action royaliste (NAR) : fondé en 1971 par Bertrand Renouvin, candidat à l'élection présidentielle de 1974, mouvement royaliste proche de la gauche (soutien à François Mitterrand en 1981 et 1988, à Jean-Pierre Chevènement en 2002, membre du Pôle républicain jusqu'en 2002).

[modifier] Extrême droite

Front national (FN), fondé et dirigé par Jean-Marie Le Pen (ancien député français, européen et conseiller régional) parcouru par diverses tendances, nationaliste, nationale-catholique, nationaliste révolutionnaire, « nouvelle droite »… Compte des élus locaux et cinq députés européens.
Mouvement national républicain (MNR), fondé par des dissidents du FN menés par Bruno Mégret (ancien maire de Vitrolles), compte quelques élus locaux.
Parti populiste, fondé par des cadres du MNR, favorable à l'Union patriotique proposée par Jean-Marie Le Pen
Parti national-populaire français, récemment fondé par des dissidents du FN.
Parti français chrétiens (PFC), fondé en 1984 par Pierre Grandemange, actuellement dirigé par l'écrivain Henri de Fersan et prônant la création d'un État traditionaliste libre.
Droit de chasse, parti rural issu d'une scission avec CPNT en 2001.
Parti nationaliste français et européen, mouvement néonazi fondé en 1987.

[modifier] Extrême gauche

[modifier] Gauche communiste

Echanges et mouvement : fondé en 1975.
Mouvement communiste.
Démocratie communiste.
Parti communiste international : fondé en 1962.
Courant communiste international (CCI).

[modifier] Trotskistes

Ligue communiste révolutionnaire (LCR): fondée en 1938, sous le nom de Section française de la IV^e Internationale, appartient à l'USFI.
Union Communiste (Trotskiste) dite Lutte ouvrière (LO) : fondée en 1956, membre de l'UCI.
Parti des travailleurs (PT) : fondé en 1991 (succède au Mouvement pour un parti des travailleurs), membre de l'ILCWI, rassemble une tendance socialiste, une tendance communiste, une tendance anarcho-syndicaliste et une tendance trotskiste qui est majoritaire (le Courant communiste internationaliste, membre de la SIQI).
Ligue trotskiste de France (LTF) : fondée en 1975, membre de l'ICL.
Groupe bolchevik : fondé en 2001, édite Révolution Socialiste, membre du CCITP.
Comité pour la construction du parti ouvrier révolutionnaire (de l'Internationale ouvrière révolutionnaire) : fondé en 1997.
Groupe La Commune : fondé en 1992, dissidence du CCI, membre de l'UIT.
Groupe socialiste internationaliste : fondé en 1992, dissidence du groupe "La Commune", membre de la LIT.
Pour le socialisme : fondé en 2000.
Parti Communiste Révolutionnaire (Trotskyste) : fondé en 1962, dissidence du PCI, membre du PFI - "posadiste".
Gauche révolutionnaire : fondée en 2001, membre de la CWI.
Alternative révolutionnaire socialiste : fondée en 2001.
La Riposte : fondé en 1982, membre de la SA, ancien membre de la CWI.
Groupe Liaisons : fondé en 2001.
Collectif Carré rouge : fondé en 1995 par d'anciens membres du PCI.
Fraction Publique - Combattre pour le socialisme: fondé en 2003. Depuis 2006, la Fraction Publique CPS s'est transformée en Comité communiste internationaliste-trotskyste (CCI-T).
Groupe communiste révolutionnaire internationaliste : fondé en 2003, dissidence du PT.

[modifier] Maoïstes

Organisation communiste marxiste-léniniste Voie Prolétarienne (OCML VP) : issue indirectement de la Gauche prolétarienne et autres organisations marxistes-léninistes des années 70. Affiliée à la Conférence internationale des partis et organisations marxistes-léninistes (anciennement pro-albanaise). Publie le mensuel Partisan.
Parti communiste des ouvriers de France (PCOF) : fondé en 1979 autour de la section strasbourgeoise du Parti communiste marxiste-léniniste de France (PCMLF). Membre de la Conférence internationale des partis et organisations marxistes-léninistes, autrefois lié au Parti du travail d'Albanie.
Parti communiste de France (maoïste) : issu du PCOF via l'Organisation pour la reconstruction du parti communiste de France (ORPCF). Publie le journal Drapeau rouge.
Parti communiste marxiste-léniniste-maoïste : issu des Noyaux autonomes pour le communisme, fondé en 2002.

[modifier] « Marxistes-léninistes » non-maoïstes

Union des révolutionnaires-communistes de France (URCF) : issu de la Coordination communiste (groupe oppositionnel du PCF), fondé en 2004.
Communistes : issu de l'« Appel des 500 » (groupe oppositionnel du PCF), fondé en 2000.
Collectif militant communiste : fondé en 2002. Stalinien, « pro-albanais », proche de l'URCF. Publie le mensuel « Militant communiste ».
Communistes en lutte (pour la construction en France d'un parti marxiste-léniniste) (Cel) : issu de la Coordination communiste. Publie le bimestriel homonyme.
Coordination communiste 59-62 : groupes du Nord et du Pas de Calais de la Coordination communiste ayant scissionné en 2000.

[modifier] Anarchistes

[modifier] Autres partis non-parlementaires

[modifier] Les partis politiques régionalistes/autonomistes/independantistes

Fédération Régions & Peuples Solidaires, fondée en 1995 (ci-dessous les partis adhérents à R&PS sont indiqués à l'aide d'une ***).

Article détaillé : Régionalisme (politique).

Partis politiques régionalistes (REG), autonomistes (AUT) et indépendantistes (IND) de :

[modifier] Alsace

Alsace d'abord fondé en 1989
Union du peuple alsacien (UPA) fondé en 1988 ***

[modifier] Bretagne

[modifier] Catalogne du Nord/Roussillon

Bloc Català ***, fondé en 2001.
Esquerra Republicana de Catalunya/Gauche Républicaine de Catalogne (ERC) ***, fondé en 1931, parti transfrontalier.
Unitat Catalana (UC), fondé en 1986.

[modifier] Corse

Corsica Nazione, fondé en 1992, regroupant A Cuncolta, I Verdi Corsi
Indipendenza, fondé en 2001, regroupant A Cuncolta indipendenza, Corsica viva, U Culletivu nationale, Associu per a suvranita
Parti de la nation corse/Partitu di a Nazione Corsu (PNC) ***, fondé en 2002, regroupant les anciens membres de l'Union du peuple corse (UPC, fondé en 1977), Scelta Nova, d'anciens membres du Mouvement Pour l'Autodétermination (MPA, fondé en 1990).
Partitu Sucialistu per l’Indipendenza (PSI),
Unione Naziunale
Rinnovu
Fronte Populare (PSI + Accolta Naziunale Corsa)
A Manca Naziunale (Extreme Gauche Nationaliste, observatrice à la IVeme Internationale)

[modifier] Flandre

L'Alliance régionale Flandre-Artois-Hainaut fondée en 2003 (REG)

[modifier] Franche-Comté

Rassemblement du peuple franc-comtois (RPFC), entre 1994-1999 (AUT)

[modifier] Occitanie

Partit Occitan (POc)***, créé en 1987 (centre gauche) (IND)
Partit de la Nacion Occitana/Parti de la nation occitane (PNO), fondé en 1959 (gauche) (AUT)
Anaram au Patac (gauche révolutionnaire occitane, descendant du Corrent revolucionari occitan -CROC-)

[modifier] Pays basque

Parti national basque/Parti nationaliste basque (EAJ-PNB) ***, fondé en 1895 (AUT)
Eusko Alkartasuna/Solidarité Basque (Pays basque) fondé en 1986

[modifier] Savoie

Ligue savoisienne, fondé en 1994/95 (IND)
Mouvement Région Savoie (MRS) ***, fondé en 1971 (REG)

[modifier] Rassemblements et groupes de pression

Mouvement pour l'initiative populaire (MIP)
Mouvement royaliste populaire
Parti blanc (Parti pour la reconnaissance du vote blanc)
Rassemblement des contribuables français (RCF)

[modifier] Partis politiques disparus

Article détaillé : Liste des partis politiques disparus.

[modifier] Liens internes

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Régionalisme
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Catégorie : Parti politique français